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Conférence régionale des communistes bretons le 8 janvier 2022

Conférence régionale du PCF Bretagne en viséo – une partie de la délégation finistérienne à la fédération du PCF Finistère à Brest, 5 rue Henri Moreau

C’était hier, samedi 8 janvier, avec pour la délégation finistérienne, Gladys Grelaud, conseillère régionale PCF, qui a développé sur les positions du PCF et enjeux sur le logement en Bretagne et sur la mise en place d’un réseau de réflexion et d’intervention sur les transports, mobilités, et le ferroviaire, avec les syndicats et comités d’usagers, Enzo de Gregorio, candidat aux dernières régionales, Gilbert Sinquin, Christian Beaumanoir, Christian Gagou, Marion Frances, Michel Tudo, Yvonne Rainero, Dominique Gontier, Pierre-Yves Thomas, Ismael Dupont qui représentaient la fédération du Finistère.

D’intéressants débats sur le logement et les transports en Bretagne, l’installation de nos 4 élues communistes bretonnes (Delphine Alexandre, Gladys Grelaud, Katja Krüger, Gaby Cadiou) et leurs premiers mois de mandat, les liens entre la réflexion et les initiatives des adhérents, leur expertise d’usage, et les interventions des élues communistes au Conseil Régional, sur le bilan de la campagne des régionales et la manière dont elle a été conduite, sur les thèmes, propositions et batailles a mettre sur la place publique fortement les prochains mois.

Mobilisation pour la paix, le désarmement nucléaire, une autre politique européenne le dimanche 9 janvier à Brest

Alors que les 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères sont attendus à Brest du 12 au 14 janvier, un collectif d’organisations pour la Paix et le désarmement nucléaire organisait un contre-sommet, avec un premier moment organisé hier par le CIAN 29 (Quatre heures pour le désarmement nucléaire, à la fac Segalen de Brest), une manifestation le dimanche 9 janvier a eu lieu dans la ville dont la rade abrite le cœur de la dissuasion nucléaire française, et un nouveau temps de mobilisation jeudi 13 janvier.

Dans la manif de Brest du 9 janvier pour la Paix, le désarmement nucléaire, pour une autre politique européenne à l’occasion du Sommet des Ministres des affaires étrangères et de la défense européens réunis à Brest du 12 au 14 janvier pour le début de la présidence française de l’Union et sur invitation d’Emmanuel Macron.

Plus de 700 participants à cette manifestation réussie, avec de très bonnes prises de parole à l’entame, Roland de Penanros pour le CIAN 29, Roland Nivet pour le Mouvement de la Paix, Alain Rouy pour le Bureau International de la Paix, les délégués flamands et portugais des associations pacifistes internationales, Jean-Marie Collin, porte-parole d’ICAN France qui mène la bataille pour la ratification du Traité d’interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) et un long défilé jusqu’à la Penfeld, avec la pluie qui a commencé à battre le pavé et les crânes rue de Siam, chère à Prévert, et sur le Pont de Recouvrance.

Les communistes étaient très présents dans cette manifestation avec des camarades venus de tout le Finistère, du Morbihan, des Côtes d’Armor, d’Ille-et-Vilaine, de Loire-Atlantique (merci et bravo à eux!), le député communiste rapporteur sur la question de l’armement nucléaire et membre de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale Jean-Paul Lecoq, mais aussi beaucoup de militants de la CGT, de la FSU, de Solidaires, des militants pacifistes bien sûr (mouvement de la paix, université européenne de la paix, bureau international de la paix, ICAN, mouvement pour une alternative non-violente, associations de paix internationales), des camarades de partis et mouvements de gauche (France Insoumise, NPA, EELV, UDB, PRCF), l’AFPS, les membres du CIAN 29.

Nous avons voulu saluer à notre façon par ce rassemblement pacifiste le sommet des ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères qui va se tenir cette semaine à Brest.

 

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin – Conférence régionale du PCF Bretagne, 8 janvier 2022

Conférence régionale PCF Bretagne, le 8 janvier 2022.

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin

Objectivement, surtout comparativement à d’autres régions françaises, la Région Bretagne a eu depuis 20 ans une approche favorable au ferroviaire, au TER, mais aussi au TGV. Les gares TER ont été rénovées, le matériel ferroviaire renouvelé et modernisé, des investissements massifs ont été fait comme dans la LGV ( le prolongement de la ligne TGV de Rennes au Mans), des travaux sur les voies, pour augmenter les vitesses de circulations et la sécurité.
Les résultats sont bon et la SNCF a encore affiché d’excellents résultats en 2019, comme les années précédentes en ce qui concerne le TER Bretagne.
Le trafic et la fréquentation des trains a augmenté sur certains axes jusqu’à saturation parfois, comme maintenant en gare de Rennes à certaines heures.

La Région Bretagne a renouvelé la convention TER 2019 – 2028 avec la SNCF, sans mise en concurrence, ce qui une marque de confiance.
Ce tableau n’est cependant pas parfait et bien des points se sont dégradés sur le terrain surtout depuis 3 – 4 ans, pour ce qui concerne le service public délivré par la SNCF, ce qui est aussi de la responsabilité ou du pouvoir du Conseil Régional de Bretagne, au moins indirectement pour le TER.
Quelques exemples du recul du service public et de perte du lien social:

-Politique de déshumanisation de plus en plus forte dans les gares.
-Suppression massive de guichets et d’espaces de vente sur le territoire breton, comme ailleurs. Diminutions d’horaires d’ouvertures des quelques guichets restant encore ouverts, entraînant des queues d’attentes inadmissibles, la colère des voyageurs et des répercutions sur les conditions de travail et la santé des cheminots restants en poste.

De plus en plus, les voyageurs n’ont plus de choix et sont renvoyés à leurs dépends vers Internet ou des automates dans les gares, parfois uniquement utilisables par carte bancaire ou, parfois ne rendant pas la monnaie. Il s’agit là
d’une rupture d’égalité d’accès au train. Ce n’est pas normal. Par exemple dans le centre Finistère, si on veut acheter un billet dans un guichet (TER, TGV, Inter-cité, abonnements ou renseignements…) il faut d’abord se renseigner sur les horaires d’ouvertures et se déplacer en gare de Quimper ou Landerneau ( à 60 km A/R minimum, sans compter le temps de trajet et l‘impact carbone) ou alors, il faut utiliser Internet avec le manque de conseils, d’informations et le risque le plus souvent de payer son billet plus cher dans le maquis des multiples tarifs. Encore faut-il avoir accès à Internet et savoir l’utiliser, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

De moins en moins de cheminots sur les quais. Les voyageurs laissés sans informations avec des risques d’accidents parfois, comme à Rennes ou un
voyageur était resté accroché à un train au départ.

