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Lettre du Pcf 29 aux médias 12 octobre 2018

Bonjour,

Nous tenons à vous tenir informés de l’actualité du PCF Finistère.

Présents très nombreux dans la manifestation inter-professionnelle et intersyndicale du mardi 9 octobre, nos militants le seront encore dans la manifestation intersyndicale du 18 octobre . Notre présence dans les luttes, cela a été aussi la participation aux manifestations de solidarité pour l’Aquarius et l’accueil des migrants le samedi 6 octobre, notre participation à la Marche pour le climat le 13 octobre et à la journée d’action contre l’armement nucléaire et pour l’interdiction des armes atomiques le dimanche 14 octobre à Crozon devant l’Ile Longue.

Nous avons vécu auparavant une très belle fête de l’Humanité où 75 personnes sont montés à Paris pour s’occuper du stand du Finistère. 500 000 personnes ont participé à cette fête de l’Humanité extraordinaire.


Activités, fêtes et conférences.

Le 1er et 2 décembre, nous préparons la fête de l’Humanité Bretagne à Lorient où le PCF Finistère aura aussi un stand et organise un débat sur la situation des Kurdes en Syrie et en Turquie, avec Hazal Karakus et Sengul Karaka du mouvement des Femmes Kurdes, et probablement Christine Prunaud, sénatrice communiste emprisonnée en Turquie, et Pascal Torre, responsable PCF en charge du suivi du secteur Moyen-Orient.

Le lundi 22 octobre à la fac de Brest, nous faisons venir le sénateur communiste Pierre Ouzoulias, le porte-parole de la FSU Bretagne Jean-Marc Clery, Olivier Cuzon de Sud éducation, Marie Dagnaud de la CGT Educ’action et Lucien Reichard de la JC pour un débat sur Parcoursup et les inégalités d’accès à l’enseignement supérieur, débat organisé par le PCF et la JC.

Le mercredi 24 octobre, au local du PCF du Relecq-Kerhuon, réunion de la fête de l’Huma Bretagne à 14h30, réunion-bilan de la fête de l’Huma Paris à 17h, et repas fraternel des bénévoles de la fête de l’Huma à 19h.

Plusieurs de nos sections organisent aussi des sessions d’éducation populaire durables et régulières

Comme les Mardis de l’éducation populaire à Morlaix:

Le 13 novembre avec l’écrivain Valère Staraselki sur Aragon, le 11 décembre avec l’écrivaine Anne Guillou sur la guerre d’Algérie, le 5 février avec l’historien Pierre Outteryck sur la militante Martha Desrumaux, dirigeante du Front Populaire, résistante, déportée.

Valère Staraselski sera à Brest le 14 novembre à 18h pour nous parler de la thématique de son dernier livre, Le Parlement des Cigognes (Prix Licra): l’antisémitisme.

Comme les Jeudis Rouge à Quimperlé:
Les communistes de la 8e circonscription organisent à partir de la rentrée 2018 des conférences-débat d’éducation populaire à la salle Coat Kaer les jeudi:

Le Jeudi 25 octobre: Pierre Crépel: « les mots glissants, vocabulaire et politique »
Conférence Suivie de deux soirées avec Bernard Vasseur professeur de philosophie, ancien directeur du Centre de recherche et de création Elsa Triolet, Louis Aragon. autour de « Avec Marx, penser et agir aujourd’hui ». (à paraitre pour la Fête de l’Huma editions PCF 93.)

Jeudi 29 novembre: « Penser et agir en matérialiste ».

Jeudi 20 décembre: « Penser et agir en dialecticien ».

Nous distribuons aussi en ce moment notre journal Rouge Finistère, un trimestriel gratuit tiré à 30 000 exemplaires, dans tout le département.

Et distribuons 15 000 tracts pour des plans d’urgence dans les hôpitaux et les EHPAD avec une signature d’une pétition régionale.


Élections Municipales.

Pour la préparation des élections municipales, notre cap est l’unité de la gauche sur la base de contenus programmatiques qui servent l’intérêt de la population, d’un refus des politiques libérales et d’austérité qui fragilisent les communes, les services publics, les solidarités, et de l’expérimentation de nouvelles politiques d’égalité et de transition écologique. Nous nous donnons pour objectif de gagner des élus (35 actuellement dans le département) et des communes à gauche, de conserver la majorité dans les municipalités de gauche où nous sommes présents.

 


Vie du Parti.

Notre parti est en dynamique et garde un potentiel d’attraction pour des gens qui veulent apporter leur pierre à une gauche qui lutte et propose contre l’hégémonie capitaliste : depuis janvier 2018, nous avons fait 40 adhésions, dont pas mal mal de jeunes.

Le 6 octobre dernier, nous avons dépouillé le vote des adhérents du PCF pour la base commune de discussion du congrès dans la fédération, vote des adhérents cotisants à jour sur 3 jours dans nos 18 sections, précédés de semaines de débat.

Voici les résultats:

63% de participation

Projet de base commune présenté par le Conseil national du PCF: « Le communisme est la question du XXIe siècle » (texte soutenu par Pierre Laurent) : 56,3%
Texte alternatif n°1: « Se réinventer ou disparaître! Pour un printemps du communisme »: (7,5%)
Texte alternatif n°2 (texte soutenu par André Chassaigne) « Pour un manifeste du parti communiste du XXIe siècle »: (29,6%)
Texte alternatif n°3: « Reconstruire le parti de classe. Priorité au rassemblement dans les luttes »: (6,5%)

Désormais nos 850 adhérents (520 à jours de cotisation, ce qui fait de nous la 26e fédération de France du PCF en nombre de cotisants et la première de Bretagne) vont avoir jusqu’au 10 novembre pour travailler et amender dans les réunions de section le texte choisi comme base commune au niveau national. Avec une exigence: celle de l’unité et de l’efficacité du PCF, au service des luttes, des citoyens et de la mise en mouvement populaire.

La base commune de discussion pour le Congrès national du PCF à Ivry-sur-Seine le 23,24,25 novembre: « Pour un manifeste du parti communiste du XXIe siècle » (42% sur le plan national contre 38% au texte soutenu par le Conseil National: « Le communisme est la question du XXIe siècle »

Les 4, 5 et 6 octobre, 49 218 communistes à jour de leurs cotisations et ayant adhéré au PCF il y a plus de trois mois, devaient choisir le texte de base commune de discussion pour le 38e congrès.
30 833 de ces électrices et électeurs inscrit·e·s ont voté, soit 62,65 % des inscrit·e·s. Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF.

Notre congrès départemental aura lieu le samedi 10 novembre à Plonéour-Lanvern près de Pont L’Abbé dans le pays Bigouden, toute la journée, avec débat sur notre congrès national, sur notre activité départementale, et élection de la direction départementale. Entre 70 et 80 adhérents communistes du Finistère devraient y participer.


Commémorations.

Le dimanche 11 novembre, nous organiserons dans plusieurs localités des commémorations communistes et pacifistes du centenaire de la fin de la Grande Guerre avec notamment une représentation du spectacle du Théâtre de la Corniche, « Bonsoir m’amour » à St Martin des Champs (Salle Gallouedec).


Européennes.

Le samedi 8 décembre à la MPT de Logonna Quimerc’h le PCF Finistère organise une AG départementale avec un repas de réflexion sur les Municipales dans le département et les Européennes, avec Anne Sabourin, dirigeante nationale en charge du secteur Europe et du PGE.

