Dimanche 2 juillet: Les photos du pique-nique des sections de Brest et du Relecq-Kerhuon au Relecq-Kerhuon

C’était le pique-nique des sections de Brest et du Relecq-Kerhuon du PCF ce dimanche 2 juillet au Relecq-Kerhuon. Fraternité et belle ambiance devant la salle Germain Bournot, notre camarade élu communiste, une salle du Relecq-Kerhuon inaugurée par la Mairie communiste en 1982 et toujours bien utilisée par les habitant.e.s !

Lors d’un apéro convivial et permettant à chacun.e de se retrouver ou de rencontrer des nouvelles et nouveaux et aux camarades de nos deux sections de mieux se connaître, Pierre-Yves Liziar, secrétaire de section du Relecq, nous a expliqué l’historique de la salle MMA dont le nom a été donné à un élu communiste local, ancien résistant, Germain Bournot.
Puis Erwan Rivoalan, co-secrétaire de section de Brest a pris la parole sur l’originalité de la position communiste dans la séquence difficile que vit le pays depuis une semaine.
La nécessité d’appeler au calme, car ce ne sont que le gouvernement et l’extrême droite qui profitent de la violence généralisée. La volonté de revenir à une Police républicaine qui forme des gardiens de la paix, d’abroger la loi de février 2017 augmentant les risques de tirs mortels contre nos concitoyen.nes, de changer radicalement la doctrine de maintien de l’ordre pour recréer de la proximité et de la confiance entre les jeunes et les populations et la Police. Et surtout, nous avons besoin d’un plan « banlieues et ruralité » qui ramène les services publics, désenclavent les territoires par l’accès aux transports, permette la formation des jeunes et donnent un emploi décent et bien payés aux habitant.e.s de ces zones délaissées.
Tout ce que proposait en 2018 l’appel de Grigny de notre camarade, Philippe Rio, président de la Coopérative des élue.s communistes et républicains, plan chiffré pour les banlieues qu’a rejeté avec mépris le président Macron. Cette position de notre PCF, ni dans la surenchère violente, sécuritaire ou raciste, ni dans l’absence de réaction, porte auprès des Françaises et Français.
Elle est résumée dans la déclaration parfaite du Conseil National du samedi 1er juillet : ici.
Puis Gladys Grelaud, notre conseillère régionale a insisté sur les zones rurales délaissées comme les banlieues, en rappelant que la gouvernement met en danger les financements des politiques de la ville dans un tiers des villes moyennes bretonnes : Lannion, Concarneau…
Dans une même logique de financer l’équilibre des territoires, elle a appelé à participer à l’action de Hanvec le 6 juillet pour forcer l’arrêt des trains de la ligne Quimper/Brest.

 

 

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :