PCF Finistère

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Rassemblement d’hommage à Missak et Mélinée Manouchian à Brest à 11h30 à l’invitation de la section PCF de Brest

Un Vœu pour la paix au Proche-Orient reposant sur la demande d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza et la reconnaissance par la France d’un État de Palestine adopté à Morlaix-Communauté et au Conseil Municipal de Morlaix

Une initiative politique forte de nos collectivités locales.
Un vœu pour la paix au Proche Orient, et pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza, la fin de la colonisation illégale, le respect du droit international, la libération des otages israéliens, a été adopté au Conseil de Communauté du 12 février avec unanimité des votants pour ce vœu – et au conseil municipal de Morlaix avec un vote à la majorité moins une voix contre et deux abstentions à droite.
C’est un acte symbolique important pour la paix au Proche-Orient, pour la solidarité avec nos amis palestiniens. C’est aussi une manière de mettre la pression sur la France et sa diplomatie pour œuvrer réellement à la fin des massacres et à une solution politique.

Vœu pour la paix au Proche-Orient

Vœu pour la paix au Proche-Orient reposant sur la demande d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza et la reconnaissance par la France d’un État de Palestine

Le 7 octobre 2023, le Hamas a déclenché une opération terroriste armée dans le sud d’Israël, visant des zones militaires et civiles. Des centaines de morts ont été déplorés. Actuellement, des otages israéliens sont encore retenus par le Hamas. Nous condamnons l’attaque des civils et leur prise d’otage dans cette guerre. Nous demandons leur libération rapide. Des familles sont endeuillées par la perte d’êtres chers et nous partageons leur peine.

Israël n’a pas tardé à riposter par l’application d’une punition collective contre toute la Bande de Gaza : les bombardements des quartiers résidentiels et des hôpitaux ont fait ainsi plus de 28 000 morts dont plus de 12 000 enfants.

Nous condamnons aussi les crimes de guerre israéliens, qui ne font qu’alourdir e bilan de ce conflit. Aucune guerre ne justifie la mort de civils, qu’ils soient israéliens ou palestiniens.

Depuis plusieurs années, de nombreuses collectivités françaises ayant des partenariats avec des institutions, des villes et des camps palestiniens en Cisjordanie dont Jérusalem-Est, ont alerté à maintes reprises le gouvernement français sur la dégradation politique et humanitaire en Palestine. L’occupation et l’oppression continue sur la population palestinienne, le morcellement du territoire palestinien causé par une colonisation et une annexion intensifiée, le blocus inhumain sur la bande de Gaza depuis 16 ans, les exactions et violences arbitraires à Jérusalem-Est et en Cisjordanie, toutes ces actions perpétrées par l’armée israélienne ou les colons en toute impunité sont contraires au droit international.

La France qui s’est toujours tenue aux côtés du droit international en s’attachant aux résolutions des Nations Unies, doit aussi dénoncer fermement tous les crimes de guerre. La France doit fermement tenir sa position historique : fin de la colonisation et établissement d’un État de Palestine avec Jérusalem comme future capitale des deux États. Le Président Emmanuel Macron doit tenir la ligne historique de la diplomatie française.

Nous sommes profondément convaincus que c’est par le courage et par l’action politique franche et résolue de la France et de toute la communauté internationale que la paix sera rétablie au Proche-Orient.

Considérant la catastrophe humanitaire dans la Bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 ;

Considérant les liens étroits entre la ville de Morlaix, Morlaix Communauté et le camp de Jalazone, dans le cadre de la coopération décentralisée ;

Considérant la résolution 181 du 29 novembre 1947 de l’Assemblée générale des Nations Unies, prévoyant la création de deux États, israélien et palestinien ;

Considérant la résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations Unies, relative au droit au retour des réfugiés palestiniens ;

Considérant la résolution 242 du 22 novembre 1967 du Conseil de sécurité des Nations Unies condamnant l’« acquisition de territoires par la guerre » et demandant le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés » ;

Considérant la résolution 446 du 22 mars 1979 du conseil de sécurité qui exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967» ;

Considérant les résolutions 476 et 478 du 30 juin 1980 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la préservation du statut de Jérusalem et déclarant nulle et non avenue la décision d’Israël de modifier le statut de Jérusalem ;

Considérant que le Parlement a invité « le gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit » le 2 décembre 2014 ;

Considérant la résolution 2334 du 23 décembre 2016 du Conseil de sécurité, condamnant la colonisation israélienne ;

Considérant la position de la diplomatie française, portée par le ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères,

Le Conseil de communauté réuni le 12 février 2024 demande à l’État français de :

  • D’exiger un cessez-le-feu immédiat dans la Bande de Gaza, un accès sans restriction des zones sinistrées aux organisations humanitaires afin de venir en aide aux civils,

  • D’exiger le respect par l’État d’Israël des mesures conservatoires arrêtées par la Cour Internationale de Justice le 26 janvier

  • D’agir pour la libération sans délais des otages

  • De Réaffirmer le respect du droit international et des résolutions des Nations Unies en faveur du peuple palestinien

  •  De Reconnaître l’État de Palestine.

Découvrez la proposition de liste soumise au vote des adhérents du PCF les 8-9-10 mars pour les Elections européennes et rejoignez le comité de soutien finistérien à la liste de Léon Deffontaines

Cher.e.s camarades,
Le 3 février, le Conseil National du PCF a validé à près de 80 % une proposition de liste aux élections européennes constituant un nouveau rassemblement à gauche. Cette proposition sera soumise au vote de tous les adhérents de notre parti du 8 au 10 mars prochain. Un courrier partira la semaine prochaine aux adhérents avec la proposition de liste et la lettre d’accompagnement de la fédération et celle de Fabien Roussel, ainsi qu’avec un bulletin de souscription pour ceux qui souhaiteraient participer financièrement au financement de notre campagne européenne.
Pour la fédération, nous avons eu la satisfaction qu’un camarade du Finistère soit retenu sur la liste: Taran Marec, 25 ans, secrétaire fédéral de la Jeunesse communiste du Finistère, élu à Brest, délégué à la langue bretonne. Taran est en 61e place.

Les autres candidats bretons sont Amar Bellal, notre spécialiste des questions du climat et de l’énergie (du 35) à la la 17e place, Katja Krüger, conseillère régionale communiste travaillant dans le monde de la culture et du spectacle vivant (du 35) à la 26e place, Florian Marteau, agriculteur du 56, à la 47e place, et Christian Brice, médecin urgentiste du 22, à la 69e place.

La liste conduite par Léon Deffontaines comporte 50 % de candidatures d’ouverture, à l’image des dix premières places ou quatre personnalités communistes seront aux côtés de responsables d’autres formations politiques et de militants du monde du travail engagés dans des combats syndicaux.

Elle rassemble ainsi des candidatures de trois autres formations politiques : la Gauche républicaine et socialiste (GRS) avec la candidature d’Emmanuel Maurel, député européen sortant, en 3e position ou encore celle de Sophie Camard, Maire du premier arrondissement de Marseille, en 20e position ; l’Engagement, parti fondé par Arnaud Montebourg, avec Samia Jaber en 6e position ; Les radicaux de gauche (LRDG) avec Isabelle Amaglio-Terisse en 10e position. Murielle Ressiguier, ancienne députée insoumise de l’Hérault est également présente sur la liste.

Après le grand mouvement sur les retraites qui a remis la question sociale au premier plan en France, alors que les luttes pour gagner les augmentations de salaires se multiplient, cette liste rassemble également de nombreuses candidatures issues du monde du travail et des luttes sociales, telle Sigrid Gérardin, syndicaliste enseignante, en 2e position, Fabien Gache, ex-délégué central de Renault en 7e position sur la liste, Marylène Faure du secteur de l’énergie en 12e position ou encore Manon Ovion, figure syndicale de la lutte dans l’entreprise Vertbaudet, et bien d’autres secteurs professionnels.

Parmi les candidatures communistes, André Chassaigne, Président du groupe GDR à l’Assemblée nationale et député reconnu pour son combat pour les agriculteurs, sera en 5e position, accompagné sur la liste de plusieurs dirigeant·es et élu·es du PCF. Hélène Bidard, militante féministe et adjointe à la Maire de Paris en charge de l’égalité femme-homme, de la jeunesse et de l’éducation populaire, Fatima Khallouk, militante des droits des personnes en situation de handicap et adjointe au Maire d’Alfortville en charge de la jeunesse et plusieurs parlementaires dont Cécile Cukierman, Présidente du groupe CRCE – Kanaky au Sénat et Fabien Roussel, en dernière position sur la liste.

Ce rassemblement de citoyens et citoyennes engagés, de républicains, d’acteurs du mouvement social, de quatre partis de gauche a vocation à s’élargir à tous ceux et celles qui à gauche partagent notre ambition pour reprendre la main sur l’avenir de la France et de l’Europe.

Voici la liste qui a fait l’objet du vote du CN du 3 février et qui sera soumise au vote des adhérents du 8 au 10 mars:

1. Léon Deffontaines – 27 ans ; Porte-parole du PCF, originaire d’Amiens, ancien res ponsable d’une association de jeunesse (80)
2. Sigrid Gérardin – 54 ans ; Enseignante en lycée professionnel, secrétaire générale d’un syndicat d’enseignant en lycées professionnels (75)
3. Emmanuel Maurel – 50 ans ; Député européen, fondateur de la Gauche républicaine et socialiste (GRS) (95)
4. Hélène Bidard – 42 ans ; Fonctionnaire territoriale, adjointe à la Marie de Paris en charge de l’égalité femmes hommes, de la jeunesse et de l’éducation populaire (75)
5. André Chassaigne – 73 ans ; Principal de collège retraité, député du Puy-de-Dôme, président du groupe GDR à l’Assemblée nationale (63)
6. Samia Jaber – 56 ans ; Cheffe d’entreprise, conseillère départementale du Territoire de Belfort, porte-parole de L’Engagement, parti fondé par Arnaud Montebourg (90)
7. Fabien Gache – 61 ans ; Electromécanicien retraité de chez Renault, syndicaliste pour les droits de retraités (72)
8. Fatima Khallouk – 47 ans ; Chargée de mission plaidoyer santé et citoyenneté, militante pour les droits des personnes en situation de handicap, adjointe au Maire d’Alfortville déléguée à la jeunesse (94)
9. Candidat MRC (si pas d’accord avec le MRC : Simon Riffault (LRDG))
10. Isabelle Amaglio Terisse – 55 ans ; Contrôleuse générale économique et financière, co-présidente du parti Le radicaux de gauche (LRDG) (78) (si pas d’accord avec le MRC :
Marylène Faure)
11. Pierre Lacaze – 58 ans ; Infirmier, conseiller régional d’Occitanie, conseiller municipal de Toulouse, conseiller communautaire. (31)
12. Marylène Faure – 51 ans ; Agente EDF, déléguée syndicale (33) (si pas d’accord avec le MRC : Héloïse Dhalluin)
13. Frédéric Boccara – 59 ans ; Economiste, syndicaliste du service public de statistiques, membre honoraire du Cese (92)
14. Héloïse Dhalluin – 45 ans ; Agent de maîtrise à la SNCF, syndicaliste, élue au CSE du Fret (59) (si pas d’accord avec le MRC : candidature PCF)
15. Ary Yee-Chong-Tchi-Kan – 74 ans ; Enseignant retraité, dirigeant du PCR (97-4)
16. Sandra Blaise – 50 ans ; Juriste en droit social, conseillère prud’hommale, conseillère régionale Grand-Est (88)
17. Amar Bellal – 48 ans ; Professeur en IUT, responsable de la commission Ecologie du PCF (35)
18. Haby Ka – 26 ans ; Elue municipale de Montreuil déléguée à la réussite lycéenne et étudiante (93)
19. Sylvain Amrate – 37 ans ; Vendeur, délégué syndical de son groupe du secteur alimentaire et dirigeant départemental (45)
20. Sophie Camard – 51 ans ; Maire du 1er secteur de Marseille, conseillère départementale (GRS) (13)
21. Laurent Sachot – 37 ans ; Syndicaliste du commerce, élu local (76)
22. Candidate PCF ou personnalité.
23. Anthony Gonçalvès – 53 ans ; Médecin oncologue (13)
24. Candidate MRC (si pas d’accord avec le MRC : Isabelle Amaglio-Térisse (LRDG))
25. Simon Riffault – 44 ans ; Secrétaire général LRDG (57) (si pas d’accord avec le MRC :candidature PCF)
26. Katja Krüger – 47 ans ; Comédienne, dramaturge, assistante de mise en scène, conseillère régionale de Bretagne. (35)
27. Laurent Miermont – 48 ans ; Collaborateur du Parlement européen (GRS) (75)
28. Amandine Liard – 30 ans ; Coordinatrice d’un réseau européen de solidarité sociale militante féministe. (27)
29. Yvan Garcia – 65 ans ; Cadre de la fonction publique, administrateur du conseil d’administration du Centre National de la Fonction Publique Territoriale et mandaté au conseil supérieur de la fonction publique territoriale (34)
30. Véronique Paolantoni – 51 ans ; Consultante en ressources humaines, cheffe d’entreprise (L’Engagement) (75)
31. Guillaume Dumoulin – 40 ans ; Directeur d’une coopérative de presse, syndicaliste, conseiller municipal de Feyzin (69)
32. Violette Folgado – 69 ans ; Retraitée de la fonction publique territoriale, militante pour les droits des Palestiniens (24)
33. Sébastien Gautheron – 51 ans ; Employé d’Arcelor-Mittal, délégué syndical (71)
34. Fatiha Mellah – 59 ans ; Salariée transfrontalière (Luxembourg), syndicaliste dans le commerce (57)
35. Marc Dorel – 60 ans ; Ingénieur syndicaliste Thalès, expert en questions de Défense nationale (38)
36. Céline Piot – 53 ans ; Universitaire, historienne, élue municipale de Mont-de-Marsan (GRS) (40)
37. Karim Boukhachba – 41 ans ; Ouvrier d’État au ministère des Armées, adjoint au Maire de Creil (60)
38. Candidate LRDG ou MRC ou personnalité.
39. Bora Yilmaz – 44 ans ; Enseignant, adjoint au Maire de Nancy délégué à la vie des quartiers, conseiller régional Grand-Est (54)
40. Manon Ovion – 30 ans ; Préparatrice de commande à Verbaudet, syndicaliste (59)
41. Eddie Jacquemart – 59 ans ; Président d’une association nationale pour le droit au logement, conseiller municipal de Lille (59)
42. Sophie Hervé – 50 ans ; Salariée d’Enedis, syndicaliste, militante pour l’accès à la culture pour tous (37)
43. Brahim Jlalji – 53 ans ; Agent territorial, conseiller régional Nouvelle-Aquitaine (17)
44. Catherine Collinet Jung – 49 ans ; Fonctionnaire territoriale et maire d’Ancemeont (LRDG) (55)
45. Candidat GRS.
46. Jeannine Erbland – 69 ans ; Ancienne aumônière des hôpitaux, militante pour la laïcité et la paix (03)
47. Florian Marteau – 43 ans ; Boulanger paysan, membre d’un réseau de recherche sur les semences paysannes (56)
48. Chloé Petat – 26 ans ; Cheffe de projets (GRS) (93)
49. Emmanuel Boutterin – 66 ans ; Magistrat, membre du conseil supérieur de la prud’homie, membre du bureau national Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (L’Engagement) (13)
50. Manon Delorme – 26 ans ; Ouvrière dans l’agro-alimentaire, syndicaliste (06)
51. Hervé Rivière – 53 ans ; Ouvrier de l’agro-alimentaire, syndicaliste (58)
52. Elisabeth Jutel – 43 ans ; Artiste et traductrice (GRS) (79)
53. Jean-Marc Durand – 69 ans ; Inspecteur des finances publiques retraité, syndicaliste (26)
54. Aurore Artigues – 42 ans ; Accompagnatrice éducative et sociale, syndicaliste, militante des droits sociaux (65)
55. Soulé N’Gaïdé ; Directeur d’un pôle social, adjoint au Maire des Ulys, militant pour les droits des migrants et des réfugiés (91)
56. Anne Saouter – 57 ans ; Anthropologue, enseignante-chercheuse vacataire, adjointe au Maire d’Oloron-Sainte-Marie (64)
57. Marc-Antoine Leroy – 22 ans ; Médiateur scolaire, syndicaliste, militant de la cause palestinienne (20)
58. Edith Pugnet – 52 ans ; Cadre à l’Aide sociale à l’enfance, Maire de Cabestany (66)
59. Christophe Lime – 62 ans ; Vice-président du Grand Besançon, président d’un réseau d’opérateurs publics de services d’eau et d’assainissement, syndicaliste (25)
60. Brigitte Blanc ; GRS (57)
61. Taran Marec – 25 ans ; Informaticien, conseiller municipal de Brest délégué à la langue bretonne (29)
62. Camille Pétron – 34 ans ; Cadre dans le milieu associatif, adjointe au Maire de Laval chargé de la vie des quartiers, conseillère départementale de la Mayenne (53)
63. Lionel Lerogeron – 54 ans ; Professeur en lycée professionnel, dirigeant syndical (50)
64. Fleur Laronze – 43 ans ; Enseignante-chercheuse, conseillère départementale de la collectivité européenne d’Alsace (67)
65. Jean-Michel Guérineau – 62 ans ; Enseignant retraité, adjoint au Maire de Bourges (18)
66. Christine Mequignon – 47 ans ; Agente SNCF, syndicaliste, membre du Ceser, conseillère municipale de Pont du Château (63)
67. Julien De Benito – 46 ans ; Cuisinier, adjoint au Maire d’Avignon (84)
68. Candidate MRC (si pas d’accord avec le MRC : candidature PCF)
69. Christian Brice – 50 ans ; Médecin urgentiste des hôpitaux publics (22)
70. Marie-Claire Cailletaud – 66 ans ; Ingénieure-chercheuse, syndicaliste, membre honoraire du Cese (92)
71. Patrick Malavieille – 61 ans ; Vice-président du Conseil départemental du Gard, en charge de la culture (30)
72. Marianne Margaté – 52 ans ; Cadre de la fonction publique, sénatrice de la Seine- et-Marne (77)
73. Pierre Ouzoulias – 60 ans ; Chargé de recherche au CNRS, vice-président du Sénat, conseiller départemental des Hauts-de-Seine (92)
74. Muriel Ressiguier – 46 ans ; Ex députée LFI (34)
75. Manu Blanco – 60 ans ; Salarié de l’industrie pharmaceutique, syndicaliste spécialiste de la politique du médicament (60)
76. Candidate Outre-Mer.
77. Candidat MRC (si pas d’accord avec le MRC : candidature L’Engagement ou GRS)
78. Cathy Apourceau-Poly – 59 ans ; Attachée territoriale, sénatrice du Pas-de-Calais (62)
79. Vincent Guibert – 64 ans ; Secrétaire général de L’Engagement (92)
80. Cécile Cukierman – 44 ans ; Professeure d’histoire-géographie, sénatrice de la Loire, présidente du groupe CRCE-Kanaky au Sénat (42)
81. Fabien Roussel – 54 ans ; Journaliste, député du Nord, secrétaire national du PCF (59)

