PCF Finistère

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La mobilisation est indispensable en soutien aux dix de Carhaix qui ont manifesté le 14 septembre 2023 à l’ARS du Finistère en soutien à l’hôpital de Carhaix (Communiqué du PCF Carhaix)

La mobilisation est indispensable en soutien aux dix de Carhaix.
Communiqué 3 mai 2024
Les communistes de Carhaix-Huelgoat s’indignent des convocations concernant 10 personnes ayant participé à la défense de l’hôpital de Carhaix.
Ces convocations, sous le régime de la garde à vue, font suite à la manifestation du 14 septembre 2023 à l’ARS du Finistère à Quimper.
Les communistes condamnent ce qui n’est ni plus ni moins une atteinte au droit à l’expression et une restriction des libertés syndicales et citoyennes.
Ces dix personnes n’ont fait que défendre l’hôpital public, ses agents et revendiquer la sécurité sanitaire en centre Bretagne. Le pouvoir en place instrumentalise la justice pour tenter de faire taire toute contestation sociale.
Les communistes constatent que sur les dix personnes convoquées six appartiennent au syndicat CGT, ce qui n’est pas dû au hasard.
Ces convocations s’inscrivent dans la répression qui s’abat sur les militant(e)s syndicaux(ales), plus d’un millier à ce jour.
C’est à partir du 14 mai 2024 que ces défenseurs de l’hôpital public sont convoqués. Les communistes appellent à venir soutenir ces dix personnes au commissariat de Quimper, à chaque convocation avec deux temps forts les 22 et 23 mai 2024, jours de convocations des secrétaires Généraux CGT de l’hôpital de Carhaix et de Brest (CHRU Brest-Carhaix).

55 participants à Pont l’Abbé à la réunion publique « Reprenons la main sur la pêche artisanale » organisée par la section PCF du Pays Bigouden

Une belle soirée  » Reprenons la main sur notre pêche artisanale » ce 27 avril 2024.

 


Brest – Manifestation le samedi 4 mai, place de la Liberté, 14h30, pour stopper le génocide à Gaza et obtenir un cessez-le-feu immédiat et définitif (Collectif pour une paix juste et durable en Israël-Palestine)

Après la manifestation du 1er mai où nous formions un beau cortège Palestine, après être intervenus à l’invitation de l’intersyndicale brestoise, nous appelons à une nouvelle mobilisation samedi 4 mai.
A Gaza les bombardements se poursuivent sans relâche, du Nord au Sud. Si l’aide humanitaire  arrive un peu plus, elle reste très insuffisante et la famine menace encore.
Malgré les pressions internationales, le criminel Netanyahou poursuit sa politique génocidaire et veut attaquer Rafah, où s’entassent 1. 5 million de civil.es.
Il faut arrêter le carnage. Il faut continuer à nous mobiliser pour la justice et les droits du peuple palestinien, massacré à Gaza, assassiné en Cisjordanie occupée.
Venez en grand nombre exiger le cessez-le-feu immédiat et définitif à Gaza, l’arrêt de la colonisation et de l’occupation brutale de la Cisjordanie. Et que les criminels génocidaires soient contraints à répondre de leurs actes.
A Brest samedi 4 mai, à 14 h 30, place de la Liberté.

Pont l’Abbé/ Pays Bigouden: le PCF: « La crise de la pêche n’est pas une fatalité » (Ouest-France, 29 avril 2024)

Article du Ouest-France, 29 avril, sur l’initiative du PCF pays bigouden sur l’avenir de la pêche artisanale avec les candidats communistes bretons aux Européennes avec Amar Bellal et Taran Marec

Vieilles Charrues: le PCF souhaite un terrain d’entente rapide (Le Télégramme, 2 mai 2024)

Il y a 99 ans, Joséphine Pencalet, ouvrière d’usine, était élue à Douarnenez, sur la liste portée par les communistes (Ouest-France, Fanny Bugnon, 2 mai 2024)

Il y a 99 ans, Joséphine Pencalet, ouvrière d’usine, était élue à Douarnenez, sur la liste portée par les communistes, à l’époque où les femmes n’avaient pas encore le droit de vote. Article Ouest-France, entretien avec la maîtresse de conférence en histoire Fanny Bugnon, 2 mai 2024

Les communes et les pots cassés du libéralisme (Philippe Rio, L’Humanité)

Dans le couple État-collectivités, les maires ont souvent l’impression d’être les dindons de la farce, tant notre République est engagée dans la règle d’or des 3 % de déficit et la limite des 60 % de dette publique fixée par l’Union européenne. Et au bout de la chaîne, ce sont les collectivités territoriales qui payent les pots cassés du libéralisme économique et c’est sur elles que l’étau se resserre !
Alors que le gouvernement tablait sur 4,9 % d’un déficit public qui s’est envolé à 5,5 % et que notre dette publique est de 110,6 % du PIB, le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé 10 milliards d’euros d’économies en 2024 puis 20 milliards en 2025. Cette marche forcée de la baisse des dépenses publiques est imposée par la réforme du pacte de stabilité et de croissance qui a été concocté par les libéraux, la droite et les sociaux-démocrates. Il impose, à partir de 2025, à tous les États membres de l’Union européenne, qui se sont affranchis des 3 % de déficit, de le baisser chaque année de 0,5 %.
Et nos gouvernants font payer la note aux collectivités par un nouveau coup de rabot de 2,5 milliards d’euros en 2024. Ils s’ajoutent aux 71 milliards pris sur le dos du bloc communal, depuis 2010, via les baisses de dotations et les suppressions non compensées de recettes fiscales. Les communes font pourtant montre de sérieux budgétaire et ont déjà la tête prise dans l’étau, tenues qu’elles sont à des budgets en équilibre réel et exposées à des dépenses structurellement en hausse avec l’augmentation en flèche des prix de l’énergie.
Sans vouloir enfoncer un coin entre ses membres qui semblent divisés sur la question, le gouvernement ferait bien de taxer les superprofits et les 145 milliards d’euros des géants du CAC 40, en 2023. Il a, pour l’heure, avec sa taxe sur les revenus des énergéticiens, accouché d’une souris de 600 millions d’euros sur un déficit de 154 milliards en 2023.
Il semble plus que jamais temps de s’attaquer aux logiques libérales, à moins, selon l’expression du sénateur communiste Éric Bocquet dans la Dette à perpète, que nous voulions être condamnés à vivre comme un hamster tournant en rond dans sa cage. En attendant, nos institutions démocratiques de proximité agissent avec des moyens de plus en plus contraints pour faire vivre une République du quotidien empreinte de liberté, d’égalité et de fraternité.
Notamment dans les territoires ruraux et les quartiers populaires, où les besoins en services publics locaux sont les plus prégnants ! Les collectivités regorgent de solutions innovantes pour l’égalité ou la transition écologique. Avec Léon Deffontaines et sa liste aux élections européennes, nous pouvons sortir de notre roue en trouvant des recettes fiscales chez les plus nantis. Et mettre fin au nivellement par le bas des services publics qui crée du désespoir et dope les scores électoraux du Rassemblement national.
Philippe Rio, maire de Grigny, président de la coopérative des élu.e.s communistes, chroniqueur dans « L’Humanité », article publié dans L’Humanité du 17 avril 2024

Les camarades du Relecq-Kerhuon collent pour les Européennes et la liste de Léon Deffontaines

Ce jeudi 2 mai, collage des camarades du PCF Relecq-Kerhuon pour la liste menée par le PCF et Léon Deffontaines !

