PCF Finistère

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Conférence régionale des communistes bretons le 8 janvier 2022

Conférence régionale du PCF Bretagne en viséo – une partie de la délégation finistérienne à la fédération du PCF Finistère à Brest, 5 rue Henri Moreau

C’était hier, samedi 8 janvier, avec pour la délégation finistérienne, Gladys Grelaud, conseillère régionale PCF, qui a développé sur les positions du PCF et enjeux sur le logement en Bretagne et sur la mise en place d’un réseau de réflexion et d’intervention sur les transports, mobilités, et le ferroviaire, avec les syndicats et comités d’usagers, Enzo de Gregorio, candidat aux dernières régionales, Gilbert Sinquin, Christian Beaumanoir, Christian Gagou, Marion Frances, Michel Tudo, Yvonne Rainero, Dominique Gontier, Pierre-Yves Thomas, Ismael Dupont qui représentaient la fédération du Finistère.

D’intéressants débats sur le logement et les transports en Bretagne, l’installation de nos 4 élues communistes bretonnes (Delphine Alexandre, Gladys Grelaud, Katja Krüger, Gaby Cadiou) et leurs premiers mois de mandat, les liens entre la réflexion et les initiatives des adhérents, leur expertise d’usage, et les interventions des élues communistes au Conseil Régional, sur le bilan de la campagne des régionales et la manière dont elle a été conduite, sur les thèmes, propositions et batailles a mettre sur la place publique fortement les prochains mois.

Le député communiste du Havre Jean-Paul Lecoq était à Brest pour un débat sur la Paix et le désarmement nucléaire le 8 janvier à la maison des syndicats, à l’initiative du Mouvement de la Paix

Ce dimanche 9 janvier, de 11h à 13H30, c’était une réunion publique du Mouvement de la Paix qui sonnait le début de la mobilisation pour la paix et le désarmement nucléaire, la sortie de l’OTAN et une autre politique européenne de défense.

100 personnes ont pu participé à cette réunion publique à la maison des syndicats de Brest avant la grande manifestation de 14h place de la liberté a Brest.

Avec à la tribune Roland Nivet, président du Mouvement de la Paix, Alain Rouy, du Bureau International de la Paix, plus vieille organisation pacifiste mondiale et plus large réseau mondial d’organisations pacifistes, des pacifistes portugais et belge (organisation flamande pour la paix).

En présence de Jean-Paul Lecoq député communiste rapporteur de la commission Défense et de l’assemblée nationale sur l’armement nucléaire et de la co-responsable de la commission paix et désarmement d’EELV.

Noëlle Péoc’h pour le Mouvement de la Paix, Roland de Penanros pour le CIAN 29, des militants de la CGT comme Stephane Créach, des militants du PCF, du MLNE, du MRAP, le porte-parole d’ICAN France, Jean-Marie Collin, sont également intervenus.

Une réunion publique très intéressante sur les questions de la militarisation de l’Europe et du monde, avec le doublement des dépenses mondiales d’armement en deux décennies, la politique de l’OTAN et les orientations de la défense européenne:

Jean-Paul Lecoq, député communiste du Havre membre de la commission Défense :  » la France dépense chaque jour 14,5 millions d’euros pour moderniser l’arme atomique. Alors que les États européens considèrent en réalité que les menaces sont plutôt d’ordre numérique et terroriste. Quel sens ont de telles dépenses? Dans la symbolique, l’idée européenne mérite mieux que ça, qu’une première réunion de la présidence française de l’Europe dans le siège de la force de frappe nucléaire européenne, Brest! Quel symbole! C’est ça l’ambition européenne de la France? »

 

Mobilisation pour la paix, le désarmement nucléaire, une autre politique européenne le dimanche 9 janvier à Brest

Alors que les 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères sont attendus à Brest du 12 au 14 janvier, un collectif d’organisations pour la Paix et le désarmement nucléaire organisait un contre-sommet, avec un premier moment organisé hier par le CIAN 29 (Quatre heures pour le désarmement nucléaire, à la fac Segalen de Brest), une manifestation le dimanche 9 janvier a eu lieu dans la ville dont la rade abrite le cœur de la dissuasion nucléaire française, et un nouveau temps de mobilisation jeudi 13 janvier.

Dans la manif de Brest du 9 janvier pour la Paix, le désarmement nucléaire, pour une autre politique européenne à l’occasion du Sommet des Ministres des affaires étrangères et de la défense européens réunis à Brest du 12 au 14 janvier pour le début de la présidence française de l’Union et sur invitation d’Emmanuel Macron.

Plus de 700 participants à cette manifestation réussie, avec de très bonnes prises de parole à l’entame, Roland de Penanros pour le CIAN 29, Roland Nivet pour le Mouvement de la Paix, Alain Rouy pour le Bureau International de la Paix, les délégués flamands et portugais des associations pacifistes internationales, Jean-Marie Collin, porte-parole d’ICAN France qui mène la bataille pour la ratification du Traité d’interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) et un long défilé jusqu’à la Penfeld, avec la pluie qui a commencé à battre le pavé et les crânes rue de Siam, chère à Prévert, et sur le Pont de Recouvrance.

Les communistes étaient très présents dans cette manifestation avec des camarades venus de tout le Finistère, du Morbihan, des Côtes d’Armor, d’Ille-et-Vilaine, de Loire-Atlantique (merci et bravo à eux!), le député communiste rapporteur sur la question de l’armement nucléaire et membre de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale Jean-Paul Lecoq, mais aussi beaucoup de militants de la CGT, de la FSU, de Solidaires, des militants pacifistes bien sûr (mouvement de la paix, université européenne de la paix, bureau international de la paix, ICAN, mouvement pour une alternative non-violente, associations de paix internationales), des camarades de partis et mouvements de gauche (France Insoumise, NPA, EELV, UDB, PRCF), l’AFPS, les membres du CIAN 29.

Nous avons voulu saluer à notre façon par ce rassemblement pacifiste le sommet des ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères qui va se tenir cette semaine à Brest.

 

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin – Conférence régionale du PCF Bretagne, 8 janvier 2022

Conférence régionale PCF Bretagne, le 8 janvier 2022.

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin

Objectivement, surtout comparativement à d’autres régions françaises, la Région Bretagne a eu depuis 20 ans une approche favorable au ferroviaire, au TER, mais aussi au TGV. Les gares TER ont été rénovées, le matériel ferroviaire renouvelé et modernisé, des investissements massifs ont été fait comme dans la LGV ( le prolongement de la ligne TGV de Rennes au Mans), des travaux sur les voies, pour augmenter les vitesses de circulations et la sécurité.
Les résultats sont bon et la SNCF a encore affiché d’excellents résultats en 2019, comme les années précédentes en ce qui concerne le TER Bretagne.
Le trafic et la fréquentation des trains a augmenté sur certains axes jusqu’à saturation parfois, comme maintenant en gare de Rennes à certaines heures.

La Région Bretagne a renouvelé la convention TER 2019 – 2028 avec la SNCF, sans mise en concurrence, ce qui une marque de confiance.
Ce tableau n’est cependant pas parfait et bien des points se sont dégradés sur le terrain surtout depuis 3 – 4 ans, pour ce qui concerne le service public délivré par la SNCF, ce qui est aussi de la responsabilité ou du pouvoir du Conseil Régional de Bretagne, au moins indirectement pour le TER.
Quelques exemples du recul du service public et de perte du lien social:

-Politique de déshumanisation de plus en plus forte dans les gares.
-Suppression massive de guichets et d’espaces de vente sur le territoire breton, comme ailleurs. Diminutions d’horaires d’ouvertures des quelques guichets restant encore ouverts, entraînant des queues d’attentes inadmissibles, la colère des voyageurs et des répercutions sur les conditions de travail et la santé des cheminots restants en poste.

De plus en plus, les voyageurs n’ont plus de choix et sont renvoyés à leurs dépends vers Internet ou des automates dans les gares, parfois uniquement utilisables par carte bancaire ou, parfois ne rendant pas la monnaie. Il s’agit là
d’une rupture d’égalité d’accès au train. Ce n’est pas normal. Par exemple dans le centre Finistère, si on veut acheter un billet dans un guichet (TER, TGV, Inter-cité, abonnements ou renseignements…) il faut d’abord se renseigner sur les horaires d’ouvertures et se déplacer en gare de Quimper ou Landerneau ( à 60 km A/R minimum, sans compter le temps de trajet et l‘impact carbone) ou alors, il faut utiliser Internet avec le manque de conseils, d’informations et le risque le plus souvent de payer son billet plus cher dans le maquis des multiples tarifs. Encore faut-il avoir accès à Internet et savoir l’utiliser, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

De moins en moins de cheminots sur les quais. Les voyageurs laissés sans informations avec des risques d’accidents parfois, comme à Rennes ou un
voyageur était resté accroché à un train au départ.

De plus en plus trains sans contrôleurs, comme sur la ligne Quimper-Brest avec en conséquence des incivilités, des questions de sécurité pour les voyageurs et les mécaniciens ainsi qu’une baisse de la fréquentation, alors que cette ligne a été rénovée pour près de 80 millions d‘euros.
Des horaires inadaptés, des rabattements qui ne sont pas organisés et des correspondances qui ne peuvent plus se faire, ainsi que des TER qui ne
s’arrêtent plus dans toutes les gares. On peut comprendre qu’un TGV ne
s’arrête pas dans toutes les gares, mais pas un TER.
Des réglementations et des tarifs différents entre billet TER et TGV interdisant
d’accéder à l’un avec le billet de l’autre et des correspondances de l’un vers
l’autre qui ne se font plus systématiquement en cas de retard.
Aucun accès PMR dans aucune gare TER dans tout le centre Bretagne.
Depuis l’été dernier, le paiement et l’obligation de réserver uniquement par
Internet le transport d’un vélo dans un TER si l’on n’est pas abonné sur la
ligne.
Ces reculs du service public ont fait l’objet de multiples protestations,
réclamations, lettres ou courriels auprès de la SNCF et du Conseil Régional,
de pétitions, de manifestations de cheminots et d’usagés ( à Quimper,
Châteaulin, Brest, Morlaix, Rosporden, Hennebont, Pontivy…). Des élus ont
été interpellés, soit directement, soit par écrit. Des vœux votés en conseil
municipal et communautaire à Châteaulin pour le maintien du guichet de la
gare avec l’agent polyvalent. Une entrevue le 05 01 2018 avec la Ministre des
Transports Elisabeth BORNE lors son passage en gare de Châteaulin et une
réunion avec son Chef de cabinet, le Sous Préfet de Châteaulin et le
Directeur régional de la SNCF, M Beaucaire.
Rien n’a changé et ça continue de se dégrader.
Cette politique découle des réformes de la SNCF successives, de l’éclatement en plusieurs sociétés, séparées en différentes activités, cloisonnées, de plus en plus filialisées pour la mise en concurrence.
Dirigées comme le privé, suivant les modes de gestion capitaliste, les décideurs éloignés à Rennes ou à Paris n’ont que faire des conséquences de leurs décision sur le terrain, sinon que d’atteindre leurs objectifs de réductions des coûts, à commencer par la masse salariale et les coûts des services au détriment des cheminots et des populations.
Les activités ou services sont désormais gérés en centres de profits devant tous être rentables économiquement, quoiqu‘il en coûte.
A une lettre le 17 février 2018, de la part des sections PCF 29 de la 6ème
circonscription du Finistère (centre Finistère), Gérard LAHELLEC répondait
que le Conseil Régional ne demandait pas à la SNCF de faire œuvre de zèle
pour supprimer des emplois et des guichets mais leur demandait de se mettre
mieux en capacité de commercialiser les titres régionaux. Il ne poussait pas
non plus la SNCF à optimiser ses résultats en réduisant les comptes décharge mais en développant la fréquentation des trains.