De plus en plus trains sans contrôleurs, comme sur la ligne Quimper-Brest avec en conséquence des incivilités, des questions de sécurité pour les voyageurs et les mécaniciens ainsi qu’une baisse de la fréquentation, alors que cette ligne a été rénovée pour près de 80 millions d‘euros.
Des horaires inadaptés, des rabattements qui ne sont pas organisés et des correspondances qui ne peuvent plus se faire, ainsi que des TER qui ne
s’arrêtent plus dans toutes les gares. On peut comprendre qu’un TGV ne
s’arrête pas dans toutes les gares, mais pas un TER.
Des réglementations et des tarifs différents entre billet TER et TGV interdisant
d’accéder à l’un avec le billet de l’autre et des correspondances de l’un vers
l’autre qui ne se font plus systématiquement en cas de retard.
Aucun accès PMR dans aucune gare TER dans tout le centre Bretagne.
Depuis l’été dernier, le paiement et l’obligation de réserver uniquement par
Internet le transport d’un vélo dans un TER si l’on n’est pas abonné sur la
ligne.
Ces reculs du service public ont fait l’objet de multiples protestations,
réclamations, lettres ou courriels auprès de la SNCF et du Conseil Régional,
de pétitions, de manifestations de cheminots et d’usagés ( à Quimper,
Châteaulin, Brest, Morlaix, Rosporden, Hennebont, Pontivy…). Des élus ont
été interpellés, soit directement, soit par écrit. Des vœux votés en conseil
municipal et communautaire à Châteaulin pour le maintien du guichet de la
gare avec l’agent polyvalent. Une entrevue le 05 01 2018 avec la Ministre des
Transports Elisabeth BORNE lors son passage en gare de Châteaulin et une
réunion avec son Chef de cabinet, le Sous Préfet de Châteaulin et le
Directeur régional de la SNCF, M Beaucaire.
Rien n’a changé et ça continue de se dégrader.
Cette politique découle des réformes de la SNCF successives, de l’éclatement en plusieurs sociétés, séparées en différentes activités, cloisonnées, de plus en plus filialisées pour la mise en concurrence.
Dirigées comme le privé, suivant les modes de gestion capitaliste, les décideurs éloignés à Rennes ou à Paris n’ont que faire des conséquences de leurs décision sur le terrain, sinon que d’atteindre leurs objectifs de réductions des coûts, à commencer par la masse salariale et les coûts des services au détriment des cheminots et des populations.
Les activités ou services sont désormais gérés en centres de profits devant tous être rentables économiquement, quoiqu‘il en coûte.
A une lettre le 17 février 2018, de la part des sections PCF 29 de la 6ème
circonscription du Finistère (centre Finistère), Gérard LAHELLEC répondait
que le Conseil Régional ne demandait pas à la SNCF de faire œuvre de zèle
pour supprimer des emplois et des guichets mais leur demandait de se mettre
mieux en capacité de commercialiser les titres régionaux. Il ne poussait pas
non plus la SNCF à optimiser ses résultats en réduisant les comptes décharge mais en développant la fréquentation des trains.

Il observait que la SNCF avait dégagé 15 M€ de bénéfice en Bretagne (en 2
ans), ce qui tendait à prouver qu’elle était en mesure de mettre en œuvre un
certain nombre d’adaptations et, qu’au demeurant, il informait qu‘il n’entendait
nullement m’immiscer dans des gestions qui appartiennent en propre à
l’opérateur et qu’il ne souhaitait pas que la région soit tenue pour responsable
de décisions ne relevant pas de ses prérogatives.
Rien ne change jusqu’à présent et, cela continue à se dégrader encore
récemment avec des suppressions de postes et de guichets à Hennebont,
Quimper, Brest et Rennes…ainsi que des réductions d’horaires au motif cette
fois de la période COVID.
Que pouvons nous faire ?
Retenir les argumentaires et appliquer les propositions positives de Loïg
Chesnais -Girard dans sa réponse le 14 juin 2021, à une association
d’usagés, dans son programme pour la prochain mandature. (celle-ci) (Voir la
lettre en annexe)
Vérifier le contenu de la convention TER, les moyens possibles, car, la Région Bretagne, en temps que donneur d’ordre et financeur devrait être beaucoup plus exigeante envers la Direction de la SNCF et imposer un cahier des charges très ferme en ce qui concerne l’emploi et les services publics dédiés auprès des bretonnes et des bretons. Imposer des pénalités dissuasives en cas de manquement ou du non respect de la convention contractualisée car, il y a un véritable mépris de la Direction de
la SNCF envers les populations, les élus et le personnel cheminot.
La Région Bretagne, les bretonnes et les bretons, sont abusés car la SNCF dégage des marges à leurs détriments chaque année (mise à part cette période COVID). Marges qu’elle réinvestit ailleurs, parfois via des filiales sur d’autres marchés ouverts à la concurrence en France, dans d’autres Régions où à l’étranger.
D’ailleurs, si les compagnies privées reviennent dans les chemins de fer, c’est qu’elles y trouvent de bien meilleurs conditions d’exploitation en étant assurées de faire du profit ou d’équilibrer leurs charges dans le pire des cas, grâce aux subventions.
Il faut impérativement que ces subventions via les conventions soient conditionnées.
Il nous faut impérativement renverser la vapeur et mettre un coup de barre à
gauche.
Si nous parvenions à réorienter cette politique dans le bon sens au service des bretonnes et des bretons, cela serait à mettre à notre crédit.
Si nous n’y parvenions pas, ce serait à désespérer pour la population qui ne voit plus de différence entre une gestion de droite et une gestion de gauche,ce qui entraîne des réactions de rejets du politique et la montée de l’abstention à toutes les élections.
Il nous faut ré-humaniser les gares et les trains, avoir au moins un guichet d’ouvert dans chaque gare du 1er au dernier train.
Offrir les prestations les plus élémentaires comme des toilettes dans les gares (ex Châteaulin ) et, des accès avec prestations PMR dans des gares en centre Bretagne.


