Suite aux violences à Brest Pontanezen Les communistes brestois et métropolitains et les élu.e.s du PCF apportent leurs soutiens aux personnels de Bibus, aux fonctionnaires de police et aux pompiers ainsi qu’à un élu menacé de mort, après l’agression et les violences à Pontanezen.

Suite aux violences à Brest Pontanezen
Les communistes brestois et métropolitains et les élu.e.s du PCF apportent leurs soutiens aux personnels de Bibus, aux fonctionnaires de police et aux pompiers ainsi qu’à Yohann Nedelec, élu menacé de mort,  après l’agression et les violences à Pontanezen.
Le gouvernement doit répondre dans l’urgence aux besoins en personnel du commissariat  ainsi que dans la justice abandonnée par les ministres successifs.
Pour les communistes il est inacceptable que les habitantes et habitants des quartiers populaires ne puissent vivre en sécurité.  La tranquillité publique est un droit fondamental comme celui de bien se nourrir, de bien se loger.
Les communistes brestois soutiennent la proposition de Fabien  Roussel de recruter de 30 000 policiers de proximité. pour retisser un lien de confiance avec les habitants, avec la jeunesse. Une réorganisation des missions est indispensable afin de ne plus détourner les agents de leurs missions essentielles de gardiens de la tranquillité publique et de la sécurité des citoyens, tout comme la dotation en matériels permettant l’accomplissement de ces missions. La protection des policiers et des gendarmes est une nécessité, et les auteurs d’actes visant des fonctionnaires de nos forces de sécurité, comme pour toutes les personnes dépositaires d’une charge publique, doivent être sanctionnés pénalement. Un effort particulier s’impose au profit de la formation, initiale (qui est trop réduite) et continue (en renforçant l’offre et en élargissant le nombre de bénéficiaires).
La lutte contre tous les trafics implique enfin un contrôle plus strict et plus sévères des frontières et des flux financiers en impliquant les services douaniers, Tracfin et les banques. Nous proposons de revenir sur les 10 000 postes supprimés par le gouvernement ces 4 dernières années dans les services fiscaux et aux douanes et d’en créer 10 000 supplémentaires à Bercy et au ministère de la justice pour augmenter ces contrôles et poursuivre les délinquants en cols blancs.
Pour les communistes il y a plus que jamais besoin de politique de solidarité, de justice sociale, d’insertion sociale et professionnelle, de logements dignes, d’éducation populaire et de culture, de santé, de transports, de loisirs…C’est sur un terreau de disparition des services publics que se développent les trafics et la loi des bandes, le développement d’une économie parallèle, des trafics de stupéfiants et aussi du crime.

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