Il est aussi prévu au mois de novembre probablement une venue de Ian Brossat, notre chef de file des Européennes, dans le Finistère. Notre campagne des Européennes commence dès maintenant.

Ismaël Dupont

Secrétaire départemental du PCF Finistère.

Vote sur la base commune de discussion pour le Congrès d’Ivry, 23-25 novembre 2018

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Résultats dans le Finistère et au niveau national 
Voici les résultats de la consultation des adhérents du PCF Finistère sur la base commune de discussion du Congrès des 23 au 25 novembre à Ivry.
Merci à tous les camarades qui ont organisé le vote et les débats dans les sections.
Bravo à tous les adhérents qui ont exercé leur souveraineté à l’occasion de ce scrutin interne important, et qui ont contribué à apporter leurs réflexions sur l’avenir du PCF, les choix et directions qu’il doit prendre.
Notre Parti a une nouvelle fois fait la preuve de sa capacité à conjuguer exigence politique, sens critique, volonté de construire, fraternité et écoute de la diversité des points de vue.
Tous les textes ont été examinés, discutés, pris au sérieux.
Unis, rassemblés, et prêts à engager des transformations qui s’imposent pour peser davantage sur le débat politique et être mieux entendus, nous sortirons plus forts!
Fraternités à tous nos camarades, ceux du présent et ceux de l’avenir!
Maintenant, nous avons un mois et demi pour continuer à travailler la nouvelle base commune de discussion, Pour un manifeste du Parti Communiste du 21e siècle, notamment en intégrant l’apport utile d’autres textes qui ont été appréciés par beaucoup de communistes, comme nous sommes nombreux à l’attendre.
Et pour continuer, plus que jamais, à tenter de nourrir les luttes pour résister et faire naître l’espoir dans le peuple, avec un projet d’alternative à la domination capitaliste et à néo-libéralisme.
Ismaël Dupont
***
Fédération du Finistère (27e fédération de France en nombre d’adhérents communistes cotisants à jour pouvant voter et première fédération de la Bretagne) :
Inscrits: 514 
Votants: 325 (63%) 
Blanc: 1
Nuls: 3 
Exprimés: 321
Projet de base commune présenté par le Conseil national du PCF: « Le communisme est la question du XXIe siècle »: 181 voix (56,3%)
Texte alternatif n°1: « Se réinventer ou disparaître! Pour un printemps du communisme »: 24 voix (7,5%)
Texte alternatif n°2: « Pour un manifeste du parti communiste du XXIe siècle »: 95 voix (29,6%)
Texte alternatif n°3: « Reconstruire le parti de classe. Priorité au rassemblement dans les luttes »: 21 voix (6,5%)
Au niveau des sections du Finistère: 
Audierne: 4 votants (5 cotisants) 75% pour la base commune du CN – 25% pour le texte alternatif n°2
Brest: 63 votants (165 cotisants) 71% pour la base commune du CN – 20% pour le texte alternatif n°2 – 4,7% pour le texte alternatif n°1 , 3% pour pour le texte alternatif n°4
Carhaix-Huelgoat: 9 votants (20 cotisants) 87% base commune du CN – 13% texte alternatif n°1
Concarneau: 10 votants (18 cotisants) 50% texte alternatif n°3 – 40% base commune du CN- 10% texte alternatif n°2
Crozon-Châteaulin-Chateauneuf 9 votants (13 cotisants) 77% base commune du CN – 11% texte alternatif n°2 – 11% texte alternatif n°3
Douarnenez: 8 votants (12 cotisants) 75% base commune du CN – 25% texte alternatif n°1
Fouesnant: 9 votants (23 cotisants) 77% base commune du CN – 11% texte alternatif n°2 – 11% texte alternatif n°3
Lanmeur: 9 votants (16 cotisants) 77% texte alternatif n°2: – 22% base commune du CN
Le Relecq Kerhuon: 19 votants (35 cotisants) 63% base commune du CN – 15,7% texte alternatif n°2 – 10,5% texte alternatif n°1 – 10,5% texte alternatif n°3
Moëlan-sur-Mer: 5 votants (10 cotisants) 100% base commune du CN
Morlaix: 38 votants (73 cotisants) 44% base commune du CN – 34% texte alternatif n°2 – 10,5% texte alternatif n°1 – 10,5% texte alternatif n°3
Pays Bigouden: 58 votants (69 cotisants) 62% texte alternatif n°2 – 20% base commune du CN – 6,8% texte alternatif n°1 – 3,4% texte alternatif n°3
Quimper: 29 votants (30 cotisants) 57% base commune du CN – 32% texte alternatif n°2 – 7% texte alternatif n°1 – 3,5% texte alternatif n°3
Quimperlé: 14 votants (19 cotisants) 85% base commune du CN – 7% texte alternatif n°1 – 7% texte alternatif n°2
Roscoff: 10 votants (14 cotisants) 90% base commune du CN – 10% texte alternatif n°1
Rosporden: 22 votants (22 cotisants) 36% texte alternatif n°2 – 30% base commune du CN – 18% texte alternatif n°1 – 13,6% texte alternatif n°3
Scaër: 13 votants (16 cotisants) 85% base commune du CN – 15% texte alternatif n°2
COMMUNIQUE DE PRESSE 

Plus de 30 000 communistes choisissent leur base commune de discussion 

Les 4, 5 et 6 octobre, 49 218 communistes à jour de leurs cotisations et ayant adhéré au PCF il y a plus de trois mois, devaient choisir le texte de base commune de discussion pour le 38e congrès. 
30 833 de ces électrices et électeurs inscrit·e·s ont voté, soit 62,65 % des inscrit·e·s. 

Il y a eu 661 bulletins blancs ou nuls, et 30 172 suffrages exprimés. 

Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF. 

La proposition de base commune adoptée par le Conseil national, « Le communisme est la question du XXIe siècle », a obtenu 11 461 suffrages, soit 37,99 % des exprimés. 

Le texte alternatif « Se réinventer ou disparaître ! Pour un printemps du communisme » a réuni 3 607 suffrages, soit 11,95 % des exprimés. 

Le texte alternatif « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle » totalise 12 719 suffrages, soit 42,15 % des exprimés. 

Le texte alternatif « PCF : Reconstruire le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes » a, quant à lui, atteint 2 385 suffrages, soit 7,90 % des exprimés. 

En application de nos statuts, le texte « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle » devient donc la base commune de discussion dont tou·te·s les communistes doivent désormais se saisir pour la travailler, l’enrichir de tous les débats et contributions jusqu’au terme du congrès, avec l’impératif d’une construction collective. 

Après la grande consultation des communistes, l’assemblée nationale des animatrices et animateurs de section, les états généraux du progrès social, de la révolution numérique, les rencontres Niemeyer, les assises communistes de l’écologie, la convention pour l’art, la culture et l’éducation populaire, une nouvelle étape dans la tenue de notre congrès extraordinaire est franchie. 

Il reviendra au Conseil national des 13 et 14 octobre, ainsi qu’aux conseils départementaux, d’analyser et de tirer les enseignements politiques des choix effectués les 4, 5 et 6 octobre par les communistes. 

La gravité de la situation politique et sociale en France, en Europe et dans le monde met en devoir tou·te·s les communistes de réussir le congrès afin que notre peuple dispose d’un Parti communiste français à la hauteur des enjeux cruciaux de ce début de XXIe siècle. 

