PCF Finistère

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A l’agenda des communistes finistériens – février/ mars 2022

A l’agenda:
ce samedi 5 février: AG de la 6e circonscription à Pont de Buis, Conseil National du PCF à Marseille
Dimanche 6 février – Meeting de Marseille de Fabien Roussel auquel participe notre camarade Enzo de Gregorio, à suivre sur BFMTV et LCI à 15h
Lundi 7 février, 14h – Préparation de la fête de l’Humanité à Morlaix, stand du Finistère, local du PCF
Brest: commémoration du massacre de Charonne. Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie est sauvagement réprimée par la police. Cette journée qui restera dans les mémoires comme le « massacre du métro Charonne » fera 9 morts et plus de 250 blessés. A l’occasion du soixantième anniversaire de ce massacre il nous parait important de commémorer ce massacre. Aussi nous vous proposons de vous associer à un dépôt de gerbe qui aura lieu le 8 février à17h 30 à l’entrée de la rue Daniel Féry (du nom de la plus jeune des victimes qui avait 15 ans ) face à l’ancien LIDL de St Pierre
Mardi 8 Février, 17h30 à Quimper, Halles Saint-François, salle n°1: conférence-débat avec Georges Cadiou sur Marcel Cachin à l’occasion des 100 ans du PCF, à l’invitation de la section de Quimper et du Comité des Jours Heureux
Mardi 8 février, 18h à Morlaix – local du PCF 2 petite Rue de Callac: Valère Staraselski nous parle de Jean de La Fontaine pour les mardis de l’éducation populaire du PCF
Mercredi 9 février de 18 H 30 à 20 h 30 – Salle Tessier – 4 rue Colonel Fonferrier – conférence de Valère Staraselski à l’invitation des Amis de l’Huma, et de la section du Pays de Brest du PCF , sur 100 ans d’histoire communiste  afin de présenter le livre qu’il a dirigé avec Guillaume Roubaud Quashie pour le centenaire du PCF: « 100 ans de Parti Communiste Français » (Le Cherche-Midi, 2020, 25€

 

Vendredi 11 février – Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix à 18h 2 petite rue de Callac à Morlaix
Samedi 19 février – Réunion avec les nouveaux adhérents du PCF Finistère à 17h à la fédération, côté rue Berger à Brest, suivie d’un pot amical
Samedi 26 février – 11h-23h – fête de l’avenir à Rennes en présence de Léon Deffontaines et Ian Brossat, porte-paroles dans la campagne de Fabien Roussel. Présence de camarades du PCF Finistère. Contacter la fédération pour covoiturage.
Jeudi 17 mars: Venue de Léon Deffontaines à Brest, secrétaire du MJCF, et porte-parole de Fabien Roussel. Réunion publique à la fac Ségalen.
samedi 19 mars – dimanche 20 mars – Formation militante du PCF à Brest à la fédération- Prendre contact avec la fédération pour s’inscrire et connaître le programme
mercredi 23 mars – meeting de Fabien Roussel à Nantes/ transports collectifs depuis le Finistère, notamment un car depuis le nord-Finistère

Fin de la vie chère: demandez le programme… de Fabien Roussel! (L’Humanité, 5 février 2022)

L’analyse. Fin de la vie chère : demandez le programme !

Fabien Roussel, le candidat communiste à la présidentielle, a présenté 180 propositions. Au volet social, la hausse généralisée des salaires, la baisse des factures et du temps de travail, des « réformes heureuses pour les classes populaires » financées par la mise à contribution de la rente inouïe du capital.

Samedi 5 Février 2022 – Julia Hamlaoui – L’Humanité

En tout 180 propositions, 6 objectifs et 3 « moyens », déclinés en 128 pages. Avec son programme « La France des jours heureux », le candidat du PCF à la présidentielle, Fabien Roussel, met en avant ses « différences ». Il ne manque pas, au passage, de s’amuser d’être repeint en « candidat de la gauche préféré de la droite » : « Ils n’ont pas dû bien lire mon programme », sourit-il. Surtout, le député en a « marre des propositions punitives, des promesses d’austérité, d’économies… Je propose des réformes positives, heureuses pour les classes populaires », avance-t-il. Si son programme dessine un changement global, des questions démocratiques à la lutte contre les discriminations, il veut « faire de la lutte contre la vie chère et pour le pouvoir d’achat le cœur de la présidentielle ».

« Éradiquer le chômage et la pauvreté »

Au rang de ses « différences » avec une partie de la gauche, il en est une que le candidat du PCF met régulièrement en avant : il rejette absolument le « revenu universel ». « Nous voulons passer d’une France des bas salaires, du chômage et des allocations à une France du travail et d’un revenu élevé qui en est issu », explique le député du Nord, qui défend un « droit universel au travail » avec un nouveau service public dédié. Mais sans création d’emplois, « ça ne marchera pas », prévient d’emblée Fabien Roussel, qui a fait de la réindustrialisation une priorité, avec notamment un « moratoire » sur les délocalisations. Pour « travailler tous », il s’agit aussi de « travailler moins », avec la semaine de 32 heures et la retraite à 60 ans. De quoi, en outre, « restituer aux salariés les gains de productivité qu’ils réalisent ».

Icon QuoteNous défendons un “droit universel au travail” avec un service public dédié. sans création d’emplois, ça ne marchera pas.  Fabien Roussel, candidat PCF

Le candidat propose aussi d’investir dans les services publics à hauteur des besoins, avec la création de 500 000 postes de fonctionnaires. Le secteur associatif ne serait pas en reste avec « 100 000 emplois d’utilité publique ». Quant aux revenus, sont défendues la hausse du Smic à 1 500 euros net « tout de suite », une revalorisation des pensions à 1 200 euros minimum, une augmentation de 30 % dans la fonction publique, mais aussi la mise en place de « conférences salariales dans toutes les branches ». Concernant les écarts de salaires entre les hommes et les femmes – « toujours de 16 % en moyenne » –, le candidat prend l’engagement de les éliminer « en six mois dans le public et en un an dans le privé », quitte à recourir à des administrateurs judiciaires.

« Un pacte pour la jeunesse »

C’est autour d’un « pacte pour la jeunesse » que Fabien Roussel avait fait sa rentrée en septembre dernier. Celui-ci figure désormais en bonne place dans son programme. L’objectif ? Un « système zéro jeune au chômage », décrit le communiste, qui ne veut « pas d’une solution à 500 euros avec un emploi précaire pour six mois comme le propose Macron », mais « une convention de sécurisation individuelle qui assurera soit un emploi, soit une formation ». Outre l’ouverture de nouveaux droits comme l’accès au RSA avant 25 ans, un « revenu étudiant » entre 850 et 1 000 euros, ou la gratuité du permis de conduire, un dispositif de prérecrutement dans la fonction publique serait créé.

« Que les gros paient gros »

La pandémie n’a pas vidé tous les porte-monnaie : les cinq premières fortunes de l’Hexagone ont doublé pendant la crise, selon le dernier rapport d’Oxfam. « Que les gros paient gros et les petits paient petit », aime à répéter le prétendant du PCF à l’Élysée, qui cite régulièrement un autre rapport. Celui de la commission des Finances de l’Assemblée montrant que, déjà, « en 2017, les 358 198 foyers redevables à l’ISF ont déclaré un patrimoine net taxable de 1 028 milliards d’euros ». « 1 000 milliards d’euros et il n’y aurait pas d’argent pour répondre aux besoins du pays ? » s’impatiente le député, qui prévoit de rétablir et tripler l’impôt sur la fortune. En parallèle, celui sur le revenu, avec 15 tranches, serait rendu plus progressif, tout comme la fiscalité des donations et successions.

Quant aux entreprises, le candidat propose d’appliquer la même logique avec un nouvel impôt sur les sociétés progressif et modulé en fonction de critères économiques, sociaux et environnementaux. Face à l’évasion fiscale, un « prélèvement à la source des bénéfices des multinationales » serait mis en place et une COP fiscale proposée. Mais le candidat entend également s’attaquer aux « vraies charges » qui pèsent sur les PME. Non pas les cotisations sociales comme le répètent la droite et le Medef, mais « les taux d’intérêt élevés », les primes d’assurance « insupportables » ou encore les factures d’électricité qui s’envolent. Pour « reprendre la main », la nationalisation de deux banques (BNP et Société générale), d’une compagnie d’assurances (Axa) mais aussi d’EDF et d’Engie est prévue.

« De nouveaux traités pour l’Europe »

Règle des 3 %, réduction du déficit et de la dépense publique… « Ces traités européens sont morts, rendus caducs par la pandémie. Nous devons donc en réécrire de nouveaux », assure Fabien Roussel, qui affiche l’objectif de « sortir de la soumission à l’oligarchie financière ». Au-delà du « refus de payer la dette liée au Covid », il souhaite remettre la main sur la Banque centrale européenne, aujourd’hui indépendante. « La BCE a fait tourner la planche à billets : 1 800 milliards d’euros ont été injectés dans l’économie entre 2020 et 2021, dont 290 milliards pour la France. Mais ils sont passés par les marchés financiers, on ne fait pas ce que l’on veut avec », déplore le parlementaire, estimant indispensable « que la BCE prête directement aux États pour investir dans la transition écologique, les services publics, la réindustrialisation ».

« 6 % du PIB pour le climat »

Un « pacte pour le climat et l’urgence sociale » à l’échelle de l’Europe fait aussi partie des mesures mises en avant par le PCF sur la question environnementale. « Comme le proposent les chercheurs du Giec, nous voulons consacrer 6 % du PIB pour le climat, soit pour la France 140 milliards d’euros, et 900 milliards pour l’Union européenne », détaille Fabien Roussel, qui sur ce terrain se distingue de ses concurrents de gauche par sa position tranchée sur le nucléaire. « Nous voulons une énergie électrique décarbonée, pilotable, stable. Il n’y a pas à tortiller, c’est ou l’hydraulique ou le nucléaire, pour nous ce sera les deux », s’exclame-t-il, plaidant pour un « mix énergétique » comprenant 6 nouveaux EPR. Changement de modèle agricole – favorisant le bio, les circuits courts, avec un objectif de 500 000 agriculteurs d’ici à 2030, une nouvelle PAC – et développement des transports en commun (investissement de 50 milliards d’ici à 2030 et gratuité pour les jeunes et les salariés) figurent également en bonne place parmi les 180 propositions. « S’il y a le feu à la planète, martèle le candidat, il faut y mettre les moyens, mais cela ne doit pas se faire contre les classes populaires. »

Mobilisation de la jeunesse étudiante pour des conditions d’études dignes à l’Université

 

C’était ce jeudi 3 février à Brest, la jeunesse mobilisée pour l’accès de tous à la fac, et une Université de qualité, avec des vraies moyens.

Mobilisation de la jeunesse pour des conditions d’études dignes ce jeudi 3 février après les annonces indignes d’Emmanuel Macron ouvrant la voie à des études supérieures à l’Université plus chères, à la fin du principe de la gratuité de l’enseignement supérieur! ✊

Voir l’article de l’Humanité avec l’interview de notre camarade sénateur communiste Pierre Ouzoulias, déjà venu à Brest sur la question de Parcoursup à l’invitation du PCF:

L’Humanité:

Pierre Ouzoulias : « Pour l’Élysée, un cursus, c’est comme un produit de luxe »

Selon Pierre Ouzoulias, sénateur PCF des Hauts-de-Seine, le chef de l’État ne se soucie que de la préservation des élites. Un projet émancipateur et démocratique pour l’enseignement supérieur implique d’assurer la réussite de toutes et tous.

Publié le Jeudi 3 Février 2022 – Olivier Chartrain, L’Humanité

Faut-il s’étonner des déclarations d’Emmanuel Macron devant France Universités ?

Oui et non… On y retrouve l’essentiel de son programme de 2017 : un projet de transformation néolibérale de l’université, que Frédérique Vidal a appliqué de façon scrupuleuse pendant cinq ans. C’est un échec absolu, qui a conduit l’enseignement supérieur dans une situation catastrophique. À commencer par la précarité des étudiants, source de souffrances terribles, et bien entendu la faiblesse structurelle du financement des universités. Cela fait dix ans que le budget moyen par étudiant baisse chaque année, il est aujourd’hui l’un des plus bas de l’Union européenne. Le président prend-il en compte cet échec ­patent ? Non. Il revient de façon dogmatique à son programme de 2017. En fait, l’université ne l’intéresse pas. Comme pour beaucoup des membres des élites françaises, ce qui lui importe, c’est que celles-ci continuent à se perpétuer grâce aux grandes écoles. L’université, ça ne compte pas.

Pourtant, Frédérique Vidal répète qu’on n’a jamais autant investi dans l’enseignement supérieur…

C’est complètement faux. Le budget moyen par étudiant a baissé sous ce quinquennat, comme sous le précédent. Il y a entre 40 000 et 45 000 nouveaux étudiants chaque année. Pour les accueillir, il aurait fallu construire deux universités par an : pas une seule ne l’a été. Les établissements n’arrivent plus à faire face à cette montée du nombre d’étudiants.

Peut-on faire un lien avec l’exigence de professionnalisation des formations ?

C’est un enseignement supérieur à plusieurs niveaux que l’on voit poindre. Au niveau ­supérieur, les grandes écoles : on ne regarde pas à la dépense et on ne parle jamais d’employabilité, au contraire, il s’agit de donner une culture générale la plus vaste possible. Ensuite, il y a les universités qui fusionnent pour affronter la compétition internationale : celles-là, on les finance. Et puis il y a les sous-universités, dont on exige qu’elles adaptent leur offre pédagogique aux demandes du marché. C’est absolument contraire à l’idée de l’université républicaine, où l’enseignement supérieur a pour but l’émancipation, individuelle et sociale, pour tous, sur tout le territoire. Avec un objectif : permettre à une classe d’âge d’atteindre le plus haut niveau de formation possible. Le projet libéral, c’est, à l’inverse, de sélectionner l’élite en organisant la concurrence de tous contre tous. C’est Parcoursup : on parle d’égalité des chances, jamais d’égalité des droits. C’est à chacun de se faire le promoteur de sa propre réussite. Sauf que ceux qui réussissent le mieux dans ce système sont ceux qui en ont déjà les clés : les classes sociales supérieures. Même l’inspection générale de l’éducation nationale l’a reconnu : les déterminismes sociaux faussent les chances dès le début.

Emmanuel Macron est revenu en arrière sur ses déclarations…

Quand toute la société française est choquée par l’image des étudiants qui font la queue aux soupes populaires, qui peut admettre qu’on dise que la solution, c’est l’augmentation des droits d’inscription ? C’est invendable ! La crise sanitaire a ­permis une prise de conscience de la ­situation des étudiants. Macron ne veut pas le voir, pour lui, un cursus, c’est comme un produit de luxe : plus il est cher, plus il a de la valeur… Le précédent de « Bienvenue en France » le prouve, en appliquant déjà ce principe aux étudiants hors Union européenne.

Comment remédier à la précarité étudiante ?

Il faut d’abord affirmer un projet : jamais nous n’avons été confrontés à des enjeux tels que le changement climatique et environnemental. La seule façon de s’en sortir, c’est d’investir massivement dans la connaissance, la recherche, l’éducation. C’est une priorité absolue, fondamentale. Donc, il faut mettre de l’argent. Le Conseil d’analyse économique, qui n’est pas une officine de gauchistes, a montré qu’il faut entre 5 et 8 milliards d’euros pour accueillir les étudiants qui arrivent. Cet investissement peut parfaitement être financé par un grand emprunt national : on sait que chaque euro investi dans l’enseignement supérieur et la recherche entraîne des bénéfices au moins équivalents.

Comment permet-on à tous ces jeunes de vivre pendant leurs années d’études ?

Si on veut qu’un étudiant réussisse, il faut se soucier, avant même la pédagogie, des conditions matérielles de son cursus : ­logement, alimentation, santé. Si la nation veut qu’une classe d’âge aille le plus haut possible dans son cursus, alors elle fait confiance à cette jeunesse et lui assure les moyens matériels d’y parvenir. Ce n’est ni un salaire ni une aide sociale : c’est une aide à la réussite, un engagement de l’État pour permettre à chacune et chacun d’aller au bout de ses ambitions.

Faut-il supprimer Parcoursup ?

Malheureusement, je pense que nous n’avons même plus la possibilité de le faire dès la première année de mandat. Si on le fait, la sélection se fera sur la capacité à dormir dans la rue pour obtenir les premières places… En revanche, il faut, dès la première année de mandat, une loi de programmation qui dise : « Dans les cinq ans, je m’engage à créer tant de places dans l’enseignement supérieur. » On doit aussi restaurer le bac professionnel en quatre ans, afin d’assurer la poursuite d’études de ces jeunes. Enfin, il faut promouvoir l’autonomie pédagogique et scientifique des universités, les sortir de la vision utilitariste de Macron, qui veut faire entrer les entreprises dans les universités pour leur dicter ce qu’elles doivent faire en fonction de leurs besoins.

Le plan de Macron pour l’université : faire payer les familles

Enseignement supérieur Des organisations de jeunes et d’étudiants appellent ce jeudi à une journée d’action contre la sélection et la précarité, le projet d’Emmanuel Macron dessinant les contours de facultés à l’anglo-saxonne.

Publié le Jeudi 3 Février 2022 – Olivier Chartrain

Emmanuel Macron veut-il vraiment rendre l’université payante ? La question a surgi sous les feux de l’actualité, le 13 janvier. Ce jour-là, le président de la République participait aux 50 ans de la Conférence des présidents d’université, qui actaient en même temps sa transformation en France Universités. Et il a prononcé cette phrase : « On ne pourra pas rester durablement dans un système où l’enseignement supérieur n’a aucun prix pour la quasi-totalité des étudiants. »

Le tollé fut immédiat, de la gauche à la droite. Tous dénoncent la volonté du président de la République, plus que probable candidat à sa propre succession, de rendre l’université payante en se préparant à faire exploser les droits d’inscription.

La réponse des premiers concernés, les jeunes et les étudiants, a pris la forme d’un appel à une journée de mobilisation, ce jeudi, contre la précarité, la sélection et l’augmentation des frais d’inscription. Organisations syndicales (Unef, FSE, Solidaires étudiants, l’Alternative, la Voix lycéenne) ou politiques (UEC, Génération.s, Jeunes écologistes, Jeunes insoumis, MJS) demandent « un plan d’urgence (…) à destination des étudiants et des lycéens pour de meilleures conditions d’études et de vie ». À Paris, une manifestation partira à 13 heures de Port-Royal, et d’autres initiatives se dérouleront dans plusieurs villes universitaires.

La « note de Gary-Bobo »

Emmanuel Macron, lui, a fait marche arrière. « Je n’ai jamais dit ça », s’est-il défendu, une semaine après son discours. Pourtant, ce qu’on peut connaître de son projet pour l’enseignement supérieur le contredit. Pour en dégager les grandes lignes, on peut se reporter à celui du candidat Macron en 2017, comparer ce qui a été accompli, et en déduire ce qu’il reste à faire.

Le plus parlant dans ce domaine, c’est sans doute la note de Gary-Bobo, comme on a appelé ce court texte daté de novembre 2016. Signée de Robert Gary-Bobo, professeur d’économie à l’Ensae (École nationale de la statistique et de l’administration économique), elle était adressée à Thierry Coulhon, à l’époque conseiller éducation, enseignement supérieur et recherche d’Emmanuel Macron – et nommé en 2020 par ce dernier président du Hcéres, le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. Robert Gary-Bobo y listait les « réformes souhaitables » pour l’enseignement supérieur, ainsi que des « éléments d’une stratégie » pour y parvenir.

Les familles vont s’endetter pour financer les études de leurs enfants

Au menu : « Parachever l’autonomie » des universités, initiée par les lois Pécresse (2007) et Fioraso (2013), en renforçant les pouvoirs des présidents appelés à devenir de véritables managers du supérieur et en leur laissant toute liberté sur les ressources humaines, la sélection des étudiants et les droits d’inscription. Sur ce dernier point, Gary-Bobo affirme qu’il « n’y a rien à attendre du budget de l’État qui soit à la hauteur des besoins ». Pour offrir aux universités le financement dont elles ont besoin, y compris pour prendre leur place dans le paysage international, il faudrait donc prendre dans la poche des familles, avec des frais d’inscription atteignant entre 4 000 et 8 000 euros par an… dans un premier temps.

Prévenant le rejet d’une telle mesure dans un pays attaché à l’égalité des droits pour tous, la note suggère fortement de pousser les familles à recourir à l’emprunt pour financer les études de leurs enfants. Au grand bénéfice du secteur bancaire, d’autant que, anticipant sur la possibilité que de nombreux emprunteurs fassent défaut, de tels prêts seraient garantis… par l’État. Ainsi serait lancé, dans le style vulgaire qui caractérise son texte, ce que Robert Gary-Bobo nomme « la pompe à finances » pour l’enseignement supérieur, au détriment des familles et des jeunes appelés à s’endetter lourdement avant même leur entrée sur le marché du travail.

Une dégradation des conditions d’études

C’est bien ce programme qui a été mis en œuvre par Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Sur le quinquennat, 220 000 étudiants supplémentaires se sont inscrits à l’université ; seules 84 000 places de plus ont été créées. Et ces places sont largement en trompe-l’œil : sans construction de nouveaux locaux (ou de nouvelles universités), sans recrutement d’enseignants-chercheurs…

Conséquences : une dégradation des conditions d’études, la précarisation des enseignants (le 26 janvier a été « le jour du dépassement » pour le Snesup-FSU, l’université ne fonctionnant plus depuis ce jour que grâce à des heures de personnels non statutaires) et la mise en péril des finances des établissements.

La domination des « personnalités extérieures »

Sur le plan des structures et de la gouvernance, on a assisté durant cinq ans à un mouvement sans précédent de fusions entre établissements, sur le modèle de ce qui se fait dans l’industrie, dans le but d’atteindre une « taille critique » face aux universités les mieux placées dans les classements mondiaux.

Ce mouvement s’est accompagné de changements profonds dans la gouvernance, ces structures mêlant souvent universités et grandes écoles, voire écoles privées, leurs instances étant désormais dominées par des « personnalités extérieures » souvent issues du monde économique. C’est sans doute là ce qu’Emmanuel Macron entendait en appelant, le 13 janvier, à faire tomber les barrières entre universités et grandes écoles.

De même, sa demande pressante à ce que l’université délivre désormais des diplômes professionnalisants, qu’Anne Roger, cosecrétaire générale du Snesup, stigmatise comme une « vision court-termiste, qui demande à l’enseignement supérieur de couvrir les besoins immédiats de tel ou tel secteur économique, et tant pis si ensuite, les jeunes sont en difficulté pour évoluer, s’adapter ».

« Un modèle qui se met en place »

L’augmentation des droits d’inscription ? « Le plan Bienvenue en France, rappelle Adèle Labich, secrétaire générale de la FSE, a déjà fait passer les droits d’inscription pour les étudiants étrangers hors Union européenne à près de 4 000 euros en master et près de 3 000 euros en licence. » Pour la jeune syndicaliste, « cela ressemble à ce qui s’est passé en Angleterre, où ils ont augmenté les droits des étudiants étrangers, et ensuite ceux des autres ». Vice-présidente de l’Unef, Maryam Pougetoux rappelle que « l’an dernier, pendant la crise du Covid, nous avions alerté sur la mise en place de prêts étudiants garantis par l’État ».

« Ce ne sont pas juste quelques mesures, c’est un modèle qui se met en place », alerte Adèle Labich. Précisément le modèle décrit par Robert Gary-Bobo et dont Emmanuel Macron a repris les grandes lignes devant France Universités, ce « Medef des universités », comme ironise Anne Roger. Un modèle où « la logique de l’offre doit prendre le pas sur la logique de la demande », selon Macron, et dont les systèmes de gestion de flux d’étudiants, comme Parcoursup (ou son petit frère dont la mise en place pour les masters a été repoussée), ont pour fonction d’obliger les jeunes à accepter ce qu’on veut bien leur offrir. Au péril de leurs projets, de leur avenir, et de celui du pays tout entier.

 

Le programme « La France des Jours Heureux » de Fabien Roussel est arrivé dans le Finistère: à vendre 2 euros

Le programme de la France des Jours Heureux arrive dans le Finistère ce matin, en vente 2 euros auprès de vos sections communistes et des comités des jours heureux. 1000 ont été commandés pour l’instant mais nous pourrons en recommander! Toutes et tous avec Fabien Roussel!

 

Tractage à la gare de Landerneau avec Gladys, Christian, Mattéo et Enzo cette semaine, et un très bon accueil pour notre candidat aux Présidentielles Fabien Roussel.

Adresse de Ian Brossat, président de l’ANECR: élus communistes et progressistes, tous ensemble au côté de Fabien Roussel!

Cher·e ami·e,
Nous sommes maintenant à 65 jours de l’élection présidentielle. Celle-ci revêt un enjeu majeur et son résultat déterminera la politique qui sera conduite dans le pays lors du prochain quinquennat.
Je connais ton implication au service de ta collectivité, de la solidarité, de l’ancrage d’un service public de qualité sur tout le territoire et pour l’émergence de politiques de progrès dans le domaine social et environnemental.
L’Association Nationale des Élu·e·s Communistes et Républicains porte la volonté que cette élection nationale réponde aux exigences d’une société où l’humain prend le pas sur la finance.
L’engagement de tou·te·s nos élu·e·s, en prise avec les réalités, sera un élément déterminant de la lutte contre l’abstention et pour que l’aspiration de millions d’électeurs et d’électrices à une politique de justice, d’égalité, de liberté soient le message délivré par les urnes.
Les candidats et candidates de la droite et de l’extrême droite rivalisent de propositions toutes synonymes d’une austérité renforcée, de nouvelles suppressions de milliers de postes d’agents publics. Leur philosophie c’est l’emploi précaire à vie, aussi bien pour la jeunesse que pour la nouvelle génération de salarié·e·s. Celles et ceux qui vivent de leur travail dont le pouvoir d’achat s’est considérablement dégradé sont inquiet·e·s pour leur avenir et conscient·e·s du danger de la spirale enclenchée.
Les collectivités, notamment les communes qui sont des espaces d’innovations, de proximité et d’écoute des besoins qui s’expriment, doivent faire face au désengagement de l’Etat, aux baisses de dotations, aux transferts de charges non compensés, aux inégalités sans cesse croissantes.
Dans la campagne présidentielle deux visions s’affrontent singulièrement.
L’une est dans une course de vitesse pour amplifier la politique actuelle, dévastatrice pour le travail, l’école, le logement, la santé, la transition écologique. E.Macron, le président sortant adhère à ce programme et table sur sa réélection pour le mettre en œuvre et déconstruire une à une les conquêtes sociales issues de la résistance et de la libération.
A l’opposé, une autre vision défend le principe d’une société qui combat les inégalités, fait du social et de la défense de l’environnement le cœur de ses priorités.
Fabien Roussel, membre de notre association, porte cette autre vision. Il est le candidat qui à gauche aborde spécifiquement le rôle irremplaçable des collectivités en lien avec la République. Il fait des propositions concrètes afin de redonner du pouvoir d’action et de décisions aux maires et aux élu·e·s dans leur ensemble. L’ensemble de celles-ci sont développés dans le programme la France des Jours heureux.
Depuis vendredi 28 février et jusqu’au 4 mars 18H des milliers d’élu·e·s sont sollicité·e·s pour apporter leur parrainage à un·e candidat·e.
À l’ANECR, nombre d’entre-eux partageant les propositions de Fabien Roussel ont apporté leur promesse de parrainage, ou ont déjà renvoyé le formulaire officiel au conseil constitutionnel.
Des règles strictes s’appliquent pour remplir le formulaire de parrainage et pour le renvoyer au conseil constitutionnel, j’attire ta vigilance sur le respect de celles-ci.
La campagne de la présidentielle avec les élections législatives qui suivront vont donner lieu à d’intenses débats avec nos concitoyens. Elles doivent être l’occasion de convaincre que l’argent existe pour mettre en œuvre un programme de changement audacieux au service de la jeunesse et de toutes les générations.
Ce projet c’est celui que défendent l’ANECR et ses élu·e·s au quotidien, avec pour préoccupation de redonner à tous nos concitoyennes et concitoyens confiance et espoir dans l’avenir.
Aussi, je t’invite, ainsi que tous les élu·e·s communistes et apparenté·e·s à s’engager dans la bataille afin de construire un pacte pour la France, un pacte qui mobilisera toutes les forces de la nation sur un projet transformateur et émancipateur.
Ian Brossat
Président de l’ANECR

Fabien Roussel : lettre ouverte aux Enseignants et appel des enseignants à voter Fabien Roussel

Fabien Roussel adresse une lettre ouverte aux personnels de l’éducation.
« Je veux travailler avec vous à redonner à notre école les moyens de remplir sa mission : celle de permettre aux citoyennes et aux citoyens de demain de maîtriser leur avenir » Enseignants, soutenez Fabien Roussel, le candidat qui fait de la jeunesse et de l’éducation de vraies priorités, contre les présupposés élitistes et libéraux: https://framaforms.org/appel-a-voter-enseignants-pour…

Suivez Fabien Roussel sur les réseaux sociaux

Avec un dessin de notre camarade de Brest Eric Appéré pour les tee-shits imprimés par le PCF Finistère pour la campagne de Fabien Roussel!

A bloc dans l’ouest – ça colle pour Fabien Roussel dans le Pays Bigouden!

Comité de soutien finistérien à Fabien Roussel – en route vers les 1000 soutiens!

 

J – 67 / 536 soutiens publics ce 3 février 2022 au matin pour Fabien Roussel dans le Finistère

Finistériennes, Finistériens, Adhérents du PCF, Sympathisants du PCF, Personnes qui veulent le retour en force d’une gauche authentique, populaire, égalitaire déterminée, respectueuse des gens et du monde du travail, et qui souhaitent soutenir le projet politique de « La France des Jours Heureux », nous comptons sur vous pour nous aider à franchir la barre des 1000 soutiens publics pour Fabien Roussel, notre candidat aux élections présidentielles.

Nous avons atteint nos premiers objectifs d’étape: 400 soutiens le 15 janvier, 500 soutiens le 1er février. Désormais nous avons besoin de 50 soutiens nouveaux toutes les semaines et de 100 soutiens nouveaux tous les 15 jours pour atteindre l’objectif des 1000 soutiens le 10 avril!

On compte sur vous, parlez de ce comité de soutien autour de vous, parlez de la candidature de Fabien Roussel. Chaque voix compte pour redonner de la force aux idées communistes et progressistes dans notre pays!

Soutiens à adresser à dupont.ismael@yahoo.fr – ou à la fédération du PCF Finistère – 5 rue Henri Moreau – 29 200 BREST 02 98 43 47 78 – federation@29.pcf.fr

Contactez-nous également si vous voulez rejoindre nos Comités des Jours Heureux dans les communes et les circonscriptions du Finistère pour participer à la campagne de Fabien Roussel.

 

Pen-ar-Bed, A bloc dans l’ouest, tout en haut à gauche toute
536 personnes participent à ce jour au comité de soutien finistérien public à la candidature de Fabien Roussel.
Et ces soutiens viennent d’une partie significative des 277 communes du Finistère (104 communes différentes du Finistère) :
Bannalec, Baye, Berrien, Beuzec-Cap-Sizun, Brennilis, Brest, Briec, Carantec, Carhaix, Châteaulin, Clohars-Carnoët, Combrit, Concarneau, Crozon, Douarnenez, Elliant, Ergué-Gaberic, Fouesnant, Gouesnac’h, Guipavas, Gouesnou, Guilers, Guimaëc, Guisseny, Hôpital-Camfrout, Huelgoat, Ile-de-Batz, Ile d’Ouessant, Kernével, Kersaint-Landunvez, La Feuillée, La Forêt-Fouesnant, Landerneau, Lanmeur, Lanvéoc, Le Guilvinec, Le Relecq-Kerhuon, Lesconil, Lesneven, Locquénolé, Locmaria-Berrien, Locmaria-Plouzané, Loctudy, Logonna-Daoulas, Loperhet, Mahalon, Melgen, Mellac, Moëlan-sur-Mer, Motreff, Morlaix, Névez, Quimper, Quimperlé, Penmarc’h, Penzé, Plabennec, Pleyber-Christ, Plobannalec-Lesconil, Plogonnec, Plomeur, Plouarzel, Plouégat-Guerrand, Plouégat-Moysan, Plouénan, Plougasnou, Plougastel-Daoulas,, Plougastel-Saint-Germain, Plougonven, Plouguerneau, Plouhinec, Plouider, Plouigneau, Plounevez-Porzay, Plouzévédé, Plounéour-Menez, Plourin-les-Morlaix, Plouvien, Plozévet, Pont-Croix, Pont-de-Buis les Quimerc’h, Pont l’Abbé, Plogastel Saint-Germain, Riec-sur-Belon, Roscoff, Rosporden, Rosnoën, Santec, Saint Hernin, Saint-Jean-du-Doigt, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Pabu, Saint-Thégonnec Loc-Eguiner, Saint-Pol-de-Léon, Saint-Renan, Saint Vougay, Saint-Yvi, Santec, Scaër, Sizun, Taulé, Tregunc, Tréflez, Tréflévenez, Trémeoc …
Merci à toutes les personnes qui ont déjà donné leur soutien public à Fabien Roussel, et qui ont contribué à nourrir ce comité de soutien en posant la question aux proches et aux sympathisants.
On continue à parler autour de nous de notre candidat des Jours Heureux et du Parti Communiste pour amplifier le courant de sympathie et d’adhésion autour de cette candidature!

Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr

A ce jour,  536 personnes appellent publiquement à voter Fabien Roussel dans le Finistère.

  Guy ABGRALL, comédien, auteur et adhérent du PCF, Brest

Yves ALAIN, retraité, syndicaliste CGT, militant associatif, Le Relecq-Kerhuon

Anne-Marie ALAYSE, chercheuse Ifremer retraitée, Brest

Jean-Luc ALGOET – Brest

Sandrine ALLAIN, agente administrative, syndicaliste – Quimper

Philippe ALLOUARD, militant syndical, Quimperlé

Yvette ANDOLFATTO enseignante en retraite, ancienne militante syndicale dans le 93, Plougastel-Daoulas

Françoise ANNE, retraitée, Quimperlé

Serge ANNE, retraité, Quimperlé
Eric APPERE, militant syndical, Brest
Sylvain ARALDI, militant syndical, technicien bureau d’étude ALSTOM, La Forêt Fouesnant

Patrick ASSELBOURG, retraité de l’AFPA, syndicaliste, ancien adjoint à Plourin-les-Morlaix

Manu AUDIGOU, agent territorial, syndicaliste – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU, salariée de la Poste – Morlaix

Philippe AUZILLAUD, agent administratif syndicaliste – Morlaix

Antonio AVELLAN – retraité chauffeur routier – Brest

Christiane AVELLAN – retraitée agent d’entretien – Brest

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Denise BALLIOT, Loctudy

Gaston BALLIOT – auteur de sites d’histoire locale, Loctudy

Guy BARRE, enseignant en retraite, ancien responsable syndical- secteur Pont L’Abbé

Cyrille BARTHES, adjoint technique principal, syndicaliste CGT, Brest

Serge BAZIN retraité– Saint-Martin-des Champs

Christian BEAUMANOIR, Syndicaliste cheminot CGT , ancien M/Adjoint communiste de Maurepas (Yvelines)- exécutif départemental PCF du Finistère Lanvéoc

Marie José BEAUMANOIR, retraitée du trésor public, Lanvéoc

Patrick BEAUMONT-PEUZIAT Maraîcher Plougastel-Saint-Germain

Patrick BEGUIVIN – ouvrier en miroiterie, conseiller municipal à Plouigneau

Claude BELLEC – élue communiste à Brest pendant plusieurs mandats, administratrice logement social, Brest

Christine BELLEGUIC, infirmière, syndicaliste, ancienne conseillère municipale de Névez

Djelloul BENHENNI, ouvrier du BTP, conseiller municipal de Rosporden/ Kernével

Alain BERGEOT, militant République et Socialisme, Riec-sur-Bélon, candidat sur la liste Front de Gauche aux Européennes en 2014

Annie BERGEOT, retraitée de l’éducation spécialisée, Riec-sur-Belon

Annie BERGOT LE CALVEZ – retraitée des Finances Publiques, ancienne élue à Morlaix

André BERNARD  – retraité de l’éducation national (ancien proviseur) Quimper

Marie-Andrée BERNARD – retraitée de la Mutualité – syndicaliste, Quimper

Odette BERRIC, retraitée, Saint Jean du Doigt

Josiane BERTHELOT – Scaër

Bernard BERTHIER ancien conseiller municipal de Saint-Yvi, syndicaliste

Alain BESCOU – retraité fonction publique territoriale, Plouhinec

Martine BESCOU – retraitée publique territoriale, Plouhinec

Mehdi BEUNECHE, étudiant. Brest

Jean-Pierre BEUZIT – cuisinier – adhérent PCF – Morlaix

Bertrand BIANIC Conseiller municipal délégué en charge du personnel au Relecq-Kerhuon
Morgan BIZIEN, professeur des écoles – Brest
Alain BIZOUARN, ancien maire adjoint de Locmaria-Berrien, retraité
Denise BLANCHE retraitée du secteur bancaire semi-public – ancienne élue à Fontenay-aux-Roses – militante associative, syndicale et politique vétéran du PCF, Fouesnant
Fernand BLANCHE retraité du logement social – Fouesnant
Cécile BLANCHET, infirmière libérale, formatrice CGT, Guimaëc

Véronique BLANCHET, Formatrice Professionnelle d’Adultes. Ancienne vice

présidente de la communauté de communes du Pays Bigouden Sud. Ancienne – 3eme adjointe au maire chargée des affaires scolaires et enfance de la ville de Pont-l’Abbé
Annie BLEAS, médecin psychiatre, Quimper
Fabienne BLOYET – Motreff
Bernard BLOYET – Retraité de la RATP, Syndicaliste CGT, Motreff

Anne BORGNIET-YOUÉNOU , retraitée, Brest

Jeannine BOUARD, Retraitée militante CGT et PCF (usine Renault), Pont-l’Abbé

Christophe BOUDROT infirmier à l’hôpital, syndicaliste, adjoint au maire à Plouigneau

Jules BOUEDEC ancien élu, Lanmeur

Yvonne BOUER – retraitée, Plouhinec

Claude BOULIC, cheminot retraité , responsable associatif, Crozon

Claudie BOURNOT GALLOU Adjointe en charge des finances, de l’administration générale, du personnel et des élections Mairie du Relecq-Kerhuon

Bernard BOURSON, retraité, Plouider

François BOURVEN Cheminot, syndicaliste, Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN ancienne élue à Plougonven, Morlaix

Jacqueline BRAIRE Le Guilvinec déléguée syndicale S.M.I.C.T. – C.G.T. pendant la carrière professionnelle (syndicat des médecins, ingénieurs,  cadres et techniciens ), Infirmière retraitée,  puis cadre de soins et ensuite cadre supérieure de santé jusqu’en 2004

Malika BRANELLEC – adjointe technique, syndicaliste CGT Brest

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT conseillère municipale à Morlaix

Denise CAM contrôleuse des Finances Publiques ER- Brest

Jean-Paul CAM contrôleur des Finances Publiques ER – Brest

Gilles CANQUETEAU -cadre Enedis, militant syndical, secteur Quimper

Christian CARDUNER – Retraité militant CGT PTT ancien secrétaire Départemental CGT  du secteur des activités postales et des télécommunications du Finistère-Sud et secrétaire régional activités postales et communication Bretagne – élu PCF Scaër

Elisabeth CARDUNER-Scaër

Monique CARDUNER – Scaër

Alain CARIOU, professeur retraité, ancien adjoint au maire, Plougonvelin

Alain CARIOU, Marin pêcheur retraité, Loctudy

Alain CARIOU, militant CGT – Scaër

Mimi CARIOU, Retraitée commerce, membre de la section du Pays bigouden, Loctudy
Jean-Claude CARIOU, professeur en retraite , militant associatif , Logonna-Daoulas

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – infirmière retraitée, Plougasnou

Martine CARN – conseillère municipale à Plougonven, militante santé publique

René CARN – Plougonven

Marcel CARLIER – Retraité, Riec-sur-Belon

Hélène CARLIER – Retraitée, Riec-sur-Belon

Philippe CARQUET – Gouesnou

Jean-Louis CAUSEUR, militant syndical – Saint Renan

Jeannine CAVACO – Retraitée de l’Éducation Nationale – 3 mandats conseillère municipale communiste à Mellac

Bernard CELTON ancien responsable syndical de la CGT chez Renault et en Seine st Denis – Melgven

Jean Pierre CHABROL, retraité de la fonction publique territoriale, habitant à Brest.

Jean CHEVALIER, Ancien élu PCF à Landerneau

Jean-Marc CLERY,  Professeur, secteur de Quimper.

Anne-Catherine CLEUZIOU, conseillère municipale, Brest

Nadine CLOAREC – retraitée France Telecom Orange, militante syndicale, militante politique – exploitante agricole – Locmaria Berrien

Yves CLORENNEC – professeur des écoles – Quimper

Albert COÏC – Beuzec-Cap Sizun

Emile COIGNARD -retraité France Télecom- Secteur Quimper

Isabelle COLPIN – Artisan d’Arts- Moëlan-sur-Mer

Bernard CONDETTE – Tregunc

Marc CORBEL – agent territorial – syndicaliste – Lanmeur

Alain CORFMAT – syndicaliste santé en retraite – Loctudy

Pascal CORNOU – Sapeur pompier professionnel, SDIS du Morbihan – Moëlan-sur-Mer

Christiane CORRE, retraitée syndicaliste, Le RELECQ KERHUON

Jean-Claude CORRE – retraité, Riec-sur-Belon

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Patricia CORRE – professeure – Quimper

Danièle COTTY, retraitée, Moëlan-sur-Mer

Claude COUAMME, chanteur, interprète de la chanson française, Douarnenez

Jean-Patrick COURTOIS – retraité des PTT, syndicaliste, Plounévez-Porzay

Monique COURTOIS–  retraitée de la fonction publique territoriale, syndicaliste, Plounévez-Porzay

Michel CREIGNOU, ancien élu de Guisseny, retraité d’EDF. Guisseny

Stéphane CREACH, syndicaliste, habitant à l’Hôpital-Camfrout

André CREN Militant associatif Carhaix
Claudie CREN – Rédacteur Principal – Carhaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – enseignant à la retraite – Morlaix

Jeannine DANIEL – ancienne élue à Scaër et présidente du syndicat d’eau du Ster Goz, présidente de l’association « Bretons solidaires » qui vient en aide aux migrants, Scaër

Maëlvin DANIEL – étudiant, Morlaix

Guy DAROL – journaliste et écrivain – Plouigneau

Monique DAVID – syndicaliste, retraitée du Télégramme, Morlaix

Eugène DAVILLERS – conseiller municipal de Morlaix

Louis DEBARNOT – retraité de l’arsenal, militant syndical et associatif – Brest

Claude DECADI – militant communiste – Douarnenez

Solange DECADI – militante communiste – Douarnenez

Benjamin DERBEZ, professeur de sociologie à l’UBO Brest

Enzo DE GREGORIO – responsable des JC Finistère, Carantec

Christian DELANNEE économiste de la construction en retraite,  Morlaix

Claude DE LUNARDO adhérent PCF Lesconil

Marie-Thérèse DE LUNARDO adhérente PCF Lesconil
Jean-Pierre DEMAIMAY, Douarnenez
Marcel DENES, militant associatif, Fouesnant
Jean-François DENIS – retraité Thalès, Brest
Liliane DEROUT, Lanmeur

Corentin DERRIEN – étudiant, responsable de l’UEC Finistère, conseiller municipal à Saint Thégonnec Loc Eguiner

Gabriel DERRIEN – agent de maintenance en retraite,  Quimper

Jean-Jacques DERRIEN – retraité, Brest

Philippe DESSENNE, Technicien de maintenance, militant syndicaliste. Plogastel St Germain.

Eric DESURY – éducateur sportif – Brest

Jean-Philippe DEUNF – travailleur de l’agro-alimentaire – Lanmeur

Jean DIDOU – Guilers

Michel DIZES cadre territorial retraité – Plougasnou

Jean DREAN – cheminot retraité, syndicaliste, Plouigneau et Quimper

Murielle DUBREULE, retraitée, Saint Renan

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Emile DUOT – retraité des travaux publics, Quimper

Marie DUIGOU, adjointe déléguée au lien social et à la citoyenneté, Bannalec

Norbert DUIGOU – militant syndicaliste, retraité de la Sécurité Sociale, Bannalec

François DUOT – Retraité des travaux publics – Quimper.

Louis DUOT – Ouvrier métallurgiste, syndicaliste – Quimper.

Jackie DUQUENNE – retraité – Pont Croix

Roger DUPAS, retraité RATP syndicaliste et militant PCF, Pont L’Abbé

Aloys DUPONT – étudiant, Morlaix

Ismaël DUPONT – professeur documentaliste en collège, conseiller départemental et 1er adjoint, adjoint Finances-Ressources Humaines de la ville de Morlaix

Gilles DURIEU – Concarneau

Gilles DUSSAUTIEZ – Inspecteur conseil d’assurance – Le Relecq Kerhuon

Daniel EDELIN – retraité de la sécurité sociale,  Quimper

Marie-France FAUJOUR, syndicaliste, retraitée de la Manu, Penzé (Taulé)

Pierre FELICE – retraité Penmarc’h

Jean-Michel FEVRIER – Retraité – Carhaix

Floriane FEYSSEL – secrétaire administrative, militante, Guilers

Marie-Laure FEYSSEL-PIBOULEAU, retraitée et adhérente du PCF, Brest

Alain FLAGEUL, militant associatif, Rosnoen

Catherine FLAGEUL, militante associative et de la Paix, Rosnoen

Didier FLEGEAU Retraité BREST

Yann FLOURIOT, retraité de l’Éducation Nationale, militant, Plouvien

Alain FOUCHE, Clohars-Carnoët

Yann FOUCHER – directeur d’école, Quimper

Pierre FOURNET-FAYAS. Mellac

Marion FRANCES, secrétaire administrative, militante, Guilers

Ronan FRANCES. Ergué Gabéric

Cyrille FREY, syndicaliste, cheminot Brest/Landerneau

Pascal GACHE adhérent PCF Lesconil

Yvonne GADONNAY, Retraitée militante CGT, Guilvinec

Christian GAGOU – Retraité mécanicien de la réparation navale. Landerneau

Fabrice GAKIERE – Conseiller municipal de Briec, militant associatif, secteur Quimper

Denise GALLON – cheminote retraitée, secrétaire de la section des cheminots cgt retraités – Taulé

Jacky GALLOU, retraité, Le Relecq-Kerhuon

Michèle GAMBACHE – professeure en retraite, Morlaix

Patrick GAMBACHE – enseignant en retraite, éditeur, conseiller municipal délégué à Morlaix

Raymonde GARNIER  -retraitée, Moëlan sur mer

Robert GARNIER – retraité, Moëlan-sur-mer

Mariane GAUTHIER – conseillère municipale à Plouigneau

Walden GAUTHIER – lycéen, membre du MJCF 29, Plouigneau

Thierry GELEBART – retraité Thalès, Brest

Mattéo GESTIN – lycéen en terminale à Landerneau (littérature – sciences politiques), habitant de Brennilis

Camille GLIDIC – Île de Batz

Marie-Joëlle GLOAGUEN – Retraité de la fonction publique territoriale, Secteur Quimper

Patrick GLOAGUEN retraité de la pêche, militant communiste, Lesconil

Armel GONTIER, Enseignant EPS, militant syndical et militant associatif, Moëlan-sur-Mer.

Camille GONTIER, Maître de conférence en sociologie, Douarnenez

Dominique GONTIER – Moëlan-sur-Mer

Bruno GOULIAN, cheminot retraité, syndicaliste, GUIPAVAS

Yvette GOULM, Quimper

Marie-France GOUSSE, comptable, militante associative, CONCARNEAU

Gilles GRALL – artiste, syndicaliste, Plounéour Menez

Gladys GRELAUD – Conseillère Régionale de Bretagne, Landerneau

Muriel GRIMARDIAS – militante associative, Lanmeur

Monique GUERANGER Retraitée syndicaliste, Guilvinec

Fabrice GUILLAMET, dessinateur d’art celtique – Concarneau

Loeiz GUILLAMOT – journaliste en retraite, secteur Quimper

Anne-Marie GUILLOU – Scaër

Dominique GUEGUEN – Militante associative d’éducation populaire Brest

Françoise GUEGUEN – Militante Conseillère Pôle Emploi -Le Relecq-Kerhuon
Pascal GUEGUEN – section de Brest
Simone GUEGUEN – retraitée ancienne conseillère municipale de Brest
Dominique GUELLEC, auxiliaire de vie sociale, Brest

Eric GUELLEC, adjoint au maire de Brest, président du groupe des élu-e-s communistes de la ville de Brest et de Brest métropole, Brest

Morgane GUELLEC, section PCF de Brest

Eric GUENODEN, militant syndicaliste, Loperhet

Alain GUELOU, magasinier, retraité, Plouigneau

Josiane GUELOU, manipulatrice radio retraitée, Plouigneau

Malou GUIAVARC’H, professeur d’école, adhérente PCF, Plouvien

Nicole GUILLOU, adjointe de direction. Quimper

Philippe GUILLOU – cadre territorial en retraite, secteur Quimper

Yves GUIRIEC, cheminot retraité, militant syndical et associatif, Quimper

Suzanne GUIVARCH, retraitée, Brest

Alain GUYADER – professeur des écoles en retraite, secteur Quimper

Aline GUYADER – professeure des écoles en retraite, secteur Quimper

Suzon GUYAVARCH, retraitée, Plouguerneau

Jean GUYOMARCH – postier en retraite, syndicaliste, Quimper

Jean-Pierre GUYON – Retraité EDF, militant syndicaliste de l’Énergie, Concarneau

Roger HARRE – Peintre en bâtiment. Éducateur et dirigeant à la section football du patronage laïque du Bergot depuis 1987 – Brest

Maha HASSAN – écrivaine, Morlaix

Joel HEDDE – retraité syndicaliste, Combrit

Dessi HEDIN, professeur et écrivaine, Karlstad, Suède, section PCF Brest

Joël HELARY – syndicaliste, retraité de l’agro-alimentaire, Plourin-les-Morlaix

Noël HELIES, retraité de l’éducation nationale. Guipavas

Martin HELLMANN, étudiant en Histoire à l’UBO Brest, Le Relecq-Kerhuon.

Gérard HENAFF – retraité Alcatel, syndicaliste, Saint-Pabu

Maïté HENAFF – DEMARTY – retraitée Conseil Départemental 92, syndicaliste, Saint-Pabu

Jacqueline HERE – Retraitée des Finances Publiques, Maire de quartier à Bellevue (Brest), conseillère départementale

Roger HERE – retraité des Finances Publiques, syndicaliste, vice-président de Morlaix-Communauté et 1er adjoint à Plouigneau

Mireille HERVY, Santec

Alain HOUZIAUX retraités métaux

Danielle HROUDA – retraitée de la fonction publique territoriale (Assistance Publique – Département de Seine St Denis), syndicaliste, Gouesnac’h

Denis HUET, enseignant à la retraite, militant syndical. Quimperlé

Yvon HUET – journaliste, syndicaliste

Marianne JAN, retraitée, militante du comité de défense de l’hôpital de Concarneau – Concarneau

Charles JAOUEN- Saint Jean du Doigt

Mona JAOUEN – artiste chanteuse, Plounéour Menez

Bernard JASSERAND – Maire-Adjoint de Quimper en charge du quartier de Kerfeunteun, Conseiller Communautaire de QBO. Salarié de l’énergie ER, Quimper

Sylvie JASSERAND – professeure des écoles en retraite, Quimper

Gilbert JEHANNO – retraité de l’Arsenal – militant communiste, syndicaliste, Le Relecq-Kerhuon

Geneviève JEHANNO – retraitée de la mairie de Brest – Le Relecq-Kerhuon

Michelle JEZEQUEL – militante syndicaliste – Quimper

Jacqueline JONCOUR, Aide-soignante  retraitée , Quimper.

Daniel JOUAN – La Forêt- Fouesnant

Claude JUILLIERE, retraité militant PCF et comité de défense de l’hôpital de Concarneau, Concarneau

Christelle KERBORIOU – salariée du secteur médico-social, syndicaliste, Plougonven

Pascal KERBORIOU – salarié de l’hôpital, syndicaliste, Plougonven

Elise KEREBEL – salariée du secteur médico-social, conseillère municipale à Morlaix

Louis KERGOURLAY – ancien conseiller municipal d’Ergué Gaberic

Annick KERHOM – Plobannalec

Claude KERHOM – Plobannalec

Colette KHALFA – retraitée de la fonction publique territoriale, Carhaix

Virginie LABACCI – fonctionnaire territoriale section de Brest

Jean-Jacques LABOUS, militant syndical. Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – retraité Air Inter, syndicaliste, – Carantec

Mariette LABROUSSE –  retraité Air Inter, syndicaliste, Carantec

Elisabeth LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jean-Yves LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jérémy LAINE – technicien anti-parasitaire adjoint au maire à Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – ouvrier, adjoint au maire à l’enseignement à Morlaix

Enora LAMY – étudiante – section PCF Morlaix

Claude LANGRENE –  professeur des lycées professionnels en retraite – Quimper

Claudine LAPORTE – Responsable associative, Carhaix

Daniel LAPORTE – retraité, syndicaliste, Carhaix

Fanch LAPORTE – militant Syndical Retraité Carhaix

Louis LAUNAY retraité Brest

Marc LAUNAY, Concarneau

Andréa LAURO – salarié associatif, militant associatif, Morlaix

Vincent LE BAYON – syndicaliste énergéticien – Brest

Alain LE BEC – professeur en retraite, militant associatif, Quimper

Chantal LE BELLEC, Cadre territoriale Retraitée, Guilvinec

Etienne LE BELLEC, Ancien  conseiller municipal de Guilvinec, Technicien études et conception pour les grandes cuisines professionnelles, Retraité, Guilvinec

Robert LE BELLEC, Ajusteur outilleur, Retraité, Pont L’abbé
Stephane LE BELLEC, Aide soignant, Pompier volontaire, Pont L’abbé
Yann LE BELLEC, Technicien de l’eau, Guilvinec
André LE BERRE, Retraité, Plogonnec

Annie LE BERRE, professeur agrégée de lettres, retraitée de l’éducation nationale, Brest

Jeanne LE BERRE – retraitée PTT secteur Quimper

Yves LE BERRE, professeur émérite des Universités, ancien adjoint au Maire de Brest (chargé de la culture), syndicaliste FSU, adhérent du PCF – Brest

Yvonne LE BERRE syndicaliste CGT membre du PCF Pont-l’Abbé

Sergine LE BOHEC – Lesconil

Yannick LE BOHEC – Lesconil

Simone LE BOHEC – Plobannalec

 Yves LE BOHEC – Plobannalec

Marie-Thérèse LE BRAS – retraitée de l’éducation nationale – Beuzec Cap Sizun

Gérard LE BRIQUER, Ingénieur retraité du ministère de l´Ecologie, Plougastel-Daoulas

Bernard LE BRUN – Technicien travaux publics en retraite, syndicaliste,  Quimper

Chantal LE BRUN – Guilvinec

Madeleine LE BRUN – Retraitée, secteur Quimper

Maxime LE BRUN – Guilvinec

Michel LE BRUN – Policier municipal en retraite, secteur Quimper

Amélie LE CALVEZ – conseillère municipale, Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – retraité de la Manu, ancien élu, syndicaliste, Morlaix

Christine LE CAM, retraitée, militante syndicale, Locmaria Berrien

Hubert LE CAM, retraité,  militant syndical,  Locmaria Berrien.

Natacha LE CLAIR, retraitée coiffeuse, Plestin-les-Grèves

Jacqueline LE CLOAREC –  professeur certifiée en retraite; ancienne conseillère municipale de  LANESTER -GUILVINEC

Robert LE CLOAREC Guilvinec professeur certifié en retraite; ancien adjoint au maire de LANESTER; ancien conseiller municipal du Guilvinec

Annick LE CORRE retraitée Ergué Gabéric

JEAN LE CORRE Retraité PTT Roscoff

Tangi LE COZ – Salarié du secteur social – Brest

Guy LE DANTEC retraité Brest

Serge LE DOYEN – ancien pompier – Plouégat Moysan

René LE DOZE – Moëlan sur Mer

Romaric LEDUC -militant syndical et associatif -Brest – Pont de Buis lès Quimerc’h

Georges LE DUFF –(ingénieur en bâtiment, retraité, Lanmeur

Suzanne LE DUFF – professeure des écoles, retraitée, Lanmeur

Théo LE FAOU – ancien membre du Conseil du CHU Pitié Salpètriere, Guilvinec

Jean-Claude LE FELL – retraité – Logonna Daoulas

Viviane LE FELL – retraitée – Logonna Daoulas

Louis LE FUR Retraité adhérent PCF Lesconil

Josette LE FUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL, artisan ébéniste retraité, ancien conseiller municipal de Roscoff pendant 2 mandats, Roscoff

Léon LE GALL, Retraité, Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – employé municipal, syndicaliste, Morlaix

Marie-José LE GLAS Contrôleur principal du trésor public- Lanvéoc

Bernard LE GOFF – retraité d’Orange, militant syndical et associatif, Quimper

Michel LE GOFF, militant syndical alimentaire, ancien conseiller municipal et candidat du Front de Gauche aux élections Régionales en 2015, Bannalec

Lydie LE GUEN – employée de commerce – Quimper

Marie-Hélène LE GUEN – retraitée de la Poste, syndicaliste, Morlaix

Roger LE GUENIC – Retraité fonction publique hospitalière -Retraité CGT – Brest

Thierry LE GUENNOU ancien adjoint mairie de Baye, Baye

Brieuc LE GUERN étudiant Brest/ Carhaix

Gaëtan LE GUERN Professeur dans l’enseignement supérieur ancien adjoint à la culture à Brest – Brest

Chantal LE GUERN DROGUET – Cytologiste, Brest

Léandre LE GUERN, étudiant en 1ère année d’IUT génie biologique à Brest, Plougastel-Daoulas

Marc LE GUILLOUX – retraité – Brest

Patrick LE GUILLOUX – retraité – Brest

Rémy LE HUIDOUX Retraité Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Jean-Claude LE JONCOUR – Retraité France Télecom, militant associatif,  Quimper

Jocelyne LE JONCOUR – Retraitée Quimper

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

Jean Michel LE LORC’H  Vice-Président BREST Métropole

François LE MEUR – Morlaix

Jean-Louis LE MEUR – chauffeur routier, Quimper

Pierre LE MEUR, Militant syndical, Ancien secrétaire général du syndicat  cgt mines energie de Quimper, Retraité EDF, Trémeoc
Fernande LE MOAL, Douarnenez
Michelle LE MOAL-PERCHEC, infirmière retraitée, Quimper

Jacques LE MOIGNE – Cheminot Retraité, syndicaliste, Plouguerneau

Colette LE NOAC’H – Scaër.

Martine LE NOZERH – retraitée intérimaire de l’agro-alimentaire (Doux, Connetable, Capitaine Cook, etc) – militante du PCF Pays Bigouden – Plozévet

Claude LE PAGE – Cheminot, syndicaliste, secteur Quimper

Michel LESPAGNOL – retraité PTT France Télécom, Morlaix

André LE ROUX commandant des douanes retraité Pont L’Abbé

Francette LE ROUX contrôleur divisionnaire des douanes retraitée Pont L’Abbé

Michel LE ROUX – professeur en retraite militant associatif – Le Relecq-Kerhuon

Sandra LE ROUX, conseillère municipale aux sports et au développement des quartiers à la mairie de Brest. Brest

Sylvain LE ROUX professeur de français

Marie LE TELLEC, retraitée, Quimper

Marie Rose L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

Yvon L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

Anne L’HENAFF, militante de la Paix, Lanmeur

‌Ernestine L’HENORET, retraitée Fonction Publique, Loctudy

Gisèle LINTANF – retraitée infirmière psy –  Saint-Martin-des-Champs

Oxana LIZIAR, Atsem, Le Relecq-Kerhuon

Pierre-Yves LIZIAR, Professeur des Écoles, Conseiller Municipal délégué en charge du handicap au Relecq-Kerhuon

Arwenn MADEC TROADEC, lycéenne, résidant à Lesneven et Sizun

Lindsay MADEC, postière. Tréflévénez

Marie-Françoise MADEC – conseillère municipale déléguée aux Seniors à Morlaix

Mathilde MAILLARD, médecin généraliste, adjointe au maire de Brest

Jean-Claude MARCHAL, militant CGT – Brest

Erik MARCHAND – Artiste chanteur – Poullaouen

Taran MAREC – délégué à la langue bretonne à la mairie de Brest, étudiant en informatique, Brest

Jean-Claude MARION, Ingénieur retraité, Kersaint-Landunvez

Vinko MARKOV – Morlaix

Amaury MATHIEU, peintre en bâtiment, Silfiac, section PCF de Brest

Isabelle MAUGEAIS – Militante associative et conseillère Départementale canton Pont-de-Buis-les-Quimerc’h

Isabelle MAZELIN – adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon, tête de liste aux élections Sénatoriales dans le Finistère en 2020, Le Relecq-Kerhuon

Jean-Yves MAZO – Postier, militant associatif, secteur Quimper

Stéphane MEILLOUR, syndicaliste agro-alimentaire. Quimperlé

Jean Pierre MERLIERE – Retraité, Carhaix

Joëlle MERLIERE – Retraitée, Carhaix

Yvon MEST – adhérent PCF – Brest

Monique MEVELLEC SITHAMMA, professeure en retraite, syndicaliste, élue conseillère municipale au Relecq-Kerhuon.

Jeannine MILLET – Retraitée de la fonction publique territoriale – adhérente section PCF Pays Bigouden – Mahalon

Gisèle MOAL – ancienne adjointe, Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – militante de la solidarité et PCF, Primel-Tregastel (Plougasnou)

Guillaume MOREAU – Brest

Louise MOREAU – Retraitée – Penmarc’h

Philippe MOREAU – Retraité, militant CGT et PCF à Penmarc’h, ancien conseiller municipal de Poissy (Yvelines), Penmarc’h

Pierig MORVAN Facteur, militant associatif et syndical, Kernével/Rosporden

Michel MOYSAN – Concarneau

Suzanne MULLEMAN – retaitée – Plomeur

Lucienne NAYET – ancienne élue de Champigny s/Marne, militante associative autour de l’histoire de la Résistance, Locquénolé

Françoise NIOCHE – enseignante retraitée, Conseillère Municipale Rosporden

Robert NIOCHE, retraité et syndicaliste, Rosporden

Dominique NOGUERES – militante des droits de l’homme, avocate

Francis NORMAND – informaticien, secteur Quimper

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – syndicaliste, cheminot en retraite, Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Maria OLLIVIER syndicaliste Brest

Paul PAIMBENI section du Pays de Brest du PCF

Sylviane PAPIN, Clohars-Carnoët.

Michèle PARET, Douarnenez

Jean-Louis PASCAL – dessinateur dans le bâtiment en retraite secrétaire de section PCF Concarneau

François PATINEC – lycéen – Quimper

Germaine PAUBERT – adhérente communiste – Brest

Denis PAUGAUME – électricien, syndicaliste,  Quimper

Jacques PAUGAME, ancien responsable syndical. Résidant à Penmarc’h

Maxime PAUL – ancien adjoint et vice-président de communauté d’agglomération à Brest, Plougastel-Daoulas

André PAULUS – enseignant retraité, ancien élu à La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – enseignante en retraite, La Feuillée/ Morlaix

Colette PAY retraitée Lesconil

Jacky PAY Retraité Communiste Lesconil

Marie-Pierre PELLEN – Tréflez

Aline PELLENNEC – agente territoriale – Plouguerneau

Hervé PENVEN Retraité Equipement, Locmaria Berrien, ancien 1er adjoint au maire Huelgoat

Jean-François PENVEN – retraité SNCF, Huelgoat, ancien adjoint au maire

Jean-Jacques PENVEN – Retraité, RATP. Militant, CGT, ancien conseiller municipal de La Feuillée

Paulette PERON – Plouénan

Claudine PERROT– retraitée de la fonction territoriale, militante associative, Guilvinec

Ilya PERROT – ouvrier métallurgiste en retraite,  Quimper

Jean-Claude PERROT – conseiller municipal de Briec, postier en retraite, secteur Quimper

Marie Hélène PERROT – Retraitée militante PCF

Michael PETER – maître artisan retraité- Rosporden-Kernevel

Yves PEUZIAT-BEAUMONT Fonctionnaire – Pays Bigouden

Gilbert PHELEP –  militant syndicaliste retraité – Rosporden

Michel PIBOULEAU – Syndicaliste militant associatif, Brest

Lionel PICART – ingénieur EDF, Douarnenez

Pierre-Olivier PICART – retraité éducation nationale – Brest et Crozon

Daniel PIERRE – Retraité – Trésorier de la section PCF Quimperlé – Quimperlé

Marité PIERRE – Retraitée – Quimperlé

Françoise PILATTE – Morlaix

Olivier PIRIOU – Plouzané

Annick PIROU – retraitée – Carhaix

Jean PIROU, retraité, ancien conseiller municipal, Carhaix

Laurent PLA , Professeur en lycée Professionnel,  Carhaix.

François PLASSART – retraité du syndicat d’électrification, ancien adjoint au maire communiste à l’enseignement à Morlaix – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Patrick PLIQUET – retraité CGT Arsenal – Lanvéoc

Pierre PLOUGONVEN – Crozon

Pascal POUILLET – militant culturel breton, Locquénolé

Anna POSTIC – retraitée – Chapelle-du-Mur (Plouigneau)

Jean Claude POSTIC – Staffeur Ornemaniste retraité PCF Morlaix ancien élu Plouégat-Guérand

Jacky POUPON – adhérent PCF – Kernevel

Michel PRIGENT – ancien chauffeur routier – Plouigneau

Marie-Renée PRIMA – retraitée – Moëlan-sur-Mer

Claire PRONONCE, militante syndicale. Moëlan-sur-Mer

Pierre PRONONCE, militant syndical, bureau de l’ARAC. Moëlan sur Mer

Serge PUIL – demandeur d’emploi – section Morlaix

Patrick QUELAUDREN – Militant de l’Education populaire – PONT L’ABBE

Yves QUERE – retraité de la réparation navale navale, dirigeant et éducateur au PL Bergot à Brest, Plabennec

Jan RAFFAELY – ancien postier – Sizun

Brigitte RAGOT – Concarneau

Piero RAINERO – ancien conseiller régional de Bretagne et maire-adjoint de Quimper Secrétaire fédéral du PCF de 1982 à 2000, membre du Comité Central de 1987 à 2000 secrétaire régional de Bretagne de 1996 à 2004

Yvonne RAINERO – Conseillère municipale de Quimper déléguée à la santé, Conseillère communautaire, professeure agrégée en retraite, Quimper

Roger RAMONET – retraité France Télécom, syndicaliste, Quimper

Jacques RANNOU, Maire-Délégué de Kernével, commune associée à Rosporden. Cheminot E.R.

Quentin RANNOU, chargé d’affaires réseaux souple, Conseiller municipal Kernevel-Rosporden – Kernevel

Daniel RAVASIO – professeur en retraite, syndicaliste, Saint Thégonnec Loc Eguiner

Larry REA Adjoint au Maire de Le Relecq-Kerhuon En charge de l’Urbanisme et des travaux, Le Relecq-Kerhuon

Dimitri RELOUZAT – Assistant de travaux – Quimper

Gilberte RENEAUD – retraitée CAF, militante syndicale, Lesconil

Jacques RENEAUD – retraité cheminot, Lesconil

Christian RICHARD, informaticien en retraite – Kernével

Hervé RICOU – retraité EDF-Engie, syndicaliste CGT, militant associatif.  Locmaria-Berrien

Gisèle RICHEZ – Le Relecq-Kerhuon

Daniel RIOU – retraité de la Poste- Morlaix

Guy RIVIERE, retraité de la fonction publique territoriale, militant syndical et associatif. Locmaria Plouzané.

Erwan RIVOALAN, bibliothécaire, syndicaliste, BREST

Pierre ROBIN, retraité, ancien responsable CGT ATOSS.

Tara ROGIEZ, étudiante, Brest

Yvelise ROLLAND, retraitée de l’hôpital – Moelan-sur-Mer

Philippe ROPARS, Morlaix

Michelle ROSA – retraitée – Quimper

Michel ROUE, militant syndicaliste retraités, Brest

Catherine ROULETTE, conseillère financière – Moëlan sur Mer

Gérard ROUSSEAU, retraité de l’éducation nationale, Beuzec Cap Sizun

Maryse ROUSSEAU retraitée mutualité, Pays Bigouden

Maryse ROUZIER. Brest

Roberte SAINT JALMES – assistante administrative – Quimper

Françoise SALAÜN, retraitée, Roscoff

Jean-Louis SALAÜN, retraité, Roscoff

Maxime SALAUN, maraîcher bio – Loperhet

Rémi SALAÜN Technicien retraité DCNS Brest, syndicaliste mandaté Sécu

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Arlette SAMSON – Riec-sur-Belon

Cathy SAMSON – secrétaire, Fouesnant

Joël SAVINA – Retraité, militant syndical, militant associatif, Saint Hernin

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – syndicaliste, adjointe au maire à Morlaix, conseillère communautaire, Morlaix

Gil SCHMITT – directeur d’administration territoriale en retraite – secteur Douarnenez

Gérard SECHET retraité Rosporden

Malika SECHET retraitée Rosporden

Cécile SEGALEN – Le Relecq-Kerhuon

Pascal SEGALEN – trésorier de la section PCF du Relecq-Kerhuon, ancien élu Relecq-Kerhuon

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Denis SELLIN – retraité – Moëlan-sur-Mer

Irwan SELLIN – Réflexologue, Riec-sur-Belon

Marceline SEVERAC, infirmière retraitée, syndicaliste, Douarnenez

Jean-Luc SEZNEC – Artisan électricien en retraite – Quimper

Gilbert SINQUIN – Cheminot, syndicaliste, Châteaulin

Ronan SINQUIN – conseiller municipal de Quimper, Postier, syndicaliste

Thérèse SINQUIN – couturière retraitée, Quimper

Janine SORHOLUS – Morlaix

Sylvain SOULARD, Pont-l’Abbé.

Gisèle SQUIVIDANT – OS1, ouvrière spécialisée en retraite, Quimper

Paulette STEPHAN – institutrice en retraite, Quimper

Thomas SUKIENNIC – cheminot, syndicaliste,  Quimper

Guy TANDE – retraité infirmier psy –  Saint-Martin-des-Champs

Jacques TANGUY – adhérent communiste – Brest

Michel TANGUY – adhérent communiste – Brest

Ronan TANGUY – Elu au Relecq-Kerhuon pendant 25 ans, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel de 1976 à 2012, Plouarzel

Yasmine TANGUY – Plouarzel

Aline TASSIN, enseignante à la retraite, militante pour le droit des
enfants et des femmes, Landerneau
Jean-René TASSIN, militant syndical, Landerneau
Marie-Gaëlle TEXIER Éducatrice spécialisée

Mikael THENG – chaudronnier-soudeur, secteur Quimper

Joël THEPAULT – retraité cheminot, Quimper

Pierre-Yves THOMAS – Retraité, syndicaliste et conseiller municipal, Carhaix

Willy TITECA – retraité AIR INTER, syndicaliste, Moëlan-sur-Mer

Robert TOULERASTEL – Penmarc’h

Thierry TRIMAILLE. Professeur retraité. Pont-l’Abbé

Joseph TUAL – Ile d’Ouessant

Marie-Claire TUAL – Ile d’Ouessant

Fabien TUDO DELER – contrôleur technique automobiles – Quimper

Michel TUDO DELER – cheminot retraité, syndicaliste, Lanmeur

Jean François VERANT – militant associatif, Plougasnou

Paul VIGOUROUX – prof des écoles à la retraite. Loctudy

Jean-Jacques VILLALON, Quimper

Isabelle VINCENT, secrétaire dans le médico-social, Saint-Renan

Roger VINCENT, couvreur à la retraite, Saint-Renan

Jean-Louis WEBER, Santec

Denis YAOUANC, Cheminot, militant syndical, Elliant.

Samedi 29 Janvier – les communistes du Relecq-Kerhuon en campagne pour Fabien Roussel sur le marché du Relecq

Samedi 29 janvier –

Au Relecq-Kerhuon ce samedi, tractage au marché et collage pour la candidature de Fabien Roussel du PCF avec Gilles, Alain et Pascal, Pierre-Yves!

A Bloc dans l’Ouest – 11 adhésions au PCF au Finistère en un mois

3 février 2022 –
A bloc dans l’ouest… 11 adhésions au PCF depuis le début de l’année en Finistère, un MJCF qui se renforce avec l’arrivée de 7 jeunes adhérents entre 16 et 20 ans…
Il se passe quelque chose.
Pour adhérer au Parti Communiste Français dans le Finistère: Contact Fédération PCF Finistère –  5 rue Henri Moreau 29 200 BREST 02 98 43 47 78
06 20 90 10 52
Paroles de jeunes militants communistes, ayant adhéré en janvier 2022:
Maëlvin, étudiant à Morlaix:
« À l’occasion des présidentielles 2022 j’ai décidé de m’investir dans la vie politique en adhérant au PCF et en rejoignant le comité des jours heureux. J’habite à Morlaix le temps de mes études en BTS Gestion et Protection de la Nature. Je défends l’idée d’une société juste et démocratique. Une société où l’emploi et le climat serait au cœur des préoccupations. Une société où primerait l’intérêt général et non plus le profit personnel. Le PCF est le plus à même de porter ces valeurs, c’est pourquoi j’ai décidé de supporter la candidature de Fabien Roussel ».
Mattéo, lycéen à Landerneau:

« Le libéralisme économique est un fléau. Les crises d’intérêts nationaux se multiplient, comme les affrontements directs ou indirects, la crise de politique onusienne et d’une gouvernance mondiale sévissent aussi, le monde capitaliste est voué à l’échec, seules les puissances capables d’écraser les autres survivront, un combat s’annonce, celui du monde du capital.

Dans ce contexte, il faut combattre l’extrême-droite qui puise son pouvoir dans la haine et la peur de l’autre, affronter ceux qui voient en l’être humain un inférieur, ceux qui rêvent d’une société patriarcale ou xénophobe. Pour moi, l’égalité est la valeur première de l’humanité, pas celle des politiques au pouvoir qui s’abritent derrière l’illusion de l’union nationale. Le politique de droite est notre adversaire, le faux patriotisme est leur arme, comme la valeur travail, ou celle de l’argent et de la réussite individuelle.

Pourtant, Autrui est source d’ouverture, penser à l’autre et non penser par l’autre, faire preuve d’indépendance intellectuelle et arrêter de penser le monde comme une chimère, un monde sans unité comme nous le font entrevoir nos politiques.

J’ai écrit ce petit texte pour vous décrire ma vision générale de l’état de notre société. Il faut réformer le monde libéral, à mon échelle j’ai donc décidé d’adhérer au PCF.

Tout d’abord par rejet de la vision économique et sociale des libéraux qui comme notre président favorisent le modèle américain et anglo-saxon individualiste et inégalitaire, avec un hôpital qui devient payant ou de plus en plus privé, une augmentation de la précarité étudiante, la volonté de faire payer l’entrée de nos facs, universités… ou encore la suppression de l’ISF. Un vrai scandale quand on voit la hausse des inégalités et des très grandes fortunes!

Je veux lutter pour le changement, pour un regain de la gauche française, pour une apparition d’un communisme moderne capable de répondre aux problèmes d’aujourd’hui. Pour cela j’ai pris la décision d’adhérer au PCF, et à la jeunesse communiste pour lutter contre la précarité étudiante…

Je veux combattre la xénophobie, l’homophobie, le sexisme, et c’est pour cela que je donne ma voix au PCF et à Fabien Roussel.

Après de nombreuses lectures de son programme, il est le candidat qui se rapproche le plus de mes convictions et choix politiques.

Pour ne citer que ça, je prends l’exemple de la police de proximité, par la suppression de la BAC et la mise en place d’une police locale dans les quartiers dits populaires. On pourrait aussi parler de l’écologie qui regroupe de plus en plus la jeune génération, Fabien Roussel a eu le choix intelligent : tout en permettant à la France de garder sa production électrique, il a pour projet de produire 50 % de l’énergie française avec le nucléaire et 50 % avec l’énergie verte. Sans mentir à la population sur l’importance du nucléaire française, il nous permet un regain de l’hydroélectrique tout en permettant à la population de garder un confort de vie grâce à l’électricité alors impossible sans le nucléaire. Nous pourrions aussi citer son envie de prélever les bénéfices des multinationales à la source, cela permettrait tout comme certains impôts déjà mis en place de mettre fin à la fraude fiscale représentant pour notre candidat près de 80 millions d’euros par an.

Le PCF a de l’avenir, surtout dans une société où beaucoup de gens n’arrivent plus à y vivre et se sentent plus d’y vivre. C’est pour cela que j’ai décidé d’adhérer au parti ».

Quelle ironie que la place de l’homme quand le bénéfice est maître. Et la démocratie dans la république capitaliste, quelle blague ! 

Il suffirait d’une voix, puis d’oreilles attentives pour penser le bien commun, et non le poison qu’est le libéralisme américain.

Nous ne partageons pas des frontières ni des bourses. La finance le disait si bien F. Hollande, est notre ennemie, nous partageons une planète.

Une forme plus moderne et adaptée au monde du communisme pourrait surgir et ferait entrer notre monde dans une équité et une démocratie véritable, du peuple par le peuple ».

Mattéo, 17 ans et demi - Pourquoi j'adhère au PCF et au MJCF, pourquoi je soutiens Fabien Roussel

Brest, rassemblement contre Marine Le Pen à l’occasion de son passage éclair de récupération à Pontanezen

Communistes et Jeunes Communistes présents•es ce 1er février contre la venue de Marine Le Pen à Brest.
Attiser la haine ne résoudra pas les maux de nos quartiers, arrêter le dealer du coin ne stoppera pas le trafic de drogue.
Communiqué du PCF Pays de Brest:
Nous venons d’apprendre que la la candidate d’extrême droite Marine Le Pen vient à Brest ce mardi . Elle vient pour créer de la tension et stigmatiser les habitants du quartier de Pontanezen .Nous ne pouvons pas l’accepter.
Nous sommes solidaires des habitants de Ponta qui ont vécu difficilement ces violences et notamment des jeunes du quartier qui mènent des actions pour transformer leur quartier.
Ce n’est pas l’appel à la haine qui permettra de résoudre les problèmes mais des mesures concrètes et sociales.
Pour les communistes le gouvernement doit répondre dans l’urgence et de manière durable aux besoins en personnel du commissariat ainsi que dans la justice abandonnée par les ministres successifs.
En effet il est inacceptable que les habitantes et habitants des quartiers populaires ne puissent vivre en sécurité. La tranquillité publique est un droit fondamental comme celui de bien se nourrir, de bien se loger.
C’est pourquoi les communistes brestois soutiennent la proposition de Fabien Roussel de recruter de 30 000 policiers de proximité. pour retisser un lien de confiance avec les habitants, avec la jeunesse.
Une réorganisation des missions est indispensable afin de ne plus détourner les agents de leurs missions essentielles de gardiens de la tranquillité publique et de la sécurité des citoyens, tout comme la dotation en matériels permettant l’accomplissement de ces missions.
La protection des policiers et des gendarmes est une nécessité, et les auteurs d’actes visant des fonctionnaires de nos forces de sécurité, comme pour toutes les personnes dépositaires d’une charge publique, doivent être sanctionnés pénalement. Un effort particulier s’impose au profit de la formation, initiale (qui est trop réduite) et continue (en renforçant l’offre et en élargissant le nombre de bénéficiaires).
La lutte contre tous les trafics implique enfin un contrôle plus strict et plus sévères des frontières et des flux financiers en impliquant les services douaniers, Tracfin et les banques. Nous proposons de revenir sur les 10 000 postes supprimés par le gouvernement ces 4 dernières années dans les services fiscaux et aux douanes et d’en créer 10 000 supplémentaires à Bercy et au ministère de la justice pour augmenter ces contrôles et poursuivre les délinquants en cols blancs.
Pour les communistes il y a plus que jamais besoin de politique de solidarité, de justice sociale, d’insertion sociale et professionnelle, de logements dignes, d’éducation populaire et de culture, de santé, de transports, de loisirs…C’est sur un terreau de disparition des services publics que se développent les trafics et la loi des bandes, le développement d’une économie parallèle, des trafics de stupéfiants et aussi du crime.

À Brest, la gauche unie fustige « l’instrumentalisation » de la candidate du RN (Le Télégramme, 2 février 2022)

Sur la photo, 4 camarades du PCF: Enzo de Gregorio, représentant de la JC 29, Erwan Rivoalan, Jean-Paul Cam, Eugénie Cazaux.
À Brest, la gauche unie fustige « l’instrumentalisation » de la candidate du RN
(Photo Le Télégramme/Jean-Luc Padellec) – Le Télégramme, 2 février 2022
Ce mardi soir, des partis de gauche ont affiché un front uni après le passage à Brest de la candidate du Rassemblement national. Avec un message sans équivoque : « Marine Le Pen n’est pas la bienvenue à Brest ».
Si l’union de la gauche reste impossible pour l’élection présidentielle, la venue de Marine Le Pen, ce mardi à Brest, aura au moins permis de rassembler plusieurs partis de cette gauche composite dont les querelles intestines désespèrent parfois son propre électorat.
« Ce qui nous réunit aujourd’hui dépasse de loin ce qui peut nous diviser parfois », a d’ailleurs convenu Yann Guével, le secrétaire des sections brestoises du PS. Autrement dit par Glen Dissaux, d’Europe Écologie Les Verts : « Le refus de l’extrême droite reste et restera toujours un marqueur indépassable de la gauche ».
Autour de la table du Vauban, partageant le même dégoût, étaient représentés le Parti socialiste, le PCF, La France Insoumise, les Radicaux de gauche, Europe Écologie Les Verts, Brest nouvelle citoyenneté, l’UDB et le Parti ouvrier indépendant démocratique (POID). Deux autres partis, le PRG et Génération.s, s’étaient excusés.
« Récupération grossière »
Chacun, avec ses mots, a dénoncé « la récupération grossière d’événements qui ont eu lieu à Brest », et la stigmatisation d’un quartier et des habitants. « Le Pen n’a pas de projet sur la sécurité, si ce n’est la répression. Elle est venue ici pour monter dans les sondages », a développé Christine Migot pour les Radicaux de gauche.
Même impression de dégoût exprimé par Jean-Paul Cam (PCF), pour qui le seul projet de Marine Le Pen, « c’est la casse sociale, des services publics et des HLM ». « La provocation de Marine Le Pen, qui n’a rencontré personne dans Pontanézen, n’a servi à rien », a résumé Pierre-Yves Cadalen, de La France Insoumise, en affirmant que les quartiers populaires ont surtout besoin de services publics, d’accompagnement social et d’emplois. Dans un langage plus fleuri, Patrick Appéré (BNC) a appelé la représentante du RN à « aller faire de la fumée ailleurs avec ses puanteurs ».