Merci à tous les camarades qui le peuvent et qui ne l’ont pas encore faitr de s’inscrire sur la liste publique, régulièrement mise à jour, du comité de soutien à cette liste de Léon Deffontaines.

Nous en sommes à 215 soutiens mais notre nombre d’adhérents devrait nous permettre de dépasser sans difficulté les 500 soutiens publics et d’aller en chercher 500 autres.
Notre capacité à faire élire des députés européens communistes (4 si nous faisons 5%) dépendra de notre mobilisation à toutes et tous.
Merci d’envoyer vos soutiens avec votre commune, âge, qualités, engagements, profession par mail:
dupont.ismael@yahoo.fr / federation@29.pcf.fr
Ismaël Dupont, secrétaire départemental PCF Finistère
***

Comité de soutien finistérien à Léon Deffontaines et à la liste du PCF pour les élections européennes.

Vous aussi, aidez à porter haut les idées communistes aux élections européennes et à faire rentrer au Parlement Européen des députés européens communistes et partageant un même projet pour l’Europe, rejoignez le comité de soutien finistérien à la liste de rassemblement à gauche conduite par Léon Deffontaines et soutenue par le PCF.

Pour cela, envoyez vos noms et qualités

(profession, engagements, âge, commune) à:

dupont.ismael@yahoo.fr / federation@29.pcf.fr

Comité de soutien à la liste Européennes du PCF conduite par Léon Deffontaines

215 soutiens déclarés à ce jour, 17 février 2024

ABGRALL Guy, comédien, auteur, Brest

ALLOUARD Philippe co-secrétaire de la section du Pays de Quimperlé, secrétaire de l’UL CGT, Mellac

ANDOLFATTO Yvette, retraitée éducation nationale Plougastel-Daoulas

ANDRÉ Catherine. Retraité de l’hôpital, militante syndicale et politique. Morlaix

BAGNIS Roland retraité ,éducateur spécialisé section de Morlaix St Pol-de-Léon.

BAL Gérard retraité Education Nationale, Section du PCF bigouden, Plonéour Lanvern

BARGAIN Pascal retraité cheminot Treffiagat

BEAUMANOIR Christian cheminot retraité , syndicaliste CGT, ancien Maire adjoint communiste de Maurepas (Yvelines), Crozon

BEAUMONT-PEUZIAT Patrick, Maraicher bio, chef d’entreprise retraité, conseiller municipal, section du Pays Bigouden, Plogastel Saint Germain

BEGUIVIN Patrick chauffeur miroitier Conseiller municipal à Plouigneau

BESCOU Alain retraité fonction publique territoriale, Plouhinec

BESCOU Martine retraitée fonction publique territoriale, Plouhinec

BERGOT LE CALVEZ Annie retraitée des Finances. Ancienne élue de Morlaix de 1983 à 2008. Morlaix.

BERNARD André proviseur retraité, ancien élu et responsable PCF- Quimper

BERNARD Marie-Andrée, retraitée de la MGEN, syndicaliste, Quimper

BLANCHET Véronique Formatrice professionnelle d’adultes. Secrétaire Amicale Laïque de Pont-l’Abbé Ancienne vice présidente de la communauté de commune. Ancienne adjointe maire 2008-2014 Pont-l’Abbé

BLOYET Bernard Militant syndical Retraité 63 ans Motreff

BONNET Joëlle retraitée PLOBANNALEC

BOUARD Jeannine Retraitée PCF Pays Bigouden Pont l’Abbé

BOUDARD-JASSERAND Sylvie Enseignante retraitée de l éducation nationale,Militante Syndicale au SnuIpp, DDEN ( déléguée départementale de l éducation nationale)  Quimper.

BOULIC Claude militant associatif , cheminot retraité , membre du PCF, Crozon

BOURNOT-GALLOU Claudie, Adjointe au maire du Relecq-Kerhuon, Conseillère métropolitaine

BOURVEN Michèle, retraitée de la fonction publique hospitalière, militante communiste, Morlaix

BOUTILLIER Gaëtan 19 ans Étudiant Engagement à l’UEC Finistère, Brest.

BRAIRE Jacqueline cadre supérieure de santé retraitée Le Guilvinec

BURLOT Maéla, Conseillère municipale déléguée à Morlaix, Coordinatrice

CAM Denise retraitée des Finances Publiques Brest

CAM Jean-Paul retraité des Finances Publiques, syndicaliste, Brest

CANN Mélinda 20 ans, étudiante, militante MJCF, Brest

CARIOU Jean-Claude professeur retraité, militant syndicaliste, vice-président départemental de l’ANACR (Mémoire de la Résistance), Logonna

CARIOU Mimi retraitée, Loctudy.

CARN Martine, 3 mandats d’ adjointe au maire dans la commune de Plougonven (de 1995 à 2014), conseillère municipale dans l’opposition depuis 2020, retraitée de la fonction hospitalière, Plougonven

CARQUET Philippe retraité de l’arsenal de Brest, Gouesnou

CARRIOU Alain militant syndical et politique Scaër

CAUMENT Albert retraité fonction publique hospitalière militant syndical et PCF CAMARET SUR MER

CHAPALAIN Karine, 20 ans, étudiante en Licence d’histoire et en CDI étudiant entant que secrétaire aux urgences de Keraudren, active au sein de l’association Eskell An Elorn à Landerneau.

CHARLOT Nelly retraitée Lesconil

CLEUZIOU Anne-Catherine, 40 ans, Professionnelle de santé, Conseillère municipale à Brest

COÏC Albert, retraité, Beuzec-Cap-Sizun

CONDETTE Bernard retraité,  Ancien Conseiller Général de la Drôme. Tregunc

CORRE Jean-Claude retraité éducation nationale Riec-sur-Belon

CORRE Malou retraitée de l’hôpital, Morlaix

COSSEC Stéphane militant syndical santé privée action sociale Plonéour Lanvern

CRAFF Thierry retraité, bénévole dans le social sur plouguerneau, ancien responsable syndical CGT Plouguerneau

CREACH Michèle militante CGT FAPT, Sympathisante Communiste, Guilers

DAGUERRE Maxime Cheminot agent de maîtrise, syndicaliste (secrétaire à la formation au niveau de la CGT), 34 ans. Brest

DANIEL Jeannine ancienne élue (2008-2014) à Scaër, présidente de « Bretons solidaires, on agit » (aide aux migrants), présidente du comité local et trésorière départementale de L’ANACR (mémoire de la Résistance), Scaër

DAVILLERS CARADEC Eugène 24 ans Assistant d’éducation en collège à Morlaix Conseiller municipal délégué à l’urbanisme à Morlaix, membre du PCF et de la JC

DAUMONT Paul, Directeur chez BpiFrance (OSEO), retraité, PCF Crozon, Telgruc sur mer.

DEBARNOT Louis, retraité de l’Arsenal, bénévole associatif, syndicaliste, Brest

DE GREGORIO Enzo chargé de mission – ancien secrétaire fédéral du MJCF 29 – militant associatif – Carantec

DELANNEE Christian ancien maire adjoint de Concarneau, économiste de la construction en retraite. Morlaix

DEMAIMAY Jean-Pierre, Douarnenez

DENIS Jean-François retraité Saint-Renan

DERRIEN Jean Jacques assistant social retraité Brest

DESMAREST Gérard 65 ans, retraité, militant CGT et Parti communiste, Carhaix

DESMARET Monique 66 ans, retraitée, militante CGT, Membre du Parti communiste, Carhaix

DILHUIT Yves retraité de la CNAMTS Lannédern

DUBREULE Murielle, 70 ans, retraitée du CNRS, Saint Renan

DUIGOU Norbert Militant Syndical et politique, ancien conseiller municipal de Bannalec, Candidat du  PCF aux élections cantonales de 1998 et 2011.

DUPONT Aloys, 22 ans, nouvel adhérent PCF Morlaix, étudiant en Master 1 de Philosophie à Rennes 1

DUPONT Ismaël professeur documentaliste en collège, Conseiller départemental du Finistère, Conseiller municipal délégué et communautaire, secrétaire départemental PCF Finistère, Morlaix

ELLIOT Justin 19 ans Agent SNCF Brest

FEYSSEL Floriane, 30 ans, secrétaire, militante PCF Section de Brest

FLAGEUL Catherine retraitée de l’éducation nationale , militante du PCF et du Mouvement de la Paix   Rosnoën

FONTAINE Zoé, 19 ans, étudiante, militante MJCF et UEC, Brest

FOUCHER Yann directeur d’école primaire publique, Conseiller départemental du Finistère suppléant, co-secrétaire de la section de Quimper du PCF, Quimper

FRANCES Marion 39 ans secrétaire administrative Brest

FREY Cyrille 44 ans cheminot militant syndical Brest

GAGOU Christian mécanicien Ajusteur retraité de la Réparation Navale Landerneau

GAMBACHE Michèle enseignante retraitée de l’Éducation Nationale. Membre du Parti Communiste.

GAMBACHE Patrick 1er adjoint à la Mairie de Morlaix. Membre du Parti Communiste.

GONTIER Dominique, co-secrétaire de la section du Pays de Quimperlé, militant associatif, Moëlan sur Mer

GOULIAN Bruno cheminot retraité, Guipavas

GOUSSÉ Marie France, retraitée, comptable, ancienne adjointe au maire à Concarneau, participante au projet TZCLD de Concarneau et à la création d’un centre de santé

GRALL Gilles musicien syndicaliste intermittent du spectacle Plounéour-Menez

GRELAUD Gladys conseillère régionale de Bretagne, membre de la direction nationale du PCF (CEN et CN), Animatrice du Comité régional PCF Bretagne et de la Coopérative des élus communistes du Finistère

GRIMARDIAS Muriel trésorière Section PCF de Lanmeur

GUEGUEN Dominique  Brest

GUEGUEN Simone ancienne conseillère muncipale – Brest

GUEGUEN Sophie retraitée Kergloff

GUELLEC Dominique, auxiliaire de vie sociale, Brest

GUELLEC Eric, enseignant, adjoint au maire de Brest, président du groupe des élues et élus communistes de Brest et Brest métropole

GUIAVARCH Suzon Plouguerneau

HAMON Jean-Christophe Conducteur de trains, Brest.

HENAFF Gérard délégué Syndical Alcatel CGT Conseiller du salarié Secrétaire général de UL CGT Issy-les-Moulineaux de 2003 à 2014. Retraité en 2006.

HENAFF-DEMARTY Maïté éducatrice spécialisée retraitée du CG 92. Ancienne secrétaire générale CGT du CG 92. Ancien membre de la CE de l’UD CGT 92. Section PCF Brest. Domiciliée à Saint-Pabu.