Défendons notre droit à l’expression et à la manifestation face aux menaces et restrictions des libertés syndicales et citoyennes (PCF Finistère)

Le PCF appelle à soutenir les militants convoqués au commissariat pour une action de solidarité avec l’hôpital de Carhaix (Ouest-France, 2 mai 2024)

Le Ouest-France du jour reprend une partie du communiqué du PCF Finistère hier pour la défense des syndicalistes et militants pour l’hôpital public convoqués au commissariat.

Carhaix – De nouveaux soutiens pour les défenseurs de l’hôpital convoqués (Le Télégramme, 2 mai 2024)

Le Télégramme reprend notre communiqué de soutien du PCF Finistère aux syndicalistes et militants de la santé convoqués au commissariat. Soyons avec eux lors de leurs convocations.

Halte au massacre à Gaza – Le mouvement de solidarité avec la Palestine prend de l’ampleur dans la jeunesse partout dans le monde

Photo du rassemblement du Roch Trédudon dans les Monts d’Arrée pour Gaza

Aux États-Unis comme en France et en Europe, la jeunesse étudiante se soulève contre les massacres de masse, crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis contre les Palestiniens et la volonté du gouvernement d’extrême-droite actuel d’Israël de les spolier plus encore, de pratiquer un nettoyage ethnique d’ampleur et de les déplacer de Gaza et de Cisjordanie en faveur de son plan d’annexion coloniale de la terre palestinienne.

Face à cette protestation autant morale que politique de l’esprit de justice et d’humanité, qui concerne y compris aux États-Unis, dans un contexte de logique génocidaire, la police, les intimidations judiciaires, les discours ultra réactionnaires et les assimilations mensongères et malhonnêtes des dirigeants qui laissent faire Netanyahou et clament leur soutien aux intérêts d’Israël à tout bout de champ tout en armant Tsahal pour qu’elle continue à bombarder en continu les Palestiniens n’auront que peu d’effets pour démobiliser ce mouvement civique de protestation internationale qui, cet article du monde le dit, évoque beaucoup la mobilisation internationale contre la guerre du Vietnam et celle contre l’apartheid en Afrique du sud.

Gaza est devenue un symbole international de la violence colonialiste, raciste et impérialiste et des complicités du monde capitaliste avec celle-ci, un symbole du « deux poids deux mesures » qui règne dans le monde en matière de droits des peuples à s’auto-déterminer, de défense du droit et d’appel à la protection des populations. 

Aux États-Unis comme en France l’accusation d’antisémitisme est omniprésente et complètement galvaudée et dénaturée pour disqualifier toute protestation et discours favorables aux Palestiniens et refusant l’exaspération de la politique coloniale israélienne.

C’est extrêmement dangereux de vider de son sens l’accusation d’antisémitisme en assimilant toute défense des droits du peuple palestinien à de l’antisémitisme.

Et cela alors même que de très nombreux citoyens d’origine juive, particulièrement aux États-Unis, condamnent eux aussi ce qui se passe à Gaza et l’oppression du peuple palestinien, dans l’intérêt des deux peuples, palestiniens et Israéliens, et de la Paix, dont il s’agit de retrouver le chemin.

Et ce n’est pas en envoyant la police casser la figure aux étudiants qui bloquent les campus ou en supprimant comme le veut Valérie Pécresse des subventions aux universités et grandes écoles dont les directions acceptent que leurs étudiants soient aussi des citoyens qu’on y arrivera!

Ismaël Dupont, 2 mai 2024

350 personnes syndical au rassemblement de Morlaix ce 1er mai 2024

Rassemblement du 1er mai à Morlaix. C’était pas la foule des grands moments de mobilisation sociale et de lutte comme l’an passé mais il y avait du monde et de la détermination malgré tout. Les militants du PCF et de la JC, malgré la préparation de la fête du Viaduc, étaient en nombre dans le cortège. 

Photos de Pierre-Yvon Boisnard et Ismaël Dupont.

La 58e fête du Viaduc du PCF Morlaix ce mercredi 1er mai 2024 à Ploujean: une grande réussite!

+ de 300 personnes ont participé à la fête de la section PCF du pays de Morlaix ce 1er mai 2024 à la salle socio-culturelle de Ploujean pour la deuxième année consécutive, moitié à l’intérieur (pour le repas, les stands du PCF, Librairie, AFPS, AJFP, Mouvement de la Paix, l’exposition artistique de Patricia Paulus) et moitié en extérieur (pour l’apéritif offert, les discours politiques, de Valérie Scattolin, adjointe communiste à la ville de Morlaix et conseillère communautaire, membre de la direction de section, et de Taran Marec notre candidat finistérien aux Européennes à 15h30, pour les concerts, les stands crêpes, boissons, loterie, fleurs, jeux…).

Le soleil était au rendez-vous sur toute une partie de l’après-midi, ce qui n’a rien gâté à la fête. Et le repas, un couscous pris au traiteur de la Madeleine, était très bon.

Le Trio Kan avec le chanteur de renommée internationale (qui plus est un camarade!) Erik Marchand, Pauline Willerval, Jean Floc’h plus Youenn Lange pour le Kan Han Diskan, et le trio constitué par Gilles Grall, Mona Jaouen, Gilles Grall, nous ont enchanté avec leurs musiques et leurs chants, en grande partie en breton et d’une grande beauté, et les œuvres plastiques et collages de notre camarade Patricia Paulus ont eu également beaucoup de succès.

Le discours politique de Taran Marec, responsable des Jeunesses Communistes du Finistère, élu à Brest, délégué à la langue bretonne, et candidat finistérien sur la liste Européennes de Léon Deffontaines le 9 juin a été très écouté et apprécié. Il s’est centré sur la paix, la Palestine et l’Ukraine, la lutte contre la politique de chasse aux immigrés et pour un accueil digne des réfugiés, la défense des droits sociaux et économiques pour le plus grand nombre en France et en Europe et pour une écologie de progrès social, la défense des langues régionales et minoritaires. 

Plusieurs camarades d’autres sections étaient présents parmi nous, avec les militants et sympathisants de la section de Morlaix (qui s’est réunie avec les sections de Lanmeur et de Roscoff et compte désormais environ 110 adhérents), de Moëlan, Brest, Fouesnant, Carhaix-Huelgoat notamment. Les copains de la JC étaient présents eux aussi à la fête du Viaduc comme dans le rassemblement et le défilé syndical du matin qui a réuni 350 personnes. Et plusieurs sympathisants ont donné également de gros coups de main.

Nos partenaires des autres partis de gauche (UDB- PS – Génération.S), des syndicats et associations, plusieurs élus de la majorité à Morlaix, le maire de Morlaix et président d’agglomération Jean-Paul Vermot, des conseillers départementaux de gauche comme Gaëlle Zaneguy et Pierre Le Goff étaient également présents sur la fête.