Parti communiste français
Paris, le 6 octobre 2018.
30 841 de ces électrices et électeurs inscrit·e·s ont voté, soit 62,65 % des inscrit·e·s.
Il y a eu 661 bulletins blancs ou nuls, et 30 180 suffrages exprimés.
Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF.
La proposition de base commune adoptée par le Conseil national, « Le communisme est la question du XXIe siècle », a obtenu 11 467 suffrages, soit 38 % des exprimés.
Le texte alternatif « Se réinventer ou disparaître ! Pour un printemps du communisme » a réuni 3 607 suffrages, soit 11,95 % des exprimés.
Le texte alternatif « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle » totalise 12 719 suffrages, soit 42,14 % des exprimés.
Le texte alternatif « PCF : Reconstruire le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes » a, quant à lui, atteint 2 387 suffrages, soit 7,91 % des exprimés.
Tu trouveras les résultats par département en cliquant ICI
Si on analyse les résultats par départements et fédérations, on voit que:
49 départements ont donné la majorité à la base commune du CN « Le communisme est la question du XXIe siècle »
28 une majorité absolue: 
21 une majorité relative:
Sur les 49 451 inscrits (cotisants à jour et ayant adhéré il y a au moins 3 mois), 30 841 de ces électrices et électeurs du PCF inscrit·e·s (adhérents depuis au moins 3 mois) ont voté pour leur base commune de congrès, soit 62,65 % des inscrit·e·s.
Il y a eu 661 bulletins blancs ou nuls, et 30 338 suffrages exprimés.
Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF.
La proposition de base commune adoptée par le Conseil national, « Le communisme est la question du XXIe siècle », a obtenu 11 472 suffrages, soit 37,8 % des exprimés.
Le texte alternatif « Se réinventer ou disparaître ! Pour un printemps du communisme » a réuni 3 510 suffrages, soit 11,6 % des exprimés.
Le texte alternatif , « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle » totalise 12 749 suffrages, soit 42 % des exprimés.
Le texte alternatif « PCF : Reconstruire le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes » a, quant à lui, atteint 2 507 suffrages, soit 8,3% des exprimés.
Tu trouveras les résultats par département en cliquant ICI
Si on analyse en détail les résultats par départements et fédérations, on voit que: 
– 40 départements ont donné la majorité au texte qui l’emporte et qui servira de base commune pour tous les communistes, le texte alternatif n°2, « Pour un Manifeste du Parti Communiste » 
24 départements avec une majorité absolue: Pas-de-Calais (87%), Charente-Maritime (83%), Var (81%),Lot-et-Garonne (80%), Puy-de-Dome (76%), Haute-Garonne (68%), Allier (67%), Ardennes (67%), Cantal (65%), Somme (64,7%), Orne (62%), Nord (61,2%), Marne (60%), Corrèze (59%), Doubs (59%), Loire-Atlantique (58%), Lot (58%), Rhône (54,9%), Ille-et-Vilaine (54%), Maine-et-Loire (53,7%), Vosges (53,5%), Haute-Marne (51%), Val-de-Marne (51,26%), Drome (50,8%)
16 départements avec une majorité relative: Aube (49%), Dordogne (48%), Meurthe-et-Moselle (47,8%), Territoire de Belfort (47%), Calvados (46,6%), Paris (46%), Hautes Pyréenées (46%), Mayenne (45%), Savoie (43,8%), Seine-et-Marne (43,2%), Jura (43%), Landes (41%), Ain (38,9%), Vaucluse (37%), Creuse (35%), Haute-Loire (31%)
– 50 départements ont donné la majorité à la base commune du CN « Le communisme est la question du XXIe siècle »
29 une majorité absolue: Haute-Corse (80%), Lozère (78,7%), Vendée (74%), Corse du Sud (70,8%), Essonne (68%), Hautes-Alpes (63,8%), Seine St Denis (63,3%), Aveyron (63%), Nièvre (60,8%), Côtes d’Armor (59%), Indre et Loire (59%), Haute-Vienne (59%), Gironde (57,6%), Eure (57%), Eure et Loir (57%), Finistère (56%), Alpes de Haute-Provence (57%), Cher (56,5%), Pyrénées Orientales (55%), Tarn-et-Garonne (55%), Loir-et-Cher (54%), Yvelines (54%), Ardèche (53%), Bouches-du-Rhône (52,6%), Oise (52%), Manche (51,7%), Loiret (51,5%), Gard (51%), Meuse (50%)
21 une majorité relative: Gers (49,5%), Bas Rhin (49,3%), Haut-Rhin (49,1%), Cote d’Or (46,7%), Isère (47%)Sarthe (48,9%), , Ariège (46%), Vienne (45,8%), Hérault (44,8%), Hautes Pyrénées (45%), Val d’Oise (44,7%), Aude (44%), Seine-Maritime (44%), Pyrénées Atlantiques (42,7%), Haute-Savoie (41,5%), Moselle (41%), Saone et Loire (41%), Indre (37%), Hauts-de-Seine (36,5%), Charente (31,4%), Loire
– 4 départements ont donné la majorité au texte alternatif n°1, « Se réinventer ou disparaître. pour un printemps du communisme »
1 une majorité absolue: Deux-Sèvres (53,9%)
3 une majorité relative: Yonne (44,7%), Morbihan (40,5%), Alpes-Maritime (38,5%)
– 3 départements ont donné la majorité au texte alternatif n°3 « PCF : Reconstruire le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes »: 
2 une majorité absolue: Aisne (59%), Haute-Saône (76%)
1 une majorité relative: le Tarn (37,8%)

Interview de Ian Brossat, chef de file des communistes pour les élections européennes de mai 2019.

 

Ian Brossat sera dans le Finistère pour des rencontres sur les enjeux économiques et sociaux liés à l’Europe (économie maritime, travailleurs détachés, agriculture…) et une réunion publique au mois d’octobre prochain dans le cadre de la campagne européenne des communistes. Il sera aussi à la Fête de l’Humanité Bretagne au parc des expos de Lorient à Lanester les 1er et 2 décembre

Ian Brossat (3)

Comment qualifierais-tu la situation de l’Union européenne aujourd’hui et les politiques qui sont promues par les gouvernements européens – quand ils trouvent des compromis – et la commission européenne? 

L’Union européenne promeut depuis de nombreuses années des politiques d’austérité. Celles-ci sont à la fois injustes et inefficaces. Au cours des 10 dernières années, les richesses produites ont augmenté, certes. Le PIB des pays de l’UE est passé de 15 000 milliards d’euros à plus de 17 000 milliards d’euros entre 2006 et 2017. 2000 milliards d’euros de plus, c’est l’equivalent du PIB français. Mais dans la même période, la part de travailleurs pauvres est passée de 7% à 10%. Ceux qui ont produit ces richesses n’ont pas été récompensés pour leurs efforts. Pire, ils se sont appauvris. Ce sont les multinationales qui en ont profité et s’en sont mis plein les poches.

Tout cela n’est pas le fruit du hasard. La politique de l’Union européenne y est pour beaucoup. Toute sa logique peut être résumée en 3 lettres : priorité aux marchés. Résultat, c’est jackpot pour les banques et ceinture pour les autres.

Depuis la crise de 2008, la Banque centrale européenne a versé 3000 milliards d’euros aux banques privées sans la moindre contre-partie. Les mêmes banques qui alimentent la spéculation et qui vous infligent des agios dès lors que vous avez quelques euros de déficit.

