« Le libéralisme économique est un fléau. Les crises d’intérêts nationaux se multiplient, comme les affrontements directs ou indirects, la crise de politique onusienne et d’une gouvernance mondiale sévissent aussi, le monde capitaliste est voué à l’échec, seules les puissances capables d’écraser les autres survivront, un combat s’annonce, celui du monde du capital.
Dans ce contexte, il faut combattre l’extrême-droite qui puise son pouvoir dans la haine et la peur de l’autre, affronter ceux qui voient en l’être humain un inférieur, ceux qui rêvent d’une société patriarcale ou xénophobe. Pour moi, l’égalité est la valeur première de l’humanité, pas celle des politiques au pouvoir qui s’abritent derrière l’illusion de l’union nationale. Le politique de droite est notre adversaire, le faux patriotisme est leur arme, comme la valeur travail, ou celle de l’argent et de la réussite individuelle.
Pourtant, Autrui est source d’ouverture, penser à l’autre et non penser par l’autre, faire preuve d’indépendance intellectuelle et arrêter de penser le monde comme une chimère, un monde sans unité comme nous le font entrevoir nos politiques.
J’ai écrit ce petit texte pour vous décrire ma vision générale de l’état de notre société. Il faut réformer le monde libéral, à mon échelle j’ai donc décidé d’adhérer au PCF.
Tout d’abord par rejet de la vision économique et sociale des libéraux qui comme notre président favorisent le modèle américain et anglo-saxon individualiste et inégalitaire, avec un hôpital qui devient payant ou de plus en plus privé, une augmentation de la précarité étudiante, la volonté de faire payer l’entrée de nos facs, universités… ou encore la suppression de l’ISF. Un vrai scandale quand on voit la hausse des inégalités et des très grandes fortunes!
Je veux lutter pour le changement, pour un regain de la gauche française, pour une apparition d’un communisme moderne capable de répondre aux problèmes d’aujourd’hui. Pour cela j’ai pris la décision d’adhérer au PCF, et à la jeunesse communiste pour lutter contre la précarité étudiante…
Je veux combattre la xénophobie, l’homophobie, le sexisme, et c’est pour cela que je donne ma voix au PCF et à Fabien Roussel.
Après de nombreuses lectures de son programme, il est le candidat qui se rapproche le plus de mes convictions et choix politiques.
Pour ne citer que ça, je prends l’exemple de la police de proximité, par la suppression de la BAC et la mise en place d’une police locale dans les quartiers dits populaires. On pourrait aussi parler de l’écologie qui regroupe de plus en plus la jeune génération, Fabien Roussel a eu le choix intelligent : tout en permettant à la France de garder sa production électrique, il a pour projet de produire 50 % de l’énergie française avec le nucléaire et 50 % avec l’énergie verte. Sans mentir à la population sur l’importance du nucléaire française, il nous permet un regain de l’hydroélectrique tout en permettant à la population de garder un confort de vie grâce à l’électricité alors impossible sans le nucléaire. Nous pourrions aussi citer son envie de prélever les bénéfices des multinationales à la source, cela permettrait tout comme certains impôts déjà mis en place de mettre fin à la fraude fiscale représentant pour notre candidat près de 80 millions d’euros par an.
Le PCF a de l’avenir, surtout dans une société où beaucoup de gens n’arrivent plus à y vivre et se sentent plus d’y vivre. C’est pour cela que j’ai décidé d’adhérer au parti ».
Quelle ironie que la place de l’homme quand le bénéfice est maître. Et la démocratie dans la république capitaliste, quelle blague !
Il suffirait d’une voix, puis d’oreilles attentives pour penser le bien commun, et non le poison qu’est le libéralisme américain.
Nous ne partageons pas des frontières ni des bourses. La finance le disait si bien F. Hollande, est notre ennemie, nous partageons une planète.
Une forme plus moderne et adaptée au monde du communisme pourrait surgir et ferait entrer notre monde dans une équité et une démocratie véritable, du peuple par le peuple ».