HERE Jacqueline Maire-adjointe de quartier à Brest (Bellevue), Conseillère départementale du Finistère

HERE Roger PCF 1er adjoint à Plouigneau et vice président aux mobilités de Morlaix Communauté

HUET Denis instituteur retraité militant associatif et syndical, membre du PCF depuis 1970. Quimperlé

JADÉ Yves-Marie retraité militant syndical à la FSU DDEN (délégué départemental de l’Education Nationale) Douarnenez

JAOUEN Mona artiste chanteuse Plounéour-Menez

JASSERAND Bernard maire adjoint de Quimper, Conseiller communautaire Quimper Bretagne Occidentale, Quimper

KHALFA Colette, retraitée de la fonction publique, Carhaix

LAINE Jeremy, 44 ans, technico-commercial, maire-adjoint à Guimaëc

LAPORTE Daniel retraité, militant syndical, Carhaix

LAURO Andrea, 48 ans, animateur centre de ressources pour les associations, salarié et bénévole associatif, Morlaix

LE BELLEC Etienne ancien conseiller municipal de Guilvinec

LE BERRE Annie-Noëlle, professeur agrégée de lettres en lycée et à l’Institut de Formation des Maîtres E.R., adhérente du PCF depuis 1974

LE BERRE Yves, Professeur émérite des universités, ancien adjoint au Maire de Brest (chargé de la culture), syndicaliste, membre du PCF, Brest

LE BIHAN Véronique 56 ans éducatrice spécialisée conseillère municipale au Relecq-Kerhuon

LE BOHEC Sergine Militante Associative PCF Pays Bigouden

LE BOHEC Yannick PCF Pays Bigouden

LEBLOND Eric Technicien énergie renouvelable 30 ans Membre du Parti communiste français Guiler-sur-Goyen

LE CALVEZ Jean-Luc retraité de la Manufacture de Tabac, ancien élu PCF, trésorier de la section PCF Pays de Morlaix, Morlaix

LE CLOAREC Jacqueline, retraitée de l’enseignement, Guilvinec

LE CLOAREC Robert, retraité de l’enseignement, Guilvinec

LE CORRE Jean, retraité de la Poste, Roscoff

LEDUC Romaric, Agent Territorial, Militant syndical, 46 ans, Brest – Pont de Buis

LE DUFF Georges, Ingénieur, retraité – LANMEUR (85 ans)

LE DUFF Suzanne, Professeure des écoles retraitée – LANMEUR (84 ans)

LE GOFF Valérie Secrétaire médicale PCF Relecq-Kerhuon

LE GUEN Marie-Hélène, retraitée de la poste. Militante syndicale et politique. Morlaix

LE GUENNOU Thierry retraité ancien adjoint mairie de Baye (29 300)

LE GUENIC Roger, Retraité fonction publique hospitalière, Syndiqué CGT Santé, Brest

LE GUERN Brieuc membre du bureau de la JC Finistère et adhérent PCF, Plounévézel

LE GUERN Gaëtan Ancien adjoint à la culture de la ville de Brest Responsable syndical Professeur en Communication Ecole Nationale d’Ingénieurs de Brest Conservatoire National des Arts et Métiers

LE MOAL Karen 46 ans Agent Commercial SNCF Adjointe au Maire à Rosporden/Kernével

LE MOIGNE Jacques cheminot retraité Plouguerneau

LESPAGNOL Michel, Retraité France Télécom, secrétaire de section adjoint PCF à Morlaix

LE LORC’H Jean Michel Vice-Président Brest Métropole Brest

LE ROUX André, Retraité de la fonction publique (Douanes), Syndicaliste, Ancien secrétaire de la section PCF du Pays Bigouden

LE ROUX Michel, retraité Education Nationale, militant associatif, Le Relecq Kerhuon

LE ROUX Sandra, Conseillère municipale de Brest, Sports et quartiers

L’HELGOUALC’H  Marie Rose, militante CGT et PCF, Pays bigouden

L’HELGOUALC’H  Yves, militant CGT et PCF, Pays bigouden

LINTANF Gisèle, retraitée, syndicaliste santé, Saint-Martin-des-Champs

LIZIAR Pierre-Yves. Conseiller municipal délégué au handicap de la ville du Relecq-Kerhuon. Professeur des écoles. Syndicaliste

MAILLARD Mathilde Médecin généraliste, adjointe au maire de la ville de Brest en charge de la politique du bien vieillir et de l’inclusion des personnes en situation de handicap. Conseillère Brest métropole

MAREC Taran. Conseiller municipal délégué à la langue bretonne à Brest, informaticien, 25 ans

MASSIEU Julie, 39 ans, psychologue-neuropsychologue exerçant auprès de personnes vulnérables vivant à domicile, militante syndicale CGT élue au sein de l’UD29 et négociatrice nationale dans la branche de la santé et de l’action sociale associative.

MESSAGER Alexiane Étudiante (2eme année licence philosophie, UBO) Brest

MEVELLEC-SITHAMMA Monique, Professeur en retraite, élue municipale, Le Relecq-Kerhuon

MORAND Titouan 16 ans Engagement syndical à l’Union lycéenne finistérienne Brest

MOREAU Philippe retraité Penmarc’h

MORVAN Pierig, 40 ans, facteur, membre de la commission consultative de Kernével, Kernével

MOYSAN Michel retraité engagé dans l’aide à la personne âgée, Concarneau

MULLEMAN Suzanne, retraitée, section PCF Pont l’Abbé

NAYET Lucienne ancienne élue de Champigny-sur-Marne, militante associative autour de l’histoire de la Résistance, Locquénolé

NIOCHE Françoise, enseignante retraitée , Conseillère Municipale Rosporden-Kernevel

OUVRARD Raymonde Crozon

PAGET-LATGER Camille 18 ans membre de la MJCF et de l’UEC à Brest

PARET Michèle  Militante associative – PCF Douarnenez

PAUL Maxime militant mutualiste, Plougastel-Daoulas

PAULUS André Retraité de l’éducation nationale Morlaix

PAULUS Patricia Retraitée de l’éducation nationale Morlaix

PENVEN Brigitte, retraitée, La Feuillée

PENVEN Jean-Jacques, retraité RATP, La Feuillée

PERON Paulette syndicaliste, membre du PCF, Plouénan

PERROT Jean-Claude retraité de la Poste. Conseiller municipal de Briec. Président du Club des retraités de Briec

PETER, Michael, artisan à la retraite, Rosporden, membre du PC section Rosporden-Kernevel

PEUZIAT-BEAUMONT Yves, Professeur agrégé de sciences de la vie et de la Terre, Inspecteur régional pédagogique retraité, syndicaliste « SUI-FSU », section du Pays Bigouden, Plogastel Saint Germain

PHELEP Gilbert Retraité, Militant syndical et politique, membre de la CCAS de St YVI, investi à la banque alimentaire et au secours populaire

PIBOULEAU Marie-Laure, syndicaliste et militante, Guipavas

PIBOULEAU Michel, Syndicaliste, Militant associatif Brest

PICART Lionel, ingénieur retraité de l’énergie, Douarnenez

POSTIC Jean-Claude, staffeur ornemaniste, ancien élu, Plouégat-Guerrand

POTIER Fréderic Boulanger Militant syndical et associatif Carhaix

POUILLET Pascal, retraité, Conseiller culturel de Bretagne, vice-président d’une fédération d’associations de défense de la langue et de la culture bretonnes. Locquénolé

PLOUGONVEN Pierre retraité PCF Crozon

PRIMA Marie-Renée Moëlan-sur-Mer

PRONONCE Claire Moëlan-sur-Mer

PRONONCE Pierre Moëlan-sur-Mer

RAFFAELLY Jan retraité PTT, PCF Morlaix, CGT fapt, SIZUN

RAINERO Piero Ancien Maire adjoint de Quimper et Conseiller Régional de Bretagne. Secrétaire fédéral du PCF de 1982 à 2000. Membre du Comité Central de 1987 à 2000. Secrétaire du CRAC PCF (Comité Régional d’Action et de Concertation) de 1996 à 2002.

RAINERO Yvonne, professeure agrégée en retraite, conseillère municipale de Quimper déléguée à la santé, conseillère communautaire

RANNOU Jacques, maire délégué de Kernevel, Vice-président du syndicat départemental d’électrification du Finistère, Conseiller communautaire Concarneau Cornouaille Agglomération, Membre du Bureau de Concarneau Cornouaille Agglomération. Cheminot retraité, Rosporden-Kernevel

RAVASIO Daniel, Enseignant retraité, Syndicaliste, secrétaire de la section PCF Morlaix-Roscoff, ancien élu, Saint-Thégonnec Loc-Eguiner

RÉA Larry Adjoint au maire chargé de l’urbanisme et travaux, Le Relecq-Kerhuon

RELOUZAT Dimitri technicien territorial QBO Quimper

RENEAUD Gilberte retraitée , militante syndicale Lesconil

RENEAUD Jacques retraité SNCF Lesconil

RICHARD Anita, enseignante retraitée de l’éducation nationale, conseillère municipale à Kernével Rosporden.

RICOU Hervé, cadre EDF, militant CGT, Locmaria-Berrien

RIVIÈRE Guy retraité de la fonction publique territoriale, syndicaliste membre du bureau de l’IHS CGT du Finistère. Locmaria Plouzané

RIVOALAN Erwan, bibliothécaire, militant syndical, co-secrétaire section de Brest du PCF

ROBIN Pierre retraité ATOS Brest

ROLLAND Nicole, retraitée FP, personnel non enseignant

ROLLAND Yves, retraité SNCF, ancien responsable régional syndical CGT Région de Lyon et ancien candidat PCF

ROPARS Philippe 59 ans facteur adhérent PCF et CGT Saint-Martin-des-Champs

ROPERS Alexis, 20 ans, étudiants, militant PCF MJCF UEC, Brest

ROUCHY Ilias, 21 ans, étudiant en master, Crozon

ROUE Michel syndicaliste retraité BREST

ROUE Valentin 17 ans étudiant

ROUSSEAU Maryse, secrétaire de section PCF Pays Bigouden, Plomeur

RUFFIER Daniel, retraité de l’enseignement public, Quimper

SALAUN Remi Syndicaliste mandaté Sécu Administrateur structure médico-social Brest

SAMSON Arlette Riec-sur-Belon

SANQUER Brieuc, 27 ans, médecin généraliste en milieu pénitentiaire, membre du PCF

SAUNIER Loeis 19 ans, étudiant, militant JC, Brest

SAVINA Joël retraité militant syndical et associatif Saint Hernin

SCATTOLIN Valérie, maire-adjointe à Morlaix (Commerce- Centre-Ville) et Conseillère communautaire

SCHMITT Gil, retraité de la Fonction Publique, Plomodiern

SECHET Gérard retraité RATP, 66 ans, Militant Communiste, Militant syndical CGT, Rosporden

SECHET Malika retraitée Conseillère Mutualiste. Elue Municipale Communiste  de 1989 à  2008 à Herblay Val d Oise. Maire Adjointe Communiste  de 1995 à 2001 Herblay. Militante Syndicale CGT. Rosporden

SELLIN Denis retraité et ancien élu Moëlan-sur-Mer

SERIZEL Jacques Professeur des Universités à la retraite. Chercheur en Sciences de l’Education, Philosophie et Communication. Brest

SERVONNET Timothée, étudiant en L2 Histoire/Sciences Politiques, Brest

SÉVÉRAC Marceline, infirmière retraitée de la Fonction Publique Hospitalière, militante CGT, DOUARNENEZ

SINQUIN Gilbert, cheminot retraité, militant syndical, Châteaulin

SINQUIN Ronan, conseiller municipal de Quimper, militant syndicaliste

TANDÉ Guy, retraité , syndicaliste santé, Saint-Martin-des-Champs

TANGUY Michel, 93 ans, instituteur retraité, Brest

TANGUY Ronan, ancien syndicaliste CGT du secteur bancaire, trésorier départemental du PCF Finistère, ancien élu au Relecq-Kerhuon

THIBERT Georges, 78 ans, ingénieur retraité de la SNCF, bénévole au Secours Populaire Français, Sibiril.

THIOU Pierre responsable UEC Brest, 21 ans, Étudiant Salarié, membre de la CGT, Brest

THOMAS Hervé Cheminot Retraité. Militant dans une association altermondialiste. Brest

THOMAS Pierre-Yves, Retraité de l’industrie, Conseiller municipal d’opposition à Carhaix, Secrétaire de la section PCF de Carhaix-Huelgoat

TREMEL Julien 23 ans Étudiant en philosophie Conseiller municipal de Quemperven (22) Militant MJCF, UEC et PCF

TUAL Jo retraité, ancien conseiller municipal ( 2 mandats)- DDEN- adhésion auPCF en 1976 Ouessant.

TUDO DELER Fabien, 36 ans. Section PCF de Quimper Contrôleur technique automobile

TUDO DELER Michel, Secrétaire de section PCF Lanmeur, Section retraités CGT Cheminots de Morlai

TYTECA Willy retraité, ex syndicaliste Air Inter et Air France, 74 ans, Moëlan sur mer.

VILLARD Jacques retraité, syndicaliste CGT, ex-secrétaire du syndicat retraités CGT de Pont L’Abbé

WEBER Jean-Louis Retraité (ancien cadre bancaire) militant syndicaliste et militant politique

Photos de l’AG du PCF Finistère à Kernével ce samedi 10 février 2024 en présence de Vincent Boulet

Une chaleureuse assemblée générale de la fédération du Finistère du Parti communiste français (860 adhérents, dont 63 nouvelles adhésions au PCF dans le Finistère en 2023) à Kernevel ce samedi 10 février, en présence de Vincent Boulet, dirigeant national du PCF, responsable du secteur International et coordonnateur du Projet du PCF pour les Européennes de juin 2024. 70 camarades y ont participé. L’AG avait été ouverte par Jacques Rannou, maire délégué de la commune associée de Kernevel (première commune à faire élire une femme maire dans le Finistère, et elle était communiste: Marie Mahé, ancienne résistante) et secrétaire de la section de Rosporden. Le maire de Rosporden, Michel Loussouarn, par ailleurs notre collègue dans le groupe de gauche au Conseil Départemental, nous a fait le plaisir de nous saluer le midi pour l’apéritif. Merci à notre camarade de la section du PCF Carhaix-Huelgoat Hervé Ricou pour ses photos et merci à tous les camarades qui ont pu se rendre disponible à cette assemblée générale du PCF Finistère dans le sud-Finistère et à Vincent Boulet pour ses exposés très clairs, riches et stimulants sur les enjeux des élections européennes et de la situation internationale.

 

Communiqué du PCF Brest pour le soutien aux bureaux de poste de proximité et au service public de la Poste

Le 15 février, les postiers se mobilisent pour leur salaire et le service public , à 11 heures, devant l’espace clients de Brest Kergaradec,1 rue Victor Grignard 29490 Guipavas.La section du Pays de Brest du PCF apporte son soutien au mouvement et appelle les postiers, élus et, usagers à venir les soutenir et  exiger un service public postal de qualité.

Le bureau de poste de Kérinou a fermé en janvier et  Saint-Martin à Brest doit fermer ses portes le 27 février. Les bureaux de St Marc et St Pierre devraient suivre !

Nous demandons un moratoire et qu’un vrai débat public se tienne avec les postiers, les élus, la population et les dirigeants de la Poste. L’enjeu du service public postal se pose ainsi que le statut de l’entreprise et des salariés. Son avenir appartient aux usagers et aux postiers.

Le Parti Communiste se bat pour le maintien des bureaux de poste de proximité. La poste doit mettre en place un plan d’embauche massif pour permettre la distribution du courrier 6 jours sur 7 et en finir avec la précarité
La souffrance au travail s’accroît. La charge de travail devient insupportable, et les arrêts maladie explosent. Les agents attachés à leur mission de service public ne comprennent plus clairement le sens de leur travail.
Il faut reconstruire un réseau unique de distribution avec des salariés sous statut, faisant une part beaucoup plus importante au transport sur rail et défendre l’accessibilité bancaire sur tout le territoire

Signons la pétition https://www.change.org/p/maintien-du-bureau-de-poste-de-brest-saint-martin

Attention, nouvelle adresse mail de la section : pcf.sectionbrest@gmail.com

Intervention d’Isabelle Maugeais au Conseil Départemental du Finistère du 8 février 2024 sur la précarité étudiante

Monsieur le Président, chères collègues.

La précarité étudiante dans notre pays s’intensifie jour après jour. Le Finistère, bien que préservé sur certains points n’y échappe pas.

Dans les structures d’aides alimentaires dite « classique » les files d’attentes s’allongent et se rajeunissent. Les épiceries solidaires étudiantes ouvrent un peu partout sur notre territoire avec parfois des pics de fréquentation allant jusqu’à 90 passages par jour !

Nous devons répondre à cette pauvreté précoce qui frappe notre jeunesse et qui accentuent les fragilités et les inégalités. Près de 64 % des étudiants qui se présentent dans les épiceries solidaires, ou ailleurs, ne bénéficient pas du repas à 1€.

40 % sont par ailleurs salariés et travaillent jusqu’à 12H par semaine en complément de leurs études.

Nous devons faire en sorte que cette précarité ne s’installe pas ! Nous devons abonder de manière importante dans un dispositif spécifique qui permettent à ces structures qui accueillent ces étudiants de pouvoir répondre à leurs sollicitations. Ils ne méritent pas cette précarité qui est un obstacle pour leur réussite et celle de notre territoire.

Isabelle Maugeais, conseillère départementale du Canton de Pont-de-Buis (groupe Finistère & Solidaires, adhérente et élue PCF)

Suppression de 65 classes dans le premier degré dans le Finistère – La fédération du PCF du Finistère dénonce vigoureusement cette fragilisation de nos écoles et soutient le mouvement de contestation

 

Mardi 13 février 2024, des parents et des enseignants seront mobilisés pour défendre l’école publique qui est une nouvelle fois violemment attaquée, en particulier dans le Finistère. La fédération du PCF du Finistère dénonce vigoureusement la fermeture prévue de 65 classes du département et soutient ce mouvement de contestation. Les indicateurs sociaux montrent que le fossé se creuse entre le privé et le public, et le seul moyen de réduire cette fracture sociale organisée est de diminuer les effectifs dans les classes des écoles publiques.

Cette année, comme déjà l’année passée, la DASEN a pris le parti de mentir sur les effectifs réels des écoles publiques pour s’arroger le droit de fermer des classes. La confiance est rompue, halte au mépris !

Une pression intenable va continuer de s’installer dans les écoles publiques, directement en concurrence avec le privé, devant la concentration progressive de toutes les difficultés sociales dans le public, fracturant un peu plus à chaque carte scolaire notre société.

Le PCF29 se tiendra aux côtés des parents et des syndicats qui appellent à la grève (SUD éducation, CGT éduc’action et SNUipp29) mardi 13 février à 11h devant la DSDEN du Finistère pour dire STOP ! Reprenons la main sur notre école!

20 février 2024 – Mardi de l’éducation populaire du PCF Morlaix sur les Tsiganes avec Maryvonne Moal, présidente de la fondation pour la mémoire de la déportation du Finistère

Conseil départemental du 8 février 2024 – Intervention d’Ismaël Dupont sur les collèges et la mixité sociale à l’école

Conseil départemental du 8 février 2024 – Intervention d’Ismaël Dupont (groupe Finistère & Solidaires) sur les collèges et la mixité sociale à l’école

L’actualité récente a été marquée par l’ouverture ou plutôt le renforcement de débats et d’interrogations intenses sur l’école traduisant le malaise profond des personnels et des interrogations sur son rôle et son efficacité, ses moyens. Contrairement à ce qu’a pu laisser penser le discours d’investiture de Gabriel Attal comme premier ministre, ce n’est pas avec des coups de menton que l’on va répondre au défi du partage et de la démocratisation des savoirs et de l’éducation pour les nouvelles générations.

La récente polémique créée par la légèreté des propos de l’éphémère nouvelle ministre et désormais nouvelle ex-ministre de l’Éducation Nationale a au moins eu un mérite : poser la question du séparatisme scolaire et social et celle d’un manque de soutien à l’école publique, d’un recul du choix de la mixité sociale à l’école.

Toutes les études internationales montrent que la France parvient insuffisamment à contrecarrer l’impact des inégalités sociales sur la réussite et l’orientation scolaire, malgré l’engagement des personnels.

Les raisons en sont multiples, et il ne s’agit pas là de toutes les énumérer : un sous-investissement chronique conduit à avoir les classes chargées par rapport au défi de l’inclusion et de la réussite de tous, une multiplication des réformes généralisées sans bilan, une conception libérale et concurrentielle de l’enseignement, une perte d’attractivité des métiers d’enseignants … La France est aussi le seul pays à entretenir avec de l’argent public une concurrence faussée entre un réseau public naturellement soumis à toutes les obligations de mixité sociale et un réseau privé financé très majoritairement par l’État et les collectivités locales mais qui est autorisé à choisir ses élèves sans objectif de mixité.

Le syndicat enseignant majoritaire a récemment sorti un rapport sur la mixité sociale dans les collèges en Bretagne.

L’analyse des IPS (indicateurs de position sociale) des établissements en Bretagne le montre, tant que cet état de fait perdure, toute tentative d’amélioration de la mixité scolaire dans l’intérêt des élèves et des familles est limitée. Parmi les IPS les plus favorisés de l’académie, 5 sont publics et 15 sont privés. Sur les 385 collèges bretons, parmi les 5% ayant l’IPS le plus élevé, 80 % appartiennent au réseau privé. Le rôle du privé dans une forme de ségrégation sociale à l’école apparaît ainsi particulièrement dans les grandes agglomérations. Juste un exemple, dans la ville de Brest, le collège public Kerhallet-Joséphine Baker, dont l’IPS est le plus faible de l’académie (66,7), n’est pas classé en REP+ alors qu’il jouxte un collège privé, Sainte Anne, dont l’IPS est le plus fort du département (135,8). Proximité géographique et grand écart social…

Pour notre part, nous sommes convaincus de l’importance de la mixité sociale à l’école, pour la cohésion sociale comme pour la meilleure réussite scolaire de tous, et du rôle déterminant de l’école publique dans la réduction des inégalités.

Or, il faut que l’école publique ait des moyens pour assurer sa mission. Comment ne pas s’indigner des 67 fermetures de classes de primaire envisagées dans le Finistère et de la suppression envisagée de 30 postes dans le premier degré ? Là où pour la rentrée de septembre 2024, 40 postes de profs pourraient être supprimés dans le secondaire public.

Nous entendons votre dénonciation de la carte scolaire Monsieur le Président et nous ne doutons pas que vous voterez contre cette proposition en CDEN présidé par la Dasen ?

Dans nos Conseils d’administration de collèges, professionnels et parents votent des motions très fermes contre la mise en place sans aucune concertation et à l’opposé des préconisations des pédagogues et scientifiques de l’éducation de la réforme des groupes de niveaux en Français et en Mathématiques. Les chefs d’établissement s’arrachent les cheveux pour comprendre comment appliquer cette réforme sans désorganiser complètement leurs établissements.

Ces groupes de niveaux vont accentuer dès la fin du CM2 le tri et l’orientation précoces des élèves, là où à l’inverse l’entraide entre pairs de niveaux scolaires différents est un facteur de meilleure réussite pour tous. La mise en place des groupes de niveaux risque également de conduire à la suppression de nombreuses options dans plusieurs petits collèges, ou collèges ruraux et populaires, et donc de renforcer les déséquilibres territoriaux en matière scolaire.

Favoriser la mixité sociale à l’école et la réussite de tous les enfants, faire de l’école un outil d’émancipation, cela suppose à notre sens de concentrer des moyens importants sur l’école et les collèges publics. Nous attendons que le Conseil départemental soutienne plus fortement les actions éducatives, les séjours d’intégration, qu’il active tous les leviers pour améliorer le bien-être des collégiens, la cohésion sociale, l’ouverture d’esprit…. Nous regrettons qu’avec votre majorité, l’effort financier ne soit pas davantage fléché vers les établissements garantissant la mixité sociale. Nous continuons à déplorer, le système de soutien à la cantine et de bouclier tarifaire pour les élèves boursiers, qui profite deux fois plus en volumes financiers aux établissements privés alors que ceux-ci comptent deux fois moins d’élèves boursiers.

Pour rappel : 75 986€ d’aide à la restauration pour les écoles publiques  pour 17 148 collégiens en 2023 et 165 924€ pour les écoles privées pour 14 665 collégiens en 2023 toujours.

Intervention d’Ismaël Dupont au Conseil Départemental du 8 février 2024 sur la politique RSA

Intervention d’Ismaël Dupont sur le RSA au conseil départemental du Finistère le 8 février 2024:

La réforme de l’assurance chômage, la réforme des retraites, la suppression annoncée dernièrement de l’ASS ne vont faire qu’amplifier la prise en charge financière des Départements pour les allocations versées à nos concitoyens les plus précaires, plutôt que de faire contribuer l’économie et les entreprises, et de chercher véritablement à sécuriser les contrats et parcours professionnels.
Les Départements de France ont fait part récemment de leur « stupéfaction » devant la décision de Gabriel Attal de supprimer l’ASS sans « aucune concertation ». Il s’agit à l’échelle nationale d’une perte de droits pour plus de 300 000 personnes qui ont besoin de cette allocation. A l’échelle nationale, ce transfert de l’ASS vers le RSA est chiffré à 2,1 milliards d’euros par les départements. L’Etat transforme à grande vitesse les Départements en simple services déconcentrés de l’État, en transférant les charges financières de la solidarité vers les collectivités territoriales, dont les moyens financiers sont déjà en tension depuis des années. Transferts qu’il ne compense que très insuffisamment. Compte tenu de cette réalité budgétaire et de la situation sociale, nous dénonçons la malhonnêteté intellectuelle et l’irresponsabilité dont fait preuve le gouvernement.
Il en va de même pour le conditionnement du RSA aux 15 heures d’activité obligatoires que vous souhaitez expérimenter avant l’été dans le Finistère, devançant ainsi l’appel du gouvernement. Vous permettant de faire figure de bon élève.
Il y a cette idée bien stigmatisante et populiste selon laquelle les allocataires du RSA se complaisent dans l’inactivité et une forme de paresse et qu’il faut leur rendre la vie plus difficile pour qu’ils se mettent activement à chercher un emploi. Conditionner le RSA à des heures d’activité et durcir les conditions de versement risque d’avoir un effet contreproductif, en « amplifiant du non-recours aux droits ».
La logique qui préside aux dispositions gouvernementales touchant les chômeurs sous Macron est de faire culpabiliser la personne sans emploi et de la rendre coupable au lieu de responsabiliser et d’interroger la société sur les freins à l’accès au travail (inégalités, handicap, mobilité, garde d’enfants, formation, parcours de vie et santé) ainsi que sur la juste rémunération et la juste reconnaissance des métiers.
Ce gouvernement, s’il voulait vraiment réduire la pauvreté, devrait à notre sens :
– élargir le bénéfice possible du RSA à la jeunesse et aux – de 25 ans, comme le demandent aujourd’hui une quinzaine d’organisations de jeunesse.
– Ou encore travailler sur le non recours au droit. Depuis 2010, nombreuses sont les études qui démontrent que le taux de non-recours au RSA s’élève à plus de 30 %. Manque d’information, démarches administratives longues et complexes, refus de dépendre d’une aide sociale, etc, la lutte contre ce phénomène est un enjeu de long terme pour diminuer les coûts sociaux et économiques de la pauvreté.
L’urgence doit être à notre sens à un projet politique ambitieux pour accompagner les plus précaires d’entre nos concitoyens dans une réinsertion socio-professionnelle source d’émancipation.
Les services publics départementaux de l’action sociale participent à cette mission et il est normal d’écouter ce que les agents ont à dire sur leurs conditions de travail et de les recevoir. Plusieurs d’entre eux sont présents devant la Maison du Département et ils n’ont pas que des revendications sur les retraites ou le Ségur.

Pour Gaza, manifestons ce 10 février à BREST – place de la Liberté à 14h30

Manifestation de solidarité avec le peuple palestinien à Gaza alors que le criminel de guerre Netanyahou annonce une offensive contre Rafah, dans le sud de Gaza, où se trouvent un million 300 000 civil.es , forcé.es de s’y rendre par l’armée israélienne.

Samedi 10 février à 14 h 30 place de la Liberté.

La ville de Rafah sous les bombes, 
pour Gaza, manifestons ce samedi 10 février à BREST !
 
L’armée israélienne a intensifié jeudi ses frappes sur le ville de Rafah dans le sud de la bande de Gaza. C’est là, à la frontière fermée avec l’Égypte, que s’entassent 1,3 million de Palestiniens dont la grande majorité sont des personnes déplacées de force par les bombardements israéliens des derniers mois. Le Premier ministre, criminel de guerre, Benyamin Netanyahou a pourtant ordonné à ses troupes de préparer une offensive contre ce territoire, annonçant un nouveau désastre humanitaire.
 
Il faut écouter le témoignage du docteur Raphaël PITTI, cela ne vous prendra que 12 mn, et c’est terrible, mais c’est la réalité de ce nouveau massacre annoncé :
 
Il y 2 semaines la Cour internationale de justice rendait ses décisions et la réponse d’Israël fut les attaques contre l’UNRWA ainsi que des frappes et attaques plus violentes, avec un risque de génocide en cours à Gaza.

Missak et Mélinée Manouchian des FTP MOI au Panthéon: mercredi 21 avril à 11 h 30 une cérémonie et un dépôt de gerbe au monument aux morts de Brest organisé par la section PCF de BREST

Le 21 février 2024 sera marqué par l’entrée de Missak et Mélinée Manouchian au Panthéon. Missak, héros de la résistance, chef militaire des Francs-Tireurs et Partisans de la main d’œuvre immigrée (FTP-MOI) de la région parisienne. Mélinée, sa femme, commissaire militaire des FTP-MOI, décédée en 1989.
A cette occasion la section du pays de Brest du PCF organisera le mercredi 21 avril à 11 h 30 une cérémonie et un dépôt de gerbe au monument aux morts de Brest .
Nous serions heureux de vous associer à l’évènement
En pièce jointe l’affiche unitaire parisienne

Pour une politique sociale coordonnée du logement en Pays Bigouden – contribution de la section PCF du Pays Bigouden

 

OBJET : PLUI-H, contribution de la section PCF du Pays Bigouden

Madame la Présidente de la communauté de commune du Haut Pays Bigouden,
Monsieur le Président de la communauté de commune du Pays Bigouden Sud,
Mesdames, messieurs les maires des municipalités du Haut Pays Bigouden et du Pays Bigouden Sud,

Depuis 2017, Emmanuel Macron, Président de la République et ses gouvernements successifs ne cessent de fragiliser l’offre publique de logement. Nous pouvons évoquer :
·       La baisse des APL ;
·       La taxation des bailleurs sociaux ;
·       L’augmentation de la TVA liée à la construction des logements sociaux ;
·       Et à venir, la modification de la loi SRU proposant d’intégrer le logement intermédiaire dans le quota de logement social des villes concernées.

Cette politique de mépris des plus pauvres et des plus fragiles est un mépris de classe que nous, communistes, combattons.  

Elle a pour conséquence une diminution de la construction de logements sociaux. 125 000 financés en 2016 / 93 000 en 2022 (-30%), alors qu’il en faudrait 150 000 par an (chiffres de la fondation Abbé Pierre). Et pourtant la demande est là : en Bretagne il y a 8,24 demandes pour une attribution.

En lien avec cette politique et l’évolution du contexte socio-économique, cette situation du logement va de pair avec une crise plus spécifique qui sévit dans le Pays Bigouden. Plusieurs raisons à celle-ci :
·       La faiblesse de l’offre de logement social (environ 5% de l’habitat) ;
·       La pression grandissante de l’offre touristique ;
·       Le renchérissement du foncier, de la construction et du crédit.

L’élaboration des PLUI-H (valant programme pour l’habitat) dans le HPB et le PBS est l’occasion, pour nous communistes de la section du Pays Bigouden, d’exprimer auprès des élus et de la population notre vision politique en la matière et nos propositions (contribution jointe). 

Bien cordialement

Le comité de section du PCF Bigouden

 

***

NOTRE CONTRIBUTION

Pour une politique sociale coordonnée du logement en Pays Bigouden

Contribution de la section du PCF du Pays Bigouden à l’élaboration des Plans Locaux d’urbanisme intercommunaux valant programme local de l’habitat (PLUI-H)

Pour les classes populaires comme les classes moyennes, habiter dans le Pays Bigouden à l’année est de plus en plus difficile. La presse locale en fait écho régulièrement. Les militants de la section bigoudène du Parti communiste le constatent tous les jours : le droit constitutionnel au logement pour toutes et tous sur notre territoire de vie est à défendre. L’Etat comme les collectivités locales en sont garants. Après quelques éléments d’un état des lieux de la situation, cette contribution de la section rappelle les propositions communistes et invite les élus locaux et les citoyens à s’en emparer.

Dans la communauté de commune du Pays Bigouden Sud (CCPBS), de 2014 à 2021, le prix de vente médian des maisons, appartements et terrains à construire a augmenté, selon le bien concerné, de 30 à plus de 40%. De 2019 à 2022, le nombre d’annonce de AirBnb a progressé de 31%, celui de résidences secondaires de 47% en 20 ans. Dans le Pays Bigouden Sud, celles-ci représentent 33% de l’habitat pour 18% dans le Haut Pays Bigouden. Pour sa part, sur l’ensemble de notre territoire, le logement social équivaut à environ 5% de l’habitat.

Coût de plus en plus élevé à l’achat comme à la location, orientation de l’habitat vers des locations de courte durée (Type AirBnb), faiblesse des offres de logements sociaux, sont autant de facteurs pénalisant pour se loger. La vitalité économique de notre territoire repose sur les épaules de ceux qui y vivent et y travaillent. Aujourd’hui ils sont contraints de vivre à plusieurs dizaines de kilomètres de leur lieu de travail avec des incidences sur leurs conditions de vie et l’environnement (empreinte carbone).

Pour les communistes du Pays Bigouden, face à cette situation, c’est d’abord en prenant en compte ces habitants indispensables à une vie socio-économique dynamique que doit être pensée une politique de l’habitat équilibrée, propice à une mixité sociale, au bien-être et à l’épanouissement de chacun et chacune.

Cette vitalité est fondée sur les ressources mêmes du Pays Bigouden, son activité économique basée sur la pêche, l’agriculture, le tourisme qui le caractérise ainsi que la richesse de son tissu d’artisans et de commerçants et de tous les professionnels indispensables pour vivre, apprendre et se soigner au plus près de chez soi.

Dans cette perspective, une politique globale du logement doit être la préoccupation majeure de nos élus. C’est ainsi que la définition en cours des Plans Locaux d’urbanisme communal et intercommunal valant programme local de l’habitat (PLUI-H) doivent avoir pour priorité la question du logement.

Cette politique doit être soutenue en irrigant toutes les échelles des responsabilités politiques : communale, inter-communale, départementale, régionale et nationale. Pour nous les communistes, elle passe par la création d’un service public national et décentralisé du logement : condition pour disposer de moyens de
financement, de suivi et de contrôle pour conduire cette politique globale prenant en compte la situation des foyers les plus modestes et les parcours de vie.

C’est un tel service qui permettra de suivre et d’accompagner les politiques mises en place dans notre territoire en prenant en compte ses besoins et son histoire.

Pour ce faire, plusieurs leviers existent qu’il faut coordonner au plus près des besoin• Des leviers fiscaux (taxes d’habitation sur les résidences secondaires en zones tendues, taxes sur les logements vacants, taxes sur les locations de courte durée…). Ils doivent permettre de viser une justice sociale en fléchant ces rentrées fiscales vers une politique sociale du logement local.

Des leviers relatifs à l’encadrement des loyers et à l’établissement de quotas (résidences secondaires, location de courte durée…). Ils doivent à la fois préserver le pouvoir d’achat des plus modestes et conduire à une mixité sociale et une vie sociale économique dynamique, tout au long de l’année. Le développement non contrôlé des hébergements touristiques conduit à la désertification des territoires, à la disparition des écoles et des services publics.

Des leviers en termes de production d’une diversité de logements accessibles à toutes les catégories sociales. Ils doivent être favorisés par une politique nationale d’aide financière publique à la construction, la réhabilitation de l’habitat pour tous, et à la préemption (ex : friche industrielle).

Une telle politique publique globale fondée prioritairement sur la prise en compte des situations des plus fragiles dans une perspective d’émancipation impose de s’affranchir du libéralisme économique promue par nos élus nationaux à qui nous devons une diminution de l’effort public sur le logement, passé de 2010 à 2022 de 2,2% du PIB à 1,5%.

A défaut d’être initié par la représentation nationale actuellement majoritaire (députés et sénateurs), les militants communistes seront vigilants à ce que des éléments structurants de cette politique sociale, se mettent en place localement, dans le Pays Bigouden.
Janvier 2024

Ci-joint le texte en PDF (cliquer ici)

Manif pour l’éducation à Quimper le jeudi 1er février

Quelques instantanés de la manifestation des enseignants ce jeudi 1er février à Quimper.
Entre 600 et 700 personnes ont défilé dans l’unité pour l’école publique, ses personnels et ses élèves.
Le PCF était présent, ses élus, son secrétaire départemental, ainsi que la JC.

vendredi 2 février – Galette des rois de la section PCF Carhaix-Huelgoat

Avec les camarades de la section PCF Carhaix-Huelgoat pour la galette des rois de début d’année ce vendredi 2 février. Nous étions plus d’une quinzaine à partager un moment d’échange et de fraternité et Patricia Paulus a pu animer ce matin par ses très belles et émouvantes chansons politiques après les propos introductifs de Pierre-Yves Thomas et Gérard Desmarest. Nous avons aussi pu présenter et vendre le livre de Gérard Streiff sur Missak et Mélinee Manouchian, panthéonises le 21 février 2024.

Dans la manif pour l’éducation nationale à Brest le jeudi 1er février

Plus de 2000 manifestants à BREST le 1er février pour réclamer une autre politique de l’éducation, plus de moyens pour l’école, et l’école publique, et dénoncer les réformes ATTAL-OUDEA CASTERA et la casse des ambitions de démocratisation des savoirs de l’école publique. Nos camarades étaient présents en nombre: militants du PCF, du MJCF, élus communistes.

Photos Groupe des élu.e.s communistes brestois

Européennes: le brestois Taran Marec candidat du PCF (Ouest-France, 5 février 2024)

Georges Cadiou dans Le Télégramme (février 2024): il y avait un breton, George Cloarec, dans le groupe Manouchian

Européennes 2024 : le PCF valide sa liste et vise le million de voix (L’Humanité, 4 févrir 2024)

 

« Nous avions rassemblé 560 000 voix en 2019, il nous en faut au moins un million cette année. » Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a ainsi chiffré l’objectif des communistes pour le 9 juin, lors d’un conseil national qui a approuvé, ce samedi, la composition de la liste conduite par Léon Deffontaines.

En se basant sur les résultats des précédentes européennes, le million de voix est en effet le seuil nécessaire pour atteindre les 5 %, permettant l’élection d’au moins 5 députés en juin. Les membres du Conseil national ont d’ailleurs voté par 71 voix pour, une contre et 17 abstentions, la proposition de liste de leur direction.

Cette liste compte 81 candidats, certains noms restant à finaliser. Elle comprendra, outre les communistes, au moins 20 membres d’autres partis de gauche et autant de syndicalistes. En présentant le document soumis au vote du Conseil national, Pierre Lacaze, membre de l’exécutif national du PCF, a ainsi souligné la « double ouverture » réalisée.

Parmi les dix premiers candidats figurent quatre dirigeants du PCF : Léon Deffontaines, Hélène Bidard, André Chassaigne et Fatima Khallouk. Pour les autres, le choix s’est porté sur deux syndicalistes : Sigrid Gérardin (Snuep) en seconde position, et Fabien Gache, syndicaliste retraité de chez Renault, qui sera en 7e place.

Au moins deux autres candidats seront issus de partis de gauche : Emmanuel Maurel, eurodéputé sortant et fondateur du mouvement GRS, et Samia Jaber, porte-parole de l’Engagement, parti d’Arnaud Montebourg. La 10e place sera attribuée à la coprésidente du parti Les radicaux de gauche (LRDG), Isabelle Amaglio-Térisse.

« L’émergence d’un nouveau rassemblement », selon Léon Deffontaines

Pour la suite de la liste, hors PCF, on compte également des candidats LRDG, mais aussi du Parti communiste réunionnais avec Ary Yee Chong Tchi Kan à la 15e place. Il reste encore en suspens un accord avec le MRC, pour lequel des places sont réservées en attendant sa réponse.

« Cette liste est un arc de rassemblement large », a salué Pierre Lacaze. Elle sera soumise à un vote des adhérents du PCF, du 8 au 10 mars. À des membres du Conseil national s’interrogeant sur le processus accompli, les quelques places qui restent à attribuer et le calendrier de la campagne qui doit démarrer dès cette semaine, Aymeric Seassau, responsable national entreprises du PCF, a rappelé le « travail minutieux et conséquent qu’il a fallu mener avec les syndicats et le monde du travail » pour parvenir à des candidatures qui reflètent les luttes sociales.

« Elles donnent à voir le projet que nous voulons incarner, et surtout l’émergence d’un nouveau rassemblement », a aussi souligné Léon Deffontaines. Fabien Roussel a justifié un démarrage rapide de la campagne, sans attendre le 10 mars : « Nous sommes à quatre mois de l’élection, c’est-à-dire 120 jours. Ça va aller très vite », a averti le secrétaire national du PCF, qui sera le dernier candidat, placé en conclusion de la liste.

La direction du PCF devrait finaliser les dates des meetings de la campagne dès cette semaine. De premières réunions publiques auront lieu dans la foulée. Le Comité exécutif national, en tenant compte du vote des communistes, fera le point sur l’élargissement possible de la liste le 8 avril 2024, avant de la finaliser.

Elections Européennes : Le Conseil National du Parti communiste français retient la candidature de l’élu brestois Taran Marec

Elections Européennes : Le Conseil National du Parti communiste français retient la candidature du brestois Taran Marec.

Le PCF tenait son conseil national ces samedi 3 et dimanche 4 février à Paris. Il a validé une grande majorité des candidatures aux élections européennes du 9 juin 2024 sur la liste de Léon Deffontaines, 27 ans, ancien secrétaire national des Jeunesses Communistes, originaire d’Amiens et porte-parole de la campagne de Fabien Roussel aux élections présidentielles 2022.

Taran Marec fait partie des cinq candidats bretons retenus par le Conseil National du PCF sur la liste de Léon Deffontaines.

Il a 25 ans, il est secrétaire fédéral des Jeunesses communistes, Conseiller municipal délégué à la langue bretonne à Brest, militant pour la gratuité des transports, et informaticien.

Un vote de tous les adhérents du PCF aura lieu du 8 au 10 mars prochain sur cette proposition de liste.

Appel à la solidarité avec la Palestine – Avec nos camarades du PCF du Val-de-Marne, participons financièrement à l’aide à nos amis palestiniens et aux gazaouis!

 

Participons à la collecte solidaire de nos camarades du PCF Val-de-Marne au profit des Gazaouis et du peuple palestinien:

https://www.helloasso.com/associations/amitie-palestine-solidarite/collectes/urgence-gaza-campagne-de-solidarite-financiere-2024

URGENCE GAZA : Campagne de solidarité financière 2024

par Amitié Palestine Solidarité

Depuis octobre 2023, l’opération de représailles d’Israël sur Gaza a tué près de 1% de la population civile, plus de 22 000 dont 5000 enfants et fait des centaines de milliers de blessés (ramené à la population française cela représenterait près de 700 000 victimes).

Toutes les infrastructures sanitaires sont détruites. Début janvier 2024, il ne restait plus que 6 hôpitaux, au sud de Gaza, sur les 34 préexistants, sans aucuns moyens ni médicaments pour les soins et les opérations. L’aide humanitaire n’arrive pas auprès des populations touchées. Gaza subit la famine et de nombreux observateurs qualifient la situation de génocide.

Face à cette situation, il est urgent de soutenir les Palestiniens de Gaza.

L’association Amitié Palestine Solidarité lance une campagne de solidarité financière qui contribuera à une aide directe aux familles sinistrées.

Nous avons choisi d’organiser cette opération en partenariat avec l’Association des Agronomes Arabes AAA qui est implantée dans tous les territoires de la Palestine ; Gaza et les territoires occupées de Cisjordanie.

Cette ONG reconnue mène déjà depuis de nombreuses années des actions de solidarité en direction de toute la population palestinienne.

AAA est engagée dans le développement rural et agricole, la justice sociale et la libération nationale. Elle mène également des actions en direction de groupes de populations pauvres et précarisées et leurs organisations communautaires.

C’est d’ailleurs avec cette ONG que l’association Amitié Palestine Solidarité mène la campagne “Un million d’oliviers pour la paix en Palestine”.

La campagne de soutien aux familles touchées par la guerre dans la bande de Gaza sera mise en œuvre sur la base des mesures suivantes :

L’ensemble des sommes collecté sera versé sur le compte bancaire de l’Association des Agronomes Arabes – AAA basée à Ramallah, un reçu sera édité pour la valeur reçue.

Un comité de suivi sera mis en place à Gaza pour organiser et suivre la distribution des aides (achat et distribution de produits agricoles, produits alimentaires et les besoins personnels en particulier les besoins des femmes et des enfants).

Le comité se compose de 7 personnes comme suit :

  • Deux membres du Conseil d’Administration de l’Association (AAA) de Gaza.
  • 1 salarié de l’association à Gaza.
  • 1 membre du conseil municipal du sud de Gaza
  • 1 membre du conseil municipal du centre de Gaza
  • 2 travailleurs sociaux membres d’associations caritatives.

Les responsabilités et les obligations du Comité :

  1. Organiser et suivre le processus d’achat des besoins auprès des fournisseurs (agriculteurs, commerçants alimentaires, fournisseurs de produits de nettoyage et d’hygiène personnelle), gérer les produits et distribuer des paniers solidaires (alimentaires et produits) permettant de couvrir les besoins d’une famille de taille moyenne (5 personnes).Le cout moyen d’un panier solidaire familial est de 35 à 40 euros.
  2. Coordonner les actions de solidarité avec d’autres institutions et associations de secours opérant à Gaza pour s’assurer qu’il n’y a pas de double emploi dans le soutien aux familles bénéficiaires en mettant en place des échanges d’informations réguliers et continus.
  3. Sélectionner les familles bénéficiaires, et tenue d’un tableau de bord documenté (noms, typologie bénéficiaires, données).
  4. Assurer le suivi de la distribution des paniers solidaires aux bénéficiaires et rédiger les rapports nécessaires.

Description des postes de dépenses

Les postes de dépenses sont les achats groupés auprès des fournisseurs gazaouis (agriculteurs, commerçants alimentaires, fournisseurs de produits de nettoyage et d’hygiène personnelle).

Bénéficiaires finaux de la collecte

Les bénéficiaires finaux sont les familles palestiniennes de Gaza.

Porteurs du projet

Amitié Palestine Solidarité est l’initiateur de cette campagne de solidarité financière avec Gaza.

Campagne de solidarité en partenariat avec :

  • Association des Agronomes Arabes AAA
  • Association France Palestine Solidarité AFPS Villejuif
  • Association France Palestine Solidarité AFPS Créteil

Et soutenue par le PCF Val de Marne et le PCF Aulnay-Sous-Bois

Avec Vincent Boulet, responsable du secteur International du PCF – Assemblée générale du PCF Finistère le samedi 10 février à Kernevel (9h30-16h30)

Européennes, comité de soutien du PCF et de la liste de Léon Deffontaines : mobilisons-nous !

Cher.E.s camarades,

Nous êtes chaleureusement convié.e.s

le samedi 10 février : 9h30/16h30 :

à l’Assemblée Générale du PCF Finistère avec Vincent Boulet, responsable du secteur international du PCF et coordonnateur du projet pour les Européennes.

Soyons nombreux pour débattre et approfondir sur le projet communiste pour l’Europe.

Inscription pour ajuster le nombre de repas : federation@29.pcf.fr

C’est à Kernavel, dans la salle polyvalente, place de l’église

Léon Deffontaines, notre tête de liste Européennes, sera normalement présent le mercredi 27 mars dans le Sud-Finistère dans le cadre de la campagne Européennes (visite d’un port du pays bigouden, inauguration du local de Quimper, et meeting à Quimper).

Merci à tous ceux qui le peuvent et le souhaitent de s’inscrire sur la liste du Comité de soutien public à la liste de rassemblement conduite par le PCF et Léon Deffontaines pour les élections européennes du 9 juin. Notre résultat dépendra de notre mobilisation collective.  Inscription avec noms prénoms – qualités/profession – commune : federation@29.pcf.fr / dupont.ismael@yahoo.fr

La liste des Européennes fera l’objet d’un vote au Conseil National du PCF ce week-end, le samedi 3 février et d’un vote des adhérents dans les sections les 8, 9, 10 mars.