Nous avons également réalisé une adhésion: Marie, cuisinière à l’île de Batz.

Photos de Pierre-Yvon Boisnard, Jean-Luc Le Calvez, Ismaël Dupont, Paul Mongault

 

Erik Marchand à la fête du Viaduc

Erik Marchand avec Youenn Lange

Erik Marchand avec Jean Floc’h et Pauline Willervall

 

Les chanteurs et musiciens Mona Jaouen et Gilles Grall, également camarades de la CGT du spectacle et du PCF dans la section de Morlaix

La Marianne de Patricia Paulus acquise par la section PCF de Morlaix

Patricia Paulus devant ses œuvres exposées à la fête du Viaduc

Discours politique de Taran Marec, candidat aux Européennes sur la liste de Léon Deffontaines

 

 

 

Discours d’accueil de Valérie Scattolin pour la section PCF du Pays de Morlaix

À Ploujean, la 58e Fête du viaduc a rassemblé près de 300 personnes (Le Télégramme, 2 mai 2024)

Article du TELEGRAMME

À Ploujean, la 58e Fête du viaduc a rassemblé près de 300 personnes

Avec le répertoire populaire pétri de culture bretonne du trio Kan, d’Érik Marchand, de Pauline Willerval et Jean Floc’h, l’ambiance aura été tout aussi festive que militante pour les quelque 300 participants.

Mercredi 1er mai 2024, le Parti communiste français (PCF) du pays de Morlaix et l’association Les Amis du viaduc ont organisé la 58e édition de la Fête du viaduc. Pour la seconde année consécutive, les festivités de cette « fête de l’Huma » morlaisienne se sont déroulées à la salle socio-culturelle de Ploujean. Le site permet en effet d’accueillir de multiples stands, dans la salle comme à l’extérieur, d’où la présence des jeunes et des ténors du PCF, de l’Association France Palestine solidarité (AFPS), du Mouvement de la paix et de l’Association pour le jumelage entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises (AJPF).

Une ambiance aussi festive que militante

Par ailleurs, entre les chansons sociales de Mona Jaouen et de Gilles Grall où le répertoire populaire pétri de culture bretonne du trio Kan, formé par Érik Marchand, Pauline Willerval et Jean Floc’h, et les prises de paroles, notamment de Taran Marec, secrétaire des Jeunesses communistes du Finistère, l’ambiance aura été tout aussi festive que militante pour les quelque 300 participants au fil de la journée, dont 200 au repas organisé à midi.

À Ploujean, la 58e Fête du viaduc a rassemblé près de 300 personnes

Défendons notre droit à l’expression et à la manifestation face aux menaces et restrictions des libertés syndicales et citoyennes: communiqué du PCF Finistère (2 mai 2024)

Communiqué de la fédération PCF du Finistère – 2 mai 2024
Défendons notre droit à l’expression et à la manifestation face aux menaces et restrictions des libertés syndicales et citoyennes
Ces derniers mois, les arrestations, garde à vue, convocations et condamnations de militant·es et responsables syndicaux·ales, notamment de nombreux·ses responsables de la CGT, qui n’ont fait qu’exercer leurs mandats se sont multipliées.
Nous sommes très préoccupés et révoltés par la logique liberticide qui sous-tend la plainte du ministre de l’intérieur contre le militant syndical brestois de Solidaires Olivier Cuzon à qui nous tenons à témoigner de toute notre solidarité et par la tentative de museler les protestations de solidarité avec le peuple palestinien dans les Universités et à Sciences Po, y compris avec des discours et pratiques d’ingérence de personnalités de droite et d’extrême-droite pour retirer des subventions publiques à ces établissements sous prétexte que les droits citoyens des étudiants s’y exercent.
Plus d’un millier de militantes et militants sont concerné·es.
Certain·es militant·es ont même été l’objet d’interventions totalement disproportionnées des forces de l’antiterrorisme.

Cette offensive sert le projet d’une extrême droite historiquement et plus que jamais antisyndicale qui est quant à elle rarement inquiétée.

Cette criminalisation de militant·es syndicaux·ales et associatif·ves par le pouvoir est inacceptable !

Le PCF est solidaire de celles et ceux qui la subissent et exige que les droits, en particulier les droits syndicaux, soient pleinement respectés.

Sur le Finistère plusieurs militants pour la défense de l’hôpital de Carhaix ont reçu des convocations , au commissariat de Quimper, sous le régime de la garde à vue pour « séquestrations et violences en réunion sur personnes chargées de mission de service public. ».

Ces 10 syndicalistes sont  convoqué-es à différentes à partir du 14 mai. La Fédération du Finistère du PCF appelle  à venir les soutenir au commissariat de Quimper à chacune des convocations avec deux temps forts les 22 et 23 mai, jours de convocations de la  Secrétaire Générale du syndicat CGT de l’hôpital de Carhaix et du Secrétaire Général CGT du CHRU Brest-Carhaix.

La section du pays de Brest du PCF apporte son soutien au syndicaliste brestois Olivier Cuzon

 

La section du pays de Brest du PCF apporte son soutien au syndicaliste brestois Olivier Cuzon visé par une plainte pour diffamation par le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin .

Cette plaint e constitue une  nouvelle attaque  contre la liberté d’expression et le mouvement syndical. . C’est la liberté de la presse qui est aussi en ligne de mire (Olivier Cuzon est mis en cause en tant que directeur de la publication syndicale.)

Aujourd’hui aucun acteur politique ou militant n’est à l’abri de la criminalisation de son action. Cette criminalisation s’inscrit évidemment dans la vague liberticide qui touche le mouvement syndical. Les communistes brestois demandent le classement sans suite de ce dossier et appellent à la mobilisation contre les atteintes à la liberté d’expression.

Rassemblement pour le comité de défense de l’hôpital de Carhaix du 20 avril (Photos Daniel Laporte)

Quelques photos de ce matin et le lien pour l’article Ouest France.

Les militants communistes sur le marché de Morlaix ce samedi 20 avril 2024 pour vendre L’Humanité magazine et annoncer la fête du Viaduc du 1er mai à Ploujean

Nos camarades Pascal Pouillet, Michel Lespagnol et Lucienne Nayet vendaient L’Humanité magazine ce matin sur le marché de Morlaix et distribuaient le programme de la fête du 1er mai du parti communiste, la fête du viaduc à Ploujean dans 10 jours. Photos de Pierre-Yvon Boisnard.

Maryse Dumas: aux urnes, citoyennes! – La véritable histoire de l’introduction du droit des vote des femmes le 21 mars 1944 (L’Humanité Magazine, 18 avril 2024)

120 ans de l’Humanité : l’histoire du journal rejoint la grande Histoire dans un hors-série exceptionnel

120 ans de l’Humanité : l’histoire du journal rejoint la grande Histoire dans un hors-série exceptionnel

Dans un hors-série inédit par sa forme, fort de plus de 250 photographies et documents, le journal fondé par Jean Jaurès tire le fil de sa fabrication et de ses choix dans l’histoire.