Mardi 8 février à 17h – la section de Brest du PCF commémore le massacre de Charonne il y a 60 ans, le 8 février 1962, rue Daniel Féry

Brest: commémoration du massacre de Charonne
Le 8 février 1962, une manifestation pour la paix en Algérie est sauvagement réprimée par la police. Cette journée qui restera dans les mémoires comme le « massacre du métro Charonne » fera 9 morts et plus de 250 blessés.
Le 7 février 1962, l’OAS fait exploser dix charges de plastic à Paris. Sont visés des intellectuels, des journalistes et des élus communistes engagés en faveur de la paix. On relève plusieurs blessés graves. Les organisations syndicales CGT, CFTC, FEN et UNEF appellent alors à un rassemblement à Bastille dès le lendemain contre les « tueurs fascistes » de l’OAS et pour « imposer la paix en Algérie ». Le PCF, le PSU (Parti Socialiste Unifié) et le Mouvement de la paix se joignent à l’appel. Ils sont rejoints par les organisations de jeunes le MJCF, UEC, UJFF (Union des Jeunes Filles de France, organisation féminine du MJCF) et JSU (Jeunesse Socialiste Unifié).
La police, dirigée par le préfet Maurice Papon, a reçu l’ordre de ne tolérer aucun rassemblement et de « faire preuve d’énergie » contre les manifestants.
Le bilan de ces violences policières est lourd. On dénombre 8 morts et plus de 250 blessés. Parmi les blessés, Maurice Pochard, 48 ans, décèdera le 20 avril des suites de ses blessures. Le bilan final est donc de 9 morts, tous adhérents à la CGT dont 8 étaient également membres du PCF.
Au niveau national  la mémoire de ce drame est notamment entretenu par le « Comité vérité et justice pour Charonne » mis en place par la CGT et le PCF.
A l’occasion du soixantième anniversaire de ce massacre il nous parait important de commémorer ce massacre. Aussi nous vous proposons de vous associer à un dépôt de gerbe qui aura lieu le 8 février à17h 30 à l’entrée de la rue Daniel Féry (du nom de la plus jeune des victimes qui avait 15 ans ) face à l’ancien LIDL de St Pierre

Venue de la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen à Brest Pontanezen ce mardi- communiqué de la section du PCF Brest

Nous venons d’apprendre que la la candidate d’extrême droite Marine Le Pen vient à Brest ce mardi . Elle vient pour créer de la tension et stigmatiser les habitants du quartier de Pontanezen .Nous ne pouvons pas l’accepter .
Nous sommes solidaires des habitants de Ponta qui ont vécu difficilement ces violences et notamment des jeunes du quartier qui mènent des actions pour transformer leur quartier . Ce n’est pas l’appel à la haine qui permettra de résoudre les problèmes mais des mesures concrètes et sociales.
Pour les communistes le gouvernement doit répondre dans l’urgence et de manière durable aux besoins en personnel du commissariat ainsi que dans la justice abandonnée par les ministres successifs.
En effet il est inacceptable que les habitantes et habitants des quartiers populaires ne puissent vivre en sécurité. La tranquillité publique est un droit fondamental comme celui de bien se nourrir, de bien se loger.
C’est pourquoi les communistes brestois soutiennent la proposition de Fabien Roussel de recruter de 30 000 policiers de proximité. pour retisser un lien de confiance avec les habitants, avec la jeunesse. Une réorganisation des missions est indispensable afin de ne plus détourner les agents de leurs missions essentielles de gardiens de la tranquillité publique et de la sécurité des citoyens, tout comme la dotation en matériels permettant l’accomplissement de ces missions. La protection des policiers et des gendarmes est une nécessité, et les auteurs d’actes visant des fonctionnaires de nos forces de sécurité, comme pour toutes les personnes dépositaires d’une charge publique, doivent être sanctionnés pénalement. Un effort particulier s’impose au profit de la formation, initiale (qui est trop réduite) et continue (en renforçant l’offre et en élargissant le nombre de bénéficiaires).
La lutte contre tous les trafics implique enfin un contrôle plus strict et plus sévères des frontières et des flux financiers en impliquant les services douaniers, Tracfin et les banques. Nous proposons de revenir sur les 10 000 postes supprimés par le gouvernement ces 4 dernières années dans les services fiscaux et aux douanes et d’en créer 10 000 supplémentaires à Bercy et au ministère de la justice pour augmenter ces contrôles et poursuivre les délinquants en cols blancs.
Pour les communistes il y a plus que jamais besoin de politique de solidarité, de justice sociale, d’insertion sociale et professionnelle, de logements dignes, d’éducation populaire et de culture, de santé, de transports, de loisirs…C’est sur un terreau de disparition des services publics que se développent les trafics et la loi des bandes, le développement d’une économie parallèle, des trafics de stupéfiants et aussi du crime.

La section du Pays de Brest PCF apporte son soutien au rassemblement pour l’hôpital qui aura lieu le mardi 1er février, 10h30 Place de liberté à Brest.

La section du Pays de Brest PCF apporte son soutien au rassemblement pour l’hôpital qui aura lieu le mardi 1er février, 10h30 Place de liberté à Brest..
La ligne rouge est franchie au CHRU Brest-Carhaix, l’intersyndicale CGT, CFDT, SUD appelle à une mobilisation pour l’ensemble du personnel du CHRU Brest-Carhaix .
Pour les communistes l’égalité d’accès au soin pour tous ne doit pas être sacrifiée sur l’hôtel de l’austérité économique car la Santé et l’Action sociale ne sont pas des marchandises !
Alors que le coronavirus a bouleversé la situation sanitaire cette situation de crise exacerbe un contexte que nous connaissions bien avant la crise : celui des inégalités profondes qui traversent notre pays en matière de droit et d’accès aux soins. Ces inégalités sont le résultat de politiques anciennes et constantes de casse et de privatisation de l’appareil sanitaire français. Face à ce constat, le PCF se bat pour remettre sur pied cet édifice social, qui est un enjeu de société majeur comme la crise du Covid nous l’a démontré.
Les communistes brestois soutiennent les propositions de leur candidat Fabien Roussel
-100 000 emplois seront créés dans tous les métiers : infirmier·e·s, aides-soignant·e·s, auxiliaires de vie, aides à domicile. Tou·te·s les contractuel·le·s seront titularisé·e·s
.-Pour aider au maintien en poste des personnels ou faciliter les recrutements nécessaires, les équipes soignantes seront reconstituées, avec des conditions de travail améliorées, le respect de l’éthique professionnelle, une collaboration au sein des services et des instances représentatives dotées d’un pouvoir de décision.
-Les privatisations des hôpitaux publics seront arrêtées, de même que tous les projets en cours de restructuration des établissements de santé. Un moratoire réunira élu·e·s, professionnel·le·s et leurs représentant·e·s, y compris pour les établissements et structures relevant de la psychiatrie.
Attention, nouvelle adresse mail de la section : pcf.sectionbrest@gmail.com

Conseil départemental du Finistère du 27 janvier 2022 – Intervention sur la politique vis-à-vis des personnes âgées

Conseil départemental à Quimper, 27 janvier – Je suis intervenu sur la politique Personnes âgées du département du Finistère et plus généralement les enjeux du vieillissement, d’un accompagnement digne et humain des personnes âgées en perte d’autonomie dans les EHPAD et les services d’aide à domicile, avec des personnels travaillant dans de bonnes conditions, correctement formés et rémunérés. Et un vrai service public du droit à l’autonomie financé par la sécurité sociale solidaire, en dénonçant l’âgisme prégnant dans notre société, l’enterrement de la loi Grand âge par Macron et son gouvernement en septembre, la marchandisation en cours du secteur de la fin de vie, avec à la clef des scandales comme celui des maisons de retraite Orpéa, et l’absence de prospective dans ce domaine et de volonté d’investissement dans les EHPAD que l’on sent dans le discours de la majorité départementale, basé davantage sur l’ouverture au développement des résidences Seniors. Je transmettrai un compte rendu plus détaillé de mon intervention plus tard. Elle a donné lieu à une confrontation vive avec le président de Calan qui m’a interrompu plusieurs fois, dont par une interpellation très fine « on est pas à Cuba! »…

Ismaël Dupont

 

Cher-e-s collègues,

Monsieur de Calan, Madame Le Hir, se sont appuyé sur la fable de la Cigale et de la Fourmi pour imager leur propos tout à l’heure. Il y a aussi d’autres formules de sagesse chez La Fontaine, dont on célèbre les 400 ans de la naissance.

Par exemple « De quoi vous sert votre vitesse » dans « Le lièvre et la tortue ».

Mais aussi cette fable moins connue, « Le vieillard et les trois jeunes hommes »:

« Un octogénaire plantait.

Passe encore de bâtir, mais planter à cet âge!

Disaient trois jouvenceaux, enfants du voisinage;

Assurément il radotait.. »

Et plus loin: « Je puis enfin compter l’Aurore

Plus d’une fois sur vos tombeaux ».

Tout cela nous amène à soulever la question de la politique départementale vis-à-vis des personnes âgées, une partie de la population vient souvent invisibilisée, laissée de côté, voire stigmatisée: l’époque est à la culture de l’âgisme, qui la société privilégie aux valeurs de solidarité et à la valorisation de l’expérience le culte de la vitesse, de la force, de la jeunesse, de la nouveauté, de la santé, de la performance, voire de la beauté.

Je voudrais parler en ce jour de débat budgétaire de la question de la perte d’autonomie, du droit à l’autonomie et de la manière dont nous, élus départementaux, avec une politique personnes âgées qui représente 1/8e du budget de fonctionnement de la collectivité, nous pouvons agir pour améliorer dès aujourd’hui les conditions d’accompagnement et de prise en charge des personnes âgées dépendantes, et pour répondre demain aux défis colossaux auxquels nous expose le vieillissement de la population finistérienne, et les besoins de services publics et de réponses de qualité de haut niveau liées à cet enjeu.

Cette question est mise en lumière:

-d’abord, depuis des années, par les cris d’alarme répétés des familles, des résidents, des personnels des EHPAD et des structures d’aide à domicile par rapport aux conditions de vie, au manque de personnels, aux ratios dégradés de taux d’encadrement entre le personnel et les résidents, ou encore à la qualité de l’augmentation.

– par les difficultés de financement du secteur de l’aide à domicile, la précarité des personnels des SAAD (17% des aides à domicile vivent sous le seuil de pauvreté, 90% sont des femmes à temps partiel).

– la situation extrêmement tendue dans les EHPAD, et également dans les structures du secteur médico-social, dans ces temps de crise sanitaire. Difficultés de recrutement, arrêt maladie, stress, pénibilité, s’associant à la souffrance des résidents, leur isolement croissant, avec des personnes en fin de vie cloîtrés dans leur chambre, privés de leur proche, leur survie organique ayant pour prix la négation de leur vie relationnelle, une mise à l’écart accrue.

– l’enterrement de première classe de la loi grand âge en septembre dernier, véritable bras d’honneur aux interpellations des professionnels, des familles, des défenseurs des usagers depuis des années. 400 millions d’euros débloqués en 2022 alors qu’il faudrait plusieurs milliards d’euros par an. 10 000 soignants dans les EHPAD promis ces 5 prochaines années alors qu’un rapport remis au ministre de la santé préconisait la création de 80 000 emplois.

– Et là, dessus, hier, le scandale Orpéa, avec la publication de l’enquête des « Fossoyeurs », le livre de Victor Castenet sur la maltraitance dont souffrent les personnes âgées hébergées dans les EHPAD. Orpéa, un groupe privé exemplaire des dérives et des périls de la marchandisation du grand âge et de la fin de vie, avec des pratiques qui font froid dans le dos pour augmenter la rentabilité: politique de réduction des coûts, état d’hygiène désastreux, maltraitance, répression syndicale.  Tout cela nous amène à affirmer avec force: le grand âge doit sortir du marché, notamment si on veut des Ehpad humains!

Quelle est la place de ces questions dans la prospective budgétaire du Conseil Départemental?

Dans ses projets? Dans le redéploiement des moyens nouveaux donnés par le surcroît de droits de mutation perçus. L’enjeu du vieillissement, de la perte d’autonomie est un enjeu d’une urgence humaine aiguë aujourd’hui pour les personnels – des personnels des Ehpad et du médico-social fuient ces structures car ils sont débordés, épuisés, dans le contexte du Covid, avec des effets pervers, boule de neige: sous-effectif, pénibilité accrue, plus de départs, plus de difficulté à recruter.

C’est aussi un fort besoin d’investissement pour l’avenir compte tenu de l’évolution démographique à prévoir sur notre département.

On parle de 200 000 Finistériens de + 75 ans en 2050 contre 99 000 aujourd’hui.

Quelles réponses peut-on apporter d’ici 10 ou 15 ans à Jean-Michel, agriculteur à Locmaria-Berrien qui touchera une petite retraite, et ne pourras pas se loger dans une résidence Seniors ou un EHPAD à plus de 1600 ou 1800 euros par mois. Et encore moins sa femme Aline qui a encore moins de retraite que son mari.

A l’instar du gouvernement de la LREM, économie oblige, la majorité départementale semble considérer que la priorité est le maintien à domicile, au domicile habituel des personnes âgées,  ou bien dans des habitats dits « intermédiaires », des habitats collectifs adaptés.

La priorité est dit-elle de retarder par de la prévention et une offre de services l’entrée dans la dépendance.

– des résidences seniors/ résidences autonomie/ résidences services, s’adressant à des personnes de + 70/75 ans. Fuite en avant de l’offre mais on ne sait pas quels sont les besoins au juste, d’autant que les prix sont élevés. Des résidences qui peuvent attirer les investisseurs, en raison de dispositifs de défiscalisation, mais répondent-elles vraiment aux besoins et aux moyens du plus grand nombre des personnes âgées.

Le vieillissement accroît encore les effets des inégalités.

Il y a aussi des possibilités d’habitat inclusif, coopératif, qui permettent de choisir avec qui on veut vivre, avec qui on veut vieillir. Avec un enjeu fort autour de l’accessibilité à tous les revenus, du support d’habitat social ou au moins accessible de ces logements.

Le maintien à domicile est c’est bien vrai le choix privilégié par les retraités. Mais quels dispositifs pour financer un maintien à domicile de qualité, lutter contre l’isolement, et compris celui des aidants familiaux, leur permettre de souffler (maisons de répit, dispositifs de remplacement pour la garde pour souffler).

Il va y avoir 4 fois de personnes en France de + 85 ans d’ici 2050. Et parallèlement à ça, on réduit le nombre de places en EHPAD publics. Comment faire si on a pas un vrai service public de l’autonomie avec des personnel payés, formés correctement ?

Sur 16 millions de retraités, 2,2 millions ont 85 ans ou +. Cet âge est la moyenne d’accès aux EHPAD. Dans le Finistère on compte 172 maisons de retraite, dont 139 EHPAD.

548 000 de ces + 85 ans entreront en EHPAD pendant 3 ans et demi en moyenne. Les résidents en EHPAD cumulent en moyenne 8 pathologies. 9/10 présentent des affections neuro-psychatriques acquises pendant leur activité. Aucun gouvernement n’en a tiré la conséquence que ces dépenses relèvent bien de l’assurance maladie. Le financement péréenne du Droit à l’autonomie, et de la prise en charge de la perte d’autonomie, devrait à notre sens dépendre de la Sécurité Sociale.

Dans le cadre de la loi de Finances de la Sécurité Sociale 2022, le gouvernement refuse de mettre un budget conséquent pour que les personnes âgées puissent vivre dans le respect et la dignité dans les EHPAD, pour alléger les souffrances des personnels et de nombreuses personnes âgées en EHPAD.

Le schéma pour les Personnes âgées « Bien vieillir » est arrivé à échéance en 2020: la question de l’évaluation et de la construction du nouveau schéma ne sont pas mentionnés dans la délibération.

Quelle méthode d’élaboration est-elle prévue ? Il y aura t-il un maintien de la dimension participative : pour nous, il est essentiel d’associer les Personnes âgées, leurs aidants, les associations, les professionnels. Ils sont en demande d’être associés aux travaux, il est essentiel de pouvoir débattre avec sur des enjeux de société aussi importants: les Finistériens âgés, leurs aidants, ont besoin que nous prenions le  temps d’évaluation, de projection et de débat sur la réponse à apporter aux besoins. 

 

Les communistes dans la manifestation de Morlaix du 27 janvier 2022 – Photos Jean-Luc Le Calvez

 

PCF Finistère – Calendrier provisoire des réunions et initiatives février/mars 2022

samedi 29-dimanche 30 janvier: Congrès de la JC à Villejuif. 5 camarades de la JC 29 y participeront
Mercredi 2 février 2022 – 18h : Conseil Départemental du PCF Finistère à la MPT de Quimerc’h (commune de Pont de Buis les Quimerc’h) sur la campagne présidentielle et les législative. Vote sur les candidatures aux législatives présentés par les communistes dans le Finistère.
Samedi 5 février: Conseil National à Marseille, vote sur les candidatures du PCF aux législatives dans un maximum de circonscriptions
Samedi 5 janvier, c’est l’AG de circonscription de la 6e circonscription (Carhaix-Huelgoat-Châteaulin-Crozon-Ouessant) qui se réunit à Pont de Buis à la MPT près de la mairie à 14h à 17h pour parler présidentielles et législatives, à l’invitation de Pierre-Yves Thomas et Christian Beaumanoir, en présence d’Isabelle Maugeais, conseillère départementale, de Gladys Grelaud, conseillère régionale, et de Ronan Tanguy, trésorier départemental du PCF
Dimanche 6 février: Meeting de Fabien Roussel à Marseille – 2 camarades du PCF 29 y participeront.
Lundi 7 février au local du PCF à Morlaix (2 petite rue de Callac), à 14h: première réunion de préparation de la fête de l’Humanité, stand du Finistère
Mardi 8 février, 18h: Mardi de l’éducation populaire à Morlaix sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski
Mardi 8 février, 17h30-19h30: Halles Saint-François à Quimper, conférence-débat sur Marcel Cachin, un Breton émancipé, et le fondateur breton du PCF, avec Georges Cadiou, à l’invitation du PCF Quimper et du comité des Jours Heureux
Mercredi 9 février, 18h30-20h30: rencontre avec Valère Staraselski sur les 100 ans du PCF à Brest, salle Tessier, à l’invitation des Amis de l’Humanité
Vendredi 11 février, 18h: Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix

Le samedi 26 février prochain se tiendra la Fête de l’Avenir du PCF 35, en présence de camarades finistériens – le meeting de Ian Brossat, porte-parole de Fabien Roussel, à 19h. Voici le programme dans les grandes lignes (il reste quelques détails à finaliser) : 11h : Ouverture de la fête 11h15 : Projection d’un documentaire/reportage sur le quartier populaire de Villejean à Rennes, suivi d’une discussion 12h30 : Accueil politique du secrétaire de section, prises de paroles et pot offert 14h : Débat sur les politiques locales de jeunesse et l’engagement des jeunes (avec des élus locaux PCF et des acteurs associatifs)16h : Débat sur les questions de formation et de travail pour la jeunesse (avec notamment Léon Deffontaines, secrétaire général du MJCF et pote parole de Fabien Roussel) 18h : Concert d’Alee Mouni (chansons engagées)19h : Meeting de Ian Brossat (avec introduction d’Elsa Koerner, secrétaire MJCF35 et porte parole du 35 aux législatives) 20h30 : Banquet avec animations musicales

Jeudi 17 mars: en soirée, meeting de Léon Deffontaines, secrétaire de la JC et porte-parole de Fabien Roussel à Brest (fac Ségalen)
Samedi 19 mars – dimanche 20 mars: formation de base militante du PCF à Brest (détail du programme qui sera diffusé prochainement)
Mercredi 23 mars – Meeting de Fabien Roussel à Nantes/ un transport collectif sera prévu depuis le Finistère, car du nord-Finistère / Car mutualisé avec le Morbihan depuis le sud-Finistère?
Mercredi 30 mars – Réunion sur la fête de l’Huma Paris et la fête de l’Huma Bretagne à Rennes

Découvrez le programme de Fabien Roussel et de la France des Jours Heureux

Vous pouvez trouver sur le site de la candidature de Fabien Roussel pour les Présidentielles 2022 notre programme et son résumé:

PCF / Medef : une élection, deux projets que tout oppose – L’Humanité, 25 janvier 2022

Présidentielle À gauche, Fabien Roussel. À droite, Geoffroy Roux de Bézieux. Chacun dans son coin, PCF et Medef ont présenté, lundi, leurs propositions pour le scrutin d’avril. Deux visions du monde.

Publié le Mardi 25 Janvier 2022 – l’Humanité
Hasard du calendrier, le PCF et le Medef ont présenté, lundi, à la même heure, leurs propositions pour la présidentielle. Deux projets que tout oppose, quand bien même Geoffroy Roux de Bézieux a tenté de coller à l’air du temps sans renoncer à ses fondamentaux, parsemant la présentation de son programme de concepts estampillés « nouveau monde », depuis l’incontournable « souveraineté industrielle »« il y a encore cinq ans, le mot n’existait pas au Medef », a souri le dirigeant patronal –, jusqu’à la très consensuelle « croissance responsable ».

« La coïncidence tombe bien car elle met en exergue deux projets diamétralement opposés. Nous ne considérons pas que le travail est un coût qui mérite d’être réduit, c’est la richesse de la France et le cœur du programme de Fabien Roussel », expose Ian Brossat, le directeur de campagne du candidat communiste.

Car, au-delà du ripolinage sémantique, le projet de société ébauché par le Medef ne change pas, avec la même sacralisation de la politique de l’offre : le prochain quinquennat devra accorder de nouveaux cadeaux fiscaux aux entreprises. Par ailleurs, le Medef passe à la moulinette notre système de protection sociale, jugé trop « coûteux », avec les plus fragiles pour premières victimes.

Le Medef passe à la moulinette notre système de protection sociale, jugé trop « coûteux ».

Le tout, alors même qu’un sondage Ipsos-Sopra Steria, publié dimanche 23 janvier, montre à quel point pouvoir d’achat et inégalités arrivent en tête des préoccupations des Français : 42 % des sondés font de la crise sociale le principal enjeu pour l’avenir du pays, suivie par la crise environnementale (33 %) et puis, bien plus loin, la « crise identitaire » (25 %). Dans ce contexte, place du Colonel-Fabien, le candidat du PCF à l’Élysée veut mettre en débat « des réformes positives, heureuses » : « augmentation générale des salaires », « droit universel à l’emploi », « semaine de 32 heures et retraite à 60 ans » y figurent en bonne place, financés par une tout autre répartition des richesses et une rupture avec la toute-puissance du marché.

« La France de la déprime, de la punition, je n’en veux plus. Je veux la France des jours heureux, qui propose des solutions, fait en sorte que les classes populaires puissent enfin croire dans la prospérité », a-t-il assuré tout en mettant « au défi le Medef ». « J’invite Geoffroy Roux de Bézieux à discuter avec moi des solutions pour que chacun de nos jeunes trouve un emploi, une formation et un salaire ! » a lancé le député du Nord, avant de livrer quelques-unes des 180 propositions qui constituent son projet.

Salaires : modération vs augmentation

MEDEF

Les aspirations salariales pour échapper aux fins de mois impossibles et aux restes à vivre indigents ne semblent pas être parvenues jusqu’au 55 de l’avenue Bosquet. Au siège du Medef, le sujet du pouvoir d’achat est tout bonnement snobé pour presque tout le monde. Pas de coup de pouce pour le Smic ni de réévaluation automatique de toute la grille des rémunérations. Et tant pis pour les travailleurs tombés dans la « trappe aux bas salaires », dont le net en fin de mois, lié aux exonérations Fillon, n’évoluera jamais. Quant aux privés d’emploi, ce n’est pas mieux : l’assurance-chômage doit intervenir en cas d’accident de parcours et non plus selon les droits cotisés.

Pour le partage de la valeur créée dans les entreprises, le patronat en reste à sa vision étriquée de l’intéressement et de la participation, jusqu’à présent réservés aux travailleurs des grandes entreprises, ou de tout autre mécanisme qui génère de nouvelles exonérations et défiscalisations, comme la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (Pepa) pour les PME de moins de 50 salariés. Et, comme le marché du travail demeure le seul juge de paix, le Medef appelle à attirer ou conserver les « meilleurs talents », via une nouvelle « baisse de 20 % des charges sociales salariales sur les emplois entre 2 et 4 fois le Smic ».

PCF

C’est la « première mesure » qu’il mettrait en œuvre une fois élu, c’est aussi celle qui arrive en tête de son programme dans un chapitre consacré à la « révolution du travail » : « la hausse généralisée des salaires ». Fabien Roussel veut faire de la lutte contre « la vie chère et pour le pouvoir d’achat le cœur de la présidentielle ». À commencer par l’augmentation des pensions de retraite à 1 200 euros au minimum et du Smic à 1 500 euros net « tout de suite ». Le député défend aussi une « conférence salariale » avec « l’ensemble des branches professionnelles » en vue d’une « augmentation générale ». Le candidat communiste – dont le parti s’est prononcé de longue date pour limiter de 1 à 20 les écarts de salaire au sein d’une même entreprise – annonce également son intention d’imposer « par décret le salaire minimum dans les 40 branches qui aujourd’hui ne l’appliquent pas »« En six mois dans les services publics et en un an dans les entreprises privées, il n’y aura plus d’inégalité salariale entre hommes et femmes », promet le candidat, alors qu’elle s’élève en moyenne à 16 % malgré quatorze lois ces quarante dernières années… Pour y parvenir, un administrateur judiciaire sera nommé dans les entreprises défaillantes. Quant aux étudiants, ils bénéficieront d’un revenu entre 850 et 1 000 euros par mois, selon leur situation.

Emploi : loi du marché vs relocalisation

MEDEF

Voici une bonne nouvelle pour les 7,9 % de travailleurs privés d’emploi : le chômage n’est plus un problème. « On est entré dans une logique de baisse des chiffres sur une longue durée pour des raisons démographiques », estime Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le président du Medef, la « mère des batailles » relève des « compétences » : tout le système d’emploi et de formation doit être orienté vers les besoins de main-d’œuvre des entreprises, condition sine qua non de la « compétitivité » de demain. Tout commence dès la formation initiale, par un lien plus étroit entre l’éducation nationale et l’enseignement supérieur avec les entreprises. L’apprentissage (et ses aides publiques) doit devenir la grande porte d’entrée des jeunes sur le marché de l’emploi (objectif « 2 millions d’alternants »). Quant à la gestion des « mobilités professionnelles », Pôle emploi conserve ses missions, mais sous étroite supervision des régions, avec contractualisation sur des objectifs territoriaux.

L’apprentissage doit devenir la grande porte d’entrée des jeunes sur le marché de l’emploi.

Garder les Français au travail plus longtemps demeure le grand dessein patronal. Pas les fonctionnaires – qui pourraient voir leur poste supprimé après une grande revue des dépenses publiques classant les « utiles », d’un côté, les « mauvaises », de l’autre –, mais tous les autres du privé. « Leur temps de travail au cours de la vie est inférieur à celui de nos voisins », déplore Geoffroy Roux de Bézieux, qui appelle donc à une nouvelle réforme des retraites.

PCF

« Je suis ch’ti, je vis dans le bassin minier qui a vu ses usines se délocaliser, en laissant du chômage et de la pauvreté. C’est terminé », assure Fabien Roussel. Car le candidat entend « bloquer les délocalisations ». Face au « grand déménagement industriel de la France (qui) se poursuit », il propose d’ « investir autant que de besoin » afin de « maintenir les emplois et les compétences ». Affichant l’objectif « d’éradiquer le chômage », il défend la mise en place d’un « droit universel à l’emploi », par opposition au « revenu universel » qui ne serait « rien d’autre qu’un revenu d’assistance garanti ».

Le candidat communiste prévoit la création de 500 000 postes dans les services publics.

En parallèle de la construction d’un « nouveau service public de l’emploi », il s’agirait de « commencer tout de suite par les jeunes » avec un système « zéro jeune au chômage » : « Nous trouverons une solution pour chacun, mais pas une solution à 500 euros avec un emploi précaire pour six mois comme le propose Macron. » Outre la relocalisation des productions industrielles et « 100 000 emplois d’utilité publique » dans les associations, le candidat communiste mise aussi sur les services publics : la création de 500 000 postes y est prévue, dont 100 000 à l’hôpital et 90 000 dans l’enseignement. Dans ce secteur, un dispositif de prérecrutement des jeunes serait mis en place, avec une formation rémunérée contre « un engagement de dix ans au service de l’État »« Quand on dit que je suis le candidat préféré de la droite, ils n’ont pas dû bien lire mon programme », s’amuse le député.

Environnement : greenwashing vs écologie populaire

MEDEF

La Convention citoyenne pour le climat est l’exemple à ne plus suivre. Pour remettre de l’ordre dans la transition écologique, que le patron des patrons désigne là encore comme « la mère des batailles », le Medef appelle à un retour du « rationnel » dans les débats, avec l’apport de l’expertise de ceux qui savent, en premier lieu les chefs d’entreprise. Car, c’est promis, plus aucun d’entre eux, ou presque, n’est climatosceptique. Et si des scandales, comme le dieselgate, ont eu lieu, c’est du passé

Le patronat s’en remet à l’expertise des chefs d’entreprise.

Les patrons ne sont donc plus contre planifier les transitions, mais avec de la visibilité et selon un « principe général, dixit Geoffroy Roux de Bézieux : le calendrier de la transition doit être compatible avec la technologie ». Ce qui n’encourage pas l’audace. Décarboner l’appareil productif ? D’accord, notamment avec une relance du nucléaire. Instaurer une taxe carbone aux frontières ? D’accord, mais pas au prix de la sacro-sainte compétitivité des sociétés et avec une fiscalité avantageuse pour encourager les investissements. La carotte, oui ; le bâton, non merci.

PCF

Les relocalisations, insiste le candidat PCF, c’est aussi bon pour la planète : « Si nous sortons de notre trajectoire en matière d’émissions de gaz à effet de serre, c’est notamment à cause de nos importations. » Pour faire baisser la facture d’électricité et pour « sortir des énergies fossiles », Fabien Roussel promeut l’idée d’un « mix énergétique 100 % public », avec la nationalisation d’EDF et d’Engie, s’appuyant sur le renouvelable et le nucléaire avec la construction de six EPR. La question d’une alimentation de qualité – bio et circuit court – fait aussi figure de priorité afin que chacun puisse « manger sain et à sa faim », alors que « 5 millions de Français dépendent de l’aide alimentaire ». Pour cela, le candidat propose un fonds alimentaire de 10 milliards d’euros, la refonte de la PAC et l’objectif de 100 000 agriculteurs de plus d’ici à 2030. « S’il y a le feu à la planète, il faut y mettre les moyens, mais cela ne doit pas se faire contre les classes populaires », a-t-il martelé en plaidant pour une « prime de conversion de 10 000 euros » pour l’achat d’un véhicule propre, pour la gratuité des transports ou encore la rénovation énergétique de 700 000 logements par an. Pour dégager des moyens suffisants, il propose un « pacte pour le climat et l’urgence sociale en Europe » abondé, « comme le proposent les chercheurs du Giec », à hauteur de 6 % du PIB.