Quant aux salariés, la Commission européenne leur inflige la mise en concurrence à tous les étages. Elle organise le dumping social, c’est-à-dire la course aux plus bas salaires et aux pires conditions de travail. Elle ne fait rien d’efficace face au travail détaché, rien face aux délocalisations.

Au dumping social, elle ajoute le dumping fiscal en encourageant les États à baisser les impôts des plus riches et des entreprises.

C’est avec cela qu’il faut rompre. Car cette Europe nous conduit dans le mur. La preuve : les gouvernements ont tellement dégoûté les Européens de l’Europe qu’ils finissent par se jeter dans les bras de l’extrême-droite. Il y a donc urgence à porter la voix d’une autre Europe, qui soit celle du monde du travail, et non celle du fric.

Sur quels principes et objectifs essentiels s’appuie le projet que défendent les communistes pour l’Europe et les élections européennes de mai 2019? 

On nous a longtemps vendu l’Europe en nous expliquant qu’elle nous permetrait de faire contrepoids aux États-Unis et de contrer les logiques les plus mortifères de la mondialisation. Nous avons désormais un peu de recul. Est-ce ce qui se passe ? Absolument pas. Au contraire, l’Europe telle qu’elle est incite à la mise en concurrence de tous contre tous. Se mettre ensemble pour se faire la guerre, c’est tout de même un étrange projet.

Ce n’est pas le nôtre. Nous considérons qu’il faut construire l’Europe de l’humain d’abord. Une Europe qui nous tire vers le haut au lieu de nous aspirer vers le bas, comme c’est le cas actuellement. Une Europe de coopération, à rebours des logiques de concurrence.

L’Europe doit cesser d’être une machine à fabriquer de la régression sociale.

Sur le travail, sur le service public, il faut tourner la page des logiques libérales. Nous proposons par exemple de mettre fin aux directives de libéralisation, celles qui viennent de conduire la mise en concurrence de la SNCF et à terme à sa privatisation.

Quelle la marque distinctive de la proposition et du travail des communistes sur l’Europe?

Tout cela suppose une toute autre utilisation de l’argent au sein de l’union européenne. J’évoquais tout à l’heure les 3000 milliards d’euros versés par la BCE aux banques privées. Tout cela alors qu’on nous rabache en permanence qu’il n’y a pas d’argent dans les caisses… Ça ne peut pas continuer comme ça. C’est une folie. Cet argent pourrait être être tellement utile s’il était utilisé autrement.

Nous proposons qu’il serve à la constitution d’un fonds dédié au développement des services publics. Dans le contexte que nous connaissons, marqué par une fragilisation terrible des services publics, notamment dans le domaine de la santé, ce serait une avancée formidable.

Comment le PCF va t-il mener cette campagne européenne?

Nous avons décidé de commencer cette campagne très tôt. Pour une raison toute simple : les thématiques européennes sont déjà très présentes dans l’actualité. On le voit sur la question des réfugiés. L’Europe est aux abonnés absents et trahit toutes les valeurs qui devraient être les siennes. Elle est incapable d’organiser l’accueil de quelques milliers de personnes, alors que l’UE compte plus de 500 millions d’habitants. Elle n’est pas capable non plus de tordre le bras aux gouvernements d’extrême-droite, alors qu’elle est si prompte à imposer à coups de lattes des politiques d’austérité à ceux qui voudraient y résister. On l’a vu en Grèce. Le devenir de l’Europe est au coeur de l’actualité.

Nous allons donc mener une campagne de longue haleine, en nous adressant largement à tous ceux qui veulent une autre Europe. Le débat ne doit pas se laisser enfermer par les libéraux d’un côté et les fachos de l’autre. Les peuples d’Europe méritent mieux.

Européennes : avec Ian Brossat, le choix d’une Europe plus démocratique, sociale et solidaire

Les communistes ont fait le pari de la jeunesse et de l’audace en choisissant Ian Brossat comme chef de file aux élections européennes.  

Né en 1980,  engagé au PCF à 17 ans, des études à Normale Sup le conduisent à devenir professeur de Lettres.  Ce militant LGBT, parisien d’origine juive engagé pour les droits du peuple palestinien plaide pour un multiculturalisme apaisé contre les tenants du « choc des cultures » et les discours xénophobes. Son combat est tout entier dirigé pour l’égale citoyenneté réelle de tous et la lutte contre les discriminations.

Ce militant brillant et percutant, doublé d’un élu efficace et opiniâtre, maîtrisant excellemment ses dossiers du logement et du logement social et capable de convaincre de leurs caractères prioritaires, est élu à Paris depuis 2008, date à laquelle il est devenu le plus jeune président de groupe au Conseil Municipal de Paris.

C’est depuis 2014 l’adjoint au logement de la ville de Paris.

On lui doit un travail de tous les instants pour démocratiser l’accès au logement pour les Parisiens, n’hésitant pas à se heurter aux intérêts des promotteurs et des riches qui veulent vivre dans l’entre soi.

C’est lui qui est à l’initiative du centre d’hébergement des sans abri dans le seizième arrondissement de Paris, de la lutte contre Airbnb qui chasse les classes populaires de la capitale, à l’initiative aussi de la création de 6000 logements sociaux dans le seizième et à l’augmentation importante du pourcentage de logement sociaux à Paris. Il défend les migrants à Paris, s’oppose à la vidéo-surveillance, à la privatisation des déchets. Il montre que la politique, ce n’est pas que des grandes phrases et des postures, mais un travail pour conquérir des avancées concrètes pour les classes populaires.

Les prochaines élections européennes auront lieu le 26 mai 2019 et nous permettrons en France d’élire 79 députés européens avec un scrutin de liste national à la proportionnelle.

Actuellement, trois élus français au Parlement Européen représentent notre sensibilité de la gauche sociale, écologique, anti-libérale : Patrick Le Hyaric et Marie-Pierre Vieu, députés communistes et Front de Gauche, et Marie-Christine Vergiat, députée Front de Gauche.

Travaillant au sein du groupe de la Gauche Unitaire Européenne-Gauche Verte Nordique (GUE-NGL) – 52 députés – avec l’ensemble des forces progressistes européennes (Sinn Féin, Die Linke, Gauche écologiste nordique, Syrisa, Podemos et Izquierda Unida, …etc), nos élus font un travail essentiel dans une assemblée dominée par les libéraux et conservateurs et où l’extrême-droite nationaliste est de plus en plus forte, et risque de l’être encore davantage à l’issue de ces élections européennes, pour défendre les réfugiés et migrants, dénoncer et faire connaître les traités de libre-échanges anti-démocratiques (TAFTA , CETA, TISA), défendre les services publics et les droits de l’homme, plaider contre le néo-colonialisme, les logiques de guerre impérialistes, pour le droit des peuples palestiniens et kurdes, pour la Paix et le désarmement nucléaire.

Le groupe GUE-NGL est le seul groupe du Parlement à lutter constamment, et depuis le début, contre les plans d’austérités, les politiques macroéconomique et ultra-libérales de l’UE, et à prôner l’idée d’une autre Europe respectueuse des peuples.

Ce sont députés qui portent la voix du mouvement social et des classes populaires en Europe.