Fraternellement,

Ismaël Dupont, secrétaire départemental

 

AG du PCF Finistère à Kernevel en 2021 (70 personnes y avaient participé)

André Chassaigne (PCF) propose une loi pour garantir les droits des saisonniers agricoles

André Chassaigne (PCF) propose une loi pour garantir les droits des saisonniers agricoles

Plus d’un million de contrats de travail saisonnier agricole sont signés par an. Face aux conditions de logement indignes, aux mauvais équipements de protection, à la faiblesse des rémunérations, le député communiste dépose une proposition de loi pour garantir leurs droits.

Agriculture : « Le scandale, c’est le libre-échange », estime le député André Chassaigne – L’Humanité, entretien avec Gaël de Santis

Agriculture : « Le scandale, c’est le libre-échange », estime le député André Chassaigne

Député du Puy-de-Dôme et président du groupe GDR à l’Assemblée nationale, André Chassaigne est le « référent » de la politique agricole commune à la Chambre. Il estime qu’il ne faut pas remettre en question les normes environnementales nationales et européennes et prône un plus fort accompagnement des agriculteurs.

22 janvier 2024

Menaces et dégradations de l’extrême-droite – Communiqué de presse des organisations progressistes du Centre-Finistère

A droite toute – Le discours d’investiture de Gabriel Attal, nouveau premier ministre de la Start Up Nation, en résumé…

A droite toute – Le discours d’investiture de Gabriel Attal, nouveau premier ministre de la Start Up Nation, en résumé…

 

Derrière le vernis pseudo-lyrique et littéraire des propos de communicant arrogant du plus jeune premier ministre du plus jeune président de France, clone de Macron et nouvelle icône de la START-UP NATION, il y a plus vieille des idées: continuez à profiter, mes amis les riches, les problèmes de la France viennent « de ceux qui ont tous les droits »: les pauvres, les précaires, les étrangers, les indociles, les classes dangereuses, ceux qui vous font peur.
Rien sur le délitement des services publics, l’étranglement des classes populaires avec l’inflation, les bas salaires, les contrats précaires, les petits boulots, la difficulté à se loger, à se chauffer, à se nourrir!
On va les remettre au boulot, sous la schlague du bon vieux servage capitaliste avec sa morale réactionnaire d’accompagnement.
Résumons les propos du plus jeune premier ministre du plus jeune président nourri au sein toujours plus généreux de la République des Nantis.
Toujours l’opposition des français les uns aux autres, après les immigrés mis au ban, les pauvres désignés à la vindicte des fameuses « classes moyennes », outil sémantique nébuleux d’alliance pour la conservation de l’ordre social inégalitaire. 
Il y a les classes moyennes qui triment et ne se plaignent pas, mais qui paient beaucoup d’impôts, de cotisations, et qui paient pour les autres, ceux qu’ont « tous les droits », les fainéants, les mal foutus, les grincheux: ça s’adresse à « Monsieur Tout le Monde », mais ces clichés populistes profitent aux riches, et ciblent comme boucs-émissaires commodes les pauvres, les précaires, les chômeurs, les allocataires du RSA, ceux qui bénéficient d’une allocation compensatoire pour leur fin de droit au chômage, ASS ouvrant des droits à la retraite, ceux qu’on va faire travailler gratuitement 15h en échange de leur minimum d’allocation pour survivre, afin de ne pas en faire « une trappe à inactivité ».
Et leurs enfants vont à apprendre à nettoyer leurs cochonneries à l’école, et à s’excuser car l’école vise surtout à en faire de la main d’œuvre docile et de la chair à patronat.
« Clamant un « réarmement civique », Gabriel Attal se veut un chantre de l’autorité, enchaînant des slogans qui sentent bon la naphtaline et le paternalisme : « Dès le plus jeune âge, il faut en revenir à un principe simple : ”Tu casses, tu répares ; tu salis, tu nettoies ; tu défies l’autorité, on t’apprend à la respecter.” » »
« À droite toute » commente L’Humanité. « Après une longue et creuse allocution sans fond, bourrée de slogans vides – « La France ne sera jamais un pays qui subit », « France rime avec puissance » –, Gabriel Attal a finalement montré le cap qu’il comptait tenir. Celui d’une casse sociale appauvrissant toujours plus les plus démunis ; d’un autoritarisme marchant sur les pas de la droite et son extrême » « Dans le but de « réinterroger notre modèle », il veut supprimer l’allocation de solidarité spécifique (ASS) qui prolonge l’indemnisation du chômage tout en cotisant jusqu’à la retraite pour les privés d’emploi les plus âgés. « Ce sont des annonces qui risquent de tiers-mondiser la France », alerte Fabien Roussel.
Une mesure terrible socialement, qui faisait débat au sein même de la majorité, dans les coursives de l’Assemblée nationale, mardi. Les quelque 400 000 bénéficiaires de cette ASS ne toucheraient alors plus que le RSA… Et devront travailler pour cela ! En effet, Gabriel Attal souhaite qu’en 2025, les allocataires du RSA soient, dans tous les départements, contraints à une activité de quinze heures hebdomadaires. Par ailleurs, le premier ministre fait peser une nouvelle épée de Damoclès sur l’assurance-chômage, indiquant qu’en cas de trajectoire financière négative, il adresserait « une lettre de cadrage » aux partenaires sociaux. Une façon de tordre le bras à ces derniers pour réduire les droits des chômeurs. Enfin, le Code du travail pourrait encore perdre en épaisseur, Gabriel Attal promettant une « nouvelle étape » aux ordonnances de 2017, dont les effets sur la protection des salariés ont été destructeurs. » (L’Humanité)
« Gabriel Thatcher a pris la parole. Rien pour les travailleurs, rien pour les agriculteurs, rien pour les services publics. Rien pour alléger nos factures. C’est la France qui s’appauvrit », a réagi Fabien Roussel, secrétaire national du PCF à l’issue de cette déclaration de politique générale.
« Premier ministre d’un gouvernement mondain et de l’entre-soi, vous servirez sa politique au service des riches, une politique qui creuse toujours davantage les inégalités, avec fierté dites-vous, sans jamais douter. Avec arrogance. C’est cette feuille de route qui vous a été confiée »
(André Chassaigne, député communiste, président du groupe GDR, prenant la parole dans une magnifique intervention suite au Rapport Attal).

Une grande ambition pour la jeunesse et pour l’école – Rompons avec les logiques des gouvernements de Macron !

Mouvement social des agriculteurs: communiqué du PCF Finistère

Aujourd’hui, bien trop d’agriculteurs n’arrivent pas à se dégager un revenu décent de leur travail, pourtant écrasant, et sont tenus à la gorge par l’incertitude de l’avenir et la difficulté de vivre de son travail aujourd’hui, leur niveau d’endettement, l’instabilité des prix de leurs productions et de leurs matières premières de travail (engrais, carburants, prix du gaz et de l’électricité), quand ils ne sont pas touchés fortement par les conséquences du dérèglement climatique (manque d’eau, inondations, tempêtes, destruction de serres et de hangars).

La colère des agriculteurs et leur mobilisation sont fortes et légitimes. Le gouvernement ne doit pas se contenter de communiquer mais doit les écouter réellement et leur apporter des solutions pour un mieux vivre, une meilleure reconnaissance de leur travail.

Les agriculteurs sont aussi touchés par une dégradation de leur pouvoir d’achat comme les autres citoyens du fait de la politique du président Macron, de la hausse des tarifs de l’électricité et du gaz, de la hausse des franchises médicales, de l’inflation.

Depuis le temps, le PCF et ses élus au Parlement réclame une intervention de l’État pour des prix plus rémunérateurs pour les agriculteurs. La colère des agriculteurs est d’autant plus justifiée avec l’explosion de leurs coûts de production et la suppression de la détaxe sur le gazole non routier. Les scandales du livre-échange et du libéralisme viennent s’ajouter à ces difficultés avec la concurrence déloyale intra et extra-européenne d’agricultures soumises à des normes préservant la santé, l’environnement ou le bien-être animal moins contraignantes, et à des rémunérations des travailleurs moins fortes.

Nous refusons cette logique, portée par les traités de libre-échange, les règles des marchés publics aussi parfois, qui nous impose d’importer des produits agricoles, que nous pouvons produire chez nous, et de qualité meilleure. Nous refusons l’alignement vers le bas de la rémunération des agriculteurs et de la qualité des produits agricoles imposés par les grandes centrales de distribution, l’agro-industrie et un certain nombre de grossistes et d’intermédiaires. Il faut s’attaquer aux marges scandaleuses de la grande distribution et des industriels. Au lieu d’encourager les agriculteurs à développer l’agroécologie, ils défendent des pratiques qui dégradent les ressources des sols et la santé de tous.

Nous voulons des prix rémunérateurs pour les agriculteurs, l’harmonisation par le haut des normes environnementales et de santé publique à l’échelle européenne, la refonte de la PAC au service d’un système plus juste, garantissant le maintien des exploitations agricoles familiales et à taille humaine, mais aussi plus favorable à la santé et à la protection des ressources naturelles et du climat. Nous défendons le maintien de la détaxe sur le gazole non routier, le gel des factures d’énergie.  Oui, il est urgent de protéger nos agriculteurs face à l’inflation, face à la concurrence déloyale permise par les traités de libre échange de l’Union Européenne, qui les placent aujourd’hui au bord de l’asphyxie. Oui, il est urgent de changer de politique nationale et européenne pour construire une véritable souveraineté alimentaire. Mais face à l’ampleur du phénomène de la flambée des coûts, plutôt que de conforter les profits des industriels et des distributeurs, l’État doit agir avec force pour instaurer des prix qui soient dignement rémunérateurs pour les paysans producteurs, pour accompagner sérieusement les nécessaires besoins d’investissements en matière agricole. Tous les agriculteurs, tous nos concitoyens, doivent vivre décemment de leur travail.

Là où ils sont en responsabilité, au sein de majorité d’union de la gauche, les élus communistes travaillent pour promouvoir une agriculture locale saine et respectueuse de l’environnement à travers les outils de restauration publique.

Le PCF Finistère, le 30 janvier 2024

 

 

 

Mouvement social des agriculteurs – communiqué de presse des élus communistes de Brest Métropole (25 janvier 2024)

COMMUNIQUE DE PRESSE
Brest, le 25 janvier 2024
Comme partout en France, des opérations de blocage et de filtrage routiers sont organisées en ce moment au sein de l’agglomération brestoise, par les agriculteurs notamment, afin d’exprimer leur colère face à la flambée des prix. Oui, il est urgent de protéger nos agriculteurs face à l’inflation, face à la concurrence déloyale permise par les traités de libre échange de l’Union Européenne, qui les placent aujourd’hui au bord de l’asphyxie. Oui, il est urgent de changer de politique nationale et européenne pour construire une véritable souveraineté alimentaire. C’est pourquoi, élus communistes de la Ville de Brest et de Brest métropole, nous apportons notre soutien aux agriculteurs qui manifestent et nous demandons au gouvernement Attal de les entendre et de les respecter. Localement, notre collectivité Brest métropole agit au travers son Projet Alimentaire Territorial pour soutenir les filières agricoles locales et offrir des solutions. Mais face à l’ampleur du phénomène de la flambée des coûts, plutôt que de conforter les profits des industriels et des distributeurs, l’État doit agir avec force pour instaurer des prix qui soient dignement rémunérateurs pour les paysans producteurs, pour accompagner sérieusement les nécessaires besoins d’investissements en matière agricole. Tous les agriculteurs, tous nos concitoyens, doivent vivre décemment de leur travail.

Éducation nationale: un projet politique néo-libéral. Le PCF Finistère appelle à participer aux rassemblements syndicaux des personnels de l’éducation le jeudi 1er février à 11h à Quimper et à Brest

Face aux attaques répétées et convergentes contre la qualité et les ambitions de transmission des savoirs et d’émancipation du service public de l’éducation nationale, face au manque de démocratie dans l’éducation, au manque de moyens, aux fermetures de classes, aux effectifs surchargés, aux baisses du nombre d’heures d’enseignement disciplinaires, à la perte d’attractivité et de sens des métiers, face au mépris affiché vis-à-vis les professeurs, équipes pédagogiques, dotés d’une ministre encore fois surtout attachée à la défense de l’enseignement privé et qui valorise manifestement les modèles les plus réactionnaires, élitistes d’éducation, face au retour des vieilles lunes rétrogrades et anti-démocratiques imposées pour des raisons de populisme et de communication aux écoles, et parce que l’éducation à l’école publique est notre bien commun:

LE PCF FINISTÈRE appelle à participer très nombreux au moment de grève du jeudi 1er février décidé par les syndicats de l’éducation nationale et aux manifestations prévues à Quimper et à Brest le jeudi 1er février à 11h.

Obtenons de meilleurs conditions d’apprentissage pour nos enfants à l’école, de meilleures conditions de travail et de rémunération pour les personnels.

Dans le Finistère, les rendez-vous des manifestations sont :
Brest, place de la Liberté, 11h
Quimper, place de la Résistance, 11h

EXTRÊME DROITE, LES DÉMOCRATES DU CENTRE BRETAGNE NE PEUVENT RESTER SANS RIEN DIRE !

PCF Carhaix-Huelgoat , parti Socialiste, CGT Carhaix, CFDT Carhaix, AFPS Carhaix, Mouvement pour la paix

EXTRÊME DROITE, LES DÉMOCRATES DU CENTRE BRETAGNE

NE PEUVENT RESTER SANS RIEN DIRE !

Le journal « libération » du mardi 23 janvier 2024 argumente sur la montée de l’extrême droite en Bretagne.

Nos valeurs démocratiques, notre attachement aux piliers de notre république « Liberté, Égalité, Fraternité » sont mises à mal.

Cet article, très étoffé, fait référence entre autres à ce qui s’est passé à Callac. Il donne la parole à l’élue communiste Laure-line INDERBITZIN de Callac qui dit continuer son combat contre la fachosphère, bien qu’étant encore à ce jour visée par des insultes et intimidations. Les tout récents actes à Gouesnou et à l’UBO de Brest, doivent nous faire réagir .

La peste noire se répand, oui même en Bretagne, qui pourtant de tout temps a été une terre d’accueil et de partage.

Le RN c’est docteur Jekill et mister Hyde, il surfe en parole sur les maux que connaissent les Français(e)s et acquiesce par ses élus(e)s en France comme à à Bruxelles, les décisions libérales causes de la paupérisation des peuples !

Quelques exemples : Refus de blocage des prix, refus de la gratuité des premiers mètres-cubes d’eau, refus de l’augmentation su Smic à 1500 €, refus du rétablissement de l’impôt sur la fortune etc etc ..

Cette montée dans les sondages, est en partie due à la course aux voix du RN à laquelle se livre un gouvernement qui n’a pas de majorité à l’ Assemblée Nationale et qui s’inscrit dans une dérive droitière. Le refus de prendre en compte l’opposition majoritaire de nos concitoyens(ne)s sur des lois, comme la réforme des retraites et l’utilisation à tout va du 49,3, met à mal notre démocratie.

Nous ne pouvons oublier que l’extrême droite, lorsqu’elle arrive au pouvoir par les urnes, c’est d’abord à cause des renoncements et compromissions de ceux qui sont au pouvoir.

Nous collectif de partis de gauche, de syndicats et de différentes associations, formons un rempart face à ces idées nauséabondes d’extrême droite et n’auront de cesse de défendre la démocratie, de lutter contre la montée des idées racistes et xénophobes en centre Bretagne !