Travailler plus vs Travailler tous

MEDEF

Sans surprise, le patronat cherche à nous faire travailler plus longtemps… Mais, pour une fois, il n’est pas question de toucher à la durée légale de la semaine de travail, Geoffroy Roux de Bézieux estimant que les 35 heures ont été suffisamment « assouplies » depuis vingt ans. En revanche, le Medef plaide pour une augmentation du temps de travail durant l’année, avec une facilitation du recours aux forfaits-jours « sans négociation d’un accord d’entreprise ». Par ailleurs, le patronat veut nous faire travailler plus longtemps durant notre existence, avec sa réforme des retraites en deux volets : paramétrique et systémique. Sur le premier volet, l’objectif est l’augmentation progressive (trois mois par an) de l’âge légal de départ de 62 à 65 ans, à l’instar de ce que propose la candidate LR, Valérie Pécresse. Dans le même temps, pour toucher une pension à taux plein, un retraité devra avoir cotisé 44 annuités (contre 43 aujourd’hui pour les générations nées en 1973 et après). Les salariés exerçant des métiers pénibles seront évidemment les premiers pénalisés par cet allongement : le Medef assure qu’il faudra en tenir compte, sans donner davantage de précision. Le volet systémique de la réforme prévoit le dynamitage des régimes spéciaux, un mot d’ordre partagé aussi bien par LR que par Emmanuel Macron.

PCF

« Travailler tous, travailler moins, travailler mieux. » Voici ce que propose Fabien Roussel au sujet du temps de travail, avec la retraite à 60 ans à taux plein et la semaine de travail de 32 heures « sans perte de salaire »« Cette mesure restituera aux salariés les gains de productivité qu’ils réalisent », expose le candidat. L’idée est de renouer avec le partage du travail entre tous, sachant que la productivité a été multipliée par trente au siècle dernier. Cela permettra aussi de réaliser des embauches, de faire des économies d’assurance-chômage et de rassembler davantage de cotisations sociales… tout en offrant un autre rapport à la vie, qui assure le développement de l’économie, de la culture, du sport, des loisirs et du tourisme. « L’allongement de la durée de vie doit améliorer l’existence au lieu d’allonger le temps de travail », note Fabien Roussel, qui propose des pensions de retraite à 75 % du revenu net d’activité, dans le public comme dans le privé, en comptant les dix meilleures années (ainsi que les six derniers mois de traitement indiciaire dans le public). La carrière complète ira de 18 à 60 ans « avec prise en charge des cotisations pour les périodes de non-travail (chômage, formation, études, congé parental, maladie, invalidité) », et des départs anticipés pour les métiers pénibles et les carrières longues.

Impôts : cadeaux fiscaux vs partage des richesses

MEDEF

Le robinet des ristournes fiscales était ouvert en grand durant tout le quinquennat d’Emmanuel Macron : le Medef n’a aucune envie de refermer les vannes. Dans son programme, le patronat réclame de nouveaux cadeaux en direction des entreprises. Geoffroy Roux de Bézieux salue la réforme de l’impôt sur les sociétés, qui doit tomber à 25 % cette année (contre 33 % au début du mandat d’Emmanuel Macron), mais presse le futur pouvoir de diminuer les impôts de production : taxe foncière, cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S), etc. Le Medef a même défini un objectif chiffré : tous ces prélèvements devront avoir baissé de 35 milliards d’euros d’ici à 2027. Par ailleurs, le patronat voudrait une nouvelle baisse des cotisations patronales, compensée par une hausse de la CSG et de la TVA, afin « d’améliorer notre compétitivité ». Autrement dit, ce sera à l’ensemble de la collectivité de financer ce nouveau cadeau fait aux entreprises.

PCF

« Reprendre le pouvoir sur l’argent qui coule à flots pour certains », c’est l’un des principaux objectifs de Fabien Roussel. « En 2017, 358 198 redevables à l’ISF ont déclaré un patrimoine net taxable de 1 028 milliards d’euros. Imaginez le pognon qu’ils doivent avoir aujourd’hui après tous les cadeaux fiscaux de ce gouvernement ! » pointe le candidat, qui prendra « 100 milliards sur les 1 000 », notamment via le triplement de l’ISF. « Soit 10 %, ça leur laisse de quoi voir venir », sourit-il. Pour « sortir de la soumission aux marchés », il s’agirait aussi d’en finir avec la règle des 3 % des traités européens et de permettre à la Banque centrale européenne (BCE), « qui a injecté 1 800 milliards d’euros dans l’économie » pendant la pandémie, de prêter directement aux États.

Fabien Roussel entend s’attaquer aux « vraies charges qui pèsent sur les entreprises ».

Afin de lutter contre l’évasion fiscale, le député souhaite instaurer le « prélèvement à la source des bénéfices des multinationales » et proposer une COP fiscale « au même titre qu’il y en a une pour le climat ». Quant aux entreprises, le candidat propose un « nouvel impôt sur les sociétés », modulé en fonction de leur politique sociale et environnementale. Contrairement à la droite et au Medef, qui veulent multiplier les exonérations de cotisations, Fabien Roussel entend s’attaquer aux « vraies charges qui pèsent sur les entreprises. Celles qu’imposent les banques avec des taux d’intérêt élevés, ou les assurances qui se font des montagnes d’or avec des primes insupportables ». Pour cela, la nationalisation de la BNP, de la Société générale et d’Axa figure en bonne place dans son programme.

Mardi 8 février, 17h30-19h30, Halles Saint-François à Quimper – Conférence-débat avec Georges Cadiou sur Marcel Cachin, un breton émancipé (PCF Quimper – Comité des Jours Heureux)

La section et le comité des jours heureux de Quimper organisent une conférence-débat avec Georges Cadiou

autour de son livre sur Marcel Cachin le mardi 8 février de 17H30 à 19H30 salle N° 1 des Halles Saint-François à Quimper.

Conférence-débat à Brest sur le communisme et 100 ans d’histoire du PCF le mercredi 9 février de 18h30 à 20h30

Le communisme et Cent ans d’histoire du Parti communiste français.

Avec Valère Staraselski, Écrivain, journaliste.

le mercredi 9 février de 18h30 à 20h30 à Brest

Une conférence-débat à l’invitation des Amis de l’Huma, se tiendra Mercredi 9 Février, de 18h30 à 20h30, salle Tessier à Brest (4 rue colonel Fonferrier), sous réserve de confirmation de la disponibilité de la salle,  sur 100 ans d’histoire communiste à Brest, afin de présenter l’excellent livre collectif qu’il a co-dirigé avec Guillaume Roubaud Quashie pour le centenaire du PCF (au Cherche-Midi).

 

8 février 2022, 18h: Mardi de l’éducation populaire du PCF Pays de Morlaix sur Jean de la Fontaine avec l’écrivain et journaliste Valère Staraselski

L’écrivain et journaliste Valère Staraselski, auteur de plusieurs romans, essais, et d’un livre stimulant sur Jean de La Fontaine, « Le Maître du jardin. Dans les pas de La Fontaine » (Cherche-Midi, 2011) sera l’invité du prochain Mardi de l’éducation populaire du PCF Morlaix le 8 février 2022, à 18h, au local du PCF Pays de Morlaix, 2 petite rue de Callac, pour une conférence débat publique ouverte à tous dans des conditions de vigilance par rapport à la crise sanitaire.

Cette conférence s’inscrit dans le cadre de la célébration des 400 ans de la naissance de Jean de La Fontaine, écrivain universel.

Valère Staraselski fera aussi des dédicaces de ses livres et rencontrera le public à la librairie Dialogues Morlaix le mardi 8 février à 16h30

La lettre des communistes du Finistère, comité de soutien finistérien à Fabien Roussel – 30 janvier 2022

 

 

Brest, le 30 janvier 2022
Cher-e-s camarades,
La campagne des parrainages officiels pour les candidatures aux présidentielles s’ouvre ce week-end.  Dont 7 confirmés à ce jour dans le Finistère, 523 promesses de parrainage au niveau national! Il y en aura sans doute plus au final.
Le programme de La France des Jours Heureux va nous être livré sous forme de 8 pages et de petit livre à vendre 2 euros dans les prochains jours.
Nous avons également reçu dans le Finistère la lettre de Fabien Roussel aux Françaises et Français, distribuée à 80 000 exemplaires dans le Finistère par les militants dans les sections et les comités des jours heureux du Finistère. Et l’affiche officielle (3000 livrées) que collent les militants un peu partout là encore dans le Finistère.
Le 27 janvier dernier, nous étions nombreux dans les manifestations intersyndicales de Brest, Quimper, Morlaix, Quimperlé, Carhaix, pour la hausse des salaires, des pensions, l’amélioration des conditions de travail et le pouvoir d’achat.
Le mercredi 2 février aura lieu un CD à Pont-de-Buis à 18h (MPT de Quimerc’h) qui validera le plus possible de propositions de candidatures de binômes présentés par le PCF aux législatives sur les 8 circonscriptions du Finistère et fera le point sur l’organisation départementale des campagnes présidentielles et législatives.
Le samedi 5 janvier, c’est l’AG de circonscription de la 6e circonscription (Carhaix-Huelgoat-Châteaulin-Crozon-Ouessant) qui se réunit à Pont de Buis à la MPT à 14h à 17h pour parler présidentielles et législatives, à l’invitation de Pierre-Yves Thomas et Christian Beaumanoir, en présence d’Isabelle Maugeais, conseillère départementale, de Gladys Grelaud, conseillère régionale, et de Ronan Tanguy, trésorier départemental du PCF, pendant qu’un Conseil National a lieu en même temps, consacré aux législatives et présidentielles, à Marseille, avant le meeting de Marseille de Fabien Roussel le dimanche 6 janvier à 15h, Parc Chanot.
Notre candidat Fabien Roussel est parvenu à percer médiatiquement. On parle beaucoup de lui, en bien souvent, et des idées qu’il met dans le débat, de sa manière originale de porter les valeurs communistes et d’une gauche populaire, égalitaire, républicaine, qui entend s’adresser à l’ensemble du peuple.
Soyons, nous aussi, extrêmement mobilisé.e.s sur le terrain.
Le Comité de soutien finistérien à Fabien Roussel compte à ce jour 490 personnes, adhérents communistes et non-adhérents, issus de 100 communes différentes du Finistère.
D’ici le 10 avril pour le 1er tour des présidentielles, nous nous donnons l’objectif d’atteindre les 1000 soutiens. C’est l’affaire de tous d’amplifier la mobilisation de terrain pour la candidature de la France des Jours Heureux.
Ce sera notamment possible avec le lancement de nos porte-à-porte fin février-début mars.
Toutes et tous ensemble, camarades, nous allons soulever des montagnes!
Ces 7 derniers jours, nous avons enregistré l’adhésion de 4 nouveaux camarades, dont un lycéen, une lycéenne, un étudiant de 18 ans, et un autre camarade à Quimper.
Nous avons, grâce aux enjeux forts de la présidentielle, moment de politisation des Français, des jeunes en particulier, et à l’exposition médiatique de notre candidat et de nos idées, un espace certain si nous savons nous en emparer pour nous renforcer, faire des adhésions, ou des ré-adhésions, nous faire entendre en grand auprès de la société et de la population.
Saisissons cette occasion!
Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr
Ismaël Dupont, secrétaire départemental PCF Finistère
***
Pen-ar-Bed, A bloc dans l’ouest, tout en haut à gauche toute
490 personnes participent à ce jour au comité de soutien finistérien public à la candidature de Fabien Roussel.
Et ces soutiens viennent d’une partie significative des 277 communes du Finistère (100 communes différentes du Finistère) :
Bannalec, Baye, Berrien, Beuzec-Cap-Sizun, Brennilis, Brest, Briec, Carantec, Carhaix, Châteaulin, Clohars-Carnoët, Combrit, Concarneau, Crozon, Douarnenez, Elliant, Ergué-Gaberic, Fouesnant, Gouesnac’h, Guipavas, Gouesnou, Guilers, Guimaëc, Guisseny, Hôpital-Camfrout, Huelgoat, Ile-de-Batz, Kernével, Kersaint-Landunvez, La Feuillée, La Forêt-Fouesnant, Landerneau, Lanmeur, Lanvéoc, Le Guilvinec, Le Relecq-Kerhuon, Lesconil, Locquénolé, Locmaria-Berrien, Locmaria-Plouzané, Loctudy, Logonna-Daoulas, Loperhet, Mahalon, Melgen, Mellac, Moëlan-sur-Mer, Motreff, Morlaix, Quimper, Quimperlé, Penmarc’h, Penzé, Pleyber-Christ, Plobannalec-Lesconil, Plogonnec, Plomeur, Plouarzel, Plouégat-Guerrand, Plouégat-Moysan, Plouénan, Plougasnou, Plougastel-Daoulas,, Plougastel-Saint-Germain, Plougonven, Plouguerneau, Plouhinec, Plouider, Plouigneau, Plounevez-Porzay, Plouzévédé, Plounéour-Menez, Plourin-les-Morlaix, Plouvien, Plozévet, Pont-Croix, Pont-de-Buis les Quimerc’h, Pont l’Abbé, Plogastel Saint-Germain, Riec-sur-Belon, Roscoff, Rosporden, Rosnoën, Santec, Saint Hernin, Saint-Jean-du-Doigt, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Pabu, Saint-Thégonnec Loc-Eguiner, Saint-Pol-de-Léon, Saint-Renan, Saint Vougay, Saint-Yvi, Santec, Scaër, Sizun, Taulé, Tregunc, Tréflez, Tréflévenez, Trémeoc …
Merci à toutes les personnes qui ont déjà donné leur soutien public à Fabien Roussel, et qui ont contribué à nourrir ce comité de soutien en posant la question aux proches et aux sympathisants.
On continue à parler autour de nous de notre candidat des Jours Heureux et du Parti Communiste pour amplifier le courant de sympathie et d’adhésion autour de cette candidature!

Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr

A ce jour,  490 personnes appellent publiquement à voter Fabien Roussel dans le Finistère.

  Guy ABGRALL, comédien, auteur et adhérent du PCF, Brest

Anne-Marie ALAYSE, chercheuse Ifremer retraitée, Brest

Jean-Luc ALGOET – Brest

Sandrine ALLAIN, agente administrative, syndicaliste – Quimper

Philippe ALLOUARD, militant syndical, Quimperlé

Yvette ANDOLFATTO enseignante en retraite, ancienne militante syndicale dans le 93, Plougastel-Daoulas

Françoise ANNE, retraitée, Quimperlé

Serge ANNE, retraité, Quimperlé
Eric APPERE, militant syndical, Brest
Sylvain ARALDI, militant syndical, technicien bureau d’étude ALSTOM, La Forêt Fouesnant

Patrick ASSELBOURG, retraité de l’AFPA, syndicaliste, ancien adjoint à Plourin-les-Morlaix

Manu AUDIGOU, agent territorial, syndicaliste – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU, salariée de la Poste – Morlaix

Philippe AUZILLAUD, agent administratif syndicaliste – Morlaix

Antonio AVELLAN – retraité chauffeur routier – Brest

Christiane AVELLAN – retraitée agent d’entretien – Brest

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Denise BALLIOT, Loctudy

Gaston BALLIOT – auteur de sites d’histoire locale, Loctudy

Guy BARRE, enseignant en retraite, ancien responsable syndical- secteur Pont L’Abbé

Cyrille BARTHES, adjoint technique principal, syndicaliste CGT, Brest

Serge BAZIN retraité– Saint-Martin-des Champs

Christian BEAUMANOIR, Syndicaliste cheminot CGT , ancien M/Adjoint communiste de Maurepas (Yvelines)- exécutif départemental PCF du Finistère Lanvéoc

Marie José BEAUMANOIR, retraitée du trésor public, Lanvéoc

Patrick BEAUMONT-PEUZIAT Maraîcher Plougastel-Saint-Germain

Patrick BEGUIVIN – ouvrier en miroiterie, conseiller municipal à Plouigneau

Claude BELLEC – élue communiste à Brest pendant plusieurs mandats, administratrice logement social, Brest

Djelloul BENHENNI, ouvrier du BTP, conseiller municipal de Rosporden/ Kernével

Annie BERGOT LE CALVEZ – retraitée des Finances Publiques, ancienne élue à Morlaix

André BERNARD  – retraité de l’éducation national (ancien proviseur) Quimper

Marie-Andrée BERNARD – retraitée de la Mutualité – syndicaliste, Quimper

Odette BERRIC, retraitée, Saint Jean du Doigt

Josiane BERTHELOT – Scaër

Bernard BERTHIER ancien conseiller municipal de Saint-Yvi, syndicaliste

Alain BESCOU – retraité fonction publique territoriale, Plouhinec

Martine BESCOU – retraitée publique territoriale, Plouhinec

Mehdi BEUNECHE, étudiant. Brest

Jean-Pierre BEUZIT – cuisinier – adhérent PCF – Morlaix

Bertrand BIANIC Conseiller municipal délégué en charge du personnel au Relecq-Kerhuon
Alain BIZOUARN, ancien maire adjoint de Locmaria-Berrien, retraité
Denise BLANCHE retraitée du secteur bancaire semi-public – ancienne élue à Fontenay-aux-Roses – militante associative, syndicale et politique vétéran du PCF, Fouesnant
Fernand BLANCHE retraité du logement social – Fouesnant
Cécile BLANCHET, infirmière libérale, formatrice CGT, Guimaëc

Véronique BLANCHET, Formatrice Professionnelle d’Adultes. Ancienne vice

présidente de la communauté de communes du Pays Bigouden Sud. Ancienne – 3eme adjointe au maire chargée des affaires scolaires et enfance de la ville de Pont-l’Abbé
Annie BLEAS, médecin psychiatre, Quimper
Bernard BLOYET – Retraité de la RATP, Syndicaliste CGT, MOTREFF

Anne BORGNIET-YOUÉNOU , retraitée, Brest

Jeannine BOUARD, Retraitée militante CGT et PCF (usine Renault), Pont-l’Abbé

Christophe BOUDROT infirmier à l’hôpital, syndicaliste, Plouigneau

Jules BOUEDEC ancien élu, Lanmeur

Claude BOULIC, cheminot retraité , responsable associatif, Crozon

Claudie BOURNOT GALLOU Adjointe en charge des finances, de l’administration générale, du personnel et des élections Mairie du Relecq-Kerhuon

Bernard BOURSON, retraité, Plouider

François BOURVEN Cheminot, syndicaliste, Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN ancienne élue à Plougonven, Morlaix

Jacqueline BRAIRE Le Guilvinec déléguée syndicale S.M.I.C.T. – C.G.T. pendant la carrière professionnelle (syndicat des médecins, ingénieurs,  cadres et techniciens ), Infirmière retraitée,  puis cadre de soins et ensuite cadre supérieure de santé jusqu’en 2004

Malika BRANELLEC – adjointe technique, syndicaliste CGT Brest

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT conseillère municipale à Morlaix

Denise CAM contrôleuse des Finances Publiques ER- Brest

Jean-Paul CAM contrôleur des Finances Publiques ER – Brest

Gilles CANQUETEAU -cadre Enedis, militant syndical, secteur Quimper

Christian CARDUNER – Retraité militant CGT PTT ancien secrétaire Départemental CGT  du secteur des activités postales et des télécommunications du Finistère-Sud et secrétaire régional activités postales et communication Bretagne – élu PCF Scaër

Elisabeth CARDUNER-Scaër

Monique CARDUNER – Scaër

Alain CARIOU, professeur retraité, ancien adjoint au maire, Plougonvelin

Alain CARIOU, Marin pêcheur retraité, Loctudy

Alain CARIOU, militant CGT – Scaër

Mimi CARIOU, Retraitée commerce, membre de la section du Pays bigouden, Loctudy
Jean-Claude CARIOU, professeur en retraite , militant associatif , Logonna-Daoulas

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – infirmière retraitée, Plougasnou

Martine CARN – conseillère municipale à Plougonven, militante santé publique

René CARN – Plougonven

Philippe CARQUET – Gouesnou

Jean-Louis CAUSEUR, militant syndical – Saint Renan

Jeannine CAVACO – Retraitée de l’Education Nationale – 3 mandats conseillère municipale communiste à Mellac

Bernard CELTON ancien responsable syndical de la CGT chez Renault et en Seine st Denis – Melgven

Jean Pierre CHABROL, retraité de la fonction publique territoriale, habitant à Brest.

Jean CHEVALIER. Ancien élu PCF à Landerneau

Jean-Marc CLERY,  Professeur, secteur de Quimper.

Anne-Catherine CLEUZIOU, conseillère municipale, Brest

Nadine CLOAREC – retraitée France Telecom Orange, militante syndicale, militante politique – exploitante agricole – Locmaria Berrien

Yves CLORENNEC – professeur des écoles – Quimper

Albert COÏC – Beuzec-Cap Sizun

Emile COIGNARD -retraité France Télecom- Secteur Quimper

Isabelle COLPIN – Artisan d’Arts- Moëlan-sur-Mer

Bernard CONDETTE – Tregunc

Marc CORBEL – agent territorial – syndicaliste – Lanmeur

Alain CORFMAT – syndicaliste santé en retraite – Loctudy

Pascal CORNOU – Sapeur pompier professionnel, SDIS du Morbihan – Moëlan-sur-Mer

Christiane CORRE, retraitée syndicaliste, Le RELECQ KERHUON

Jean-Claude CORRE – retraité, Riec-sur-Belon

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Patricia CORRE – professeure – Quimper

Jean-Patrick COURTOIS – retraité des PTT, syndicaliste, Plounévez-Porzay

Monique COURTOIS–  retraitée de la fonction publique territoriale, syndicaliste, Plounévez-Porzay

Michel CREIGNOU, ancien élu de Guisseny, retraité d’EDF. Guisseny

Stéphane CREACH, syndicaliste, habitant à l’Hôpital-Camfrout

André CREN Militant associatif Carhaix
Claudie CREN – Rédacteur Principal – Carhaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – enseignant à la retraite – Morlaix

Jeannine DANIEL – ancienne élue à Scaër et présidente du syndicat d’eau du Ster Goz, présidente de l’association « Bretons solidaires » qui vient en aide aux migrants, Scaër

Maëlvin DANIEL – étudiant, Morlaix

Guy DAROL – journaliste et écrivain – Plouigneau

Monique DAVID – syndicaliste, retraitée du Télégramme, Morlaix

Eugène DAVILLERS – conseiller municipal de Morlaix

Louis DEBARNOT – retraité de l’arsenal, militant syndical et associatif – Brest

Benjamin DERBEZ, professeur de sociologie à l’UBO Brest

Enzo DE GREGORIO – responsable des JC Finistère, Carantec

Christian DELANNEE économiste de la construction en retraite,  Morlaix
Marcel DENES, militant associatif, Fouesnant
Jean-François DENIS – retraité Thalès, Brest
Liliane DEROUT, Lanmeur

Corentin DERRIEN – étudiant, responsable de l’UEC Finistère, conseiller municipal à Saint Thégonnec Loc Eguiner

Gabriel DERRIEN – agent de maintenance en retraite,  Quimper

Jean-Jacques DERRIEN – retraité, Brest

Philippe DESSENNE, Technicien de maintenance, militant syndicaliste. Plogastel St Germain.

Eric DESURY – éducateur sportif – Brest

Jean-Philippe DEUNF – travailleur de l’agro-alimentaire – Lanmeur

Michel DIZES cadre territorial retraité – Plougasnou

Jean DREAN – cheminot retraité, syndicaliste, Plouigneau et Quimper

Murielle DUBREULE, retraitée, Saint Renan

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Emile DUOT – retraité des travaux publics, Quimper

Marie DUIGOU, adjointe déléguée au lien social et à la citoyenneté, Bannalec

Norbert DUIGOU – militant syndicaliste, retraité de la Sécurité Sociale, Bannalec

François DUOT – Retraité des travaux publics – Quimper.

Louis DUOT – Ouvrier métallurgiste, syndicaliste – Quimper.

Jackie DUQUENNE – retraité – Pont Croix

Roger DUPAS, retraité RATP syndicaliste et militant PCF, Pont L’Abbé

Aloys DUPONT – étudiant, Morlaix

Ismaël DUPONT – professeur documentaliste en collège, conseiller départemental et 1er adjoint, adjoint Finances-Ressources Humaines de la ville de Morlaix

Gilles DURIEU – Concarneau

Daniel EDELIN – retraité de la sécurité sociale,  Quimper

Marie-France FAUJOUR, syndicaliste, retraitée de la Manu, Penzé (Taulé)

Pierre FELICE – retraité Penmarc’h

Jean-Michel FEVRIER – Retraité – Carhaix

Floriane FEYSSEL – secrétaire administrative, militante, Guilers

Marie-Laure FEYSSEL-PIBOULEAU, retraitée et adhérente du PCF, Brest

Alain FLAGEUL, militant associatif, Rosnoen

Catherine FLAGEUL, militante associative et de la Paix, Rosnoen

Didier FLEGEAU Retraité BREST

Yann FLOURIOT, retraité de l’Éducation Nationale, militant, Plouvien

Alain FOUCHE, Clohars-Carnoët

Yann FOUCHER – directeur d’école, Quimper

Pierre FOURNET-FAYAS. Mellac

Marion FRANCES, secrétaire administrative, militante, Guilers

Ronan FRANCES. Ergué Gabéric

Cyrille FREY, syndicaliste, cheminot Brest/Landerneau

Yvonne GADONNAY, Retraitée militante CGT, Guilvinec

Christian GAGOU – Retraité mécanicien de la réparation navale. Landerneau

Fabrice GAKIERE – Conseiller municipal de Briec, militant associatif, secteur Quimper

Denise GALLON – cheminote retraitée, secrétaire de la section des cheminots cgt retraités – Taulé

Jacky GALLOU, retraité, Le Relecq-Kerhuon

Michèle GAMBACHE – professeure en retraite, Morlaix

Patrick GAMBACHE – enseignant en retraite, éditeur, conseiller municipal délégué à Morlaix

Raymonde GARNIER  -retraitée, Moëlan sur mer

Robert GARNIER – retraité, Moëlan-sur-mer

Mariane GAUTHIER – conseillère municipale à Plouigneau

Walden GAUTHIER – lycéen, membre du MJCF 29, Plouigneau

Thierry GELEBART – retraité Thalès, Brest

Mattéo GESTIN – lycéen en terminale à Landerneau (littérature – sciences politiques), habitant de Brennilis

Camille GLIDIC – Île de Batz

Marie-Joëlle GLOAGUEN – Retraité de la fonction publique territoriale, Secteur Quimper

Patrick GLOAGUEN retraité de la pêche, militant communiste, Lesconil

Armel GONTIER, Enseignant EPS, militant syndical et militant associatif, Moëlan-sur-Mer.

Camille GONTIER, Maître de conférence en sociologie, Douarnenez

Dominique GONTIER – Moëlan-sur-Mer

Bruno GOULIAN, cheminot retraité, syndicaliste, GUIPAVAS

Yvette GOULM, Quimper

Marie-France GOUSSE, comptable, militante associative, CONCARNEAU

Gilles GRALL – artiste, syndicaliste, Plounéour Menez

Gladys GRELAUD – Conseillère Régionale de Bretagne, Landerneau

Muriel GRIMARDIAS – militante associative, Lanmeur

Monique GUERANGER Retraitée syndicaliste, Guilvinec

Fabrice GUILLAMET, dessinateur d’art celtique – Concarneau

Loeiz GUILLAMOT – journaliste en retraite, secteur Quimper

Anne-Marie GUILLOU – Scaër

Dominique GUEGUEN – Militante associative d’éducation populaire Brest

Françoise GUEGUEN – Militante Conseillère Pôle Emploi -Le Relecq-Kerhuon
Pascal GUEGUEN – section de Brest
Simone GUEGUEN – retraitée ancienne conseillère municipale de Brest
Dominique GUELLEC, auxiliaire de vie scolaire, Brest

Eric GUELLEC, adjoint au maire de Brest, président du groupe des élu-e-s communistes de la ville de Brest et de Brest métropole, Brest

Morgane GUELLEC, section PCF de Brest

Eric GUENODEN, militant syndicaliste, Loperhet

Malou GUIAVARC’H, professeur d’école, adhérente PCF, Plouvien

Nicole GUILLOU, adjointe de direction. Quimper

Philippe GUILLOU – cadre territorial en retraite, secteur Quimper

Yves GUIRIEC, cheminot retraité, militant syndical et associatif, Quimper

Suzanne GUIVARCH, retraitée, Brest

Alain GUYADER – professeur des écoles en retraite, secteur Quimper

Aline GUYADER – professeure des écoles en retraite, secteur Quimper

Jean GUYOMARCH – postier en retraite, syndicaliste, Quimper

Jean-Pierre GUYON – Retraité EDF, militant syndicaliste de l’Énergie, Concarneau

Roger HARRE – Peintre en bâtiment. Éducateur et dirigeant à la section football du patronage laïque du Bergot depuis 1987 – Brest

Maha HASSAN – écrivaine, Morlaix

Joel HEDDE – retraité syndicaliste, Combrit

Dessi HEDIN, professeur et écrivaine, Karlstad, Suède, section PCF Brest

Joël HELARY – syndicaliste, retraité de l’agro-alimentaire, Plourin-les-Morlaix

Noël HELIES, retraité de l’éducation nationale. Guipavas

Martin HELLMANN, étudiant en Histoire à l’UBO Brest, Le Relecq-Kerhuon.