Jamais réalisé jusqu’à présent, l’exercice était périlleux, sinon improbable. Comment raconter 120 années d’une histoire aussi riche et complexe que celle du journal fondé par Jean Jaurès, de 1904 à nos jours ? En complément de la sortie du livre 120 ans, 120 unes, 120 regards, l’Humanité s’est associé aux archives départementales de la Seine-Saint-Denis afin de réaliser un hors-série absolument inédit dont le but vise à retracer, par instantanés, les mille et une manières d’informer nos lecteurs au fil du temps, avec nos évolutions et nos transformations technologiques. Cela explique la démarche de ce numéro très visuel et de sa forte empreinte iconographique, riche de plus de 250 photographies et documents.

La vie du journal et de ceux qui le font

Dès ses origines, marqué par sa contribution aux idées du mouvement socialiste puis communiste, l’Humanité a toujours été la caisse de résonance des combats d’émancipation humaine et de la paix. En collaboration avec l’historien et écrivain Alexandre Courban, nous avons décidé d’en faire le fil rouge de ce hors-série à travers les thématiques qui ont animé la vie du journal (l’éditorial, la politique, le social, le monde, le sport, la culture, etc.), devenu depuis un groupe de presse, de communication et d’événementiel.

« Plutôt que de donner à lire ce que le journal a écrit depuis 1904, on s’est intéressés à la façon dont le quotidien s’est fabriqué chaque jour au fil des années, explique Alexandre Courban. Comme si nous pouvions nous promener dans les rubriques d’un numéro imaginaire pour raconter de façon originale l’histoire de ce journal singulier dans le paysage de la presse quotidienne nationale. Au final, on découvre à quel point l’Humanité est davantage qu’un journal. »

Résumons : pour la première fois vraiment, l’Humanité se raconte ! Ainsi avons-nous dû procéder à des choix, sur des événements et des grandes dates, qui en frustreront certains, en réjouiront beaucoup. L’exhaustivité se révélant impossible, ces « fragments » constituent une porte de compréhension, comme une invitation à découvrir l’ampleur du travail réalisé d’un quotidien qui jette un certain regard sur le monde.

Fabien Gay, directeur de l’Humanité et sénateur, résume le pari : « Comprendre de l’intérieur les débats qui ont traversé notre titre, avec ses projets, ses réussites, ses difficultés, ses échecs mêmes, constituait un beau et difficile défi. » Et il ajoute : « Ce sont des femmes et des hommes, des générations de journalistes, de photographes, de salariés sur plusieurs décennies qui racontent l’histoire qui se fait. C’est l’histoire d’un quotidien au jour le jour, qui côtoie l’Histoire en grand. » L’exercice périlleux a pris forme.

 

Une voix puissante et nécessaire pour tous les combats d’émancipation : L’Humanité a 120 ans (PCF, 18 avril 2024)

Une voix puissante et nécessaire pour tous les combats d’émancipation : L’Humanité a 120 ans

Publié le 18 avril 2024

En avril 1904, Jean Jaurès proposait un nouveau journal pour porter haut la volonté de paix face au « chaos de nations hostiles et blessées », la lutte impérieuse contre « l’oligarchie capitaliste ».

Tenant le flambeau de « notre grand communiste Babeuf », il créait un journal se proposant, par le travail et par l’enquête, par l’analyse, le souci du débat et de la vérité, de combattre « le préjugé, l’injustice et le mensonge ».

Il fondait un journal pour contribuer à ce qu’advienne l’humanité même.

 

Contemplant les 120 années écoulées, chacun pourra juger combien féconde fut cette initiative. Au feu de l’action, en dépit des risques pour ses équipes – parfois extrêmes – et des difficultés financières – toujours présentes, sans soutien de grand groupe capitaliste –, L’Humanité a porté cette voix du monde du travail et de la création.

 

Libre journal de création communiste, indépendant des puissances de l’argent, il est un organe de presse absolument singulier dans le paysage médiatique national et européen. Les communistes et le camp progressiste tout entier y trouvent cette indispensable matière à information et à réflexion, à l’heure où le pluralisme de la presse est toujours plus menacé.

 

L’Humanité a 120 ans, l’âge des plus âpres luttes de classes. Dans notre monde martyrisé par un capitalisme sénile, elle est pourtant d’une jeunesse éblouissante à l’image de ce qui demeure, en 1904 comme en 2024, « notre but » et notre combat quotidien : la réalisation de l’humanité.

Parti communiste français,

Paris, le 18 avril 2024.

Anniversaire des 120 ans de L’Humanité: L’Humanité se raconte dans un hors-série « Instantanés d’Humanité » (9,90€)

Commandez les hors-série auprès de la fédération PCF du Finistère.

 

120 ANS, L’HUMANITÉ SE RACONTE
Jamais réalisé jusqu’à présent, l’exercice était périlleux, sinon improbable. Comment raconter 120 années d’une histoire aussi riche et complexe que celle du journal fondé par Jean Jaurès, de 1904 à nos jours ? En complément de la sortie du livre « 120 ans, 120 unes, 120 regards », l’Humanité s’est associé aux archives départementales de la Seine-Saint-Denis afin de réaliser un hors-série absolument inédit dont le but vise à retracer, par instantanés, les mille et une manières d’informer nos lecteurs au fil du temps, avec nos évolutions et nos transformations technologiques. Cela explique la démarche de ce numéro très visuel et de sa forte empreinte iconographique, riche de plus de 250 photographies et documents.Dès ses origines, marqué par sa contribution aux idées du mouvement socialiste puis communiste, l’Humanité a toujours été la caisse de résonance des combats d’émancipation humaine et de la paix. En collaboration avec l’historien et écrivain Alexandre Courban, nous avons décidé d’en faire le fil rouge de ce hors-série à travers les thématiques qui ont animé la vie du journal (l’éditorial, la politique, le social, le monde, le sport, la culture, etc.), devenu depuis un groupe de presse, de communication et d’événementiel. «Plutôt que de donner à lire ce que le journal a écrit depuis 1904, on s’est intéressés à la façon dont le quotidien s’est fabriqué chaque jour au fil des années, explique Alexandre Courban. Comme si nous pouvions nous promener dans les rubriques d’un numéro imaginaire pour raconter de façon originale l’histoire de ce journal singulier dans le paysage de la presse quotidienne nationale. Au final, on découvre à quel point l’Humanité est davantage qu’un journal.»
Résumons : pour la première fois vraiment, l’Humanité se raconte ! Ainsi avons-nous dû procéder à des choix, sur des événements et des grandes dates, qui en frustreront certains, en réjouiront beaucoup. L’exhaustivité se révélant impossible, ces «fragments» constituent une porte de compréhension, comme une invitation à découvrir l’ampleur du travail d’un quotidien qui jette un regard singulier sur le monde. Fabien Gay, directeur de l’Humanité et sénateur, résume le pari : «Comprendre de l’intérieur les débats qui ont traversé notre titre, avec ses projets, ses réussites, ses difficultés, ses échecs mêmes, constituait un beau et difficile défi.» Et il ajoute : «Ce sont des femmes et des hommes, des générations de journalistes, de photographes, de salariés sur plusieurs décennies qui racontent l’histoire qui se fait. C’est l’histoire d’un quotidien au jour le jour, qui côtoie l’Histoire en grand.» L’exercice périlleux a pris forme.
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Article de Jean-Emmanuel Ducoin publié dans l’Humanité du 11 avril 2024… JED