L’expérience montre à cet égard que, même minoritaires, des parlementaires déterminés à prendre appui sur des mobilisations populaires suffisantes, peuvent remporter des victoires spectaculaires. Parmi les exemples emblématiques de tels succès, citons la mise en échec , à deux reprises, du projet de la Commission de casser le statut des dockers (2003 et 2006) ou le rejet du projet de directive visant à légaliser en Europe  la pratique américaine des « brevets logiciels » réclamés par les lobbys des multinationales (2005) . Quant à directive sur laquelle se fondait le gouvernement Macron-Philippe pour justifier la « réforme » de la SNCF, elle avait failli -à 24 voix près sur 704 votants ! – être bloquée en décembre 2016…

Dans ce contexte, il y a tout lieu de se féliciter que le PCF ait choisi pour conduire et animer la liste qui représentera le mieux les valeurs d’une gauche sociale et progressiste à ces élections européennes : Ian Brossat.

 

 

AG des communistes finistériens le 16 juin 2018 à Brest avec Yann le Pollotec

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photo Jacqueline Héré

C’était hier l’AG départementale du PCF  à Brest, au patronage laïque Sanquer, de 9h30 à 17h, en présence de Yann Le Pollotec, notre camarade de la direction nationale (Animateur commission Industrie-Economie numérique), qui nous a présenté la proposition de base commune de discussion pour le Congrès du PCF votée par le CN du 3 juin et soumise à la discussion des communistes.

Yann Le Pollotec qui a aussi fait état des débats sur cette proposition de base commune au Conseil National (écommunisme, laïcité et racisme, propositions économiques, bilan de l’expérience du Front de Gauche, rapport avec FI). 

Les débats ont été très intéressants et fraternels. 

 On a parlé du Glyphosate, de la situation des personnes âgées isolées ou dans les EHPAD, de la casse des hôpitaux publics et de la désertification médicale, des solidarités concrètes initiées par le PCF, de l’état du rapport de force politique et social dans le pays, de la volonté de Macron de démanteler la République (Parlement, communes) pour l’adapter complètement au modèle de la « démocratie limitée » et aux besoins des puissances d’argent, des nouvelles ambitions et besoins d’évolution du PCF, restant plus que jamais attaché à son ambition de combattre et dépasser le capitalisme qui conduit l’humanité au désastre sur bien des plans, en travaillant au rassemblement de classe contre les 1% qui dominent la planète. 

J’ai présenté avant l’introduction de Yann Le Pollotec la situation de la fédé du Finistère et de ses 20 sections: 850 adhérents, dont 600 à jour de cotisations, 27 adhésions depuis le 1er janvier, dont de nombreux jeunes, plusieurs responsables syndicaux et associatifs qui nous ont rejoint, beaucoup d’initiatives en matière de communication (journal gratuit tiré à 40 000 exemplaires), de formation, d’éducation populaire, de culture, des prises de position départementales fortes, mais en même temps des fragilités et beaucoup à travailler pour revitaliser le Parti sur certains secteurs.   

Pour la question du Congrès national, principalement à l’ordre du jour des débats du matin, plusieurs camarades ont dit qu’ils souhaitaient que tous les communistes travaillent sur le même texte de base commune, les fenêtres de débat le permettent, sans multiplication des textes alternatives, qui stérilisent le débat et la réflexion collective en posture d’opposition et de courant. Plusieurs camarades, dont moi-même, ont exprimé leur satisfaction par rapport au fond et à la forme de cette proposition de base commune écrite par Guillaume Roubaud-Quashié. Des nouveaux adhérents comme Françoise Guéguen ont expliqué ce qui les avait amené à faire le pas d’adhérer au PCF. Nous avons parlé des élections européennes et tout le monde se félicite de l’élection de Ian Brossat comme chef de file des communistes. 

 Notre ambition de rassemblement sur un projet de rupture avec l’Europe Libérale et ses institutions qui font émerger en réaction le populisme (parfois xénophobe) dans toute l’Europe, a été réaffirmée pour les élections européennes, face à une gauche qui toutes tendances confondues ne pèse pas plus de 30% actuellement, comme aux élections municipales ou des potentialités sérieuses de reconquête existent à condition de choisir l’unité et la volonté d’avoir des élus pour servir les intérêts des gens: Concarneau, Morlaix, … Le PCF va travailler au rassemblement de la gauche sur des contenus de gauche partout avec une ligne claire et transparente. 

 Certains intervenants ont développé l’idée de la centralité de la thématique de la liberté pour discréditer et dénoncer la politique de Macron et de l’égalité comme valeur unificatrice de tous nos combats. 

On a parlé de la présence du Parti dans les médias, quasi inexistante sur le plan national, et des moyens de davantage pouvoir être entendus. 

 Après un repas Couscous chaleureux servi par un traiteur brestois, la discussion a repris sur le fonctionnement de la fédération, du CD, de l’exécutif, du rapport aux sections, en vue du Congrès Départemental du 10 novembre dans le pays Bigouden, à Plonéour Lanvern.

 Des débats très intéressants de philosophie politique ont été amorcés dans cette AG sur la question du communisme et de sa nature, des classes sociales, sur les contradictions de la société actuelle, riche d’expérimentations de potentialités nouvelles basées sur le commun et marquée par la crise du politique, sur les moyens de la transformation sociale, notre conception de la révolution, de la rupture, de la continuité dans le mouvement historique d’émancipation.

 Ismaël Dupont 

 

Les sénateurs communistes en soutien à l’hôpital public de Morlaix le 14 juin

Christine Prunaud (Côtes d’Armor) et Dominique WATRIN (Pas-de-Calais), sénateurs communistes, étaient à l’hôpital de Morlaix le jeudi 14 juin dans le cadre du Tour de France des Hôpitaux entrepris par les Parlementaires communistes (députés et sénateurs) depuis le début de l’année 2018

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Christine Prunaud, sénatrice communiste des Côtes d’Armor

Voici le programme de leur matinée à Morlaix :

Centre Hospitalier du Pays de Morlaix

 –     9h : entretien des Parlementaires Christine Prunaud, Dominique Watrin, de Lisa Thomas, attachée parlementaire, et Ismaël Dupont, conseiller municipal et communautaire, avec la directrice madame Benard

–     10h : visite par la délégation du bâtiment médecine avec Mme le Dr Lemoine, présidente de la commission médicale d’établissement, et de la psychiatrie avec Mme le Dr Le Lann, chef de pôle Psychiatrie-addictologie.

–     11h 30: rencontre avec les représentants des 3 organisations syndicales (CFDT, CGT, Sud)      

–    12h40 : point presse devant l’hôpital avec Comité de défense de l’hôpital et les syndicalistes qui le désirent

–     13 h – 13 h 45: repas avec le Comité de Défense de l’Hôpital et syndicats au local PCF, 2 petite rue de Callac

Un repas fut organisé le midi avec les militants et sympathisants du PCF, les syndicalistes de l’hôpital, des membres du comité de défense de l’hôpital, au local de la section PCF de Morlaix, 2, petite rue de Callac. 

Leur présence à Morlaix le jeudi 14 juin vise à comprendre la situation des personnels hospitaliers, des usagers, leur détresse, et proposer le projet du Parti Communiste pour la santé et l’hôpital public en même temps qu’illustrer l’action déjà entreprise des parlementaires communistes, les seuls à gauche sur une ligne de résistance aux politiques libérales à avoir un groupe à l’Assemblée et au Sénat, contre la casse de l’hôpital public.  

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La section PCF du Pays de Morlaix travaille de longue date sur les questions de santé, de perte d’autonomie, et sur l’information et la mobilisation des usagers de l’hôpital public, par des réunions publiques, des distributions de tract tous les deux mois environ à l’hôpital (journal de la commission santé du PCF).  

Olivier Dartiguoles en Finistère le jeudi 1er février

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Communiqué des communistes du sud Finistère 

Les communistes finistériens et morbihannais invitent Olivier Dartigolles, porte parole du PCF, à présenter son dernier ouvrage « Macron ; entreprise de démolition. Forces, faiblesses et supercheries » à Lorient le mercredi 31 janvier, Quimperlé/Mellac le jeudi 1er février, Vannes le 2 février.

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Dans cet ouvrage paru aux éditions de l’Atelier il détricote les fondements de la politologie macronienne et son sprint libéral et autoritaire. Il ouvre aussi des pistes de réflexions pour combattre cette conduite des affaires du pays au profit exclusif des plus riches. Il indentifie également quatre axes majeurs de reconquête : réaffirmer le clivage droite/gauche ; reconstruire un imaginaire collectif d’émancipation ; mettre en avant l’enjeu démocratique dans la cité et l’entreprise,mener des actions concrètes de solidarité.

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Nous l’accueillerons à Mellac le 1er février à 18 heures au foyer communal pour une rencontre débat, qui sera consacrée pour une part à la situation de la santé et notamment à la mise en place des Groupements hospitaliers de territoire.

Auparavant Oliver Dartigolles et Yvonne Rainero, membre de la commission santé du PCF, rencontreront les représentants du personnel touché par la fusion des établissements hospitaliers en cours dans notre région.

Quimperlé le 25 janvier 2018.

Formation sur la sécurité emploi formation à Brest le 3 février

Temps de formation sur la Sécurité Emploi Formation
Ouvert à tou.te.s les adhérent.e.s et sympathisant.e.s
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Samedi 3 février 9h30/11h30
à la FD du PCF
rue Henri Moreau/ rue Berger – Brest

Avec Sylvian Chicote, membre de la commission économie du PCF, ancien inspecteur du travail,
co-rédacteur de la proposition de loi du PCF sur la Sécurité Emploi Formation.

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Inscriptions auprès d’Erwan Rivoalan dans la limite des 20 places disponibles.

Des moyens financiers pour les EHPAD publics !

Le 30 janvier, et constamment, soyons mobilisés pour une autre politique d’accompagnement du vieillissement et des EHPAD, car la situation est de plus en plus dramatique, touchant bien souvent la maltraitance institutionnelle en dépit du professionnalisme et du dévouement des personnels.

Manifestation à Quimper le mardi 30 janvier 2018.

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Déclaration de la Fédération du Parti Communiste Français du Finistère, jeudi 24 janvier 2018 : Assez de souffrance dans les EHPAD
 

Déclaration de la fédération du Finistère du Parti Communiste Français

ASSEZ DE SOUFFRANCES DANS LES EHPAD !

Depuis plusieurs mois les salarié-es des EHPAD ont brisé la chape de silence pesant sur les souffrances intolérables qui y sont vécues. L’insuffisance des effectifs et des financements conduit pour les personnels comme pour les résidents à une situation dramatique qui porte atteinte à la dignité humaine, jusqu’à la maltraitance, et est indigne d’un pays civilisé.

Les personnes âgées, qu’elles soient à domicile ou en maison de retraite, les salarié-es qui travaillent dans ces filières, les aidants familiaux payent un lourd tribut aux politiques menées ces dernières années et dominées par la soumission à la finance.

Avec Macron, les divers cadeaux fiscaux et exonérations de cotisations sociales au profit des plus riches et des grandes entreprises explosent, pillant le budget de l’État, l’évasion fiscale à elle seule l’ampute de 80 milliards d’euros par an.

La France devient un paradis pour les actionnaires.

L’argent public va à la rente du capital et manque pour répondre aux besoins humains et sociaux les plus essentiels, parmi lesquels l’accompagnement du vieillissement et la prise en charge de la perte d’autonomie.

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Vieillir dans une société où l’argent prime sur l’humain s’accompagne d’angoisse et de difficultés : prélèvements sur les retraites, notamment la hausse de la CSG, insuffisance et coût des services d’aide à domicile, manque de places dans les maisons de retraite, reste à charge très important pour les résidents et leurs familles, accès aux soins plus difficile, services publics qui désertent les territoires ruraux et les quartiers populaires…

Et pour celles et ceux qui ne peuvent poursuivre leur vie à domicile, c’est trop souvent une maltraitance institutionnelle, des soins dégradés, des contacts humains réduits à leur plus simple expression car les personnels en nombre insuffisant sont débordés, épuisés, traumatisés de ne pouvoir accorder à chacun-e des résident-es un peu de temps, d’attention.

Selon la ministre de la Santé, il n’y a pas de problème d’effectifs ou de budget dans les EHPAD, c’est juste une question de « management », car pour elle ce sont des entreprises, pas des lieux de vie.

La réalité, selon la mission parlementaire qui a enquêté, c’est un sous-effectif généralisé, des conditions de travail particulièrement difficiles, l’absence d’infirmier-ère de nuit, une tarification qui accentue les inégalités territoriales…

Dans le Finistère, département vieillissant, 124 EHPAD publics ou privés offrent 11 300 places, soit 115 places pour 1 000 habitants de plus de 75 ans. Ce nombre stagne, quant aux places en foyers-logements, elles diminuent. C’est insuffisant pour répondre aux demandes..

Encore plus insuffisants les effectifs des personnels : le ratio devrait être d’un professionnel par résident, il est moitié moindre.

Le taux d’équipement en soins infirmiers et aide à domicile est inférieur à la moyenne bretonne.

En 2017 on comptait dans le budget départemental plus de 100 millions d’euros versés pour l’APA (allocation personnalisée d’autonomie) mais seulement 38 millions compensés par l’État !

Derrière ces chiffres il y a des réalités humaines insupportables.

Et ils sont encore plus alarmants au regard de l’évolution démographique : la proportion des plus de 75 ans dans le Finistère devrait passer de 10,9 % à plus de 18 % en 2050.

Parce que l’humain est au cœur de leur projet, les communistes mettent en débat d’autres choix : création d’emplois qualifiés sur la base d’un salarié par personne âgée, mise en place d’un grand service public de santé de proximité, d’un pôle public départemental de l’autonomie ; formation de soignants ; suppression du numerus clausus en médecine ; suppression des restes à charge pour les familles ; financement de l’hôpital public à hauteur des besoins.

Ils proposent un financement solidaire à 100 % par la Sécurité Sociale, une cotisation supplémentaire sur les revenus financiers, le rétablissement de l’impôt sur la fortune, la suppression de la CSG, l’obligation pour l’État de compenser les dépenses des départements pour l’APA et la PCH (prestation de compensation du handicap).

La fédération du Finistère du PCF s’inscrit dans ce combat pour une société solidaire et apporte tout son soutien à la journée de mobilisation organisée par la CGT, la CFDT, FO, l’UNSA, la CFTC. Elle appelle à participer en grand nombre à la manifestation départementale qui aura lieu le mardi 30 janvier à 15h place de la Résistance à Quimper. Nous sommes toutes et tous concerné-es !

Ismaël Dupont secrétaire départemental du PCF.

Yvonne Rainero membre de sa commission nationale santé-protection sociale.

51 élu.e.s finistérien.ne.s demandent au président Macron de tout faire pour libérer Salah Hamouri

À l’initiative de Piero Rainero, élu communiste à Quimper, prolongée par Ismaël Dupont et Jacqueline Héré, élu.e.s communistes à Morlaix et Brest et d’autres élu.e.s : 51 élu.e.s finistériens ont signé une lettre ouverte au président de la République pour que la France intervienne au plus vite pour la libération de notre compatriote M. Salah Hamouri, emprisonné en Israël.