Gérard HENAFF – retraité Alcatel, syndicaliste, Saint-Pabu

Maïté HENAFF – DEMARTY – retraitée Conseil Départemental 92, syndicaliste, Saint-Pabu

Jacqueline HERE – Retraitée des Finances Publiques, Maire de quartier à Bellevue (Brest), conseillère départementale

Roger HERE – retraité des Finances Publiques, syndicaliste, vice-président de Morlaix-Communauté et 1er adjoint à Plouigneau

Mireille HERVY, Santec

Alain HOUZIAUX retraités métaux

Danielle HROUDA – retraitée de la fonction publique territoriale (Assistance Publique – Département de Seine St Denis), syndicaliste, Gouesnac’h

Denis HUET, enseignant à la retraite, militant syndical. Quimperlé

Yvon HUET – journaliste, syndicaliste

Marianne JAN, retraitée, militante du comité de défense de l’hôpital de Concarneau – Concarneau

Charles JAOUEN- Saint Jean du Doigt

Mona JAOUEN – artiste chanteuse, Plounéour Menez

Bernard JASSERAND – Maire-Adjoint de Quimper en charge du quartier de Kerfeunteun, Conseiller Communautaire de QBO. Salarié de l’énergie ER, Quimper

Sylvie JASSERAND – professeure des écoles en retraite, Quimper

Gilbert JEHANNO – retraité de l’Arsenal – militant communiste, syndicaliste, Le Relecq-Kerhuon

Geneviève JEHANNO – retraitée de la mairie de Brest – Le Relecq-Kerhuon

Michelle JEZEQUEL – militante syndicaliste – Quimper

Daniel JOUAN – La Forêt- Fouesnant

Claude JUILLIERE, retraité militant PCF et comité de défense de l’hôpital de Concarneau, Concarneau

Christelle KERBORIOU – salariée du secteur médico-social, syndicaliste, Plougonven

Pascal KERBORIOU – salarié de l’hôpital, syndicaliste, Plougonven

Elise KEREBEL – salariée du secteur médico-social, conseillère municipale à Morlaix

Louis KERGOURLAY – ancien conseiller municipal d’Ergué Gaberic

Annick KERHOM – Plobannalec

Claude KERHOM – Plobannalec

Colette KHALFA – retraitée de la fonction publique territoriale, Carhaix

Virginie LABACCI – fonctionnaire territoriale section de Brest

Jean-Jacques LABOUS, militant syndical. Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – retraité Air Inter, syndicaliste, – Carantec

Mariette LABROUSSE –  retraité Air Inter, syndicaliste, Carantec

Elisabeth LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jean-Yves LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jérémy LAINE – technicien anti-parasitaire adjoint au maire à Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – ouvrier, adjoint au maire à l’enseignement à Morlaix

Enora LAMY – étudiante – section PCF Morlaix

Claude LANGRENE –  professeur des lycées professionnels en retraite – Quimper

Claudine LAPORTE – Responsable associative, Carhaix

Daniel LAPORTE – retraité, syndicaliste, Carhaix

Fanch LAPORTE – militant Syndical Retraité Carhaix

Louis LAUNAY retraité Brest

Marc LAUNAY, Concarneau

Andréa LAURO – salarié associatif, militant associatif, Morlaix

Vincent LE BAYON – syndicaliste énergéticien – Brest

Alain LE BEC – professeur en retraite, militant associatif, Quimper

Chantal LE BELLEC, Cadre territoriale Retraitée, Guilvinec

Etienne LE BELLEC, Ancien  conseiller municipal de Guilvinec, Technicien études et conception pour les grandes cuisines professionnelles, Retraité, Guilvinec

Robert LE BELLEC, Ajusteur outilleur, Retraité, Pont L’abbé
Stephane LE BELLEC, Aide soignant, Pompier volontaire, Pont L’abbé
Yann LE BELLEC, Technicien de l’eau, Guilvinec
André LE BERRE, Retraité, Plogonnec

Annie LE BERRE, professeur agrégée de lettres, retraitée de l’éducation nationale, Brest

Jeanne LE BERRE – retraitée PTT secteur Quimper

Yves LE BERRE, professeur émérite des Universités, ancien adjoint au Maire de Brest (chargé de la culture), syndicaliste FSU, adhérent du PCF – Brest

Sergine LE BOHEC – Lesconil

Yannick LE BOHEC – Lesconil

Simone LE BOHEC – Plobannalec

 Yves LE BOHEC – Plobannalec

Marie-Thérèse LE BRAS – retraitée de l’éducation nationale – Beuzec Cap Sizun

Gérard LE BRIQUER, Ingénieur retraité du ministère de l´Ecologie, Plougastel-Daoulas

Bernard LE BRUN – Technicien travaux publics en retraite, syndicaliste,  Quimper

Chantal LE BRUN – Guilvinec

Madeleine LE BRUN – Retraitée, secteur Quimper

Maxime LE BRUN – Guilvinec

Michel LE BRUN – Policier municipal en retraite, secteur Quimper

Amélie LE CALVEZ – conseillère municipale, Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – retraité de la Manu, ancien élu, syndicaliste, Morlaix

Christine LE CAM, retraitée, militante syndicale, Locmaria Berrien

Hubert LE CAM, retraité,  militant syndical,  Locmaria Berrien.

Natacha LE CLAIR, retraitée coiffeuse, Plestin-les-Grèves

Jacqueline LE CLOAREC –  professeur certifiée en retraite; ancienne conseillère municipale de  LANESTER -GUILVINEC

Robert LE CLOAREC Guilvinec professeur certifié en retraite; ancien adjoint au maire de LANESTER; ancien conseiller municipal du Guilvinec

Annick LE CORRE retraitée Ergué Gabéric

JEAN LE CORRE Retraité PTT Roscoff

Tangi LE COZ – Salarié du secteur social – Brest

Guy LE DANTEC retraité Brest

Serge LE DOYEN – ancien pompier – Plouégat Moysan

René LE DOZE – Moëlan sur Mer

Romaric LEDUC -militant syndical et associatif -Brest – Pont de Buis lès Quimerc’h

Georges LE DUFF –(ingénieur en bâtiment, retraité, Lanmeur

Suzanne LE DUFF – professeure des écoles, retraitée, Lanmeur

Théo LE FAOU – ancien membre du Conseil du CHU Pitié Salpètriere, Guilvinec

Jean-Claude LE FELL – retraité – Logonna Daoulas

Viviane LE FELL – retraitée – Logonna Daoulas

Josette LE FUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL, artisan ébéniste retraité, ancien conseiller municipal de Roscoff pendant 2 mandats, Roscoff

Léon LE GALL, Retraité, Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – employé municipal, syndicaliste, Morlaix

Marie-José LE GLAS Contrôleur principal du trésor public- Lanvéoc

Bernard LE GOFF – retraité d’Orange, militant syndical et associatif, Quimper

Chantal LE BRUN, Le Guilvinec

Maxime LE BRUN, Le Guilvinec

Michel LE GOFF, militant syndical alimentaire, ancien conseiller municipal et candidat du Front de Gauche aux élections Régionales en 2015, Bannalec

Lydie LE GUEN – employée de commerce – Quimper

Marie-Hélène LE GUEN – retraitée de la Poste, syndicaliste, Morlaix

Roger LE GUENIC – Retraité fonction publique hospitalière -Retraité CGT – Brest

Thierry LE GUENNOU ancien adjoint mairie de Baye, Baye

Brieuc LE GUERN étudiant Brest/ Carhaix

Gaëtan LE GUERN Professeur dans l’enseignement supérieur ancien adjoint à la culture à Brest – Brest

Chantal LE GUERN DROGUET – Cytologiste, Brest

Léandre LE GUERN, étudiant en 1ère année d’IUT génie biologique à Brest, Plougastel-Daoulas

Rémy LE HUIDOUX Retraité Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Jean-Claude LE JONCOUR – Retraité France Télecom, militant associatif,  Quimper

Jocelyne LE JONCOUR – Retraitée Quimper

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

Jean Michel LE LORC’H  Vice-Président BREST Métropole

François LE MEUR – Morlaix

Jean-Louis LE MEUR – chauffeur routier, Quimper

Pierre LE MEUR, Militant syndical, Ancien secrétaire général du syndicat  cgt mines energie de Quimper, Retraité EDF, Trémeoc

Jacques LE MOIGNE – Cheminot Retraité, syndicaliste, Plouguerneau

Colette LE NOAC’H – Scaër.

Martine LE NOZERH – retraitée intérimaire de l’agro-alimentaire (Doux, Connetable, Capitaine Cook, etc) – militante du PCF Pays Bigouden – Plozévet

Claude LE PAGE – Cheminot, syndicaliste, secteur Quimper

Michel LESPAGNOL – retraité PTT France Télécom, Morlaix

André LE ROUX commandant des douanes retraité Pont L’Abbé

Francette LE ROUX contrôleur divisionnaire des douanes retraitée Pont L’Abbé

Michel LE ROUX – professeur en retraite militant associatif – Le Relecq-Kerhuon

Sandra LE ROUX, conseillère municipale aux sports et au développement des quartiers à la mairie de Brest. Brest

Sylvain LE ROUX professeur de français

Marie LE TELLEC, retraitée, Quimper

Marie Rose L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

Yvon L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

‌Ernestine L’HENORET, retraitée Fonction Publique, Loctudy

Gisèle LINTANF – retraitée infirmière psy –  Saint-Martin-des-Champs

Oxana LIZIAR, Atsem, Le Relecq-Kerhuon

Pierre-Yves LIZIAR, Professeur des Écoles, Conseiller Municipal délégué en charge du handicap au Relecq-Kerhuon

Lindsay MADEC, postière. Tréflévénez

Marie-Françoise MADEC – conseillère municipale déléguée aux Seniors à Morlaix

Mathilde MAILLARD, médecin généraliste, adjointe au maire de Brest

Erik MARCHAND – Artiste chanteur – Poullaouen

Taran MAREC – délégué à la langue bretonne à la mairie de Brest, étudiant en informatique, Brest

Jean-Claude MARION, Ingénieur retraité, Kersaint-Landunvez

Vinko MARKOV – Morlaix

Amaury MATHIEU, peintre en bâtiment, Silfiac, section PCF de Brest

Isabelle MAUGEAIS – Militante associative et conseillère Départementale canton Pont-de-Buis-les-Quimerc’h

Isabelle MAZELIN – adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon, tête de liste aux élections Sénatoriales dans le Finistère en 2020, Le Relecq-Kerhuon

Jean-Yves MAZO – Postier, militant associatif, secteur Quimper

Stéphane MEILLOUR, syndicaliste agro-alimentaire. Quimperlé

Jean Pierre MERLIERE – Retraité, Carhaix

Joëlle MERLIERE – Retraitée, Carhaix

Yvon MEST – adhérent PCF – Brest

Monique MEVELLEC SITHAMMA, professeure en retraite, syndicaliste, élue conseillère municipale au Relecq-Kerhuon.

Jeannine MILLET – Retraitée de la fonction publique territoriale – adhérente section PCF Pays Bigouden – Mahalon

Gisèle MOAL – ancienne adjointe, Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – militante de la solidarité et PCF, Primel-Tregastel (Plougasnou)

Louise MOREAU – Retraitée – Penmarc’h

Philippe MOREAU – Retraité, militant CGT et PCF à Penmarc’h, ancien conseiller municipal de Poissy (Yvelines), Penmarc’h

Pierig MORVAN Facteur, militant associatif et syndical, Kernével/Rosporden

Michel MOYSAN – Concarneau

Suzanne MULLEMAN – retaitée – Plomeur

Lucienne NAYET – ancienne élue de Champigny s/Marne, militante associative autour de l’histoire de la Résistance, Locquénolé

Françoise NIOCHE – enseignante retraitée, Conseillère Municipale Rosporden

Robert NIOCHE, retraité et syndicaliste, Rosporden

Dominique NOGUERES – militante des droits de l’homme, avocate

Francis NORMAND – informaticien, secteur Quimper

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – syndicaliste, cheminot en retraite, Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Maria OLLIVIER syndicaliste Brest

Paul PAIMBENI section du Pays de Brest du PCF

Sylviane PAPIN, Clohars-Carnoët.

Michèle PARET, Douarnenez

Jean-Louis PASCAL – dessinateur dans le bâtiment en retraite secrétaire de section PCF Concarneau

Germaine PAUBERT – adhérente communiste – Brest

Denis PAUGAUME – électricien, syndicaliste,  Quimper

Jacques PAUGAME, ancien responsable syndical. Résidant à Penmarc’h

Maxime PAUL – ancien adjoint et vice-président de communauté d’agglomération à Brest, Plougastel-Daoulas

André PAULUS – enseignant retraité, ancien élu à La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – enseignante en retraite, La Feuillée/ Morlaix

Marie-Pierre PELLEN – Tréflez

Aline PELLENNEC – agente territoriale – Plouguerneau

Hervé Penven Retraité Equipement, Locmaria Berrien, ancien 1er adjoint au maire Huelgoat

Jean-François PENVEN – retraité SNCF, Huelgoat, ancien adjoint au maire

Jean-Jacques PENVEN – Retraité, RATP. Militant, CGT, ancien conseiller municipal de La Feuillée

Paulette PERON – Plouénan

Claudine PERROT– retraitée de la fonction territoriale, militante associative, Guilvinec

Ilya PERROT – ouvrier métallurgiste en retraite,  Quimper

Jean-Claude PERROT – conseiller municipal de Briec, postier en retraite, secteur Quimper

Michael PETER – maître artisan retraité- Rosporden-Kernevel

Yves PEUZIAT-BEAUMONT Fonctionnaire – Pays Bigouden

Gilbert PHELEP –  militant syndicaliste retraité – Rosporden

Michel PIBOULEAU – Syndicaliste militant associatif Brest

Pierre-Olivier PICART – retraité éducation nationale – Brest et Crozon

Françoise PILATTE – Morlaix

Olivier PIRIOU – Plouzané

Annick PIROU – retraitée – Carhaix

Jean PIROU, retraité, ancien conseiller municipal, Carhaix

Laurent PLA , Professeur en lycée Professionnel,  Carhaix.

François PLASSART – retraité du syndicat d’électrification, ancien adjoint au maire communiste à l’enseignement à Morlaix – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Patrick PLIQUET – retraité CGT Arsenal – Lanvéoc

Pierre PLOUGONVEN – Crozon

Pascal POUILLET – militant culturel breton, Locquénolé

Jean Claude POSTIC – Staffeur Ornemaniste retraité PCF Morlaix ancien élu Plouégat-Guérand

Jacky POUPON – adhérent PCF – Kernevel

Michel PRIGENT – ancien chauffeur routier – Plouigneau

Claire PRONONCE, militante syndicale. Moëlan-sur-Mer

Pierre PRONONCE, militant syndical, bureau de l’ARAC. Moëlan sur Mer

Serge PUIL – demandeur d’emploi – section Morlaix

Patrick QUELAUDREN – Militant de l’Education populaire – PONT L’ABBE

Jan RAFFAELY – ancien postier – Sizun

Brigitte RAGOT – Concarneau

Piero RAINERO – ancien conseiller régional de Bretagne et maire-adjoint de Quimper Secrétaire fédéral du PCF de 1982 à 2000, membre du Comité Central de 1987 à 2000 secrétaire régional de Bretagne de 1996 à 2004

Yvonne RAINERO – Conseillère municipale de Quimper déléguée à la santé, Conseillère communautaire, professeure agrégée en retraite, Quimper

Roger RAMONET – retraité France Télécom, syndicaliste, Quimper

Jacques RANNOU, Maire-Délégué de Kernével, commune associée à Rosporden. Cheminot E.R.

Quentin RANNOU, chargé d’affaires réseaux souple, Conseiller municipal Kernevel-Rosporden – Kernevel

Daniel RAVASIO – professeur en retraite, syndicaliste, Saint Thégonnec Loc Eguiner

Larry REA Adjoint au Maire de Le Relecq-Kerhuon En charge de l’Urbanisme et des travaux, Le Relecq-Kerhuon

Dimitri RELOUZAT – Assistant de travaux – Quimper

Gilberte RENEAUD – retraitée CAF, militante syndicale, Lesconil

Jacques RENEAUD – retraité cheminot, Lesconil

Christian RICHARD, informaticien en retraite – Kernével

Hervé RICOU – retraité EDF-Engie, syndicaliste CGT, militant associatif.  Locmaria-Berrien

Gisèle RICHEZ – Le Relecq-Kerhuon

Daniel RIOU – retraité de la Poste- Morlaix

Guy RIVIERE, retraité de la fonction publique territoriale, militant syndical et associatif. Locmaria Plouzané.

Erwan RIVOALAN, bibliothécaire, syndicaliste, BREST

Pierre ROBIN, retraité, ancien responsable CGT ATOSS.

Tara ROGIEZ, étudiante, Brest

Yvelise ROLLAND, retraitée de l’hôpital – Moelan-sur-Mer

Philippe ROPARS, Morlaix

Michelle ROSA – retraitée – Quimper

Michel ROUE, militant syndicaliste retraités, Brest

Gérard ROUSSEAU, retraité de l’éducation nationale, Beuzec Cap Sizun

Maryse ROUSSEAU retraitée mutualité, Pays Bigouden

Maryse ROUZIER. Brest

Roberte SAINT JALMES – assistante administrative – Quimper

Françoise SALAÜN, retraitée, Roscoff

Jean-Louis SALAÜN, retraité, Roscoff

Maxime SALAUN, maraîcher bio – Loperhet

Rémi SALAÜN Technicien retraité DCNS Brest, syndicaliste mandaté Sécu

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Arlette SAMSON – Riec-sur-Belon

Cathy SAMSON – secrétaire, Fouesnant

Joël SAVINA – Retraité, militant syndical, militant associatif, Saint Hernin

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – syndicaliste, adjointe au maire à Morlaix, conseillère communautaire, Morlaix

Gil SCHMITT – directeur d’administration territoriale en retraite – secteur Douarnenez

Gérard SECHET retraité Rosporden

Malika SECHET retraitée Rosporden

Cécile SEGALEN – Le Relecq-Kerhuon

Pascal SEGALEN – trésorier de la section PCF du Relecq-Kerhuon, ancien élu Relecq-Kerhuon

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Denis SELLIN – retraité – Moëlan-sur-Mer

Marceline SEVERAC, infirmière retraitée, syndicaliste, Douarnenez

Jean-Luc SEZNEC – Artisan électricien en retraite – Quimper

Gilbert SINQUIN – Cheminot, syndicaliste, Châteaulin

Ronan SINQUIN – conseiller municipal de Quimper, Postier, syndicaliste

Thérèse SINQUIN – couturière retraitée, Quimper

Janine SORHOLUS – Morlaix

Sylvain SOULARD, Pont-l’Abbé.

Gisèle SQUIVIDANT – OS1, ouvrière spécialisée en retraite, Quimper

Paulette STEPHAN – institutrice en retraite, Quimper

Thomas SUKIENNIC – cheminot, syndicaliste,  Quimper

Guy TANDE – retraité infirmier psy –  Saint-Martin-des-Champs

Jacques TANGUY – adhérent communiste – Brest

Michel TANGUY – adhérent communiste – Brest

Ronan TANGUY – Elu au Relecq-Kerhuon pendant 25 ans, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel de 1976 à 2012, Plouarzel

Yasmine TANGUY – Plouarzel

Aline TASSIN, enseignante à la retraite, militante pour le droit des
enfants et des femmes, Landerneau
Jean-René TASSIN, militant syndical, Landerneau
Marie-Gaëlle TEXIER Éducatrice spécialisée

Mikael THENG – chaudronnier-soudeur, secteur Quimper

Joël THEPAULT – retraité cheminot, Quimper

Pierre-Yves THOMAS – Retraité, syndicaliste et conseiller municipal, Carhaix

Willy TITECA – retraité AIR INTER, syndicaliste, Moëlan-sur-Mer

Robert TOULERASTEL – Penmarc’h

Thierry TRIMAILLE. Professeur retraité. Pont-l’Abbé

Fabien TUDO DELER – contrôleur technique automobiles – Quimper

Michel TUDO DELER – cheminot retraité, syndicaliste, Lanmeur

Jean François VERANT – militant associatif, Plougasnou

Paul VIGOUROUX – prof des écoles à la retraite. Loctudy

Jean-Jacques VILLALON, Quimper

Isabelle VINCENT, secrétaire dans le médico-social, Saint-Renan

Roger VINCENT, couvreur à la retraite, Saint-Renan

Jean-Louis WEBER, Santec

Denis YAOUANC, Cheminot, militant syndical, Elliant.

27/01 Manifestations pour les salaires et l’emploi

Belles journées de mobilisations interprofessionnelle sur tout le département, hier,

pour l’emploi et les salaires.

Environ 2000 personnes à Brest, 700 à Morlaix, 500 à Quimper et 150 à Carhaix.✊

Tous présents pour l’augmentation des salaires, des retraites et des minimas sociaux. Merci aux camarades qui ont pu être présents et merci aux photographes 😊.

Lettre de 116 élus bretons au Président de la République et au Ministre des Affaires étrangères pour soutenir Salah Hamouri et exiger qu’il garde son statut de résident de Jérusalem

 

Piero Rainero et Ismaël Dupont ont été à l’origine d’un courrier-pétition, largement relayé par plusieurs organisations politiques que nous remercions, pour inviter les élus bretons à interpeller les autorités françaises pour qu’elles fassent pression sur Israël et son gouvernement afin qu’ils renoncent à enlever son statut de résident de Jérusalem et ses droits à notre ami Salah Hamouri, avocat franco-palestinien défenseur des droits de l’homme et du peuple palestinien. Ce courrier a été très largement soutenu par 116 élus bretons. Nous les en remercions. Il a été envoyé en octobre au Président de la République E. Macron et au ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian qui nous ont répondu au mois de décembre sans affirmer qu’il y avait eu une action et communication personnelle du président de la République E. Macron en faveur de Salah Hamouri.

En attendant, les choses s’empirent pour Salah Hamouri. Après le retrait de sa carte de résident, les autorités israéliennes suppriment son assurance-maladie. Tout entière au service du pouvoir, la justice israélienne poursuit son acharnement contre l’avocat franco-palestinien Salah Hamouri. Alors qu’il a fait appel de la décision visant à lui retirer sa carte de résident permanent de Jérusalem (un document institué dès l’occupation de la partie orientale de la ville en 1967), les autorités israéliennes viennent d’ajouter une mesure des plus iniques : elles ont purement et simplement annulé son assurance-maladie, obligatoire dès l’âge de 18 ans. Autrement dit, alors que la pandémie de Covid fait rage, Salah Hamouri se voit dénier le droit à la santé et, d’une certaine manière, à la vie. L’Humanité a demandé au ministère français des Affaires étrangères comment il comptait agir. Le porte-parole a répondu en substance : « La France entretient un dialogue approfondi avec les autorités israéliennes s’agissant de la situation de notre compatriote M. Salah Hamouri, qui fait l’objet d’un suivi attentif, de longue date et à haut niveau. Les services du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères à Paris, ainsi que le consulat général de France à Jérusalem et l’ambassade de France en Israël, sont pleinement mobilis és pour qu’il puisse mener une vie normale à Jérusalem, où il est né et où il réside, et que son épouse et ses enfants obtiennent le droit de s’y rendre pour le retrouver. » Et d’ajouter que le gouvernement reste mobilisé « pour qu’il puisse bénéficier de l’ensemble des voies de recours à sa disposition et que les droits de la défense soient respectés ». Le problème, que la France ne veut visiblement pas prendre en compte, est que ces décisions israéliennes sont tout simplement nulles au regard du droit puisque l’occupation de Jérusalem-Est n’est pas reconnue par Paris et contrevient à toutes les résolutions de l’ONU.

A Monsieur le Président de la République, Emmanuel Macron

A Monsieur le Ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian

Messieurs,

Le lundi 18 octobre Monsieur Salah Hamouri, citoyen français demeurant à Jérusalem-Est s’est vu notifier par les autorités israéliennes d’occupation la révocation de son statut de résident dans cette ville où il est né, de père palestinien et de mère française. Il bénéficie par conséquent d’une double nationalité.

Monsieur Salah Hamouri exerce la profession d’avocat. Spécialiste des Droits de l’Homme, il défend à ce titre, devant les tribunaux israéliens, des citoyens palestiniens victimes de la politique d’apartheid qui prévaut aujourd’hui en Israël et en Palestine occupée.

C’est en vertu d’une loi inique prétendant imposer aux Palestiniens de Jérusalem-Est un devoir d’allégeance à la puissance occupante que le gouvernement de Tel-Aviv a décidé la résiliation du statut de résident de Monsieur Hamouri, ouvrant la voie à son expulsion.

Des autorités d’occupation ne peuvent exiger allégeance des populations soumises à leur administration. C’est contraire à tous les textes internationaux et notamment aux multiples résolutions de l’ONU relatives au statut de Jérusalem depuis l’occupation par Israël de la totalité de cette ville en 1967.

La France, a indiqué le Ministère des Affaires Étrangères, « suit cette affaire avec la plus grande attention ».

Un grand pays comme le nôtre qui a vu naître la déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1792 ne peut en rester là.

Face à une violation aussi flagrante des traités internationaux, une expression forte et publique de notre pays, à la hauteur de la gravité des faits, s’impose.

Nous vous remercions, Monsieur le Président de la République, de bien vouloir nous faire connaître les mesures que vous comptez prendre pour que le droit international soit respecté à Jérusalem et que Monsieur Salah Hamouri puisse y vivre librement.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, notre considération distinguée.

Les 116 élus bretons premiers signataires du courrier au président Macron et au ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian pour exiger une action résolue de la France en faveur de Salah Hamouri.

Delphine Alexandre, Vice-présidente à la Région Bretagne et présidente du groupe communiste et progressiste, élue à Lorient (56), PCF

Patrick Appéré, adjoint au maire à la politique sportive à Brest, conseiller de Brest-Métropole (29), BNC

Marc Bacci ancien conseiller municipal à Larmor-Plage (56)

Patrick Béguivin, conseiller municipal à Plouigneau (29), PCF

Claude Bellec, ancienne conseillère municipale déléguée au logement à Brest (29), jusqu’en 2020, PCF

Djelloul Benhenni, Conseiller municipal de Rosporden Kernevel (29), PCF
Gérard Bensoussan conseiller municipal de Tréogat (29)

Cinderella Bernard, conseillère départementale et vice-présidente du Conseil Départemental des Côtes d’Armor, élue à Bégard (22), PCF

Bertrand Bianic, Conseiller délégué en charge du personnel au Relecq-Kerhuon (29), PCF
René Bilien, conseiller municipal délégué au logement de la ville de Quimper (29), EELV
Christophe Boudrot, adjoint au sport et aux associations à Plouigneau (29), PCF
Claudie Bournot Gallou, Adjointe en charge des finances, de l’administration générale, du personnel et des élections, au Relecq-Kerhuon (29), PCF
Laure Boussard, conseillère municipale à Carhaix
Cécile Bouton, conseillère départementale d’Ille-et-Vilaine, vice-présidente déléguée à la citoyenneté et à la démocratie participative, à la relation aux services publics, élue à Chartres-de-Bretagne (35), PCF
Gaëtan Bouvet, élu de Noyal Châtillon sur Seiche (35), PCF
Gael Briand, conseiller municipal UDB de Lorient (56), Conseiller régional de Bretagne
Anton Burel Militant de la Gauche Indépendantiste et Conseiller
municipal à Cintré (35)
Maéla Burlot, conseillère municipale à Morlaix (29), sympathisante PCF
Georges Cadiou, ancien maire-adjoint de Quimper (29)
François « Fañch » CADIOU, Adjoint à la Jeunesse et au Sport à Saint-Jacques-de-la-Lande (35)

Christian Carduner, conseiller municipal de Scaër (29), PCF

Anna Vari Chapalain, conseillère municipale déléguée de la ville de Quimper et conseillère communautaire

Martine Carn, conseillère municipale à Plougonven (29), PCF

Christine Corfmat, conseillère municipale à Loctudy (29)

Forough Dadkhah vice-présidente de la région Bretagne, Quimper (29)

Eugène Davillers Caradec, conseiller municipal à Morlaix délégué à l’urbanisme (29), PCF

Angélique De Cecco, Conseillère déléguée au Maire du Relecq-Kerhuon,
En charge de l’égalité femmes/hommes, de la citoyenneté et de la participation citoyenne (29), UDB
Ollivier Delbot, conseiller municipal à Douarnenez (29)
Michel Demolder, maire de Pont-Pean (35), conseiller communautaire, PCF
Corentin Derrien, conseiller municipal de St Thégonnec Loc-Eguiner (29), PCF
Jérôme Desbrousses, adjoint au maire, Chevaigné (35)
Françoise Dorval adjointe à la ville de Quimper et conseillère communautaire (29), EELV
Jacques Dyonisiak, conseiller municipal UDB, Pouldreuzic (29)

Michel Durand adjoint à Bécherel (35), UDB

Ismaël Dupont, conseiller départemental du Finistère, Premier adjoint à Morlaix, secrétaire départemental du Parti Communiste dans le Finistère

Dominique Evenat, conseiller municipal UDB, Pont-Croix (29)

Edith Fer, conseillère municipale déléguée à l’enseignement à Morlaix (29)

Pierre Fourel, ancien élu Frankiz Breizh à Brest, ancien vice-Président de la Communauté Urbaine de Brest(29), Membre de l’UDB.

