PCF Quimper: Stop à l’école low-cost et au tri social, pour une école de l’émancipation. Toutes et tous place de la Résistance samedi 25 mai à 11h !

Stop à l’école low-cost et au tri social, pour une école de l’émancipation.

Toutes et tous place de la Résistance samedi 25 mai à 11h !

La section PCF et les élu-es communistes du pays de Quimper apportent leur soutien au mouvement des enseignants, des parents d’élèves, des lycéens contre la politique de casse scolaire et de tri social d’Emmanuel Macron et Gabriel Attal, et appellent à se joindre à la manifestation unitaire samedi 25 mai à 11 h place de la Résistance à Quimper pour une école publique au service de la réussite de chacun, chacune, une école forte de ses valeurs d’égalité, de justice sociale, d’émancipation.

Avec son prétendu « choc des savoirs », Gabriel Attal prétend mieux faire réussir les élèves.

Mais qui peut croire que des coupes drastiques dans les budgets vont améliorer les conditions d’étude des élèves et de travail des personnels ?

Qui peut croire qu’isoler les élèves en difficulté, avec des objectifs d’apprentissage réduits, sera bénéfique pour eux ?

Certes le collège unique d’aujourd’hui est loin de réaliser l’égalité et de permettre l’émancipation de tous et toutes, mais au lieu de travailler à l’améliorer, de lui donner les moyens de cette ambition, le gouvernement Attal tourne le dos à l’objectif d’un système scolaire capable d’accueillir tous les enfants dans un parcours commun jusqu’à 16 ans.

Avec sa réforme il renonce à l’élévation générale du niveau de connaissances et de diplôme, il organise l’orientation précoce des jeunes qui n’ont que l’école pour réussir.

La réduction des moyens va de pair avec le tri des élèves.

Stop à l’école low cost avec des ambitions minimales et des moyens réduits pour les enfants de familles populaires, visant à pourvoir demain les emplois précaires exigés par le capital.

Stop au mépris et à l’injustice sociale.

Exigeons ensemble pour l’école, ses personnels, ses élèves, des moyens humains et matériels, le recrutement d’enseignants mais aussi de médecins, psychologues, infirmières, assistantes sociales, AESH…

Dans un pays où l’accumulation de richesses entre les mains de quelques-uns atteint des sommets historiques, où la capitalisation des plus grandes entreprises du CAC 40 égale le niveau du PIB, les moyens existent pour relever les défis d’une école de notre temps.

Ensemble faisons société autour de l’école !

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