D’autres élu.e.s finistérien.ne.s peuvent encore signer cette lettre ouverte au président de la République contre l’injustice et la violation de l’état de droit que constitue cette arrestation administrative et politique.

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Lettre ouverte à

Monsieur le Président de la République

55, rue du Faubourg Saint-Honoré

75 008 PARIS.

Demande d’intervention de la France pour la libération de notre compatriote Monsieur Salah Hamouri emprisonné en Israël.

Monsieur le Président de la République,

Nous avons l’honneur d’attirer votre attention sur la situation de notre compatriote Monsieur Salah Hamouri, 32 ans, avocat spécialisé dans la défense des Droits de l’Homme, emprisonné en Israël depuis le 23 août dernier sans qu’aucun motif ne lui ait été signifié, ni à ses avocats.

Un tribunal israélien a décidé il y a quelques jours son maintien en « détention administrative » pour une durée de 6 mois renouvelable sans aucune inculpation ni jugement. Il s’agit là d’une procédure héritée du mandat britannique sur la Palestine au début du siècle dernier qu’appliquent les autorités de Tel-Aviv et qui peut conduire à des internements administratifs par périodes de 6 mois renouvelées indéfiniment sans aucun jugement.

L’arbitraire a déjà marqué la vie de ce jeune avocat franco-palestinien demeurant à Jérusalem. Il a dû subir en effet, alors qu’il était étudiant, de 2005 à 2011, 7 longues années de prison reposant sur des accusations infondées, les faits qui lui étaient reprochés n’ayant jamais, et pour cause, été établis. Le Président Nicolas Sarkozy et le Ministre des Affaires Étrangères de l’époque, Monsieur Alain Juppé, prenant acte de cette absence totale d’éléments à charge, étaient intervenus auprès du gouvernement israélien pour obtenir sa libération. Dans un communiqué le Ministère des Affaires Étrangères s’était même « réjoui » de cette libération.

L’acharnement contre Monsieur Salah Hamouri, qui vise à travers lui la lutte légitime du peuple palestinien pour le respect de ses droits et de sa liberté, pour le respect des décisions de l’ONU, n’a que trop duré.

Aujourd’hui face à un tel arbitraire notre compatriote ne peut compter que sur les autorités françaises pour retrouver la liberté.

Nous nous permettons de vous indiquer que de très nombreuses associations, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International, l’Union Juive pour la Paix, le Syndicat des Avocats de France, l’Association France-Palestine Solidarité, entre autres, réclament la libération immédiate de Monsieur Salah Hamouri. De même que des personnalités aussi diverses que MM. Michel Warschawski (historien israélien, fils de l’ancien Grand Rabbin de Strasbourg), Pierre Joxe (ancien ministre), Christiane Hessel (veuve de M. Stéphane Hessel), Jean Ziegler (vice-président de la commission des Droits de l’Homme de l’ONU), Rony Brauman (fondateur de Médecins sans Frontières), Michel Tubiana (Président d’honneur de la LDH), Richard Falk (professeur de droit international aux USA), ainsi que des députés, des sénateurs, des syndicalistes, des intellectuels, des journalistes, des artistes…Des conseils municipaux, départementaux ont également adopté des vœux en ce sens.

Nous vous demandons par conséquent, Monsieur le Président de la République, d’agir au plus vite et avec fermeté, de faire entendre la voix de la France pour exiger la libération de l’un des siens comme vous avez su le faire pour obtenir la libération des prisons turques du journaliste Monsieur Loup Bureau.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée.

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Les  51 signataires finistérien.ne.s au 7 octobre 2017 :

BELLEC Claude, conseillère municipale déléguée de Brest, PCF

BERGOT Bertrand, conseiller municipal de Carhaix

BEUZIT Michèle, maire de Lannéanou

CLOAREC Jean-Pierre, conseiller municipal de Morlaix, coopérative citoyenne

CORRE Christian, conseiller municipal de Plourin lès Morlaix

CREIGNOU Michel, adjoint au maire de Guissény

DUPONT Ismaël, élu à Morlaix et Morlaix-Communauté, PCF-Front de gauche

GOUÉDARD Hervé, conseiller municipal de Morlaix, PS

GRAMOULLÉ Gilbert, conseiller municipal et communautaire de Quimper, PS

GRIVEAU Jean-Louis, conseiller municipal de Douarnenez, Ensemble Douarnenez

GUEGUENIAT Paul, conseiller délégué à Saint-Yvi, UDB

GUELLEC Éric, conseiller municipal de Brest, vice-président de Brest Métropole, PCF

GUÉMÉNÉ Yannick, élu à Plouégat Guerrand et délégué à Morlaix-Communauté

GUILLEMOT Matthieu, conseiller municipal et communautaire de Poher Communauté, NPA

HÉRÉ Jacqueline, adjointe au maire de Brest, PCF

HÉRÉ Roger, conseiller municipal de Plouigneau, PCF-Front de gauche

HUON Joëlle, conseillère municipale de Plouigneau, conseillère départementale, PS

JAOUEN Roland, conseiller municipal de Plonéour-Lanvern, FI

JEUDY Jean-Pierre, maire honoraire de Carhaix

KERGUILLEC Julien, conseiller municipal de Pleyber-Christ, FI

KERVEN Anne-Marie, adjointe au maire de Brest, UDB

LAINÉ Jérémy, adjoint au maire de Guimaëc, PCF

LE BELLEC Étienne, conseiller municipal du Guilvinec, PCF

LE BIGOT Daniel, conseiller municipal de Quimper, EELV

LE BRAS Olivier, conseiller régional, PS

LE BIHAN Marie-Madeleine, adjointe au maire de Rosporden, divers gauche

LIZIAR Pierre-Yves, conseiller municipal du Relecq-Kerhuon, PCF

LUCAS Jean-Michel, conseiller municipal et communautaire de Landeleau, FI

MAZELIN Isabelle, adjointe au maire du Relecq Kerhuon, PCF

MOISAN Yves, maire de Plouézoc’h, vice-président de Morlaix Communauté, PS

NOLL Sarah, élue à Morlaix et Morlaix-Communauté, coopérative citoyenne

OLIVIER Alain, conseiller municipal de Plozévet

PARCHEMINAL Jean-Michel, maire de Plounéour-Menez

PEREIRA Véronique, maire du Cloître Saint Thégonnec

PIERRET Sorence, conseillère municipale de Douarnenez, Ensemble Douarnenez

PIRIOU Thierry, maire de Pleyber-Christ, PS

QUELENNEC Ludovic, conseiller municipal de Kerlaz, PCF

QUEMENER Paul, maire de Berrien

RAINERO Piero, conseiller municipal de Quimper, PCF

RANNOU Jacques, maire-délégué de Kernevel, PCF

REBOURS Alain, conseiller municipal de Plounéour-Menez, Ensemble

RICHARD Anita, conseillère municipale de Rosporden, PCF

RIVIÈRE Gilles, conseiller municipal de Châteauneuf du Faou, PCF

SCATTOLIN Valérie, conseillère municipale de Morlaix, FDG

STERVINOU Matthieu, conseiller municipal de Quimper, PS

TANGUY Jean-Marc, conseiller départemental, élu municipal et communautaire de Quimper, PS