Henri Merlin Gaba Engaba, Conseiller Municipal délégué aux travaux et aux chantiers, ville de Morlaix (29)

Patrick Gambache, conseiller municipal délégué Ressources Humaines, Finances, Police Municipale, Administration générale à Morlaix (29), PCF

Florence Gourlay, conseillère municipale, Lorient (56)

Gladys Grelaud, Conseillère régionale de Bretagne (29), PCF

Paul Guegueniat, ancien élu UDB à Saint-Yvi (29)

Eric Guellec, 2ème adjoint au maire de Brest – Dynamique associative, relations avec les équipements de quartier, les acteurs de l’éducation populaire et les associations patriotiques et les anciens combattants (29), PCF

Philippe Guillemot, conseiller départemental de Carhaix (29), groupe autonomie et régionalisme

Xavier Hamon, adjoint au maire à Brest (29), Génération.S

Jean Claude Harle, Conseiller municipal Saint Pern (35), PCF
Nolwenn Henry, conseillère municipale de Quimper (29), EELV

Jacqueline Héré, Adjointe à Brest et Maire de quartier de Bellevue, conseillère départementale du canton de Brest-1 (29), PCF

Roger Héré, Premier adjoint à Plouigneau, vice-président à Morlaix-Communauté (29), PCF

Joëlle Huon, Maire de Plouigneau (29), Conseillère départementale du Finistère (canton de Plouigneau), PS

Yves Jardin, ancien élu de Douarnenez, militant de l’AFPS

Jean-Paul Jarnot, adjoint au maire à Pontivy (56), PCF

Bernard Jasserand, Maire Adjoint de Quimper (29), Conseiller Communautaire, PCF

Marie-Pierre Jean-Jacques vice-présidente de Quimper Bretagne Occidentale en charge des transports et mobilités, conseillère départementale du Finistère, canton de Quimper (29)

Jean-Pierre Jeudy, maire honoraire de Carhaix (29)

Philippe Jumeau, adjoint aux affaires sociales à Lanester, secrétaire départemental du PCF dans le Morbihan (56)

Jean-Luc Kerdoncuf  ancien élu UDB à Plouguerneau (29)

Julien Kerguillec, maire de Pleyber-Christ, vice-président à la culture à Morlaix-Communauté (29)

Anne-Marie Kervern, ancienne élue adjointe au Maire de Brest (29) UDB

Michèle Lacroix Bourven, ancienne élue à Plougonven (29), PCF

Elsa Lafaye, conseillère municipale à Fougères et élue communautaire (35), PCF

Fréderic L’aminot, adjoint au maire aux Affaires Scolaires à Morlaix (29), PCF

Jeremy Lainé, maire-adjoint à Guimaëc (29), PCF

Béatrice Le Bel conseillère municipale à Brest (29), UDB

Daniel Le Bigot vice-président de Quimper Bretagne Occidentale

Olivier Le Bras, conseiller régional de Bretagne, élu à Saint-Thegonnec Loc-Eguiner (29)

Claude Le Brun maire-adjoint à Quimper (29), EELV

Pierre Le Goff, maire de Guimaëc, conseiller départemental du Finistère, canton de Plouigneau (29)

Guénola Le Huec, Conseillère municipale de Lanester (56), PCF

Jean-Michel Le Lorc’h, vice-président à Brest-Métropole et conseiller municipal de la ville de Brest (29), PCF

Sandra Le Roux, conseillère municipale à Brest (29), PCF

Doriane Le Treust maire-adjointe de Quimper, conseillère communautaire, Génération.S

Pierre-Yves Liziar, Conseiller délégué en charge de Handicap au Relecq-Kerhuon (29), PCF

Didier Loas élu UDB à Audierne (29)

Roger Lostanlen Maire-adjoint honoraire Carhaix-Plouguer (29)

Marie-Françoise Madec Jacob, conseillère municipale aux personnes âgées à Morlaix (29), PCF

Mathilde Maillard, adjointe Santé- Personnes âgées à Brest (29), PCF

Taran Marec, conseiller municipal délégué à la langue bretonne à Brest (29), PCF

Isabelle Maugeais, élue à Pont-de-Buis, conseillère départementale du Finistère, canton de Pont-de-Buis (29), apparentée PCF

Isabelle Mazelin, Adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon (29), PCF

Rozenn Métayer, conseillère départementale du Morbihan – Lorient Sud et Groix (56)

Monique Mévellec-Sithamma, Conseillère déléguée aux associations au Relecq-Kerhuon (29), PCF

Christiane Migot Conseillère déléguée à la mairie de Brest et conseillère déléguée à la Métropole (29) Radicaux de Gauche

Paul Mingant, conseiller municipal à Plouédern (29), UDB

Patrick Morre, adjoint au maire La Chapelle Thouarault (35)

Medora Mostajo, Conseillère municipale de la ville de Quimper, Génération.S

Corinne Nicole, conseillère départementale du Finistère, canton de Carhaix (29), groupe autonomie et régionalisme

Françoise Nioche, conseillère municipale à Rosporden-Kernevel (29), PCF

Catherine Quéric, conseillère départementale du Morbihan, canton de Lorient (56), PCF

Guy Pennec, maire de Plourin-les-Morlaix, vice-président à Morlaix-Communauté (29)

Jean-Claude Perrot, Conseiller municipal à Briec (29), PCF

Christian Pierre, conseiller municipal délégué à St Evarzec (29), secrétaire fédéral adjoint Finistère, UDB
Jean-François Philippe, Ancien élu (25 ans de mandat) et adjoint PCF d’Hillion (22)
Arnaud Platel conseiller municipal de Plomelin et conseiller communautaire de Quimper Bretagne occidentale
Julien Ponthenier conseiller municipal de Pluguffan (29)
Piero Rainero, ancien élu et adjoint à Quimper, militant de la solidarité avec la Palestine, ancien secrétaire départemental du Parti communiste

Yvonne Rainero, conseillère municipale déléguée de Quimper, conseillère communautaire (29), PCF

Jacques Rannou, maire délégué de Kernevel, commune associée à Rosporden (29), conseiller communautaire, PCF

Fañch Rebours, conseiller municipal UDB, Lanloup (22)

Anita Richard, conseillère municipale PCF Rosporden Kernevel (29), PCF

Françoise Richard, conseillère municipale de Quimper (29), déléguée aux personnes en situation de handicap, EELV

Gael Roblin,Militant de la Gauche Indépendantiste et Conseiller
municipal à Guingamp (22)
Katell Salazar, conseillère municipale déléguée à la communication à Morlaix (29)
Valérie Scattolin, adjointe au maire à Morlaix, Tourisme/Centre-ville/ Commerce (29), PCF
Ronan Sinquin, conseiller municipal à Quimper (29), PCF
Arnaud Stephan, conseiller municipal délégué à la petite enfance à Rennes (35), groupe communiste
Patricia Stéphan, Conseillère Municipale à Morlaix (29)
Mathieu Stervinou, adjoint au maire de Quimper chargé des solidarités et du handicap, conseiller départemental du Finistère (29)

Pierre-Yves Thomas, conseiller municipal de Carhaix (29), PCF

Maxime Touzé, conseiller municipal UDB, Douarnenez (29)

Catherine Tréanton, adjointe aux Affaires Sociales à Morlaix, vice-présidente à Morlaix-Communauté (29), Génération.S

Christian Troadec, Maire de Carhaix (29), Vice-président à langue et à la culture bretonne au Conseil Régional de Bretagne, régionaliste

Kofi Yamgnane, ancien ministre, député et maire de Saint-Coulitz (29)

Fragan Valentin-Lemeni, UDB, adjoint au maire, Ville de Brest (29)

Gaëlle Zaneguy, conseillère départementale du Finistère, deuxième adjointe à Saint-Thégonnec Loc-Eguiner (29)

Ahamada Zoubeiri conseiller municipal à Morlaix, délégué à la vie associative (29)

 

Conseil départemental du Finistère du 21 octobre – Nos interventions

La sensibilité communiste est représentée par 3 élus au Conseil Départemental du Finistère, membres du groupe d’union de la gauche Finistère & Solidaires : Jacqueline Héré, Isabelle Maugeais, qui est intervenue le 21 octobre sur la dotation aux collèges, et Ismaël Dupont

Interventions d’Ismaël Dupont au conseil départemental du Finistère du 21 octobre 2021:

1ère intervention:

 » Reconnaître la mobilisation des professionnels de l’aide et l’accompagnement à domicile présents sur le terrain pendant la crise sanitaire, ces fameux premiers de corvée, revaloriser leurs rémunérations, rendre ces métiers de l’aide et de l’accompagnement a domicile plus attractifs, mieux payés, mieux formés, c’est un impératif bien sûr.

Mais qui paye, pourquoi, et sur quels principes?

Comment veut-on structurer le secteur de l’aide à domicile? Quel modèle privilégie t-on?

Comment engageons-nous l’état à assurer ses obligations de service public, de santé? Car pour nous la perte d’autonomie est une question de santé publique, qui doit engager une politique de solidarité et de service public beaucoup plus ambitieuse.

Or, à ce titre, le nouvel abandon de la loi grand âge, ou de la grande loi tant attendue sur le droit à l’autonomie des personnes âgées, annoncé en catimini le 8 septembre dernier, est une catastrophe pour les personnes âgées, les professionnels, les associations et employeurs, les familles.

En cohérence avec le choix de soutenir en priorité les structures d’aide à domicile à but non lucratif avec lesquelles des partenariats forts existent, les élus du groupe Finistère et Solidaires s’abstiendront.

L’ancienne majorité a apporté un soutien matériel fort à tous les Saad pendant la crise sanitaire, y compris aux Saad privés à but lucratif (masques, blouses de protection, etc).

Mais dans ce contexte budgétaire contraint, il y a eu le choix de concentrer l’accompagnement au versement d’une prime sur les structures d’aide à domicile avec lesquelles le conseil départemental à des relations contractuelles, contribuant à l’intérêt général, avec des contrats d’objectifs et de moyens, des structures que l’on tarifie et qui n’ont pas de but lucratif, des structures habilitées à l’aide sociale.

La majorité de gauche avait voté 2 millions d’euros de primes covid pour le secteur de l’accompagnement, et 1 million d’euros pour les assistants familiaux, dans le contexte de la crise sanitaire.

L’Alliance avait voté pour la délibération, sans regretter l’absence de soutien aux services d’aide à domicile lucratifs avant de s’en émouvoir dans la presse.

Pour mémoire, le conseil départemental finance l’APA mais n’est ni employeur, ni réellement compétent (avec des moyens et compensations budgétaires qui vont avec) dans ce secteur contrairement au secteur de la protection de l’enfance.

Les Saad privés à but lucratif sont des structures qu’on ne tarifie pas et n’ont pas l’obligation de verser une prime sur leurs fonds propres ».

2e intervention au conseil départemental du Finistère ce 21 octobre 2021, à propos de l’autorisation du projet de résidence « âge et vie » et du discours du président sur l’encouragement au développement des résidences seniors privées à but lucratif:

« C’est sûr que ces projets peuvent être utiles pour des communes rurales, et tentants pour les collectivités en général, car portés financièrement par des groupes privés.

Ayons toutefois une vigilance par rapport à la manière dont des banques, des sociétés d’assurance, veulent se situer sur le marché de l’or gris, en étant parfois très pressants vis-à-vis des collectivités, proposant des projets clef en main, vendus sur de belles plaquettes de communication, réhabilitant parfois à bon compte pour les collectivités des bâtiments dégradés ou à l’abandon.

Les résidences seniors qui ne sont pas médicalisées ont des coûts plancher mensuels élevés, même sans les prestations optionnelles, hors de portée de la plupart des retraités.

L’engouement pour les résidences seniors est à pondérer car de nombreux appartements sont achetés pour faire de la défiscalisation, ou loués pour des séjours de vacances…

L’important c’est le type de maîtrise publique et d’objectifs sociaux que l’on veut prioritairement valoriser dans le secteur de la perte d’autonomie et du vieillissement ».

Conseil départemental du Finistère – 21 octobre 2021.
Ma 3eme intervention dans le débat:
 » Sur les communications du président dans la presse sur les actions départementales avant la présentation aux élus des délibérations, le débat dans les assemblées et commissions, le vote, sur laquelle notre collègue Corinne Nicole exprimait ses regrets, cela s’inscrit dans les dérives de l’hyper-presidentialisation inscrites dans les logiques et les institutions de la 5e République et accentuées encore par l’actuel président de la République, qui se prétend jupitérien.
Les Finisteriens ne veulent pas d’un président jupitérien.
Il faut respecter l’assemblée élue, représentante de la diversité politique et des cantons finistériens. Sur les aides aux associations sportives, je regrette qu’elles soient indifférenciées, non conditionnées, indistinctes, basées simplement sur la proportion du nombre d’adhérents aux associations.
Il est évidemment très important de soutenir le secteur sportif dans le contexte de crise sanitaire et pour son rôle social, de santé, d’éducation.
Mais on sait tous que les situations des associations sportives vivent dans le contexte du covid des situations très contrastées, en fonction de leurs contraintes (salariés ou non, événements extérieurs annulés à cause du Covid, ou non, perte d’adhérents ou de pratiquants, activités ou non pendant la période du Covid).
Certaines ont même demandé la baisse de leurs subventions municipales, considérant qu’elles avaient eu moins de charges de fonctionnement.
Le vrai enjeu pour moi, c’est l’accès universel et généralisé à tous aux sports, l’accès démocratisé à tous les sports, notamment pour les jeunes issus des classes populaires et des milieux défavorisés.
Il est inacceptable aujourd’hui que des enfants ne puissent accéder à des licences et des adhésions sportives, à des chaussures, à des vêtements de sport, des équipements personnels obligatoires, faute de moyens financiers. C’est à mon avis sur ce plan qu’il aurait fallu mettre en place une politique volontariste et réfléchie, préparée d’accessibilité aux sports pour tous.
Or, là, on a pas de garantie que les hausses de subventions aux associations sportives se traduisent pour les usagers, du moins dans une baisse du coût des activités sportives pour eux. Et pourtant l’enjeu est essentiel en terme de formation de la personnalité, de bien-être, de santé publique, de lien et de cohésion sociale. »

4ème intervention d’Ismaël Dupont:

« Touchant l’éthique politique, je voudrais appeler Monsieur Le Doaré et l’ensemble des élus de la nouvelle majorité à un peu plus d’humilité et moins de forfanterie, un peu plus de prudence aussi dans les déclarations budgétaires. La situation budgétaire de la collectivité est relativement bonne actuellement. On le doit à l’ancienne majorité. Quand l’audit financier annonce une augmentation des charges de 100 millions d’euros à périmètre d’intervention constant à la fin du mandat, et que vous promettez, Monsieur le Président, 40 millions d’euros d’économie par an, on voit mal, même avec les exemples de mesures d’économie que vous donnez, dont certaines posent question et ne passeront pas comme des lettres à la poste, comment l’addition de ces mesures pourraient produire autant de baisses de dépenses. Donc, travaillons sérieusement, collectivement, et cessons les rodomontades et le discours clivant de campagne électoral ».

***

Article Ouest-France 21 octobre 2021
« Il n’est pas sûr que les Finistériens aient voulu d’un président jupitérien »

Cette session de rentrée du conseil départemental, ce jeudi 21 octobre 2021, marque une nouvelle ère. Maël de Calan, président de la nouvelle majorité, cherche à trancher avec la politique menée par ses prédécesseurs

« L’action publique meurt de la lenteur. Nous voulons aller vite et montrer que le conseil départemental n’a pas disparu, comme on a pu l’entendre. » Les mots du président Maël de Calan claquent dans l’assemblée. L’efficacité est le maître-mot de la nouvelle majorité qui cherche à trancher avec la politique menée par ses prédécesseurs. Cette session de rentrée marque une nouvelle ère dans la manière d’échanger. Plus directe pour les uns, plus brutale pour les autres. « J’ai été élu il y a 100 jours et depuis 100 jours nous sommes dans l’action. » Maël de Calan veut incarner le changement. Plus de blablas, pas d’intervention trop longue au micro ni de surenchère à la polémique. Les rapports s’enchaînent à marche forcée ». « Marquer à la culotte », « déverrouiller les leviers », « dépenses surdimensionnées » : la rigueur budgétaire est un cap.

Changement de style

L’opposition observe, encaisse puis monte au créneau. Elle reproche d’abord au président de communiquer avant même que les projets ne soient votés. Corinne Nicolle et Philippe Guillemot, groupe autonomie et régionalisme (Carhaix), regrettent « les annonces par voie de presse, courriers, réseaux sociaux de décisions du conseil départemental alors même que les projets de délibérations n’ont pas été votés en séance. »

Ismaël Dupont, élu communiste de Morlaix, renchérit : « Il n’est pas sûr que les Finistériens aient voulu d’un président jupitérien. L’assemblée doit être respectée dans la procédure d’accès à la décision. »

Kevin Faure, élu socialiste de Brest, lance une autre flèche : « Nous avons compris M. le président, vous souhaitez aller vite. Nous renouvelons notre appel à la vigilance afin de ne pas confondre vitesse et précipitation… Changement de style et de rythme, incontestablement. Nous espérons que vos annonces seront suivies des faits. »

Maël de Calan ne baisse pas les armes : « Ce qui vous choque aujourd’hui, c’est ce que la gauche a mis en œuvre depuis des années. Ce n’est pas drôle d’être dans l’opposition, ironise le président. Il se défend de déconsidérer les élus. La victimisation est une arme bien connue de l’opposition. Elle fait pschitt ! »

Les 3 élus de sensibilité communiste du groupe Finistère & Solidaires: Isabelle Maugeais, Jacqueline Héré, Ismaël Dupont

Conseil Départemental du Finistère du 16 décembre 2021- Interventions d’Ismaël Dupont

Conseil départemental du 16 décembre – Intervention d’Ismaël Dupont (photo de Jacqueline Héré)

Bref compte rendu d’intervention d’Ismaël Dupont au conseil départemental du 16 décembre, examen du Rapport d’Orientation budgétaire:
Jacqueline Héré, Isabelle Maugeais, et moi-même, sommes les 3 élus communistes et apparentés au sein du groupe d’union de la gauche Finistère et Solidaires, nous étions au Conseil Départemental à Quimper le jeudi 16 décembre pour la séance plénière sur le Rapport d’Orientation budgétaire.
« Je suis intervenu pour m’étonner de la priorité affichée en matière sociale sur la lutte contre la fraude sociale au RSA alors que les montants liés au non recours aux droits ou aux renoncements aux droits en raison des complexités administratives et des freins est bien plus important, sans parler de la fraude fiscale et de l’évasion fiscale qui atteint 60 a 80 milliards d’euros chaque année. Autre priorité de la droite aux responsabilités: le coaching comme s’il suffisait de traverser la rue pour trouver un emploi. Le vrai sujet, le travail sur la formation, un accompagnement personnalisé de qualité, sans faire croire que nous en sommes en situation de plein emploi et que les allocataires du RSA sont privés d’emploi parce qu’ils le veulent bien. Par ailleurs, la baisse des allocataires du RSA (17 500 contre 20 000 l’an passe) est une bonne chose mais quelle est la part imputable au changement de système de déclaration (l’inscription automatique pour le recours au droit pendant la crise sanitaire faisant place a un mode déclaratif ayant pu générer des défauts de déclaration), on peut se le demander. Quel sera l’impact aussi de la réforme de l’assurance chômage sur les permittents, les travailleurs saisonniers? Le Finistère est le 1er des 4 départements bretons pour le montant d’aides versés aux allocataires du RSA rapporte a la population, ce qui dit l’importance de cette vocation sociale de notre collectivité. C’est le cas aussi pour la PCH. Je suis aussi intervenu sur le manque de précision, de contextualisation, le caractère flou, évasif et lacunaire du rapport d’orientation budgétaire, un document plus littéraire que financier dans sa version actuelle, recyclant politique par politique le programme de l’Alliance, sans vision globale sur la vision du département de la majorité a l’horizon 2030, sans plan pluriannuel d’investissement, sans chiffrage des impacts financiers de la loi de finances 2022, des évolutions législatives sur les structures d’aide à domicile, le secteur de la petite enfance, sans projection sur l’après 2022. La droite m’est ensuite tombée dessus pour justifier le caractère central pour elle de ma lutte contre la fraude au RSA.
Je suis également intervenu contre l’attaque en règle auquel Maël de Calan a soumis un maire non présent dans l’hémicycle, Sébastien Marie, maire (écologiste) de Plounéour-Menez, à propos de la demande de financement d’un gymnase associé au nouveau collège de Plounéour-Menez ».

Intervention de Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste du Finistère, au Conseil Régional des 14 et 15 octobre 2021

Groupe des élues communistes et progressistes

Conseil Régional

Réunion des 14 et 15 octobre 2021

Intervention de Gladys Grelaud

Avec ce gouvernement quand ce n’est pas le budget de l’Etat qui est contraint, c’est son calendrier.

Si le CPER est un outil de cadrage politique et financier important, il n’y a aucune obligation à le signer et donc, aucune raison de nous précipiter.

Le dernier contrat s’est arrêté au 31 décembre dernier, et si nous pouvons ressentir de l’impatience quant à la réalisation du prochain, rien ne nous oblige non plus à signer une version incomplète.

De notre point de vue, une somme d’éléments technocratiques qui fait quand même l’impasse sur de nombreuses questions auxquelles sont confrontées quotidiennement les Bretonnes et les Bretons et qui nécessitent des moyens.

Dans ce plan, il y a nos jeunes. Les jeunes, les étudiants bretons de BTS en master qui vivent en moyenne avec un des revenus avoisinant le RSA, à qui on a réduit les allocations logement, qui n’ont plus droit au repas à 1€ au restaurant universitaire, qui doivent de plus en plus prendre des emplois pour survivre, et pour qui les logements étudiants publics accessibles sont essentiels à leur réussite, cet enjeu est financé par le CPER.

Je souhaitais juste rappeler que comme à l’habitude du gouvernement, ce n’est ni sa communication ni ses applaudissements pour les premiers de cordées bretonnes, qui rempliront leur frigo et qui ont davantage besoin et d’un salaire digne et d’investissements publics forts pour les accompagner tout au long de leur vie.

Ensuite, aujourd’hui, de nombreuses bretonnes et bretons sont en emploi. Effectivement. Ces caissières, ces aides-soignantes, ces magasiniers, ces livreurs qui doivent vivre, comme dans le reste de la France, avec un smic à 1258€ et pour qui avoir une politique ambitieuse en matière de transport en commun est incontournable et pourra l’être davantage avec l’investissement de l’Etat dans le CPER. Pourquoi ? et bien parce que plus que jamais pour éviter que les premiers de cordées préfèrent mettre leur maigre salaire autre part que dans leur réservoir. Et je n’évoque pas, par décence, la charité, proposée par Emmanuel Macron avec les défiscalisations des pourboires.

Il y a aussi ceux qui sont privés d’emploi et pour qui les politiques en matières d’insertion et d’emploi sont essentiels. Le Contrat de plan état région finance cette ambition et si l’Etat réduit sa part, toutes les Bretonnes et tous les Bretons sont impactés.

Aujourd’hui, le gouvernement baisse et brouille les budgets identifiés du CPER Bretagne.

Les enjeux sont de taille.

Notre responsabilité est de faire de ce CPER un outil d’aménagement solidaire et équilibré des territoires en réponse aux besoins des Bretonnes et des Bretons.

Ils ne doivent pas faire les frais d’un Etat qui contraint les budgets, comme je viens de l’argumenter, sur les plus fragiles d’entre nous.

Pour faire face aux nombreux défis qui nous attendent, et auxquels nous avons déjà à répondre, nous avons besoin que l’État se réengage pleinement à nos côtés. La Bretagne de demain, celle du monde d’après, est indissociable du maintien et du renfort des services publics, d’une politique industrielle ambitieuse qui se construit avec et pour les territoires.

Et pour finir, sur le soutien au monde de l’entreprise, nous portons un point de vigilance particulier sur les aides publiques qui leur sont apportées. Les exemples sont légions d’entreprises et d’industrie, décidant du jour au lendemain de licencier leurs salariés pour augmenter leurs dividendes alors même qu’elles ont été largement subventionnées par de l’argent public.

Nous demandons à ce que soit intégrée la conditionnalité de ces aides, qu’elles soient octroyées contre des contreparties sociales et environnementales, de maintien et de renfort de l’emploi et d’engagements clairs pour la préservation de notre environnement.

Monsieur le Président, pour tout ce travail encore à mener les prochaines semaines et les prochains mois sur ce sujet, vous pourrez compter sur le soutien et les propositions des élues communistes et progressistes.

Le Télégramme du 25 janvier – Cachez ce candidat communiste que je ne saurais voir – Fabien Roussel occulté du débat des candidats aux présidentielles sur le nucléaire

Cachez ce candidat communiste que je ne saurais voir…
Dans le Télégramme de ce jour, mardi 25 janvier,  les pages 2 et 3 sont consacrées au nucléaire qui « s’invite dans la campagne  présidentielle ».
7 candidats déclarés s’expriment sur un sujet au cœur des enjeux présidentielles, et c’est bien le rôle d’un journal régional généraliste d’informer sur les arguments des candidats en présence aux présidentielles sur des questions fondamentales pour l’avenir du pays.  M. Emmanuel Macron, qui n’est pas candidat déclaré aux Présidentielles, s’exprime aussi, on ne sait pas trop pourquoi, mais après tout, ça pourrait sans doute se justifier…
Par contre, ce qui n’est pas normal, c’est que les seuls candidats de gauche convoqués avec leurs photos et des citations exprimant leurs positions sur le nucléaire soient Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon, Christiane Taubira, alors même que Fabien Roussel s’exprime très régulièrement, de manière claire et argumentée, sur le sujet du nucléaire, ce qui est reconnu comme une de ses originalités par nombre d’éditorialistes et journalistes des médias presse, télévisuels, et radiophoniques, depuis 2 mois, avec celles par exemple de la volonté de réindustralisation, d’affirmer la valeur travail, la lutte contre l’évasion fiscale et les inégalités, de la défense de la laïcité et de la République, et qu’il fait partie de ceux qui nourrissent le débat public sur la question, avec un crédit particulièrement fort chez nombre d’énergéticiens et de scientifiques.
Est-ce un partage des candidats dont la position mérite d’être connue sur le critère habituel des intentions de vote et des sondages à quelques mois des élections?  50% de citoyens n’ont pas finalisé leur choix. Ils ont droit d’être éclairés sur les positions de tous les candidat.e.s!
Par ailleurs, pourquoi Christiane Taubira et Anne Hildalgo qui sont à peu près au même niveau que Fabien Roussel dans les derniers sondages (Anne Hidalgo était même derrière Fabien Roussel dans plusieurs sondages récents), apparaissent et pas Fabien Roussel, alors que celui-ci vient de développer son programme de 180 propositions aux journalistes la veille, le 24 janvier, ce dont le Télégramme ne se fait pas l’écho, contrairement au Ouest-France qui consacre un article avec photo à cette présentation de programme en page nationale aujourd’hui?
Le Parti communiste proteste auprès de la rédaction du Télégramme contre cette occultation de notre candidat qui par ailleurs est cité dans un article de la page 8 sur les positions des candidats sur les droits de succession et l’héritage.
Le Télégramme croit-il que les positions du candidat communiste n’intéressent pas ses lecteurs ou que ceux-ci ne méritent pas de connaître les positions du Parti qui compte le plus d’adhérents en France, en Bretagne et dans le Finistère, et qui compte près de 600 maires adhérents ou sympathisants au niveau national, et deux groupes parlementaires? D’autant que Fabien Roussel a d’ores et déjà obtenu ses 500 promesses de parrainages d’élu.e.s, ce qui n’est pas le cas d’autres candidats supposés présentés dans l’article du Télégramme du 25 janvier.
Les taux d’audience records au journal télévisé de 20h de France 2 le 14 décembre – 4,1 millions de téléspectateurs, un record pour l’interview de Fabien Roussel – et 5,8 millions téléspectateurs et de taux d’audience au 13h de tf1 samedi dernier, 22 janvier – nouveau record !- semblent pourtant indiquer le contraire!
Le Parti communiste français, fédération du Finistère, 25 janvier 2022

Fabien Roussel 2022 – Le Programme complet est disponible depuis ce 24 janvier!