Un appel à manifester ce samedi en solidarité avec les Palestiniens (Le Télégramme, Brest, 25 janvier 2024)

Les représentants associatifs, syndicaux et issus de partis politique de gauche restent mobilisés pour dénoncer « le génocides des Palestiniens par l’armée Israélienne ».

Le Collectif pour une paix juste au Proche-Orient continue de dénoncer l’attaque des Palestiniens par l’armée Israélienne. « Voilà seize semaines, plus de 110 jours, que la population de la bande de Gaza subit bombardements, destructions systématiques d’infrastructures vitales, déplacements forcés, privation de nourriture, de soins, d’énergie, d’eau potable. Selon l’ONU, 80 % des personnes menacées de famine dans le monde aujourd’hui se trouvent à Gaza » explique Claude Léostic, la présidente du groupe de Brest de l’association France-Palestine Solidarité. Une manifestation est organisée par les 18 organismes (associations, syndicats et différents partis politiques de gauche) du collectif ce samedi 27 janvier à 14 h 30, place de la Liberté à Brest, pour exiger un cessez-le-feu immédiat et définitif, l’entrée de l’aide humanitaire et la fin du blocus de Gaza, la fin de l’occupation de la Cisjordanie, la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens et des otages civils israéliens, la protection du peuple palestinien à Gaza et Cisjordanie occupée.

Amar Bellal invité de France Bretagne ce dimanche 21 janvier pour débattre des questions énergétiques avec Laurence Maillard (députée macroniste Renaissance) Manon Galle (EELV)

 

sur France3 Bretagne, ce matin, Amar Bellal était l’invité du journaliste Robin Durand, invité à débattre avec la députée Renaissance Laurence Maillard et la responsable EELV Bretagne Manon Galle. C est à 11h10
https://france3-regions.francetvinfo.fr/…/direct/bretagne
Bravo à notre camarade Amar Bellal, animateur de la commission Écologie du parti communiste et du groupe de travail qui a proposé le plan climat du PCF pour son excellente prestation pour son débat sur France 3 Bretagne ce dimanche à 11h10 avec une députée de LREM et la porte-parole régionale de EELV. Un débat intéressant et de très bonne tenue sur l’augmentation des factures d’énergie et d’électricité, la déréglementation et la fin du bouclier tarifaire, la production énergétique et ses enjeux écologiques et industriels. Pour revoir l’émission de débat « Dimanche en politique » sur France 3 Bretagne: https://france3-regions.francetvinfo.fr/…/france-3…
Le pcf et son plan climat : https://www.pcf.fr/plan_climat_du_pcf

Un millier de manifestants à Quimper à la manif contre la loi immigration Darmanin ce 21 janvier 2024

Très forte mobilisation à Quimper ce dimanche 21 janvier contre la loi immigration avec près d’un millier de manifestants déterminé à obtenir le retrait de ce texte de la honte!

Manifestation contre la loi immigration de Darmanin à Quimper. Tous unis contre la xénophobie d’état, pour une France terre d’asile, d’accueil, et de respect des droits de l’homme. Photos de Judith Quentel, d’Yvonne et Piero Rainero et de Yann Foucher.

Voeux des élu.e.s communistes de Brest et Brest-Métropole: discours de Eric Guellec, président du groupe – 20 janvier 2024 au Vauban

Mesdames et messieurs, chers camarades, chers amis,

Nous sommes très heureux de vous retrouver au Vauban, ce lieu emblématique de notre Ville de Brest.

Nous saluons les élus communistes du Relecq-Kerhuon qui se tiennent à nos côtés, ainsi que les représentants du Parti Communiste Français, Ismaël Dupont, Jean-Paul Cam, Erwan Rivoalan, Gladys Grelaud, saluer aussi Camille Mongin et le Mouvement des Jeunes Communistes de France.

Je souhaite aussi remercier l’ensemble de nos partenaires de la majorité municipale et métropolitaine présents parmi nous.

Rappelons d’emblée que notre mission publique, notre engagement politique, au service des habitantes et des habitants de notre territoire, seraient impossibles à réaliser sans l’appui des agents du Service Public.

La gestion de la tempête Ciaran l’a une nouvelle fois démontré. Bien préparés, les agents du service public ont fait preuve d’une grande réactivité et d’une mobilisation déterminante. Merci à eux.

Cela témoigne au fond du caractère absolument indispensable d’un service public de qualité, conséquent en effectif.

Permettez-nous donc de vous adresser pour cette nouvelle année 2024 des vœux de Paix, d’Egalité et d’Amitié.

Un vœu de Paix, tout d’abord. Oui, la Paix, c’est ce que nous souhaitons le plus pour cette nouvelle année 2024…

Jean Jaurès disait que « La Paix est le plus grand des combats ».

Et rappelons-nous que c’est la lutte pour la Paix qui a présidé à l’élaboration de notre parti, pendant la première guerre mondiale, pour aboutir à sa naissance en 1920.

Dans un moment où nombre de conflits font rage dans le monde, il est indispensable que cette voix de la paix, du partage et de la solidarité continue à se faire entendre et trouve une expression diplomatique forte, que doit porter notre pays.

Face aux logiques destructrices que subissent les populations d’Ukraine et du Proche-Orient, nous devons multiplier les initiatives qui imposent la Paix comme l’unique solution, le seul horizon envisageable, synonyme d’avenir, de vie, d’humanité, et donc de bonheur, pour les peuples de ces régions.

Bien sûr, à la Ville de Brest, nous agissons avec la tradition d’hospitalité, de solidarité internationale et de fraternité entre les Peuples qui nous caractérisent depuis tant d’années.

Nous soutenons financièrement plusieurs associations humanitaires mandatées pour intervenir sur le théâtre de ces conflits.

La Ville a également accueilli en fin d’année dernière, au groupe scolaire du Forestou, 24 enfants ukrainiens pour leur offrir une période de répit et de réconfort…

Elus communistes, nous souhaiterions d’ailleurs voir se renouveler ce type d’initiative de solidarité. Notamment pour de jeunes gazaouis.

Soyons très clairs sur le drame qui se déroule en ce moment même au Proche-Orient : le droit du Peuple Israélien à vivre en sécurité est crucial. Les attaques terroristes dont il a été victime de la part du Hamas sont effrayantes, monstrueuses.

Mais il n’autorise pas le gouvernement israélien d’extrême droite de Netanyaou à massacrer des civils innocents et à étouffer le droit à l’auto-détermination du peuple palestinien, le droit de celui-ci à disposer de lui-même.

Avec nos collègue de la majorité, nous avons accueilli l’été dernier Salah Hamouri, avocat franco-palestinien, emprisonné en Israël des années durant, sans jugement. Nous échangions avec lui sur les lois et les pratiques arbitraires du gouvernement d’extrême droite israélien, ainsi sur nos espoirs de paix dans la région, cette petite flamme qui ne doit pas s’éteindre.

Oui, le Gouvernement français doit agir diplomatiquement pour le règlement pacifique du drame qui est en train de se jouer, cela dans l’intérêt des Palestiniens, comme des Israëliens.

D’ici là, oui, nous souhaitons que la Ville de Brest reste une ville refuge pour toutes celles et ceux qui doivent fuir l’horreur, la guerre, le terrorisme.

Et n’en déplaise à l’extrême droite et à ses abonnés aux sales besognes, totalement décomplexés, qui viennent taguer les locaux de la maison du peuple, du PCF à Brest ou ailleurs, agresser des élus, qui défilent, cagoulés, équipés de barres de fers.

Cette extrême droite, elle ne peut qu’être galvanisée par la loi Asile-Immigration, la loi Darmanin-Ciotti-Le Pen si vous préférez, symbole de l’alliance des droites et des extrêmes droites, inscrivant la préférence nationale dans la loi.

Honte à la Macronie d’avoir cédé aux sirènes racistes!

Demain, nous serons présents Place de la Liberté à 11 heure, aux côtés des organisations syndicales, afin de marcher pour la liberté, l’égalité, la fraternité et demander au Président de la République que cette loi ne soit pas promulguée.

Communistes, nous ne nous accommoderons jamais ni de l’extrême droite, ni du racisme.

Les élections européennes qui se tiendront le 9 juin prochain avec la liste soutenue par le Parti Communiste Français, conduite par Léon Deffontaines, seront aussi une belle occasion de démontrer que face à l’escroquerie d’extrême droite Jordan Bardella, que face au mirage Gabriel Attal, il existe bien une autre voix, progressiste, capable de transformer la colère en espoir.

Les élections européennes, avec Léon Deffontaines, seront donc l’occasion de dire qu’il n’y a pas deux France antagonistes, comme le prétendent les promoteurs du choc des civilisations, mais bien un peuple désireux d’une existence digne et heureuse, tous ensemble, dans l’égalité.

C’est le sens du deuxième vœu que nous vous formulons pour cette nouvelle année 2024 : Un vœu d’égalité!

Ce vœu d’égalité pour notre Ville, il ne pourra être assuré sans le maintien et le toujours nécessaire développement de services publics forts. Le service public, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas, a coutûme de dire le maire de Brest ici présent. C’est la réalité.

Ici à Brest, nous avons su patiemment et collectivement construire au fil du temps, avec l’ensemble de nos partenaires politiques, ce niveau de service public qui caractérise notre ville.

Si les réalisations collectives à mettre à l’actif de notre équipe plurielle ces dernières décennies sont nombreuses, les futurs projets existent et sont pour certains déjà sur les rails pour continuer à transformer notre agglomération dans un sens de progrès social et écologique affirmé.

J’évoquerai deux sujets, celui des mobilités et celui des solidarités…

Les mobilités… Oui en 2024, ici à Brest, nous allons continuer d’agir en faveur du droit à la mobilité pour tous.

Cela passe par une action résolue pour renforcer le réseau de transports publics collectifs de notre métropole.

C’est le projet « Mon Réseau Grandit », un projet d’intérêt général, avec une nouvelle ligne de Bus à Haut Niveau de Service et une deuxième ligne de Tram.

C’est aussi pour le groupe des élus communistes, la poursuite de son engagement pour rendre plus accessible le réseau de transports publics avec la progression des tarifs solidaires, et avec la mise en place progressive de de la gratuité des transports en commun, dans laquelle une première étape pourrait, c’est notre proposition, concerner les jeunes, de 0 à 26 ans.

A l’étude par notre collectivité, comme prévu par le programme de la liste Brest Au Cœur de 2020, le groupe des élus communistes affirme la pertinence politique d’une telle mesure, sur le plan social, sur le plan écologique, sur le plan de l’attractivité de notre ville, de notre métropole.

Nous allons poursuivre notre mobilisation sur le sujet, avec l’appui des militants de la section, avec l’appui des JC, autour d’une campagne locale sur l’intérêt de cette mesure.

Vous pourrez signer sur la table au fond de cette salle, la pétition initiée par nos amis des JC.

Et puis le 2ème sujet, et c’est directement lié, ce sont les solidarités…

A Brest, nous jouons collectif et solidaires. Les solidarités, nous les avons chevillées au cœur de notre engagement d’élus communistes. Elles se retrouvent dans nombres de projets qui sont menés et qui vont continuer d’être menés :

La rénovation de la Maison des Associations à Pen Ar Créac’h, avec une meilleure accessibilité des personnes en situation de handicap, avec des espaces modernisés pour le quotidien des acteurs associatifs de notre ville, qui sont à Brest le terreau de notre démocratie.

La rénovation du Centre Communal d’Action Sociale, la création d’un lieu d’Accueil des Victimes en Centre-Ville et la restructuration d’un nouveau Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale.

L’extension de l’Ehpad de Kerlévenez, à Bellevue, pour accueillir une unité Alzheimer et la création d’un nouveau projet intergénérationnel à Recouvrance, regroupant une résidence autonomie municipale pour personnes âgées, une crèche municipale et une résidence étudiante.

Le refus de financement du Conseil Départemental et de l’ARS pour le projet de rénovation des Ehpads d’Antoine Salaun et Louise Le Roux a en effet contraint les administrateurs du CCAS à faire évoluer le projet initial vers ce nouveau projet intergénérationnel.

La poursuite des grandes opérations d’envergure de renouvellement urbain à Bellevue et à Recouvrance : restructuration des espaces publics, rénovation des bâtiments mais aussi création de logements sociaux et très sociaux, avec notre bailleur HLM BMH, afin de répondre à la crise de logement qui évidemment n’épargne pas Brest.

Les solidarités, enfin, elles se retrouvent aussi dans tous les dispositifs que les équipes du CCAS déploient au quotidien.

Elles se retrouvent dans les temps forts que nous organisons ou que nous soutenons (Brest Assos, Festi Sol !, le Congrès National Ville Amie des Ainés qui se tiendra à Brest en 2024, Deus ta ! etc, etc),

Elles se retrouvent dans notre soutien aux associations du secteur social, plus que jamais mobilisées en raison de l’inflation, de la stagnation des pensions et salaires et donc des problématiques de pouvoir d’achat.

Oui, les prix augmentent, nous le constatons à chaque passage en caisse, à chaque prélèvement, à chaque facture, à chaque plein d’essence!

C’est pourquoi nous nous battons pour soutenir tous les projets qui permettent d’alléger le cout de la vie pour les habitants de notre Ville, notamment les plus modestes, tout en respectant – et c’est essentiel dans le projet d’émancipation que défendons, tout en respectant la dignité des personnes.

C’est pourquoi, nous nous mobilisons plus que jamais pour aider les familles à faire face au prix des dépenses d’énergie, d’eau.

C’est pourquoi, communistes, nous revendiquons la non hausse de loyers actuellement dans le parc public.

C’est pourquoi, je le disais tout à l’heure, nous nous mobilisons pour rendre plus accessibles les transports publics.

Soyez assurés que les élus communistes continueront d’agir dans un but de justice et de progrès social .

Nous ne soulignerons enfin jamais assez la force du collectif et la nécessité du rassemblement.

C’est cette force du collectif, dans lequel les singularités loin de d’effacer, s’enrichissent les unes des autres, dans lequel l’exigence loin de se conformer s’avère constructive, c’est cette force du collectif, qui a permis à une Gauche ainsi réunie, rassemblée, sur des bases solides, de transformer la Ville depuis 35 ans, et d’accomplir ce qu’elle a accomplie pour les Brestoises et les Brestois, pour Brest, ces 35 dernières années.

Et nous sommes persuadés que c’est l’exigence d’un rassemblement, fort d’un programme exigeant, ambitieux, crédible, sur le plan social et écologique, qui lui permettra de continuer et d’accélérer notre action à l’avenir. Car il reste encore beaucoup de travail à accomplir en faveur des populations !

C’est le sens de notre troisième vœu, un vœu d’amitié pour l’année 2024, et là je serai très bref.

Chers amis, chers camarades, je vous invite en effet maintenant à poursuivre vos échanges autour du verre de l’amitié.

Nous comptons sur vous pour mener ces combats de progrès à nos côtés comme vous pouvez compter sur les élus communistes de Brest et de Brest métropole pour continuer à porter notre projet de société dans les Assemblées municipale et métropolitaine, en 2024.

Excellente année 2024 à toutes et à tous! Merci de votre attention

300 à 350 personnes manifestent contre la loi immigration à Quimperlé ce dimanche 21 janvier

Plusieurs milliers de personnes marchent contre la loi immigration Darmanin de la honte à Brest ce 21 janvier: le Finistère dit Non à cette loi xénophobe votée avec la complicité de Macron, de la droite et du RN!

Photos Erwan Rivoalan, Jacqueline Héré, MJCF Finistère

Une manifestation d’ampleur contre la loi immigration, à Brest, ce dimanche 21 janvier

Ouest-France, 21 janvier
Ce dimanche 21 janvier 2024, sur la place de la Liberté, à Brest, des manifestants se sont rassemblés pour protester contre la loi asile et immigration, approuvée par le Parlement en décembre. Au fur et à mesure, la manifestation a grossi, avec des milliers de personnes réunies.

Sur la place de la Liberté, à Brest, des manifestants se sont rassemblés, ce dimanche 21 janvier 2024, peu après 11 h, pour faire entendre leur opposition à la loi asile et immigration, adoptée par le Parlement, le 20 décembre. Une vingtaine d’organisations associatives, syndicales et politiques brestoises avait prévue de se joindre au rassemblement. « Cette loi fait une différence intolérable, entre les bons étrangers, ceux issus de l’Union européenne, et les autres », a déclaré le syndicaliste Olivier Cuzon, au micro.

Les manifestants ont ensuite descendu la rue de Siam, en direction de Saint-Louis. La mobilisation a pris de l’ampleur au fur et à mesure, avec plusieurs milliers de personnes réunies.

Massacres à Gaza – Nouveau rassemblement à Quimper ce samedi 20 janvier

GAZA : ne détournons pas les yeux !

Plus de 100 jours maintenant que l’armée israélienne pilonne sans discontinuer la population de Gaza. Le chiffre de 24 000 morts identifiés est déjà dépassé, dont 70 % de femmes et d’enfants ; des milliers de disparus gisent sous les décombres ; près de 60 000 personnes ont été blessées, dont beaucoup meurent faute de pouvoir recevoir les soins nécessaires ; Hôpitaux, écoles, logements, sont en grande partie détruits. Des organisations humanitaires estiment que ce sont 500 000 personnes qui, sous les bombardements incessants, sont désormais menacées de mourir de faim ou de maladies.

Alors que le gouvernement israélien proclame haut et fort que rien de l’arrêtera, ni les pressions diplomatiques ni même les supplications des familles des otages détenus par le Hamas, la mobilisation des sociétés civiles est plus que jamais indispensable pour mettre un terme à ce massacre. Il revient aux citoyens et citoyennes d’agir. C’est pourquoi les organisations signataires appellent à un nouveau rassemblement le samedi 20 janvier à 15 h à Quimper, Place Saint Corentin, pour un cessez le feu immédiat et permanent à Gaza et pour une paix juste et durable entre palestiniens et israéliens. Elles invitent chaque personne à venir munie d’un drap blanc pour symboliser les victimes de cette guerre

Organisations signataires : ACAT, ACTQ, AFPS, Association El Djazaïr, ARAC, ATTAC, CNT-STAF, Collectif antifasciste du Pays de Quimper, Comité de Jumelage DouarnenezRachidiyé, les Ecologistes-EELV, ENSEMBLE !, LFI, FSU, JC, LDH, Mouvement de la Paix, NPA Cornouaille, Nuages Rouges, PCF, PG, Solidaires, UDB

 

Vœux des élus communistes de Brest et Brest Métropole ce samedi 20 janvier au matin au Vauban

Vœux des élus communistes de Brest et Brest Métropole ce samedi 20 janvier au matin au Vauban avec un excellent discours d’Eric Guellec, président du groupe, et beaucoup de monde et de partenaires de la gauche présents.

Mesdames et messieurs, chers camarades, chers amis,

Nous sommes très heureux de vous retrouver au Vauban, ce lieu emblématique de notre Ville de Brest.

Nous saluons les élus communistes du Relecq-Kerhuon qui se tiennent à nos côtés, ainsi que les représentants du Parti Communiste Français, Ismaël Dupont, Jean-Paul Cam, Erwan Rivoalan, Gladys Grelaud, saluer aussi Camille Mongin et le Mouvement des Jeunes Communistes de France.

Je souhaite aussi remercier l’ensemble de nos partenaires de la majorité municipale et métropolitaine présents parmi nous.

Rappelons d’emblée que notre mission publique, notre engagement politique, au service des habitantes et des habitants de notre territoire, seraient impossibles à réaliser sans l’appui des agents du Service Public.

La gestion de la tempête Ciaran l’a une nouvelle fois démontré. Bien préparés, les agents du service public ont fait preuve d’une grande réactivité et d’une mobilisation déterminante. Merci à eux.

Cela témoigne au fond du caractère absolument indispensable d’un service public de qualité, conséquent en effectif.

Permettez-nous donc de vous adresser pour cette nouvelle année 2024 des vœux de Paix, d’Egalité et d’Amitié.

Un vœu de Paix, tout d’abord. Oui, la Paix, c’est ce que nous souhaitons le plus pour cette nouvelle année 2024…

Jean Jaurès disait que « La Paix est le plus grand des combats ».

Et rappelons-nous que c’est la lutte pour la Paix qui a présidé à l’élaboration de notre parti, pendant la première guerre mondiale, pour aboutir à sa naissance en 1920.

Dans un moment où nombre de conflits font rage dans le monde, il est indispensable que cette voix de la paix, du partage et de la solidarité continue à se faire entendre et trouve une expression diplomatique forte, que doit porter notre pays.

Face aux logiques destructrices que subissent les populations d’Ukraine et du Proche-Orient, nous devons multiplier les initiatives qui imposent la Paix comme l’unique solution, le seul horizon envisageable, synonyme d’avenir, de vie, d’humanité, et donc de bonheur, pour les peuples de ces régions.

Bien sûr, à la Ville de Brest, nous agissons avec la tradition d’hospitalité, de solidarité internationale et de fraternité entre les Peuples qui nous caractérisent depuis tant d’années.

Nous soutenons financièrement plusieurs associations humanitaires mandatées pour intervenir sur le théâtre de ces conflits.

La Ville a également accueilli en fin d’année dernière, au groupe scolaire du Forestou, 24 enfants ukrainiens pour leur offrir une période de répit et de réconfort…

Elus communistes, nous souhaiterions d’ailleurs voir se renouveler ce type d’initiative de solidarité. Notamment pour de jeunes gazaouis.

Soyons très clairs sur le drame qui se déroule en ce moment même au Proche-Orient : le droit du Peuple Israélien à vivre en sécurité est crucial. Les attaques terroristes dont il a été victime de la part du Hamas sont effrayantes, monstrueuses.

Mais il n’autorise pas le gouvernement israélien d’extrême droite de Netanyaou à massacrer des civils innocents et à étouffer le droit à l’auto-détermination du peuple palestinien, le droit de celui-ci à disposer de lui-même.

Avec nos collègue de la majorité, nous avons accueilli l’été dernier Salah Hamouri, avocat franco-palestinien, emprisonné en Israël des années durant, sans jugement. Nous échangions avec lui sur les lois et les pratiques arbitraires du gouvernement d’extrême droite israélien, ainsi sur nos espoirs de paix dans la région, cette petite flamme qui ne doit pas s’éteindre.

Oui, le Gouvernement français doit agir diplomatiquement pour le règlement pacifique du drame qui est en train de se jouer, cela dans l’intérêt des Palestiniens, comme des Israëliens.

D’ici là, oui, nous souhaitons que la Ville de Brest reste une ville refuge pour toutes celles et ceux qui doivent fuir l’horreur, la guerre, le terrorisme.

Et n’en déplaise à l’extrême droite et à ses abonnés aux sales besognes, totalement décomplexés, qui viennent taguer les locaux de la maison du peuple, du PCF à Brest ou ailleurs, agresser des élus, qui défilent, cagoulés, équipés de barres de fers.

Cette extrême droite, elle ne peut qu’être galvanisée par la loi Asile-Immigration, la loi Darmanin-Ciotti-Le Pen si vous préférez, symbole de l’alliance des droites et des extrêmes droites, inscrivant la préférence nationale dans la loi.

Honte à la Macronie d’avoir cédé aux sirènes racistes!

Demain, nous serons présents Place de la Liberté à 11 heure, aux côtés des organisations syndicales, afin de marcher pour la liberté, l’égalité, la fraternité et demander au Président de la République que cette loi ne soit pas promulguée.

Communistes, nous ne nous accommoderons jamais ni de l’extrême droite, ni du racisme.

Les élections européennes qui se tiendront le 9 juin prochain avec la liste soutenue par le Parti Communiste Français, conduite par Léon Deffontaines, seront aussi une belle occasion de démontrer que face à l’escroquerie d’extrême droite Jordan Bardella, que face au mirage Gabriel Attal, il existe bien une autre voix, progressiste, capable de transformer la colère en espoir.

Les élections européennes, avec Léon Deffontaines, seront donc l’occasion de dire qu’il n’y a pas deux France antagonistes, comme le prétendent les promoteurs du choc des civilisations, mais bien un peuple désireux d’une existence digne et heureuse, tous ensemble, dans l’égalité.

C’est le sens du deuxième vœu que nous vous formulons pour cette nouvelle année 2024 : Un vœu d’égalité!

Ce vœu d’égalité pour notre Ville, il ne pourra être assuré sans le maintien et le toujours nécessaire développement de services publics forts. Le service public, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas, a coutûme de dire le maire de Brest ici présent. C’est la réalité.

Ici à Brest, nous avons su patiemment et collectivement construire au fil du temps, avec l’ensemble de nos partenaires politiques, ce niveau de service public qui caractérise notre ville.

Si les réalisations collectives à mettre à l’actif de notre équipe plurielle ces dernières décennies sont nombreuses, les futurs projets existent et sont pour certains déjà sur les rails pour continuer à transformer notre agglomération dans un sens de progrès social et écologique affirmé.

J’évoquerai deux sujets, celui des mobilités et celui des solidarités…

Les mobilités… Oui en 2024, ici à Brest, nous allons continuer d’agir en faveur du droit à la mobilité pour tous.

Cela passe par une action résolue pour renforcer le réseau de transports publics collectifs de notre métropole.

C’est le projet « Mon Réseau Grandit », un projet d’intérêt général, avec une nouvelle ligne de Bus à Haut Niveau de Service et une deuxième ligne de Tram.

C’est aussi pour le groupe des élus communistes, la poursuite de son engagement pour rendre plus accessible le réseau de transports publics avec la progression des tarifs solidaires, et avec la mise en place progressive de de la gratuité des transports en commun, dans laquelle une première étape pourrait, c’est notre proposition, concerner les jeunes, de 0 à 26 ans.

A l’étude par notre collectivité, comme prévu par le programme de la liste Brest Au Cœur de 2020, le groupe des élus communistes affirme la pertinence politique d’une telle mesure, sur le plan social, sur le plan écologique, sur le plan de l’attractivité de notre ville, de notre métropole.

Nous allons poursuivre notre mobilisation sur le sujet, avec l’appui des militants de la section, avec l’appui des JC, autour d’une campagne locale sur l’intérêt de cette mesure.

Vous pourrez signer sur la table au fond de cette salle, la pétition initiée par nos amis des JC.

Et puis le 2ème sujet, et c’est directement lié, ce sont les solidarités…

A Brest, nous jouons collectif et solidaires. Les solidarités, nous les avons chevillées au cœur de notre engagement d’élus communistes. Elles se retrouvent dans nombres de projets qui sont menés et qui vont continuer d’être menés :

La rénovation de la Maison des Associations à Pen Ar Créac’h, avec une meilleure accessibilité des personnes en situation de handicap, avec des espaces modernisés pour le quotidien des acteurs associatifs de notre ville, qui sont à Brest le terreau de notre démocratie.

La rénovation du Centre Communal d’Action Sociale, la création d’un lieu d’Accueil des Victimes en Centre-Ville et la restructuration d’un nouveau Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale.

L’extension de l’Ehpad de Kerlévenez, à Bellevue, pour accueillir une unité Alzheimer et la création d’un nouveau projet intergénérationnel à Recouvrance, regroupant une résidence autonomie municipale pour personnes âgées, une crèche municipale et une résidence étudiante.

Le refus de financement du Conseil Départemental et de l’ARS pour le projet de rénovation des Ehpads d’Antoine Salaun et Louise Le Roux a en effet contraint les administrateurs du CCAS à faire évoluer le projet initial vers ce nouveau projet intergénérationnel.

La poursuite des grandes opérations d’envergure de renouvellement urbain à Bellevue et à Recouvrance : restructuration des espaces publics, rénovation des bâtiments mais aussi création de logements sociaux et très sociaux, avec notre bailleur HLM BMH, afin de répondre à la crise de logement qui évidemment n’épargne pas Brest.

Les solidarités, enfin, elles se retrouvent aussi dans tous les dispositifs que les équipes du CCAS déploient au quotidien.

Elles se retrouvent dans les temps forts que nous organisons ou que nous soutenons (Brest Assos, Festi Sol !, le Congrès National Ville Amie des Ainés qui se tiendra à Brest en 2024, Deus ta ! etc, etc),

Elles se retrouvent dans notre soutien aux associations du secteur social, plus que jamais mobilisées en raison de l’inflation, de la stagnation des pensions et salaires et donc des problématiques de pouvoir d’achat.

Oui, les prix augmentent, nous le constatons à chaque passage en caisse, à chaque prélèvement, à chaque facture, à chaque plein d’essence!

C’est pourquoi nous nous battons pour soutenir tous les projets qui permettent d’alléger le cout de la vie pour les habitants de notre Ville, notamment les plus modestes, tout en respectant – et c’est essentiel dans le projet d’émancipation que défendons, tout en respectant la dignité des personnes.

C’est pourquoi, nous nous mobilisons plus que jamais pour aider les familles à faire face au prix des dépenses d’énergie, d’eau.

C’est pourquoi, communistes, nous revendiquons la non hausse de loyers actuellement dans le parc public.

C’est pourquoi, je le disais tout à l’heure, nous nous mobilisons pour rendre plus accessibles les transports publics.

Soyez assurés que les élus communistes continueront d’agir dans un but de justice et de progrès social .

Nous ne soulignerons enfin jamais assez la force du collectif et la nécessité du rassemblement.

C’est cette force du collectif, dans lequel les singularités loin de d’effacer, s’enrichissent les unes des autres, dans lequel l’exigence loin de se conformer s’avère constructive, c’est cette force du collectif, qui a permis à une Gauche ainsi réunie, rassemblée, sur des bases solides, de transformer la Ville depuis 35 ans, et d’accomplir ce qu’elle a accomplie pour les Brestoises et les Brestois, pour Brest, ces 35 dernières années.

Et nous sommes persuadés que c’est l’exigence d’un rassemblement, fort d’un programme exigeant, ambitieux, crédible, sur le plan social et écologique, qui lui permettra de continuer et d’accélérer notre action à l’avenir. Car il reste encore beaucoup de travail à accomplir en faveur des populations !

C’est le sens de notre troisième vœu, un vœu d’amitié pour l’année 2024, et là je serai très bref.

Chers amis, chers camarades, je vous invite en effet maintenant à poursuivre vos échanges autour du verre de l’amitié.

Nous comptons sur vous pour mener ces combats de progrès à nos côtés comme vous pouvez compter sur les élus communistes de Brest et de Brest métropole pour continuer à porter notre projet de société dans les Assemblées municipale et métropolitaine, en 2024.

Excellente année 2024 à toutes et à tous! Merci de votre attention

Vœux du mouvement des jeunes communistes du Finistère ce samedi 20 janvier à BREST

Quelques photos des voeux de la JC Finistère ce samedi 20 janvier à 18h à BREST, rue Berger. 

Merci à Camille Mongin pour son beau mandat de secrétaire de la JC Finistère, dans la suite d’Enzo de Gregorio, et tout le travail accompli en quelques temps (Camille va maintenant travailler au niveau de l’UEC nationale) et félicitations à Taran Marec, par ailleurs plus jeune élu de la ville de Brest, délégué à la langue bretonne, pour son élection comme secrétaire départemental du MJCF Finistère et merci à Léna Raud la secrétaire nationale de l’UEC pour sa présence à Brest.

Toute l’année 2023, la JC n’a cessé de croître dans le Finistère et est maintenant en mesure de mener des campagnes d’ampleur comme sur la gratuité des transports, pour les jeunes de 0 à 26 ans dans un premier temps, campagnes relayées par les élu.e.s du Parti communiste.