TROADEC Christian, maire de Carhaix, conseiller départemental

TUPIN Hugues, conseiller municipal de Douarnenez

TURLAN Émile, conseiller municipal de Landivisiau

VERMOT Jean-Paul, conseiller départemental, élu municipal et communautaire de Morlaix, PS

VIGNON Laurence, conseillère municipale de Quimper, PS

Assemblée Générale des communistes finistériens le samedi 21 octobre à Morlaix

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Cher-e camarade,

Tu es invité-e à une

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE des communistes finistériens le samedi 21 octobre à Morlaix

Salle polyvalente du bourg de Ploujean de 9h30 à 13h00

en présence d’un membre de la direction nationale du PCF

et à l’apéritif et au repas convivial qui suivront

Cette Assemblée Générale doit nous permettre de :

  • débattre de la situation politique et sociale depuis la prise de fonction de Macron
  • de revenir sur notre actualité interne (fête de l’Huma Paris du 15 au 17 septembre 2017, fête de l’Huma Bretagne les 26 et 27 novembre 2017, mobilisations contre les ordonnances travail, pour la paix, initiatives du Conseil Départemental et des sections …)
  • de partager les réflexions des adhérents et des sections sur les enjeux du Congrès Extraordinaire du PCF en 2018 et l’ordre du jour de ce congrès qui doit être défini à l’issue de l’assemblée nationale des animateurs de section le samedi 18 novembre à Paris.
  • de réfléchir ensemble au contenu de la consultation nationale des adhérents communistes

Notre précédente Assemblée Générale du PCF Finistère au bourg de Kernével à Rosporden, en présence de Xavier Compain, membre de la direction nationale, qui en avait assuré l’introduction,  avait déjà pour sujet les enjeux de notre congrès et avait réuni 75 personnes le 8 juillet dernier. Elle avait été suivie par un repas convivial.

Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF du Finistère

À Brest le 4 octobre 2017.

rencontre de solidarité avec la Palestine à Brest et rassemblement de soutien à Salah Hamouri à Quimper

Cette semaine, le groupe local de l’AFPS reçoit ses partenaires palestiniens du camp de réfugiés de Jalazone, en Cisjordanie.

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Moussa et Youssef, deux responsables de l’association de soutien aux personnes âgées du camp, seront à Brest du 13 au 18 septembre.

Sur la base de l’appel du Collectif national pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, le groupe de l’Association France-Palestine Solidarité et la section du Pays de Brest du PCF organisent  une  rencontre fraternelle entre militants brestois  et invités palestiniens

le jeudi 14 septembre à 12h au 6 rue André Berger (arrêt de tram Saint-Martin)

Ce sera aussi l’occasion de découvrir la vie dans le camp de réfugiés de Jalazone et le partenariat de l’AFPS avec leur association « Palestinian Aged Friends Charitable Society ».

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Le groupe AFPS de Brest a lancé en 2012 un projet de partenariat avec l’association« Palestinian Aged Friends Charitable Society », qui vient en aide aux personnes âgées du camp de réfugiés de Jalazone, à 7km au nord-est de Ramallah en Cisjordanie.

Créé suite à la création de l’État d’Israël et de la fuite de la population devant la violence des milices sionistes, il s’étend sur environ 25 hectares et compte aujourd’hui plus de 10 000 habitants. Situé en zone C, en Cisjordanie occupée, sous autorité israélienne complète, il reçoit toutefois l’appui de l’UNRWA (l’office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) notamment dans le domaine de l’éducation et de la santé. L’éducation, le chômage des jeunes, l’accès à l’eau et aux soins médicaux sont les problèmes majeurs du camp.

Le but de l’association est de rendre des services de première nécessité (fourniture de repas, de médicaments, partenariat avec le Centre de réhabilitation psychologique, réhabilitation des logements, activités de loisirs…) aux personnes âgées du camp de réfugiés (et éventuellement des villages alentours) et de rompre leur isolement.

La fédération du Finistère du PCF appelle au rassemblement pour exiger la libération de Salah Hamouri ce jeudi 14 septembre à 18h place de la Résistance à Quimper.

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L’association France Palestine Quimper appelle à un rassemblement jeudi pour demander la libération de Salah Hamouri, un Franco-palestinien de 32 ans, né et habitant Jérusalem, actuellement en détention. « Salah Hamouri, ce n’est pas un cas isolé, il est emblématique des prisonniers palestiniens qui connaissent l’arbitraire et l’acharnement, les difficultés du regroupement familial », affirme Yves Jardin.

Salah Hamouri était venu à Quimper en septembre 2012 après sa libération dans le cadre d’un échange de prisonniers en décembre 2011, après avoir été condamné en plaider coupable pour une participation supposée à la tentative d’assassinat d’un rabbin.

Un procès dont le déroulement avait incité Alain Juppé, alors ministre des Affaires étrangères, à regretter une « absence de remise de peine, d’autant que les aveux faits à l’audience n’ont été corroborés par aucun élément de preuve ».

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Une nouvelle audience est attendue aujourd’hui

En 2014 Salah Hamouri est devenu avocat et défenseur des prisonniers palestiniens. Cette année-là, il a épousé une Française travaillant au consulat de France, interdite de territoire par les autorités israéliennes après la naissance de leur enfant. Le 23 août dernier, Salah Hamouri a de nouveau été arrêté à son domicile. Une semaine après, un tribunal d’instance a décidé de sa libération sous condition. Il a alors fait l’objet d’une détention administrative puis d’une condamnation à trois mois de prison pour purger sa peine non exécutée lors de sa libération de 2011. Une nouvelle audience est attendue aujourd’hui pour statuer sur son sort. « Nous demandons l’intervention du Président de la République et du gouvernement, une libération immédiate et sans condition de Salah Hamouri », a annoncé Yves Jardin.

 

Débat sur l’Irlande et le Royaume Uni d’après Brexit à l’espace Bretagne de la Fête de l’Huma

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À la Fête de l’Huma

Espace de débats Bretagne (angle de l’avenue Martin Luther King – et de l’avenue Raymonde Tillon)


Samedi 16 septembre à 17h :
Débat organisé par la Fédération du Finistère du PCF : 

Le Royaume-Uni après le Brexit

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Avec Philippe Marlière
politiste spécialiste du Labour et du Royaume-Uni, universitaire à Londres, auteur de nombreux articles et analyses pour la presse française
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Anne Sabourin
représentante du PCF au sein du Parti de la gauche européenne
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Jean-Michel Galano 
militant communiste, philosophe, bon connaisseur de l’Irlande et du Royaume-Uni
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Débat animé par Ismaël Dupont et qui s’inscrit dans la suite de l’initiative de solidarité et de rencontre PCF-SINN FEIN de Paris à l’automne 2016 et du Finistère (BREST, MORLAIX, ROSCOFF) au mois de mai 2017. 

Comment analyser les causes du Brexit ?
Quelles sont ses conséquences économiques, sociales, politiques déjà avérées ? Celles qui sont à prévoir ? Quelles perspectives pour l’Écosse et l’Irlande du Nord, le capitalisme anglais, notamment ?
Comment décrire la politique de Théresa May qui a conduit à un échec électoral relatif aux élections législatives anticipées de juin dernier ?  
Quelles alternatives progressistes en Grande-Bretagne, en Irlande du Nord ?
En quoi l’épisode du Brexit doit-il être le catalyseur de la construction d’un autre projet européen, social, démocratique, respectueux des peuples ?