Reprenons la main sur la pêche artisanale – débat à Pont L’Abbé le samedi 27 avril 2024 avec Taran Marec, Amar Bellal, Pierre Mollo, Catherine Le Gall, à l’invitation de la section PCF Pays Bigouden

Le RN et le patronat: le flirt – Gérard Streiff, Revue Cause Commune, n°37

Gérard Streiff sera présent à Dialogues Morlaix le mardi 23 avril à 16h et au local de la section PCF de Morlaix le même jour à 18h pour une conférence débat des Mardis de l’éducation populaire sur Missak et Mélinée Manouchian et le groupe FTP MOI de l’Affiche Rouge. Venez nombreux!
Par Gerard Streiff
Si l’extrême droite était devenue infréquentable après la Seconde Guerre mondiale, l’idée d’une arrivée envisageable du Rassemblement national au pouvoir en 2027 travaille le grand patronat.
Une extrême droite, frappée d’infamie
La droite ultra a toujours eu, au cours de son histoire, des soutiens solides du côté des possédants. On se souvient (peut-être) du parfumeur René Coty, considéré aux lendemains de la Première Guerre mondiale comme l’homme le plus riche de France : il subventionna largement l’extrême droite (L’Action française) et créa même son propre parti, nationaliste, antisémite, xénophobe et anticommuniste : Solidarité française, ligue heureusement dissoute par le Front populaire. On pense aussi au groupe L’Oréal d’Eugène Schueller, qui finança, abrita, propulsa La Cagoule, redoutable groupement d’extrême droite qui peu ou prou encadra (ou conseilla) le petit monde de la collaboration. Après la guerre, André Bettencourt, ex-directeur de la revue collabo La Terre française, associé à la direction de L’Oréal, recycle sans vergogne dans les filiales du groupe nombre de cagoulards, dont un certain Jean Filiol, un des créateurs de la Cagoule et coresponsable du massacre d’Oradour ; le jeune François Mitterrand fut nommé responsable d’une des revues commerciales du groupe.
Mais l’extrême droite, frappée d’infamie pour ses compromissions avec l’occupant (nombre de ses cadres sont fusillés pour haute trahison), sort durablement disqualifiée de la période vichyste ; elle est devenue infréquentable et le monde de l’économie va la tenir (officiellement du moins) à distance.
Une reprise de contact avec les industriels
Ces dernières années, les choses changent. Les industriels, diverses forces économiques sont en train de reprendre contact avec l’extrême droite, le Rassemblement national en l’occurrence, histoire de tâter le terrain, de mesurer le niveau de compétence (ou d’incompétence) de ces gens-là, de voir aussi s’il y a moyen (ou pas) de trouver, demain, des terrains d’entente.
Le premier fait significatif et public (car on va le voir, des liens existent depuis 2017) est la proposition formulée par Geoffroy Roux de Bézieux, en 2019, d’inviter Marion Maréchal à l’université d’été du MEDEF. À ce moment-là, l’initiative fait scandale et n’a pas de suite. Mais l’idée est dans l’air. Ajoutons que ce même Roux de Bézieux, lors d’une matinale de France Info, le 27 mars 2023, interrogé par Salhia Brakhlia sur la progression du RN dans les sondages, et sur le risque de voir Le Pen arriver au pouvoir, répond : « C’est un risque nécessaire. »
Depuis peu, les relations entre le monde patronal et l’extrême droite empruntent deux canaux.
Le groupe parlementaire du RN, lieu de communication privilégié
Sébastien Chenu, porte-parole du RN et vice-président de l’Assemblée nationale, joue le Monsieur bons offices. Il fait mine par exemple de se soucier du sort des paysans français, prétend vouloir lutter contre l’inflation et profite de l’aubaine pour rencontrer tout le gratin des groupes de pression de l’agroalimentaire, pour nouer des liens avec les cadors de la grande distribution. Car ceux-ci acceptent, et c’est nouveau, de fréquenter ces élus ultras. « Avant 2022, personne ne nous rencontrait. Quelque chose a changé », sourit Chenu.
Les échanges avec les grands patrons sont plus ou moins discrets. Chenu obtient par exemple une photo, très complaisante et très largement diffusée, avec Michel-Edouard Leclerc. On sent bien qu’entre l’agriculteur et le commerçant, Chenu a fait son choix. Et il apprécie ; Leclerc aussi manifestement. Belle prise de guerre en tout cas pour le RN.
La structure patronale, ETHIC
Le deuxième canal, c’est la structure patronale ETHIC (Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance) qui le met en place. L’organisation est plus modeste que le MEDEF mais rassemble nombre de grandes fortunes ; elle est dirigée par Sophie de Menton qui mène l’opération. Depuis 2017, elle organise des rencontres régulières entre l’état-major RN et des grands patrons. Et laisse entendre que : « Marine, ça n’a plus rien à voir avec son père ! »
« Alors que les liens entre les officiels de l’économie et le FN étaient longtemps restés tabous, on raconte qu’aujourd’hui tous les grands cabinets de lobbying se pressent dans les couloirs du RN. »
On peut identifier trois rencontres de ce type. La première en 2017, donc. Puis le 27 janvier 2022 : Sophie de Menton fait une nouvelle fois se croiser des grandes figures du patronat et Marine Le Pen au Cercle de l’union interalliée, 33, rue du Faubourg-Saint-Honoré. La patronne de ETHIC expliquera en long et en large quelques jours plus tard dans la revue Causeur (31 janvier 2022) comment tout s’est bien passé, combien Marine Le Pen est en train de « muer », combien « Marine aime l’entreprise », combien elle trouve qu’il y a « trop de normes » en France, comment elle réglerait le problème des immigrés, etc. Que du bonheur !
Puis Sophie de Menton remet le couvert le 17 octobre 2022 : elle réunit dans un salon privé du restaurant Fitzgerald, 54, boulevard de La Tour-Maubourg (un lieu « chic haut de gamme », comme dit la pub) dix grands patrons et dix membres de la direction du RN (dont Marine Le Pen et Franck Allisio, député des Bouches-du-Rhône). Sophie de Menton s’ébaubit : « Ils (les RN) font des progrès ! » Et elle le répète à qui veut l’entendre.
Accentuation de l’orientation libérale et propatronale du RN
Alors que les liens entre les officiels de l’économie et le FN étaient longtemps restés tabous, on raconte qu’aujourd’hui tous les grands cabinets de lobbying se pressent dans les couloirs du RN. « L’hypothèse de notre arrivée au pouvoir a fait sauter des verrous », se félicite Jordan Bardella. Et le journaliste Jean-Rémi Baudot, de France Info, constate : « Le regard des patrons sur le RN évolue petit à petit » (19 juin 2023). Sans parler de la convergence d’idées entre un Bolloré, ses médias et l’ultradroite.
Sur le site de Sciences-Po/CEVIPOF (mars 2022), un chercheur du CNRS, Gilles Ivaldi, décortique le programme économique du RN dans une note intitulée « Marine Le Pen, Zemmour, social-populisme et capitalisme populaire ». Si l’étude est globalement contestable, elle montre cependant comment l’orientation libérale et propatronale de ce parti s’est accentuée entre 2017 et 2022 : abandon de la retraite à 60 ans, abandon de la défense des 35 heures, abandon de la remise en cause de la loi Travail, abandon de la sauvegarde du statut de la fonction publique, abandon de l’augmentation des salaires des fonctionnaires, abandon de la création de postes de fonctionnaires, suppression de l’impôt sur la fortune immobilière, etc. Bref autant de reculs qui semblent accompagner, ponctuer ces rencontres (ces retrouvailles ?) entre l’extrême droite et le capital.
Si le MEDEF s’est fendu d’un communiqué entre les deux tours de la présidentielle de 2022 pour prendre (sans trop forcer le trait) ses distances avec Le Pen, François Asselin, président de la Confédération des PME (CPME) était plus nuancé : « Marine Le Pen n’a jamais été aux affaires. Elle a besoin de crédibiliser son programme et on voit que l’équation est compliquée » (entretien aux Échos, 12 avril 2022).
Bref, comme l’écrit la revue Challenges en avril 2022 : « Chez les patrons, Marine Le Pen n’est plus un repoussoir. »
Cause commune n° 37 • janvier/février 2024