Il observait que la SNCF avait dégagé 15 M€ de bénéfice en Bretagne (en 2
ans), ce qui tendait à prouver qu’elle était en mesure de mettre en œuvre un
certain nombre d’adaptations et, qu’au demeurant, il informait qu‘il n’entendait
nullement m’immiscer dans des gestions qui appartiennent en propre à
l’opérateur et qu’il ne souhaitait pas que la région soit tenue pour responsable
de décisions ne relevant pas de ses prérogatives.
Rien ne change jusqu’à présent et, cela continue à se dégrader encore
récemment avec des suppressions de postes et de guichets à Hennebont,
Quimper, Brest et Rennes…ainsi que des réductions d’horaires au motif cette
fois de la période COVID.
Que pouvons nous faire ?
Retenir les argumentaires et appliquer les propositions positives de Loïg
Chesnais -Girard dans sa réponse le 14 juin 2021, à une association
d’usagés, dans son programme pour la prochain mandature. (celle-ci) (Voir la
lettre en annexe)
Vérifier le contenu de la convention TER, les moyens possibles, car, la Région Bretagne, en temps que donneur d’ordre et financeur devrait être beaucoup plus exigeante envers la Direction de la SNCF et imposer un cahier des charges très ferme en ce qui concerne l’emploi et les services publics dédiés auprès des bretonnes et des bretons. Imposer des pénalités dissuasives en cas de manquement ou du non respect de la convention contractualisée car, il y a un véritable mépris de la Direction de
la SNCF envers les populations, les élus et le personnel cheminot.
La Région Bretagne, les bretonnes et les bretons, sont abusés car la SNCF dégage des marges à leurs détriments chaque année (mise à part cette période COVID). Marges qu’elle réinvestit ailleurs, parfois via des filiales sur d’autres marchés ouverts à la concurrence en France, dans d’autres Régions où à l’étranger.
D’ailleurs, si les compagnies privées reviennent dans les chemins de fer, c’est qu’elles y trouvent de bien meilleurs conditions d’exploitation en étant assurées de faire du profit ou d’équilibrer leurs charges dans le pire des cas, grâce aux subventions.
Il faut impérativement que ces subventions via les conventions soient conditionnées.
Il nous faut impérativement renverser la vapeur et mettre un coup de barre à
gauche.
Si nous parvenions à réorienter cette politique dans le bon sens au service des bretonnes et des bretons, cela serait à mettre à notre crédit.
Si nous n’y parvenions pas, ce serait à désespérer pour la population qui ne voit plus de différence entre une gestion de droite et une gestion de gauche,ce qui entraîne des réactions de rejets du politique et la montée de l’abstention à toutes les élections.
Il nous faut ré-humaniser les gares et les trains, avoir au moins un guichet d’ouvert dans chaque gare du 1er au dernier train.
Offrir les prestations les plus élémentaires comme des toilettes dans les gares (ex Châteaulin ) et, des accès avec prestations PMR dans des gares en centre Bretagne.


Ré-ouvrir des lignes comme Morlaix-Roscoff et les électrifier comme Quimper
– Landerneau ce qui aurait l’avantage d’augmenter les vitesses de circulations
et de réduire l’impacte carbone, tout en réduisant également les coûts
d’exploitations par l’uniformisation du matériel moteur. Cela pourrait être fait
dans le cadre du grand projet Ligne Nouvelles Ouest Bretagne Pays de Loire
(LNOBPL).

Des liaisons modernisées pourraient se faire de Brest à Nantes via Quimper, sachant que la gare de Rennes est déjà saturée. Les métropoles de Bretagne ainsi reliée par le nord ou le sud, ce qui est un des objectifs du projet.
Satisfaire les demandes des usagés avec des horaires, des arrêts et des dessertes adaptées à leurs besoins.
Réduir l’impact carbone et augmenter la fréquentation des trains en supprimant les cars Breizh-Go directs qui circulent entre Quimper et Brest, par la voie express RN 165, en doublon et concurrence avec les TER, presque aux mêmes horaires.

( ex: du lundi au vendredi, de Quimper, un car direct pour Brest au départ à
16h40 et un TER desservant toutes les gares, au départ à 16h57; heure
théorique d’arrivée du car à Brest à 18h00 et le train arrive à 18h23. )

Ces autocars en doublon pourraient être affectés sur des trajets scolaires comme à Pont de Buis (par ex), où il y a de la demande non satisfaite.
Ne pas oublier le FRET que la SNCF a abandonné qui pourrait être développé par une politique volontariste. (ex récent, la suppression encore d’un dernier train de FRET à Rosporden Coat-Conq). Constat que les besoins sont toujours existant mais qu’il n’y a pratiquement plus de trains, ni d’effectifs dédiés à cette activité en Bretagne où, il ne reste plus que 15 agents, tous services confondus pour assurer le fonctionnement. Avec les ports de Brest et Roscoff récemment retenu dans un grand projet européen des ports en eau profonde des moyens devraient également exister.

 

13 janvier – Ismaël Dupont représentait le PCF à un débat sur le désarmement nucléaire à Brest avec des représentants de l’ICAN, du CIAN 29, de FI, de EELV, du NPA

En débat sur le désarmement nucléaire à l’invitation du CIAN 29, en clôture d’une belle semaine de mobilisation pour le désarmement nucléaire, après le pique-nique festif du midi face au Conseil des Ministres Européens réuni aux Capucins, pique-nique qui a rassemblé une centaine de personnes. Le débat était animé par le porte-parole de l’ICAN France Jean-Marie Collin avec Pierre-Yves Cadalen (FI), Ronan Pichon (EELV), Gérard Mas (NPA) et Ismaël Dupont qui, du fait de l’indisponibilité finalement du député communiste Jean-Paul Lecoq, initialement prévu, mais venu dimanche 9 janvier à la manif et au débat du Mouvement de la Paix, représentait le PCF et son candidat aux présidentielles Fabien Roussel sur cette soirée organisée en même temps qu’un rassemblement des ministres européens de la défense et des affaires étrangères à la mairie de Brest.

Merci à Enzo, Eugénie, Claude pour les photos.