Ré-ouvrir des lignes comme Morlaix-Roscoff et les électrifier comme Quimper
– Landerneau ce qui aurait l’avantage d’augmenter les vitesses de circulations
et de réduire l’impacte carbone, tout en réduisant également les coûts
d’exploitations par l’uniformisation du matériel moteur. Cela pourrait être fait
dans le cadre du grand projet Ligne Nouvelles Ouest Bretagne Pays de Loire
(LNOBPL).

Des liaisons modernisées pourraient se faire de Brest à Nantes via Quimper, sachant que la gare de Rennes est déjà saturée. Les métropoles de Bretagne ainsi reliée par le nord ou le sud, ce qui est un des objectifs du projet.
Satisfaire les demandes des usagés avec des horaires, des arrêts et des dessertes adaptées à leurs besoins.
Réduir l’impact carbone et augmenter la fréquentation des trains en supprimant les cars Breizh-Go directs qui circulent entre Quimper et Brest, par la voie express RN 165, en doublon et concurrence avec les TER, presque aux mêmes horaires.

( ex: du lundi au vendredi, de Quimper, un car direct pour Brest au départ à
16h40 et un TER desservant toutes les gares, au départ à 16h57; heure
théorique d’arrivée du car à Brest à 18h00 et le train arrive à 18h23. )

Ces autocars en doublon pourraient être affectés sur des trajets scolaires comme à Pont de Buis (par ex), où il y a de la demande non satisfaite.
Ne pas oublier le FRET que la SNCF a abandonné qui pourrait être développé par une politique volontariste. (ex récent, la suppression encore d’un dernier train de FRET à Rosporden Coat-Conq). Constat que les besoins sont toujours existant mais qu’il n’y a pratiquement plus de trains, ni d’effectifs dédiés à cette activité en Bretagne où, il ne reste plus que 15 agents, tous services confondus pour assurer le fonctionnement. Avec les ports de Brest et Roscoff récemment retenu dans un grand projet européen des ports en eau profonde des moyens devraient également exister.

 

AG des communistes finistériens le 16 juin 2018 à Brest avec Yann le Pollotec

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photo Jacqueline Héré

C’était hier l’AG départementale du PCF  à Brest, au patronage laïque Sanquer, de 9h30 à 17h, en présence de Yann Le Pollotec, notre camarade de la direction nationale (Animateur commission Industrie-Economie numérique), qui nous a présenté la proposition de base commune de discussion pour le Congrès du PCF votée par le CN du 3 juin et soumise à la discussion des communistes.

Yann Le Pollotec qui a aussi fait état des débats sur cette proposition de base commune au Conseil National (écommunisme, laïcité et racisme, propositions économiques, bilan de l’expérience du Front de Gauche, rapport avec FI). 

Les débats ont été très intéressants et fraternels. 

 On a parlé du Glyphosate, de la situation des personnes âgées isolées ou dans les EHPAD, de la casse des hôpitaux publics et de la désertification médicale, des solidarités concrètes initiées par le PCF, de l’état du rapport de force politique et social dans le pays, de la volonté de Macron de démanteler la République (Parlement, communes) pour l’adapter complètement au modèle de la « démocratie limitée » et aux besoins des puissances d’argent, des nouvelles ambitions et besoins d’évolution du PCF, restant plus que jamais attaché à son ambition de combattre et dépasser le capitalisme qui conduit l’humanité au désastre sur bien des plans, en travaillant au rassemblement de classe contre les 1% qui dominent la planète. 