Le programme complet
est disponible !

Lundi 24 janvier, Fabien Roussel dévoilait à la presse son programme.

Gif programme

Beaucoup de journalistes avaient fait le déplacement pour assister à la conférence de presse et écouter une vingtaine de propositions issues des 6 objectifs et 3 moyens qui composent le programme.


(Re)Voir la conférence de presse 👇


Obtenir le programme

Plusieurs possibilités pour se procurer le programme complet avec les 180 propositions pour construire la France des Jours Heureux 👇
👉 pré-commander la version brochée
👉 contacter l’un de nos comités de campagne près de chez toi
👉 en version web sur cette page
👉 gratuit en format PDF (9 Mo)
👉 en version résumée (PDF 6 Mo)

Il sera également bientôt disponible en version adaptée (FALC).


Les petit +

🎙️ Demain matin, Fabien Roussel présentera pendant 2 heures son programme dans la matinale de France Info, de 7h à 9h.
Assiste au direct sur nos réseaux sociaux ou la page dédiée du site : fabienroussel2022.fr/direct

🏋️ Ton challenge : découvre, lis, partage le programme autour de toi !

À vendredi ✊

Rachel, pour l’équipe de Fabien Roussel
http://www.fabienroussel2022.fr/

Suite aux violences à Brest Pontanezen Les communistes brestois et métropolitains et les élu.e.s du PCF apportent leurs soutiens aux personnels de Bibus, aux fonctionnaires de police et aux pompiers ainsi qu’à un élu menacé de mort, après l’agression et les violences à Pontanezen.

Suite aux violences à Brest Pontanezen
Les communistes brestois et métropolitains et les élu.e.s du PCF apportent leurs soutiens aux personnels de Bibus, aux fonctionnaires de police et aux pompiers ainsi qu’à Yohann Nedelec, élu menacé de mort,  après l’agression et les violences à Pontanezen.
Le gouvernement doit répondre dans l’urgence aux besoins en personnel du commissariat  ainsi que dans la justice abandonnée par les ministres successifs.
Pour les communistes il est inacceptable que les habitantes et habitants des quartiers populaires ne puissent vivre en sécurité.  La tranquillité publique est un droit fondamental comme celui de bien se nourrir, de bien se loger.
Les communistes brestois soutiennent la proposition de Fabien  Roussel de recruter de 30 000 policiers de proximité. pour retisser un lien de confiance avec les habitants, avec la jeunesse. Une réorganisation des missions est indispensable afin de ne plus détourner les agents de leurs missions essentielles de gardiens de la tranquillité publique et de la sécurité des citoyens, tout comme la dotation en matériels permettant l’accomplissement de ces missions. La protection des policiers et des gendarmes est une nécessité, et les auteurs d’actes visant des fonctionnaires de nos forces de sécurité, comme pour toutes les personnes dépositaires d’une charge publique, doivent être sanctionnés pénalement. Un effort particulier s’impose au profit de la formation, initiale (qui est trop réduite) et continue (en renforçant l’offre et en élargissant le nombre de bénéficiaires).
La lutte contre tous les trafics implique enfin un contrôle plus strict et plus sévères des frontières et des flux financiers en impliquant les services douaniers, Tracfin et les banques. Nous proposons de revenir sur les 10 000 postes supprimés par le gouvernement ces 4 dernières années dans les services fiscaux et aux douanes et d’en créer 10 000 supplémentaires à Bercy et au ministère de la justice pour augmenter ces contrôles et poursuivre les délinquants en cols blancs.
Pour les communistes il y a plus que jamais besoin de politique de solidarité, de justice sociale, d’insertion sociale et professionnelle, de logements dignes, d’éducation populaire et de culture, de santé, de transports, de loisirs…C’est sur un terreau de disparition des services publics que se développent les trafics et la loi des bandes, le développement d’une économie parallèle, des trafics de stupéfiants et aussi du crime.

Appel du PCF Finistère à participer à la journée d’action intersyndicale du 27 janvier et aux manifestations à 11h à Brest, Morlaix, Quimper, Quimperlé, Carhaix

La fédération du PCF du Finistère appelle les salariés , les retraités les demandeurs d’emploi et les jeunes à participer massivement aux mobilisations qui auront lieu jeudi 27 janvier à l’appel des organisations syndicales.
La mobilisation paie, dans l’éducation Jean-Michel Blanquer a été forcé de faire des annonces qui vont dans le bon sens mais sont très largement insuffisantes. La situation reste intenable dans les écoles, les collèges, les lycées et les lieux d’enseignement supérieur.
De premières victoires ont aussi été obtenues dans les entreprises, notamment dans quelques grands groupes. Mais si, dans certains secteurs et entreprises, des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte. Il faut accélérer pour amplifier cette bataille pour l’augmentation des salaires
Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et, finalement, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités.
Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications, dans le privé comme dans le public.
Les communistes proposent:
– Pour le pouvoir d’achat et le pouvoir de vivre : bloquer les prix alimentaires, de l’eau, de l’énergie, des télécoms ; instituer une TVA à taux zéro sur les produits de première nécessité ; baisser de 20 % la facture d’électricité domestique en révisant les taxes (CSPE et TVA) ; geler les loyers et les prêts immobiliers ; interdire les expulsions locatives ; accorder une prime de 300 euros à toute personne vivant au-dessous du seuil de pauvreté ; prolonger les droits des chômeurs jusqu’à la fin de 2020 et supprimer définitivement la réforme de l’assurance chômage.
– Pour les retraités : revaloriser les pensions. Aucune ne doit se situer en dessous du seuil de pauvreté, la retraite minimum doit correspondre au smic pour toute carrière complète.
Les communistes sont déterminés à rassembler le plus largement pour que ces propositions soient entendues et mises en œuvre tout de suite par le gouvernement, jusqu’à lors plus prompt à faire d’immenses cadeaux fiscaux aux plus riches et aux grandes multinationales qu’à satisfaire les attentes populaires.
Plus durablement, c’est à une nouvelle politique qu’il va falloir s’atteler, qui permette à chacun de vivre dignement de son travail, aux jeunes d’accéder à des emplois stables, aux populations de disposer partout de services publics de qualité, au pays de se doter, de nouveau, d’une industrie assurant notre souveraineté et répondant aux besoins de la société.
Elle implique de réorienter radicalement les richesses vers la satisfaction des besoins des femmes, des hommes, des jeunes plutôt que de toujours gaver les plus riches et les marchés financiers, et de confier de vrais pouvoirs de décision aux citoyens et au monde du travail.
La fédération du PCF du Finistère appelle à manifester à 11 h ce 27 janvier: 
Brest Place de la Liberté
Morlaix Place des otages
Quimper Place de la Résistance
Carhaix Maison des syndicats
Quimperlé place des écoles

Fête de l’Huma Bretagne des 27 et 28 novembre à Lanester: le retour de l’évènement festif et politique des communistes bretons

Fête de l’humanité Bretagne: forte affluence au meeting de la fête de l’humanité Bretagne. Des dizaines d’adhésions, des centaines de contacts réalisés tout au long du week-end. Des Bretons bien déterminés à relever le défi des jours heureux.  Une fête réunissant les 4 fédérations de Bretagne du Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF). La dynamique est lancée, il reste 5 mois avant le premier tour des présidentielles, 5 mois pour ré-enchanter la politique et l’engagement politique. Allons convaincre celles et ceux qui n’y croient plus, que la politique peut parler de nous, de nos réalités et surtout qu’elle peut changer notre quotidien.
Meeting de la fête de l’Humanité Bretagne – discours de Léon Deffontaines, responsable de la JC et porte-parole de Fabien Roussel devant + 1000 personnes.
Voici quelques clichés souvenirs de cette magnifique Fête de L’ Huma Bretagne des 27 et 28 novembre 2021.

Voeux de bonne année 2022 de la fédération du Finistère du PCF

La fédération PCF du Finistère vous souhaite une bonne année 2022!
Avec le Conseil départemental du Parti communiste français du Finistère et l’exécutif de la fédération, nous vous souhaitons une très bonne année 2022, avec la santé, c’est si important, mais aussi nourrie par la joie, le partage, la fraternité, l’humanité et des moments d’engagement social et politique qui nous permettent d’être utiles pour la défense de nos valeurs et idéaux partagés.
Ensemble nous soutiendrons tous les combats pour la justice sociale, la lutte contre la pauvreté, les services publics, notamment celui, si fragilisé, de la santé, la fraternité, la liberté, le féminisme, l’antiracisme, l’écologie, la paix et le désarmement, la solidarité internationale.
Avec nos 865 adhérents, nos 50 élus, les sympathisants des Comités des Jours Heureux, nous serons mobilisé.e.s pour la campagne présidentielle de Fabien Roussel, qui prend un véritable élan depuis des semaines, que nous allons encore amplifier avec notre mobilisation sur le terrain, et les campagnes législatives de nos candidates et candidats communistes sur cette année électorale à très forts enjeux.
Dans un contexte français et international très difficile et dangereux, mais où les idées communistes ont toute leur place, notamment face à l’agressivité et l’inhumanité du capitalisme, la puissance des milliardaires qui concentrent la propriété de nombreux grands médias qui leur permettent de chercher à modeler l’opinion à leur guise, et à la résurgence du fascisme et du racisme, continuons à nous battre pour un monde plus juste et une société meilleure, pour faire reculer les inégalités et la pauvreté, pour que chacun ait une place reconnue dans la société, et le droit effectif au bonheur et à l’accomplissement personnel.
L’an passé, en 2021, dans le Finistère, 40 nouveaux adhérents nous ont rejoints. Cette année, nous allons nous renforcer davantage encore, n’en doutons pas, grâce aux campagnes présidentielles et législatives, au retour de la fête de l’Humanité, à nos actions en direction de la jeunesse et du monde du travail.
Bravo à nos nouveaux adhérents pour cette décision généreuse et forte de s’engager à nos côtés dans le Parti qui depuis 101 ans lutte pour le progrès social et culturel et l’émancipation des travailleurs!
Soyons unis et mobilisés face aux enjeux immenses que nous avons devant nous.
Bonne année à toutes et tous!

Conférence régionale des communistes bretons le 8 janvier 2022

Conférence régionale du PCF Bretagne en viséo – une partie de la délégation finistérienne à la fédération du PCF Finistère à Brest, 5 rue Henri Moreau

C’était hier, samedi 8 janvier, avec pour la délégation finistérienne, Gladys Grelaud, conseillère régionale PCF, qui a développé sur les positions du PCF et enjeux sur le logement en Bretagne et sur la mise en place d’un réseau de réflexion et d’intervention sur les transports, mobilités, et le ferroviaire, avec les syndicats et comités d’usagers, Enzo de Gregorio, candidat aux dernières régionales, Gilbert Sinquin, Christian Beaumanoir, Christian Gagou, Marion Frances, Michel Tudo, Yvonne Rainero, Dominique Gontier, Pierre-Yves Thomas, Ismael Dupont qui représentaient la fédération du Finistère.

D’intéressants débats sur le logement et les transports en Bretagne, l’installation de nos 4 élues communistes bretonnes (Delphine Alexandre, Gladys Grelaud, Katja Krüger, Gaby Cadiou) et leurs premiers mois de mandat, les liens entre la réflexion et les initiatives des adhérents, leur expertise d’usage, et les interventions des élues communistes au Conseil Régional, sur le bilan de la campagne des régionales et la manière dont elle a été conduite, sur les thèmes, propositions et batailles a mettre sur la place publique fortement les prochains mois.

Le député communiste du Havre Jean-Paul Lecoq était à Brest pour un débat sur la Paix et le désarmement nucléaire le 8 janvier à la maison des syndicats, à l’initiative du Mouvement de la Paix

Ce dimanche 9 janvier, de 11h à 13H30, c’était une réunion publique du Mouvement de la Paix qui sonnait le début de la mobilisation pour la paix et le désarmement nucléaire, la sortie de l’OTAN et une autre politique européenne de défense.

100 personnes ont pu participé à cette réunion publique à la maison des syndicats de Brest avant la grande manifestation de 14h place de la liberté a Brest.

Avec à la tribune Roland Nivet, président du Mouvement de la Paix, Alain Rouy, du Bureau International de la Paix, plus vieille organisation pacifiste mondiale et plus large réseau mondial d’organisations pacifistes, des pacifistes portugais et belge (organisation flamande pour la paix).

En présence de Jean-Paul Lecoq député communiste rapporteur de la commission Défense et de l’assemblée nationale sur l’armement nucléaire et de la co-responsable de la commission paix et désarmement d’EELV.

Noëlle Péoc’h pour le Mouvement de la Paix, Roland de Penanros pour le CIAN 29, des militants de la CGT comme Stephane Créach, des militants du PCF, du MLNE, du MRAP, le porte-parole d’ICAN France, Jean-Marie Collin, sont également intervenus.

Une réunion publique très intéressante sur les questions de la militarisation de l’Europe et du monde, avec le doublement des dépenses mondiales d’armement en deux décennies, la politique de l’OTAN et les orientations de la défense européenne:

Jean-Paul Lecoq, député communiste du Havre membre de la commission Défense :  » la France dépense chaque jour 14,5 millions d’euros pour moderniser l’arme atomique. Alors que les États européens considèrent en réalité que les menaces sont plutôt d’ordre numérique et terroriste. Quel sens ont de telles dépenses? Dans la symbolique, l’idée européenne mérite mieux que ça, qu’une première réunion de la présidence française de l’Europe dans le siège de la force de frappe nucléaire européenne, Brest! Quel symbole! C’est ça l’ambition européenne de la France? »

 

Mobilisation pour la paix, le désarmement nucléaire, une autre politique européenne le dimanche 9 janvier à Brest

Alors que les 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères sont attendus à Brest du 12 au 14 janvier, un collectif d’organisations pour la Paix et le désarmement nucléaire organisait un contre-sommet, avec un premier moment organisé hier par le CIAN 29 (Quatre heures pour le désarmement nucléaire, à la fac Segalen de Brest), une manifestation le dimanche 9 janvier a eu lieu dans la ville dont la rade abrite le cœur de la dissuasion nucléaire française, et un nouveau temps de mobilisation jeudi 13 janvier.

Dans la manif de Brest du 9 janvier pour la Paix, le désarmement nucléaire, pour une autre politique européenne à l’occasion du Sommet des Ministres des affaires étrangères et de la défense européens réunis à Brest du 12 au 14 janvier pour le début de la présidence française de l’Union et sur invitation d’Emmanuel Macron.

Plus de 700 participants à cette manifestation réussie, avec de très bonnes prises de parole à l’entame, Roland de Penanros pour le CIAN 29, Roland Nivet pour le Mouvement de la Paix, Alain Rouy pour le Bureau International de la Paix, les délégués flamands et portugais des associations pacifistes internationales, Jean-Marie Collin, porte-parole d’ICAN France qui mène la bataille pour la ratification du Traité d’interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) et un long défilé jusqu’à la Penfeld, avec la pluie qui a commencé à battre le pavé et les crânes rue de Siam, chère à Prévert, et sur le Pont de Recouvrance.

Les communistes étaient très présents dans cette manifestation avec des camarades venus de tout le Finistère, du Morbihan, des Côtes d’Armor, d’Ille-et-Vilaine, de Loire-Atlantique (merci et bravo à eux!), le député communiste rapporteur sur la question de l’armement nucléaire et membre de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale Jean-Paul Lecoq, mais aussi beaucoup de militants de la CGT, de la FSU, de Solidaires, des militants pacifistes bien sûr (mouvement de la paix, université européenne de la paix, bureau international de la paix, ICAN, mouvement pour une alternative non-violente, associations de paix internationales), des camarades de partis et mouvements de gauche (France Insoumise, NPA, EELV, UDB, PRCF), l’AFPS, les membres du CIAN 29.

Nous avons voulu saluer à notre façon par ce rassemblement pacifiste le sommet des ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères qui va se tenir cette semaine à Brest.

 

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin – Conférence régionale du PCF Bretagne, 8 janvier 2022

Conférence régionale PCF Bretagne, le 8 janvier 2022.

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin

Objectivement, surtout comparativement à d’autres régions françaises, la Région Bretagne a eu depuis 20 ans une approche favorable au ferroviaire, au TER, mais aussi au TGV. Les gares TER ont été rénovées, le matériel ferroviaire renouvelé et modernisé, des investissements massifs ont été fait comme dans la LGV ( le prolongement de la ligne TGV de Rennes au Mans), des travaux sur les voies, pour augmenter les vitesses de circulations et la sécurité.
Les résultats sont bon et la SNCF a encore affiché d’excellents résultats en 2019, comme les années précédentes en ce qui concerne le TER Bretagne.
Le trafic et la fréquentation des trains a augmenté sur certains axes jusqu’à saturation parfois, comme maintenant en gare de Rennes à certaines heures.

La Région Bretagne a renouvelé la convention TER 2019 – 2028 avec la SNCF, sans mise en concurrence, ce qui une marque de confiance.
Ce tableau n’est cependant pas parfait et bien des points se sont dégradés sur le terrain surtout depuis 3 – 4 ans, pour ce qui concerne le service public délivré par la SNCF, ce qui est aussi de la responsabilité ou du pouvoir du Conseil Régional de Bretagne, au moins indirectement pour le TER.
Quelques exemples du recul du service public et de perte du lien social:

-Politique de déshumanisation de plus en plus forte dans les gares.
-Suppression massive de guichets et d’espaces de vente sur le territoire breton, comme ailleurs. Diminutions d’horaires d’ouvertures des quelques guichets restant encore ouverts, entraînant des queues d’attentes inadmissibles, la colère des voyageurs et des répercutions sur les conditions de travail et la santé des cheminots restants en poste.

De plus en plus, les voyageurs n’ont plus de choix et sont renvoyés à leurs dépends vers Internet ou des automates dans les gares, parfois uniquement utilisables par carte bancaire ou, parfois ne rendant pas la monnaie. Il s’agit là
d’une rupture d’égalité d’accès au train. Ce n’est pas normal. Par exemple dans le centre Finistère, si on veut acheter un billet dans un guichet (TER, TGV, Inter-cité, abonnements ou renseignements…) il faut d’abord se renseigner sur les horaires d’ouvertures et se déplacer en gare de Quimper ou Landerneau ( à 60 km A/R minimum, sans compter le temps de trajet et l‘impact carbone) ou alors, il faut utiliser Internet avec le manque de conseils, d’informations et le risque le plus souvent de payer son billet plus cher dans le maquis des multiples tarifs. Encore faut-il avoir accès à Internet et savoir l’utiliser, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

De moins en moins de cheminots sur les quais. Les voyageurs laissés sans informations avec des risques d’accidents parfois, comme à Rennes ou un
voyageur était resté accroché à un train au départ.

De plus en plus trains sans contrôleurs, comme sur la ligne Quimper-Brest avec en conséquence des incivilités, des questions de sécurité pour les voyageurs et les mécaniciens ainsi qu’une baisse de la fréquentation, alors que cette ligne a été rénovée pour près de 80 millions d‘euros.
Des horaires inadaptés, des rabattements qui ne sont pas organisés et des correspondances qui ne peuvent plus se faire, ainsi que des TER qui ne
s’arrêtent plus dans toutes les gares. On peut comprendre qu’un TGV ne
s’arrête pas dans toutes les gares, mais pas un TER.
Des réglementations et des tarifs différents entre billet TER et TGV interdisant
d’accéder à l’un avec le billet de l’autre et des correspondances de l’un vers
l’autre qui ne se font plus systématiquement en cas de retard.
Aucun accès PMR dans aucune gare TER dans tout le centre Bretagne.
Depuis l’été dernier, le paiement et l’obligation de réserver uniquement par
Internet le transport d’un vélo dans un TER si l’on n’est pas abonné sur la
ligne.
Ces reculs du service public ont fait l’objet de multiples protestations,
réclamations, lettres ou courriels auprès de la SNCF et du Conseil Régional,
de pétitions, de manifestations de cheminots et d’usagés ( à Quimper,
Châteaulin, Brest, Morlaix, Rosporden, Hennebont, Pontivy…). Des élus ont
été interpellés, soit directement, soit par écrit. Des vœux votés en conseil
municipal et communautaire à Châteaulin pour le maintien du guichet de la
gare avec l’agent polyvalent. Une entrevue le 05 01 2018 avec la Ministre des
Transports Elisabeth BORNE lors son passage en gare de Châteaulin et une
réunion avec son Chef de cabinet, le Sous Préfet de Châteaulin et le
Directeur régional de la SNCF, M Beaucaire.
Rien n’a changé et ça continue de se dégrader.
Cette politique découle des réformes de la SNCF successives, de l’éclatement en plusieurs sociétés, séparées en différentes activités, cloisonnées, de plus en plus filialisées pour la mise en concurrence.
Dirigées comme le privé, suivant les modes de gestion capitaliste, les décideurs éloignés à Rennes ou à Paris n’ont que faire des conséquences de leurs décision sur le terrain, sinon que d’atteindre leurs objectifs de réductions des coûts, à commencer par la masse salariale et les coûts des services au détriment des cheminots et des populations.
Les activités ou services sont désormais gérés en centres de profits devant tous être rentables économiquement, quoiqu‘il en coûte.
A une lettre le 17 février 2018, de la part des sections PCF 29 de la 6ème
circonscription du Finistère (centre Finistère), Gérard LAHELLEC répondait
que le Conseil Régional ne demandait pas à la SNCF de faire œuvre de zèle
pour supprimer des emplois et des guichets mais leur demandait de se mettre
mieux en capacité de commercialiser les titres régionaux. Il ne poussait pas
non plus la SNCF à optimiser ses résultats en réduisant les comptes décharge mais en développant la fréquentation des trains.

Il observait que la SNCF avait dégagé 15 M€ de bénéfice en Bretagne (en 2
ans), ce qui tendait à prouver qu’elle était en mesure de mettre en œuvre un
certain nombre d’adaptations et, qu’au demeurant, il informait qu‘il n’entendait
nullement m’immiscer dans des gestions qui appartiennent en propre à
l’opérateur et qu’il ne souhaitait pas que la région soit tenue pour responsable
de décisions ne relevant pas de ses prérogatives.
Rien ne change jusqu’à présent et, cela continue à se dégrader encore
récemment avec des suppressions de postes et de guichets à Hennebont,
Quimper, Brest et Rennes…ainsi que des réductions d’horaires au motif cette
fois de la période COVID.
Que pouvons nous faire ?
Retenir les argumentaires et appliquer les propositions positives de Loïg
Chesnais -Girard dans sa réponse le 14 juin 2021, à une association
d’usagés, dans son programme pour la prochain mandature. (celle-ci) (Voir la
lettre en annexe)
Vérifier le contenu de la convention TER, les moyens possibles, car, la Région Bretagne, en temps que donneur d’ordre et financeur devrait être beaucoup plus exigeante envers la Direction de la SNCF et imposer un cahier des charges très ferme en ce qui concerne l’emploi et les services publics dédiés auprès des bretonnes et des bretons. Imposer des pénalités dissuasives en cas de manquement ou du non respect de la convention contractualisée car, il y a un véritable mépris de la Direction de
la SNCF envers les populations, les élus et le personnel cheminot.
La Région Bretagne, les bretonnes et les bretons, sont abusés car la SNCF dégage des marges à leurs détriments chaque année (mise à part cette période COVID). Marges qu’elle réinvestit ailleurs, parfois via des filiales sur d’autres marchés ouverts à la concurrence en France, dans d’autres Régions où à l’étranger.
D’ailleurs, si les compagnies privées reviennent dans les chemins de fer, c’est qu’elles y trouvent de bien meilleurs conditions d’exploitation en étant assurées de faire du profit ou d’équilibrer leurs charges dans le pire des cas, grâce aux subventions.
Il faut impérativement que ces subventions via les conventions soient conditionnées.
Il nous faut impérativement renverser la vapeur et mettre un coup de barre à
gauche.
Si nous parvenions à réorienter cette politique dans le bon sens au service des bretonnes et des bretons, cela serait à mettre à notre crédit.
Si nous n’y parvenions pas, ce serait à désespérer pour la population qui ne voit plus de différence entre une gestion de droite et une gestion de gauche,ce qui entraîne des réactions de rejets du politique et la montée de l’abstention à toutes les élections.
Il nous faut ré-humaniser les gares et les trains, avoir au moins un guichet d’ouvert dans chaque gare du 1er au dernier train.
Offrir les prestations les plus élémentaires comme des toilettes dans les gares (ex Châteaulin ) et, des accès avec prestations PMR dans des gares en centre Bretagne.


Ré-ouvrir des lignes comme Morlaix-Roscoff et les électrifier comme Quimper
– Landerneau ce qui aurait l’avantage d’augmenter les vitesses de circulations
et de réduire l’impacte carbone, tout en réduisant également les coûts
d’exploitations par l’uniformisation du matériel moteur. Cela pourrait être fait
dans le cadre du grand projet Ligne Nouvelles Ouest Bretagne Pays de Loire
(LNOBPL).

Des liaisons modernisées pourraient se faire de Brest à Nantes via Quimper, sachant que la gare de Rennes est déjà saturée. Les métropoles de Bretagne ainsi reliée par le nord ou le sud, ce qui est un des objectifs du projet.
Satisfaire les demandes des usagés avec des horaires, des arrêts et des dessertes adaptées à leurs besoins.
Réduir l’impact carbone et augmenter la fréquentation des trains en supprimant les cars Breizh-Go directs qui circulent entre Quimper et Brest, par la voie express RN 165, en doublon et concurrence avec les TER, presque aux mêmes horaires.

( ex: du lundi au vendredi, de Quimper, un car direct pour Brest au départ à
16h40 et un TER desservant toutes les gares, au départ à 16h57; heure
théorique d’arrivée du car à Brest à 18h00 et le train arrive à 18h23. )

Ces autocars en doublon pourraient être affectés sur des trajets scolaires comme à Pont de Buis (par ex), où il y a de la demande non satisfaite.
Ne pas oublier le FRET que la SNCF a abandonné qui pourrait être développé par une politique volontariste. (ex récent, la suppression encore d’un dernier train de FRET à Rosporden Coat-Conq). Constat que les besoins sont toujours existant mais qu’il n’y a pratiquement plus de trains, ni d’effectifs dédiés à cette activité en Bretagne où, il ne reste plus que 15 agents, tous services confondus pour assurer le fonctionnement. Avec les ports de Brest et Roscoff récemment retenu dans un grand projet européen des ports en eau profonde des moyens devraient également exister.

 

13 janvier – Ismaël Dupont représentait le PCF à un débat sur le désarmement nucléaire à Brest avec des représentants de l’ICAN, du CIAN 29, de FI, de EELV, du NPA

En débat sur le désarmement nucléaire à l’invitation du CIAN 29, en clôture d’une belle semaine de mobilisation pour le désarmement nucléaire, après le pique-nique festif du midi face au Conseil des Ministres Européens réuni aux Capucins, pique-nique qui a rassemblé une centaine de personnes. Le débat était animé par le porte-parole de l’ICAN France Jean-Marie Collin avec Pierre-Yves Cadalen (FI), Ronan Pichon (EELV), Gérard Mas (NPA) et Ismaël Dupont qui, du fait de l’indisponibilité finalement du député communiste Jean-Paul Lecoq, initialement prévu, mais venu dimanche 9 janvier à la manif et au débat du Mouvement de la Paix, représentait le PCF et son candidat aux présidentielles Fabien Roussel sur cette soirée organisée en même temps qu’un rassemblement des ministres européens de la défense et des affaires étrangères à la mairie de Brest.

Merci à Enzo, Eugénie, Claude pour les photos.