Dans la manif du 13 janvier 2022 au côté des personnels de l’éducation nationale

Les communistes étaient nombreux·ses à manifester le jeudi 13 janvier, aux côtés des personnels de l’éducation nationale, afin de revendiquer une politique cohérente de protection et de prévention à la hauteur des enjeux sanitaires, scolaires et sociaux. Crédits Photos: Eug/ Y.Rainero

+ de 2000 manifestants à Brest, et + 800 à Quimper

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La fédération du Finistère apportait son soutien au mouvement des enseignants.

Elle appelait les personnels de l’éducation, les parents d’élèves et les lycéens et étudiants à manifester jeudi 13 janvier à 14h, à Brest (place de la Liberté) et à Quimper (place de la Résistance).

Pour faire entendre leur colère et obtenir une politique cohérente de protection et de prévention à la hauteur des enjeux sanitaires, scolaires et sociaux.

En effet de la maternelle au lycée, la situation est vite devenue explosive depuis la rentrée pour les élèves, les familles et les personnels. Une réalité que le ministre de l’Éducation Nationale a de plus en plus de mal à masquer. Encore moins avec son énième protocole publié le 6 janvier au soir. 

L’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative atteignent un niveau inédit .

Alors que le coronavirus a bouleversé la situation sanitaire cette situation de crise exacerbe un contexte que nous connaissions bien avant  .

La lutte contre les inégalités sociales de réussite scolaire, pour la démocratisation de l’accès aux savoirs sont au cœur des propositions du Parti Communiste Français.
Depuis de nombreuses années, on a privé nos enfants de temps d’école, transférant aux familles, aux communes une partie des enseignements et de ce qui doit être fait à l’école.

Pour cela il faut transformer les pratiques. Il ne s’agit pas seulement d’augmenter le temps scolaire, mais de donner du temps aux équipes pour lutter contre les inégalités sociales de réussite scolaire.
L’argent existe, il faut le prendre sur les revenus du Capital, l’évasion fiscale qui coûte à notre pays plus de 120 milliards d’Euros.

Les communistes proposent :
Un plan national pour rouvrir des écoles et des collèges sur tout le territoire et réduire le temps passé dans les transports, rénover, équiper, construire là où c’est nécessaire ;
Des effectifs réduits dans les classes : pas plus de 20 à 25 par classe en fonction du niveau ;
Un fond national pour garantir la gratuité de tout ce qui est nécessaire à la réussite scolaire.
Plus d’école, c’est nécessairement plus d’enseignants  90 000 RECRUTEMENTS TOUT DE SUITE!

Plus d’école, ce n’est pas plus d’heures pour les enseignants : au contraire, ils ont besoin de temps pour travailler en équipe, se former, réfléchir à leur pratique… : plus de maîtres que de classes en primaire ; un temps de concertation inclus dans le service pour tous les personnels.

– Rattrapage des salaires (+30% et dégel du point d’indice)
Mise en place de dispositifs de pré recrutement aux niveaux Bac et Bac+2, sous statut de la fonction publique, pour une entrée progressive et sereine dans le métier.

Manif éducation nationale à Quimper, 13 janvier 2022 - photos Yvonne Rainero, PCF Quimper

Des nouvelles du comité des jours heureux du Pays de Morlaix

 

La prochaine réunion du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix aura le Vendredi 11 février.

Elle sera consacrée à l’animation de la campagne présidentielle de Fabien Roussel sur le Pays de Morlaix.

Cette réunion est publique, ouverte à tous les sympathisants du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix

Pour rejoindre ce comité de soutien et de campagne:

comite.jh.morlaix@gmail.com/ daniel.ravasio@orange.fr/ dupont.ismael@yahoo.fr

Le 18 janvier nous avons vécu une belle réunion du comité des jours heureux à Morlaix avec 24 personnes présentes, de nombreux excusés, sur les 127 inscrits de notre comité de soutien à Fabien Roussel sur la circonscription de Morlaix, et des personnes qui n’étaient jamais venues encore, dont plusieurs qui ne sont pas adhérents au PCF.
Nous avons maintenant 20 000 à 25 000 exemplaires de la « lettre aux Français » de Fabien Roussel à distribuer sur la circonscription.
Après des présences à Bosch, à la Sermetta, à la Poste, au lycée Tristan Corbière, au marché de Morlaix et Saint Martin des champs les deux semaines, nous allons couvrir les quartiers du pôle urbain et des communes du pays de Morlaix, et nous serons présents aussi au marché de Morlaix le samedi 29 janvier.
Nous avons beaucoup d’ambitions et de détermination à porter haut la candidature de Fabien Roussel et l’adhésion à notre projet.
Nous avons prévu des réunions publiques, deux meetings départementaux au moins, des porte-à-porte.
D’ici là, samedi 22 janvier à 11h, nous serons à Roscoff pour défendre la relance de la ligne ferroviaire Morlaix-Roscoff, puis avec les grévistes et manifestants le Jeudi 27 janvier.
Le prochain comité des jours heureux du pays de Morlaix aura lieu le vendredi 11 février, 2 petite rue de Callac a Morlaix.

***

Ils appellent publiquement à voter Fabien Roussel sur le pays de Morlaix et s’engagent dans le comité des jours heureux du pays de Morlaix: 127 personnes à ce jour sur le pays de Morlaix. 

Patrick ASSELBOURG – Plourin les Morlaix

Manu AUDIGOU – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU – Morlaix

Philippe AUZILLAUD – Morlaix

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Serge BAZIN – St Martin des Champs

Patrick BEGUIVIN – Plouigneau

Annie BERGOT LE CALVEZ – Morlaix

Odette BERRIC – Saint-Jean-du-Doigt

Jean-Pierre BEUZIT – Morlaix

Cécile BLANCHET – Guimaëc

Christophe BOUDROT – Plouigneau

Jules BOUEDEC – Lanmeur

François BOURVEN – Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN – Morlaix

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT – Morlaix

Martine CARN – Plougonven

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – Plougasnou

Marc CORBEL – Lanmeur

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – Morlaix

Maëlvin DANIEL –  Morlaix

Guy DAROL – Plouigneau

Monique DAVID – Morlaix

Eugène DAVILLERS – Morlaix

Enzo DE GREGORIO – Carantec

Christian DELANNEE – Morlaix

Liliane DEROUT – Lanmeur

Corentin DERRIEN – Saint Thégonnec Loc Eguiner

Jean-Philippe DEUNF- Lanmeur

Michel DIZES – Plougasnou

Jean DREAN – Plouigneau et Quimper

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Aloys DUPONT – Morlaix

Ismaël DUPONT – Morlaix

Marie-France FAUJOUR – Penzé (Taulé)

Camille GLIDIC – Île de Batz

Michele GAMBACHE – Morlaix

Patrick GAMBACHE – Morlaix

Mariane GAUTHIER – Plouigneau

Walden GAUTHIER – Plouigneau

Mattéo GESTIN – Brennilis

Gilles GRALL – Plounéour Menez

Muriel GRIMARDIAS – Lanmeur

Maha HASSAN – Morlaix

Joël HELARY – Plourin-les-Morlaix

Roger HERE – Plouigneau

Mireille HERVY – Santec

Yvon HUET –

Charles JAOUEN – Saint-Jean-du-Doigt

Mona JAOUEN – Plounéour Menez

Christelle KERBORIOU – Plougonven

Pascal KERBORIOU – Plougonven

Elise KEREBEL – Morlaix

Jean-Jacques Labous – Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – Carantec

Mariette LABROUSSE – Carantec

Elisabeth LAINE – Lanmeur

Jean-Yves LAINE – Lanmeur

Jérémy LAINE – Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – Morlaix

Enora LAMY – section PCF Morlaix

Andréa LAURO – Morlaix

Amélie LE CALVEZ – Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – Morlaix

Natacha LE CLAIR – Plestin-les-Grèves

Jean LE CORRE – Roscoff

Serge LE DOYEN – Plouegat Moysan

Georges LE DUFF – Lanmeur

Suzanne LE DUFF – Lanmeur

Josette LEFUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL – Roscoff

Léon LE GALL – Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – Morlaix

Marie-Hélène LE GUEN – Morlaix

Remy Le HUIDOUX – Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

François LE MEUR – Morlaix

Gisèle LINTANF – Saint-Martin-des-Champs

Michel LESPAGNOL – Morlaix

Marie-Françoise MADEC – Morlaix

Vinko MARKOV – Morlaix

Gisèle MOAL – Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – Primel Trégastel, Plougasnou

Lucienne NAYET – Locquénolé

Dominique NOGUERES –

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

André PAULUS – La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – La Feuillée/ Morlaix

Paulette PERON – Plouénan

Françoise PILATTE – Morlaix

François PLASSART – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Pascal POUILLET – Locquénolé

Jean Claude POSTIC – Plouegat Guerrand

Michel PRIGENT – Plouigneau

Serge PUIL -Morlaix

Jan RAFFAELY – Sizun

Daniel RAVASIO – Saint Thégonnec Loc Eguiner

Daniel RIOU – Morlaix

Philippe ROPARS – Morlaix

Françoise SALAUN – Roscoff

Jean-Yves SALAUN – Roscoff

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – Morlaix

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Janine SORHOLUS – Morlaix

Guy TANDE – Saint-Martin-des-Champs

Michel TUDO DELER – Lanmeur

Jean François VERANT – Plougasnou

Jean-Louis WEBER – Santec

22 janvier 2022- les communistes quimpérois distribuent sur le marché la lettre aux français de Fabien Roussel

3° ce samedi matin à Quimper, mais la chaleur était dans les cœurs des militants emmitouflés distribuant devant les Halles la lettre de Fabien Roussel aux Français.
Beaucoup de réponses positives : « Ah oui, il m’intéresse »,  » Je l’ai entendu et je l’ai trouvé bien » , « Je crois que je vais voter communiste pour la 1ère fois de ma vie », y compris de la part d’anciens socialistes.
Mais aussi « Je le trouve bien, mais… »
Il faut convaincre inlassablement que l’élection n’est pas pliée, que ce qui sortira des urnes dépendra de ce que nous y mettrons!
Près de 700 lettres distribuées ce matin.
Objectif : 20 000 pour le collectif des Jours Heureux du pays de Quimper.
Sur les photos avec Claude, Ronan, Jean-Yves, Piero, Jean-Claude.

Inscrivez-vous sur le comité de soutien finistérien à la candidature présidentielle de Fabien Roussel

Ce dimanche 23 janvier 2022, 432 personnes participent déjà au comité de soutien finistérien public à la candidature de Fabien Roussel. Nous avons l’ambition de réunir 1000 soutiens pour le 10 avril, 1er tour des élections présidentielles, et 500 soutiens pour le 1er février.  Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr
Et ces soutiens viennent d’une partie significative des 277 communes du Finistère (95 communes différentes du Finistère) :
Bannalec, Baye, Berrien, Beuzec-Cap-Sizun, Brennilis, Brest, Briec, Carantec, Carhaix, Châteaulin, Clohars-Carnoët, Combrit, Concarneau, Crozon, Douarnenez, Elliant, Ergué-Gaberic, Fouesnant, Gouesnac’h, Guipavas, Gouesnou, Guilers, Guimaëc, Ile-de-Batz, Kernével, Kersaint-Landunvez, La Feuillée, La Forêt-Fouesnant, Landerneau, Lanmeur, Lanvéoc, Le Guilvinec, Le Relecq-Kerhuon, Lesconil, Locquénolé, Locmaria-Berrien, Locmaria-Plouzané, Loctudy, Logonna-Daoulas, Loperhet, Mahalon, Melgen, Mellac, Moëlan-sur-Mer, Motreff, Morlaix, Quimper, Quimperlé, Penmarc’h, Penzé, Pleyber-Christ, Plobannalec-Lesconil, Plogonnec, Plomeur, Plouarzel, Plouégat-Guerrand, Plouégat-Moysan, Plouénan, Plougasnou, Plougastel-Daoulas,, Plougastel-Saint-Germain, Plougonven, Plouguerneau, Plouhinec, Plouider, Plouigneau, Plounevez-Porzay, Plouzévédé, Plounéour-Menez, Plourin-les-Morlaix, Plouvien, Plozévet, Pont-Croix, Pont-de-Buis les Quimerc’h, Pont l’Abbé, Plogastel Saint-Germain, Riec-sur-Belon, Roscoff, Rosporden, Rosnoën, Santec, Saint Hernin, Saint-Jean-du-Doigt, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Pabu, Saint-Thégonnec Loc-Eguiner, Saint-Pol-de-Léon, Saint-Renan, Saint Vougay, Saint-Yvi, Santec, Scaër, Sizun, Taulé, Tregunc, Tréflévenez, …
Merci à toutes les personnes, adhérents au PCF ou sympathisants, militants des Comités des Jours Heureux locaux du Finistère, qui ont déjà donné leur soutien public à Fabien Roussel, et qui ont contribué à nourrir ce comité de soutien en posant la question aux proches et aux sympathisants.
On continue à parler autour de nous de notre candidat des Jours Heureux et du Parti Communiste pour amplifier le courant de sympathie et d’adhésion autour de cette candidature!

Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr

A ce jour,  432 personnes appellent publiquement à voter Fabien Roussel dans le Finistère.

  Guy ABGRALL, comédien, auteur et adhérent du PCF, Brest

Anne-Marie ALAYSE, chercheuse Ifremer retraitée, Brest

Sandrine ALLAIN, agente administrative, syndicaliste – Quimper

Philippe ALLOUARD, militant syndical, Quimperlé

Yvette ANDOLFATTO enseignante en retraite, ancienne militante syndicale dans le 93, Plougastel-Daoulas

Françoise ANNE, retraitée, Quimperlé

Serge ANNE, retraité, Quimperlé
Sylvain ARALDI, militant syndical, technicien bureau d’étude ALSTOM, La Forêt Fouesnant

Patrick ASSELBOURG, retraité de l’AFPA, syndicaliste, ancien adjoint à Plourin-les-Morlaix

Manu AUDIGOU, agent territorial, syndicaliste – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU, salariée de la Poste – Morlaix

Philippe AUZILLAUD, agent administratif syndicaliste – Morlaix

Antonio AVELLAN – retraité chauffeur routier – Brest

Christiane AVELLAN – retraitée agent d’entretien – Brest

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Denise BALLIOT, Loctudy

Gaston BALLIOT – auteur de sites d’histoire locale, Loctudy

Guy BARRE, enseignant en retraite, ancien responsable syndical- secteur Pont L’Abbé

Cyrille BARTHES, adjoint technique principal, syndicaliste CGT, Brest

Serge BAZIN retraité– Saint-Martin-des Champs

Christian BEAUMANOIR, Syndicaliste cheminot CGT , ancien M/Adjoint communiste de Maurepas (Yvelines)- exécutif départemental PCF du Finistère Lanvéoc

Marie José BEAUMANOIR, retraitée du trésor public, Lanvéoc

Patrick BEAUMONT-PEUZIAT Maraîcher Plougastel-Saint-Germain

Patrick BEGUIVIN – ouvrier en miroiterie, conseiller municipal à Plouigneau

Claude BELLEC – élue communiste à Brest pendant plusieurs mandats, administratrice logement social, Brest

Djelloul BENHENNI, ouvrier du BTP, conseiller municipal de Rosporden/ Kernével

Annie BERGOT LE CALVEZ – retraitée des Finances Publiques, ancienne élue à Morlaix

André BERNARD  – retraité de l’éducation national (ancien proviseur) Quimper

Marie-Andrée BERNARD – retraitée de la Mutualité – syndicaliste, Quimper

Odette BERRIC, retraitée, Saint Jean du Doigt

Bernard BERTHIER ancien conseiller municipal de Saint-Yvi, syndicaliste

Alain BESCOU – retraité fonction publique territoriale, Plouhinec

Martine BESCOU – retraitée publique territoriale, Plouhinec

Mehdi BEUNECHE, étudiant. Brest

Jean-Pierre BEUZIT – cuisinier – adhérent PCF – Morlaix

Bertrand BIANIC Conseiller municipal délégué en charge du personnel au Relecq-Kerhuon
Denise BLANCHE retraitée du secteur bancaire semi-public – ancienne élue à Fontenay-aux-Roses – militante associative, syndicale et politique vétéran du PCF, Fouesnant
Fernand BLANCHE retraité du logement social – Fouesnant
Cécile BLANCHET, infirmière libérale, formatrice CGT, Guimaëc

Véronique BLANCHET, Formatrice Professionnelle d’Adultes. Ancienne vice

présidente de la communauté de communes du Pays Bigouden Sud. Ancienne – 3eme adjointe au maire chargée des affaires scolaires et enfance de la ville de Pont-l’Abbé
Bernard BLOYET – Retraité de la RATP, Syndicaliste CGT, MOTREFF

Anne BORGNIET-YOUÉNOU , retraitée, Brest

Christophe BOUDROT infirmier à l’hôpital, syndicaliste, Plouigneau

Jules BOUEDEC ancien élu, Lanmeur

Claude BOULIC, cheminot retraité , responsable associatif, Crozon

Claudie BOURNOT GALLOU Adjointe en charge des finances, de l’administration générale, du personnel et des élections Mairie du Relecq-Kerhuon

Bernard BOURSON, retraité, Plouider

François BOURVEN Cheminot, syndicaliste, Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN ancienne élue à Plougonven, Morlaix

Jacqueline BRAIRE Le Guilvinec déléguée syndicale S.M.I.C.T. – C.G.T. pendant la carrière professionnelle (syndicat des médecins, ingénieurs,  cadres et techniciens ), Infirmière retraitée,  puis cadre de soins et ensuite cadre supérieure de santé jusqu’en 2004

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT conseillère municipale à Morlaix

Denise CAM contrôleuse des Finances Publiques ER- Brest

Jean-Paul CAM contrôleur des Finances Publiques ER – Brest

Gilles CANQUETEAU -cadre Enedis, militant syndical, secteur Quimper

Christian CARDUNER – Retraité militant CGT PTT ancien secrétaire Départemental CGT  du secteur des activités postales et des télécommunications du Finistère-Sud et secrétaire régional activités postales et communication Bretagne – élu PCF Scaër

Alain CARIOU, professeur retraité, ancien adjoint au maire, Plougonvelin

Alain CARIOU, Marin pêcheur retraité, Loctudy

Mimi CARIOU, Retraitée commerce, membre de la section du Pays bigouden, Loctudy
Jean-Claude CARIOU, professeur en retraite , militant associatif , Logonna-Daoulas

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – infirmière retraitée, Plougasnou

Martine CARN – conseillère municipale à Plougonven, militante santé publique

René CARN – Plougonven

Philippe CARQUET – Gouesnou

Jeannine CAVACO – Retraitée de l’Education Nationale – 3 mandats conseillère municipale communiste à Mellac

Bernard CELTON ancien responsable syndical de la CGT chez Renault et en Seine st Denis – Melgven

Jean Pierre CHABROL, retraité de la fonction publique territoriale, habitant à Brest.

Jean CHEVALIER. Ancien élu PCF à Landerneau

Jean-Marc CLERY,  Professeur, secteur de Quimper.

Nadine CLOAREC – retraitée France Telecom Orange, militante syndicale, militante politique – exploitante agricole – Locmaria Berrien

Yves CLORENNEC – professeur des écoles – Quimper

Albert COÏC – Beuzec-Cap Sizun

Emile COIGNARD -retraité France Télecom- Secteur Quimper

Isabelle COLPIN – Artisan d’Arts- Moëlan-sur-Mer

Bernard CONDETTE – Tregunc

Marc CORBEL – agent territorial – syndicaliste – Lanmeur

Alain CORFMAT – syndicaliste santé en retraite – Loctudy

Christiane CORRE, retraitée syndicaliste, Le RELECQ KERHUON

Jean-Claude CORRE – retraité, Riec-sur-Belon

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Patricia CORRE – professeure – Quimper

Jean-Patrick Courtois – Plounévez-Porzay

Monique Courtois – Plounévez-Porzay

Michel CREIGNOU, ancien élu de Guisseny, retraité d’EDF. Guissegny

André CREN Militant associatif Carhaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – enseignant à la retraite – Morlaix

Jeannine DANIEL – ancienne élue à Scaër et présidente du syndicat d’eau du Ster Goz, présidente de l’association « Bretons solidaires » qui vient en aide aux migrants, Scaër

Maëlvin DANIEL – étudiant, Morlaix

Guy DAROL – journaliste et écrivain – Plouigneau

Monique DAVID – syndicaliste, retraitée du Télégramme, Morlaix

Eugène DAVILLERS – conseiller municipal de Morlaix

Louis DEBARNOT – retraité de l’arsenal, militant syndical et associatif – Brest

Enzo DE GREGORIO – responsable des JC Finistère, Carantec

Christian DELANNEE économiste de la construction en retraite,  Morlaix
Marcel DENES, militant associatif, Fouesnant
Liliane DEROUT, Lanmeur

Corentin DERRIEN – étudiant, responsable de l’UEC Finistère, conseiller municipal à Saint Thégonnec Loc Eguiner

Gabriel DERRIEN – agent de maintenance en retraite,  Quimper

Jean-Jacques DERRIEN – retraité, Brest

Philippe DESSENNE, Technicien de maintenance, militant syndicaliste. Plogastel St Germain.

Eric DESURY – éducateur sportif – Brest

Jean-Philippe DEUNF – travailleur de l’agro-alimentaire – Lanmeur

Michel DIZES cadre territorial retraité – Plougasnou

Jean DREAN – cheminot retraité, syndicaliste, Plouigneau et Quimper

Murielle DUBREULE, retraitée, Saint Renan

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Emile DUOT – retraité des travaux publics, Quimper

Marie DUIGOU, adjointe déléguée au lien social et à la citoyenneté, Bannalec

Norbert DUIGOU – militant syndicaliste, retraité de la Sécurité Sociale, Bannalec

François DUOT – Retraité des travaux publics – Quimper.

Louis DUOT – Ouvrier métallurgiste, syndicaliste – Quimper.

Jackie DUQUENNE – retraité – Pont Croix

Roger DUPAS, retraité RATP syndicaliste et militant PCF, Pont L’Abbé

Aloys DUPONT – étudiant, Morlaix

Ismaël DUPONT – professeur documentaliste en collège, conseiller départemental et 1er adjoint, adjoint Finances-Ressources Humaines de la ville de Morlaix

Daniel EDELIN – retraité de la sécurité sociale,  Quimper

Marie-France FAUJOUR, syndicaliste, retraitée de la Manu, Penzé (Taulé)

Pierre FELICE – retraité Penmarc’h

Jean-Michel FEVRIER – Retraité – Carhaix

Floriane FEYSSEL – secrétaire administrative, militante, Guilers

Marie-Laure FEYSSEL-PIBOULEAU, retraitée et adhérente du PCF, Brest

Alain FLAGEUL, militant associatif, Rosnoen

Catherine FLAGEUL, militante associative et de la Paix, Rosnoen

Didier FLEGEAU Retraité BREST

Yann FLOURIOT, retraité de l’Éducation Nationale, militant, Plouvien

Alain FOUCHE, Clohars-Carnoët

Yann FOUCHER – directeur d’école, Quimper

Pierre FOURNET-FAYAS. Mellac

Marion FRANCES, secrétaire administrative, militante, Guilers

Ronan FRANCES. Ergué Gabéric

Christian GAGOU – Retraité mécanicien de la réparation navale. Landerneau

Fabrice GAKIERE – Conseiller municipal de Briec, militant associatif, secteur Quimper

Denise GALLON – cheminote retraitée, secrétaire de la section des cheminots cgt retraités – Taulé

Jacky GALLOU, retraité, Le Relecq-Kerhuon

Michèle GAMBACHE – professeure en retraite, Morlaix

Patrick GAMBACHE – enseignant en retraite, éditeur, conseiller municipal délégué à Morlaix

Raymonde GARNIER  -retraitée, Moëlan sur mer

Robert GARNIER – retraité, Moëlan-sur-mer

Mariane GAUTHIER – conseillère municipale à Plouigneau

Walden GAUTHIER – lycéen, membre du MJCF 29, Plouigneau

Mattéo GESTIN – lycéen en terminale à Landerneau (littérature – sciences politiques), habitant de Brennilis

Camille GLIDIC – Île de Batz

Marie-Joëlle GLOAGUEN – Retraité de la fonction publique territoriale, Secteur Quimper

Patrick GLOAGUEN retraité de la pêche, militant communiste, Lesconil

Armel GONTIER, Enseignant EPS, militant syndical et militant associatif, Moëlan-sur-Mer.