Européennes – Les militants de la section PCF de Carhaix-Huelgoat sur le marché de Huelgoat ce jeudi 18 avril

Photo de Gérard Desmaret

Israël – Palestine: Palestine :Rassemblement pour la paix samedi 20 avril 14h30 place de la Liberté à Brest et conférence de Jacques Fath le 24 avril

Israël Palestine :Rassemblement pour la paix samedi 20 avril 14h30 place de la Liberté à Brest

La section du Pays de Brest du PCF appelle à participer à la manifestation ce samedi 20 avril à14 h30 à l’appel du collectif pour une paix juste au proche orient . Rendez-vous Place de la Liberté .

La montée des tensions dans la région est extrêmement dangereuse. Ce sont les peuples qui en paient le prix, israélien et palestinien au premier chef. Alors que le gouvernement d’extrême-droite israélien de Benyamin Netanyahou poursuit les massacres de masse à Gaza et l’épuration ethnique et assassinats contre les Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem Est, le gouvernement des États-Unis annonce que la réunion du G7 prévue devra discuter d’une « réponse diplomatique unifiée » contre l’Iran. La région est assise sur un baril de poudre ! Le PCF réaffirme sa solidarité avec les peuples et les forces de paix de la région.

Il est urgent de mettre un coup d’arrêt à l’engrenage de la guerre. Cette situation est le fruit de l’inaction, voire de la complicité coupable des gouvernements occidentaux qui, par une politique scandaleuse des « deux poids, deux mesures » n’ont pris aucune initiative concrète depuis le 7 octobre pour arrêter ni les massacres des Palestiniens de Gaza, ni la montée des tensions dans la région. Ce n’est pas à Washington de dicter sa loi.

La seule solution est politique. Une action politique et diplomatique est urgente. Toute escalade supplémentaire qui pourrait intervenir dans les heures et les jours prochains, d’où qu’elle vienne, serait dangereuse. Une pression doit être mise sur le gouvernement israélien pour qu’il ne s’engage pas dans une réaction supplémentaire contre l’Iran et pour le contraindre à un cessez-le-feu à Gaza.

Le PCF appelle la France à prendre toutes les mesures nécessaires pour une issue de paix au Proche-Orient et pour un cessez-le-feu immédiat et permanent à Gaza. La France doit prendre l’initiative d’une coalition internationale pour un cessez-le-feu et pour la paix, avec l’ensemble des États qui portent cette exigence, pour assurer la sécurité collective des peuples au Proche et au Moyen-Orient, sur la base du droit international, des résolutions de l’ONU et des principes de la charte des Nations Unies. La France doit rejoindre les initiatives prises par les gouvernements espagnol, irlandais et norvégien pour reconnaître l’État de Palestine, aux côtés de l’État d’Israël.

Et mercredi 24 avril à 19h à la salle des syndicats.

12-13 avril: les militants du PCF Morlaix tractent pour annoncer la fête du Viaduc le premier mai à Ploujean sur les marchés de Morlaix et St Martin des Champs

Quelques photos de nos actions militantes du week-end.

Distribution du programme de la fête du Viaduc de la section du parti communiste du pays de Morlaix à Ploujean (salle socio-culturelle, 12h-18h, avec des concerts d’Erik Marchand, Mona Jaouen et de Patricia Paulus) dans 2 semaines et demi, le mercredi 1er mai, et vente de L’Humanite Magazine avec Daniel Ravasio, Patrick Gambache, et Ismaël Dupont sur le marché de Morlaix ce samedi 13 avril.

Et dimanche 14 avril, distribution, de nouveau sous un grand soleil au marché devant la mairie de Saint-Martin-des-Champs, du programme de la fête du 1er mai du parti communiste à Ploujean avec Colette Loiseau, Patrick Beguivin, Pascal Pouillet, Serge Bazin et Michel Lespagnol, et Ismaël Dupont

Carole Cariola, députée communiste chilienne, élue présidente de la Chambre des députés

Historique! Au Chili, la députée communiste Carole Cariola (de profession sage-femme) a été élue le 15 avril présidente de la Chambre de Députés. Un fait inédit: jamais un ou une communiste avait président cette chambre.
La droite et ses alliés ont tout fait pour empêcher son élection. Un argument massue: « le PC n’est pas un parti démocratique ».
Cariola a répondu: « Il est démocratique par son organisation, tradition de lutte, victime de plus violentes repressions! »
🇨🇱🚩 C’est un jour historique pour le Chili.

Karol Cariola devient la première communiste à présider la Chambre des députés du Chili.

Karol Cariola (PCCh) : 76 votes
Joanna Pérez (DEM, centre-droit) : 75 votes
NPPV : 4

Hommage à Edouard Mazé ce mercredi 17 avril 2024 devant la maison du Peuple de Brest

Ce mercredi 17 avril à Brest, la CGT, le PCF et le MJCF célébraient la mémoire de notre camarade Edouard Mazé tué par les gendarmes lors de la répression d’une manifestation à Brest en 1952 dans un contexte de guerre froide.