J’ai présenté avant l’introduction de Yann Le Pollotec la situation de la fédé du Finistère et de ses 20 sections: 850 adhérents, dont 600 à jour de cotisations, 27 adhésions depuis le 1er janvier, dont de nombreux jeunes, plusieurs responsables syndicaux et associatifs qui nous ont rejoint, beaucoup d’initiatives en matière de communication (journal gratuit tiré à 40 000 exemplaires), de formation, d’éducation populaire, de culture, des prises de position départementales fortes, mais en même temps des fragilités et beaucoup à travailler pour revitaliser le Parti sur certains secteurs.   

Pour la question du Congrès national, principalement à l’ordre du jour des débats du matin, plusieurs camarades ont dit qu’ils souhaitaient que tous les communistes travaillent sur le même texte de base commune, les fenêtres de débat le permettent, sans multiplication des textes alternatives, qui stérilisent le débat et la réflexion collective en posture d’opposition et de courant. Plusieurs camarades, dont moi-même, ont exprimé leur satisfaction par rapport au fond et à la forme de cette proposition de base commune écrite par Guillaume Roubaud-Quashié. Des nouveaux adhérents comme Françoise Guéguen ont expliqué ce qui les avait amené à faire le pas d’adhérer au PCF. Nous avons parlé des élections européennes et tout le monde se félicite de l’élection de Ian Brossat comme chef de file des communistes. 

 Notre ambition de rassemblement sur un projet de rupture avec l’Europe Libérale et ses institutions qui font émerger en réaction le populisme (parfois xénophobe) dans toute l’Europe, a été réaffirmée pour les élections européennes, face à une gauche qui toutes tendances confondues ne pèse pas plus de 30% actuellement, comme aux élections municipales ou des potentialités sérieuses de reconquête existent à condition de choisir l’unité et la volonté d’avoir des élus pour servir les intérêts des gens: Concarneau, Morlaix, … Le PCF va travailler au rassemblement de la gauche sur des contenus de gauche partout avec une ligne claire et transparente. 

 Certains intervenants ont développé l’idée de la centralité de la thématique de la liberté pour discréditer et dénoncer la politique de Macron et de l’égalité comme valeur unificatrice de tous nos combats. 

On a parlé de la présence du Parti dans les médias, quasi inexistante sur le plan national, et des moyens de davantage pouvoir être entendus. 

 Après un repas Couscous chaleureux servi par un traiteur brestois, la discussion a repris sur le fonctionnement de la fédération, du CD, de l’exécutif, du rapport aux sections, en vue du Congrès Départemental du 10 novembre dans le pays Bigouden, à Plonéour Lanvern.

 Des débats très intéressants de philosophie politique ont été amorcés dans cette AG sur la question du communisme et de sa nature, des classes sociales, sur les contradictions de la société actuelle, riche d’expérimentations de potentialités nouvelles basées sur le commun et marquée par la crise du politique, sur les moyens de la transformation sociale, notre conception de la révolution, de la rupture, de la continuité dans le mouvement historique d’émancipation.

 Ismaël Dupont 

 

Assemblée Générale des communistes finistériens le samedi 21 octobre à Morlaix

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Cher-e camarade,

Tu es invité-e à une

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE des communistes finistériens le samedi 21 octobre à Morlaix

Salle polyvalente du bourg de Ploujean de 9h30 à 13h00

en présence d’un membre de la direction nationale du PCF

et à l’apéritif et au repas convivial qui suivront

Cette Assemblée Générale doit nous permettre de :