La section du Pays de Brest du PCF a rendu hommage ce mercredi 17 avril à 10 h 30 aux cotés de la CGT à notre camarade Édouard Mazé syndicaliste, résistant, communiste tué le 17 avril par les forces de l’ordre.
Une gerbe a été déposée par le PCF Brest en sa mémoire sur la stèle située place Édouard Mazé devant la Maison du Peuple
Ci dessous l’article de l’Humanité de Grégory Marin publié à la sortie du très beau livre « Un homme est mort », de Kris et Étienne Davodeau,
Indomptable mémoire ouvrière
Édition . Le 17 avril 1950, les gendarmes ont tiré sur des travailleurs brestois en grève. La bande dessinée Un homme est mort témoigne de cette sombre page de l’histoire ouvrière.
« Mort pour le pain, la paix et la liberté ». L’épitaphe gravée sur la tombe d’Édouard Mazé, militant CGT tué le 17 avril 1950 d’une balle en pleine tête, résume le combat d’une vie. La sienne, et celle de tous ses camarades qui ce jour-là, manifestaient dans Brest en reconstruction. Pour 10 francs de salaire supplémentaire. Pour leur dignité de travailleurs. Face à leur détermination, les gendarmes ont tiré dans la foule. Un geste terrible, exécuté pour la dernière fois en France. Pour Pierre Cauzien, le péroné fracassé et le mollet déchiqueté, un souvenir impossible à effacer.
L’État a toujours refusé de reconnaître le geste de ses agents, mais Pierre, aujourd’hui âgé de quatre-vingt-quatre ans, ne s’est jamais découragé. « J’ai perdu une jambe, pas la tête », lance-t-il, sourire en coin. Têtu, le vieux militant cégétiste et communiste a passé cinquante ans à la reconstituer le fil de l’histoire. Il a fini par envoyer une lettre aux archives départementales : « Je voulais savoir la vérité avant de passer de l’autre côté ». Finalement, celle-ci tient dans l’intitulé du rapport de gendarmerie, qu’il a eu entre les mains : « Manifestation du 17 avril 1950, mort d’Édouard Mazé tué par les forces de l’ordre ». Les archives de police sont protégées par le secret durant soixante ans. Mais « à mon âge, je ne me se soucie plus de ça », lâche « Pierrot ». La vérité, enfin sur ce que ce militant a toujours considéré comme « un crime d’État maquillé en fait divers »…
État de siège
Ce matin du 17 avril, Brest est en effervescence, et malgré l’arrêté municipal d’interdiction (antidaté à la demande de la préfecture de police, comme le prouve le document reproduit en annexe de la bande dessinée Un homme est mort de Christophe Goret, alias Kris, et Étienne Davodeau), les ouvriers, épaulés par la CGT et la CFTC, défilent en nombre. Jusqu’au drame de la rue Kérabécam. « Allez-y, tirez, mais tirez en l’air », aurait ordonné le commissaire Le Goan, selon le rapport 141W33 rédigé par le capitaine de gendarmerie Kerhoas, commandant le détachement de Chateaulin. « Aussitôt, quelques coups de feu sont partis, un homme est tombé parmi les manifestants. J’ai immédiatement donné l’ordre de cesser le feu (…) » écrit le gendarme.
Si la troupe affirme avoir « tiré en état de légitime défense », pour « sauver la vie du personnel », la contre-enquête menée par le scénariste Kris durant deux ans, à l’occasion de l’écriture de la bande dessinée, tend à montrer que les gendarmes n’étaient absolument pas en danger, face à des militants seulement armés de banderoles. Une révolte légitime matée dans le sang. Le lendemain, l’Humanité titrera en une : « Le gouvernement fait tirer sur des Français : un ouvrier assassiné par des CRS à Brest ». Mais Pierre Cauzien n’aura pas le loisir de lire « son » journal ce jour-là. À l’hôpital, le chirurgien extrait la « balle de gradé » qui lui a coûté la jambe.
Devoir de mémoire
En ville, les événements se poursuivent. Le réalisateur militant René Vautier, auréolé de la réussite de son film Afrique 50, a été appelé à la rescousse par la section brestoise de la CGT du bâtiment, « pour témoigner, raconter notre histoire ». C’est que, outre l’agression policière, il y a beaucoup à dire sur ces derniers jours. Depuis le 30 mars, au port de commerce, les dockers refusent de débarquer le matériel américain pour armer l’OTAN face à l’Union soviétique. Le 14 avril, femmes et enfants ont été matraqués à l’hôtel de ville alors qu’ils réclamaient les bons de lait promis par la ville. Le lendemain, excédées, elles ont séquestré quelques heures le secrétaire de la chambre patronale. En réponse, les autorités arrêtent au matin du 16 avril les responsables syndicaux Charles Cadiou et Raymond Bucquet, ainsi que Marie Lambert, députée communiste du Finistère, malgré son immunité parlementaire (un autre, Alain Signor, sera arrêté le 17 – NDLR). Vautier, flanqué de militants cégétistes, se démène, recueille un témoignage unique, malheureusement « mort au combat », la pellicule n’ayant pas supporté les dizaines de projections. Il est là aussi à l’enterrement religieux d’Édouard Mazé. « Dans Brest totalement paralysé, c’est près de 80 000 personnes qui accompagneront pour son suprême voyage le camarade Édouard Mazé, de la maison des syndicats au cimetière de Kerfautras, par l’église Saint-Martin, dont la nef et le parvis uniront dans le même espoir d’une vie meilleure pour le monde du travail, les chants liturgiques et le drapeau rouge de la CGT du bâtiment », écrivait Pierre Cauzien trente ans plus tard dans un journal du syndicat. « Un pied de nez à ceux qui voulaient nous diviser », se souvient Pierre.
Aujourd’hui, la vérité enfin révélée, Pierre jette « un regard sans haine » sur ce moment de sa vie. Même s’il lui a valu des années de souffrance, dues autant à la perte de sa jambe qu’à la non-reconnaissance de son statut de travailleur handicapé par l’arsenal de Brest, où il était dessinateur. Sans compter les manifestations de « haine et de mépris des travailleurs traités en voyous » : « Ça t’apprendra, à toi et à ta bande », lui a lancé un cadre, un jour. « Je gênais. J’étais communiste, un mauvais Français. Dans un endroit stratégique, en plus… » De ces années, « Pierrot » retient surtout « la solidarité des gars », qui se sont cotisés pendant six mois pour compléter le demi-salaire auquel il avait droit après son accident. « À mon âge, on n’a plus de haine. Même pas envers celui qui a tiré », soupire le sympathique vieillard. Plus de haine, mais de la mémoire. Une « mémoire militante » qui ne s’éteindra pas, grâce au travail de Kris et Davodeau.
(1) Un homme est mort, Kris et Étienne Davodeau, Éditions Futuropolis, octobre 2006, 15 euros.
Grégory Marin

Européennes: présentation du plan climat du Parti communiste à Brest avec Amar Bellal et Taran Marec, candidats sur la liste conduite par Léon Deffontaines et Sigrid Gerardin

A la maison des syndicats de Brest le lundi 15 avril a eu lieu la présentation du plan climat du Parti communiste et un débat sur les enjeux écologiques des élections européennes avec deux candidats sur la liste de la Gauche Unie conduite par Léon Deffontaines et Sigrid Gérardin, Amar Bellal et Taran Marec. Les intervenants et le débat ont été introduits par Erwan Rivoalan, co-secrétaire de la section PCF du Pays de Brest. 

Jeudi 11 avril la section PCF du pays de Quimper recevait Gérard Streiff aux Halles St François dans le cycle des conférences de Quimper Rouge

 

Jeudi 11 avril la section PCF du pays de Quimper recevait Gérard Streiff aux Halles St François dans le cycle des conférences de Quimper Rouge – Prezegennou Kemper Ruz – pour évoquer Missak et Mélinée Manouchian, un couple en résistance, auxquels il vient de consacrer son dernier livre.
Assistance attentive et curieuse – 35 personnes – et participative, nombreuses questions à notre ami Gérard Streiff qui a dédicacé 14 livres, signe de l’intérêt de son auditoire.
A noter la présence de plusieurs élus de Quimper et de Mme Chambeiron dont le mari Robert Chambeiron a été un des fondateurs du Conseil National de la Résistance
Une belle soirée historique mais aussi dans l’actualité car les valeurs de progrès social et humain du CNR et de la Résistance sont mises à mal aujourd’hui.
La ville de Quimper vient de décider le 1er février à l’unanimité de son conseil municipal de donner les noms accolés de Missak et Mélinée Manouchian à l’un de ses rond-points, c’était une très ancienne demande des élus communistes de Quimper.
Elle a aussi acquis la belle exposition du Musée National de la Résistance de Champigny qui a déjà été présentée à la maison des services publics et va circuler.
Yvonne Rainero

Participez à la 58 ème fête du Viaduc, fête du 1er mai du PCF Pays de Morlaix, à Ploujean

La trajectoire de Missak et Mélinée Manouchian avec Gérard Streiff – Mardi 22 avril 2024 , 18h – Mardi de l’éducation populaire du PCF Morlaix

Rencontre-débat à Plounévez-Moëdec (22) le vendredi 19 avril sur la santé avec Fabien Cohen, responsable du secteur santé du PCF, et Christian Brice, médecin urgentiste

Triste nouvelle: décès de notre camarade de Concarneau Alain Houziaux, ancien responsable syndical de la métallurgie, militant depuis plus de 50 ans au Parti communiste

 

Nous avons appris avec une grande tristesse il y a deux jours le décès de notre camarade Alain Houziaux, responsable syndical, métallurgiste retraitée, habitant Concarneau, membre du PCF et de la CGT et du comité de soutien finistérien à la liste de la Gauche unie menée par Léon Deffontaines.
Alain Houziaux militait au Parti communiste depuis plus de 50 ans.
Je veux exprimer au nom de la fédération notre peine pour sa famille, ses amis, ses camarades de Concarneau, de Rosporden et du Finistère, et tout particulièrement ceux qui ont eu l’occasion de militer avec lui.
Nous exprimons notre reconnaissance envers les engagements et le militantisme d’Alain, notre camarade auquel sera rendu un hommage samedi matin à Concarneau.
Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère
Voici un extrait de l’annonce de la famille dans le Télégramme et un article d’hommage à Alain Houziaux dans le Ouest-France:
Publié le 10/04/2024 dans Le Télégramme
CONCARNEAU – ORGEVAL.
Nous avons la douleur de vous faire part du décès brutal de
M. Alain HOUZIAUX
survenu à l’âge de 76 ans.
De la part de
Annie, son épouse, née Le Grall ;
Kristell et Jean-Claude,
Bruno et Michaela,
Julien et Nadia,
ses enfants ;
Eugénie, Jules, Adrien,
Hugo, Amaury et Thomas,
ses petits-enfants,
et toute la famille.
Un hommage lui sera rendu samedi 13 avril, à 11 h, au sein de la salle d’hommage du funérarium Le Squere, 11, rue Jacques-Noël-Sané, à Concarneau, où Alain repose.
Visites à partir de 14 h, ce jour.
Le présent avis tient lieu de faire-part et de remerciements.

Le samedi, fermeture de la piscine de Landerneau: une demande de la cellule du PCF de réouverture pour les classes populaires

Le samedi, fermeture de la piscine de Landerneau: une demande de réouverture pour les classes populaires

 

Déjà plusieurs mois que les nouveaux horaires d’ouverture au public de la piscine de Landerneau ont été restreints en semaine et avec une fermeture au public toute la journée du samedi. L’accès restreint à Aqualorn trouve sa cause dans l’augmentation des factures énergétiques, la pénurie de maîtres-nageus.e.s. Probablement.

 

Cependant, rappelons que la natation est l’une des premières activités sportives et de loisirs, que les piscines publiques sont le deuxième équipement public le plus fréquenté par les femmes vivant en zones rurales* et surtout qu’il s’agit aussi d’un lieu d’apprentissage de la natation, alors que le fléau des noyades reste encore la première cause de décès par accident de la vie courante chez les moins de 25 ans, dans notre département du Finistère qui compte plus de 2000 km de littoral.

 

On imagine la double peine pour celles et ceux qui n’ont déjà pas la chance de pouvoir prendre le large les week-end et les vacances : les enfants, adolescents et leurs parents de Landerneau et des communes voisines.

 

Au moment, où la réduction de notre empreinte écologique s’affiche partout, et que l’on constate, paradoxalement, l’essor des piscines individuelles, ici à Landerneau, Aqualorn doit être la porte d’accès au bien-être, à la détente, à la convivialité, aux loisirs, au sport… pour tout.e.s. Equipement, qui a d’ailleurs été historiquement, le premier équipement fédérateur porté par la Communauté de communes dès 1995.

La cellule PCF de landerneau propose aux élu.e.s de prendre la mesure de l’importance de ce services public de proximité pour les classes populaires et de reconsidérer les horaires d’ouverture au public pour que chacun, en famille, entre amis puisse y avoir accès à l’image des piscines de Lesneven et Landivisiau qui subissent aussi le même contexte mais qui ont, quant à elles, réussi à conserver l’ouverture au public le samedi.

Pour la cellule PCF de Landerneau

Gladys Grelaud et Christian Gagou

* après les médiathèques

À Landerneau, Aqualorn rouvrira le samedi dès septembre | Le Télégramme (letelegramme.fr)

À Landerneau, les nouveaux horaires de la piscine interrogent le Parti communiste français (ouest-france.fr)

 

À Landerneau, les nouveaux horaires de la piscine interrogent le Parti communiste français

Dans un courrier adressé au président de la communauté de communes du pays de Landerneau-Daoulas (Finistère), le Parti communiste français (PCF) local fait part de son mécontentement face aux nouveaux horaires de la piscine Aqualorn.

Suite Ouest-France

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Intervention pour la Paix et le cessez-le-feu immédiat à Gaza au Conseil Municipal de Brest le 2 avril 2024 de Taran Marec

 

Un vœu pour la paix au Proche-Orient et de solidarité avec Gaza et le peuple palestinien le 21 mars adopté au Conseil Municipal de Quimper

Le 21 mars au conseil municipal de Quimper, à l’initiative des élu-es communistes, un vœu pour un cessez-le-feu à Gaza a été présenté par notre camarade Bernard Jasserand avec le soutien de la majorité municipale. Il a été adopté.

48 présents ou ayant donné pouvoir sur 49 élus, 1 absent de droite

8 refus de vote (7 élus de droite + la députée macronienne)

2 voix contre (2 autres élus de droite)

38 voix pour (la majorité municipale + Karim Ghachem).

 

Venue de Sophie Binet à Douarnenez le vendredi 5 avril – Photos de Daniel Laporte

400 personnes pour la venue de Sophie Binet à Douarnenez vendredi 5 avril. Sophie Binet venait parler des femmes dans le monde du travail dans le cadre de la célébration du centenaire des « Pen sardin », la lutte des sardinières de Douarnenez de 1924. Photos de Daniel Laporte