  • débattre de la situation politique et sociale depuis la prise de fonction de Macron
  • de revenir sur notre actualité interne (fête de l’Huma Paris du 15 au 17 septembre 2017, fête de l’Huma Bretagne les 26 et 27 novembre 2017, mobilisations contre les ordonnances travail, pour la paix, initiatives du Conseil Départemental et des sections …)
  • de partager les réflexions des adhérents et des sections sur les enjeux du Congrès Extraordinaire du PCF en 2018 et l’ordre du jour de ce congrès qui doit être défini à l’issue de l’assemblée nationale des animateurs de section le samedi 18 novembre à Paris.
  • de réfléchir ensemble au contenu de la consultation nationale des adhérents communistes

Notre précédente Assemblée Générale du PCF Finistère au bourg de Kernével à Rosporden, en présence de Xavier Compain, membre de la direction nationale, qui en avait assuré l’introduction,  avait déjà pour sujet les enjeux de notre congrès et avait réuni 75 personnes le 8 juillet dernier. Elle avait été suivie par un repas convivial.

Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF du Finistère

À Brest le 4 octobre 2017.

Lettre ouverte du PCF 29 à Richard Ferrand

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Les communistes du Finistère à

Monsieur Richard FERRAND

Député de la 6éme circonscription du Finistère

Président du groupe LRM de l’Assemblée Nationale

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Monsieur le Député et président du Groupe LRM,

Les communistes, leurs élus de la 6éme circonscription et du département, souhaiteraient que vous receviez une délégation à votre permanence, pour échanger avec vous sur la mise en œuvre localement des différents textes législatifs qui s’appliquent ou vont s’appliquer portant sur :

  • Les ordonnances réformant le code du travail
  • L’augmentation de la CSG
  • La réduction des APL
  • La baisse drastique des contrats aidés qui, bien qu’insuffisants financièrement, permettaient aux collectivités, EHPADS, associations diverses de maintenir des services à la population
  • Les moyens financiers des collectivités territoriales
  • Le devenir des services publics sur notre département: transports, éducation nationale, santé, personnes âgées etc…
  • Les conséquences pour les chantiers du port de Brest de la cession de STX à Saint-Nazaire à l’italien Fincantieri

Autant de sujets qui concernent et préoccupent nos concitoyens finistériens, et sur lesquels la politique du gouvernement nous inquiète par ses conséquences prévisibles.

Pariant sur votre attachement au débat, à l’échange politique et citoyen, nous vous proposons de vous rencontrer à votre permanence de Châteaulin, en fin de semaine, à une date qui pourrait se situer dans le courant du mois d’Octobre.

Dans l’attente d’une réponse favorable, nous vous prions de croire Monsieur le Député et Président de groupe en nos meilleurs sentiments républicains.

Pour les Communistes du Finistère,

Ismaël DUPONT, secrétaire départemental du PCF Finistère

À Brest le 2 octobre 2017

Bonne année 2017 à toutes et tous

«  Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au cœur du commun combat »
 
( Aragon, La Rose et le réseda – 1943)  
 
Point presse – cérémonie des vœux de la Fédération du Finistère du PCF, samedi 21 janvier, 11 h – 6 rue André Berger à Brest.
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La fédération du PCF vous invite, ainsi que ses militants et des représentants de forces syndicales, associatives, politiques à gauche, du département aux
 vœux de la fédération du Finistère du PCF le samedi 21 janvier à 11h
 dans les locaux au 6 rue André Berger à BREST
 (parallèle à la rue Jean Jaurès, perpendiculaire à la rue Henri Moreau où se trouve le local de la fédération) dans la salle utilisée par la section de Brest.
Un pot de l’amitié sera offert à l’issue des discours politiques et de bonne année d’Ismaël Dupont, secrétaire départemental, et de Xavier Compain, secrétaire régional du PCF Bretagne, membre du comité national du PCF en charge de secteur agriculture, pêche, forêt, récente tête de liste du Front de Gauche aux élections régionales.
Au nom de la fédération du Finistère du PCF, je vous souhaite une bonne année 2017.
Cordialement,
Bloavez Mad
Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF   (06 20 90 10 52)
Fédération du Parti Communiste du Finistère – 5, rue Henri Moreau – 29 200 BREST