Camille GONTIER, Maître de conférence en sociologie, Douarnenez

Dominique GONTIER – Moëlan-sur-Mer

Bruno GOULIAN, cheminot retraité, syndicaliste, GUIPAVAS

Yvette GOULM, Quimper

Marie-France GOUSSE, comptable, militante associative, CONCARNEAU

Gilles GRALL – artiste, syndicaliste, Plounéour Menez

Gladys GRELAUD – Conseillère Régionale de Bretagne, Landerneau

Muriel GRIMARDIAS – militante associative, Lanmeur

Loeiz GUILLAMOT – journaliste en retraite, secteur Quimper

Françoise GUEGUEN – Militante Conseillère Pôle Emploi -Le Relecq-Kerhuon
Dominique GUELLEC, auxiliaire de vie scolaire, Brest

Eric GUELLEC, adjoint au maire de Brest, président du groupe des élu-e-s communistes de la ville de Brest et de Brest métropole, Brest

Morgane GUELLEC, section PCF de Brest

Malou GUIAVARC’H, professeur d’école, adhérente PCF, Plouvien

Nicole GUILLOU, adjointe de direction. Quimper

Philippe GUILLOU – cadre territorial en retraite, secteur Quimper

Yves GUIRIEC, cheminot retraité, militant syndical et associatif, Quimper

Alain GUYADER – professeur des écoles en retraite, secteur Quimper

Aline GUYADER – professeure des écoles en retraite, secteur Quimper

Jean GUYOMARCH – postier en retraite, syndicaliste, Quimper

Jean-Pierre GUYON – Retraité EDF, militant syndicaliste de l’Énergie, Concarneau

Maha HASSAN – écrivaine, Morlaix

Joel HEDDE – retraité syndicaliste, Combrit

Dessi HEDIN, professeur et écrivaine, Karlstad, Suède, section PCF Brest

Joël HELARY – syndicaliste, retraité de l’agro-alimentaire, Plourin-les-Morlaix

Noël HELIS, retraité de l’éducation nationale. Guipavas

Martin HELLMANN, étudiant en Histoire à l’UBO Brest, Le Relecq-Kerhuon.

Gérard HENAFF – retraité Alcatel, syndicaliste, Saint-Pabu

Maïté HENAFF – DEMARTY – retraitée Conseil Départemental 92, syndicaliste, Saint-Pabu

Jacqueline HERE – Retraitée des Finances Publiques, Maire de quartier à Bellevue (Brest), conseillère départementale

Roger HERE – retraité des Finances Publiques, syndicaliste, vice-président de Morlaix-Communauté et 1er adjoint à Plouigneau

Mireille HERVY, Santec

Alain HOUZIAUX retraités métaux

Danielle HROUDA – retraitée de la fonction publique territoriale (Assistance Publique – Département de Seine St Denis), syndicaliste, Gouesnac’h

Denis HUET, enseignant à la retraite, militant syndical. Quimperlé

Yvon HUET – journaliste, syndicaliste

Marianne JAN, retraitée, militante du comité de défense de l’hôpital de Concarneau – Concarneau

Charles JAOUEN- Saint Jean du Doigt

Mona JAOUEN – artiste chanteuse, Plounéour Menez

Bernard JASSERAND – Maire-Adjoint de Quimper en charge du quartier de Kerfeunteun, Conseiller Communautaire de QBO. Salarié de l’énergie ER, Quimper

Sylvie JASSERAND – professeure des écoles en retraite, Quimper

Gilbert JEHANNO – retraité de l’Arsenal – militant communiste, syndicaliste, Le Relecq-Kerhuon

Geneviève JEHANNO – retraitée de la mairie de Brest – Le Relecq-Kerhuon

Michelle JEZEQUEL – militante syndicaliste – Quimper

Claude JUILLIERE, retraité militant PCF et comité de défense de l’hôpital de Concarneau, Concarneau

Christelle KERBORIOU – salariée du secteur médico-social, syndicaliste, Plougonven

Pascal KERBORIOU – salarié de l’hôpital, syndicaliste, Plougonven

Elise KEREBEL – salariée du secteur médico-social, conseillère municipale à Morlaix

Louis KERGOURLAY – ancien conseiller municipal d’Ergué Gaberic

Colette KHALFA – retraitée de la fonction publique territoriale, Carhaix

Jean-Jacques LABOUS, militant syndical. Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – retraité Air Inter, syndicaliste, – Carantec

Mariette LABROUSSE –  retraité Air Inter, syndicaliste, Carantec

Elisabeth LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jean-Yves LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jérémy LAINE – technicien anti-parasitaire adjoint au maire à Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – ouvrier, adjoint au maire à l’enseignement à Morlaix

Enora LAMY – étudiante – section PCF Morlaix

Claude LANGRENE –  professeur des lycées professionnels en retraite – Quimper

Claudine LAPORTE – Responsable associative, Carhaix

Daniel LAPORTE – retraité, syndicaliste, Carhaix

Fanch LAPORTE – militant Syndical Retraité Carhaix

Louis LAUNAY retraité Brest

Marc LAUNAY, Concarneau

Andréa LAURO – salarié associatif, militant associatif, Morlaix

Alain LE BEC – professeur en retraite, militant associatif, Quimper

Chantal LE BELLEC, Cadre territoriale Retraitée, Guilvinec

Etienne LE BELLEC, Ancien  conseiller municipal de Guilvinec, Technicien études et conception pour les grandes cuisines professionnelles, Retraité, Guilvinec

Robert LE BELLEC, Ajusteur outilleur, Retraité, Pont L’abbé
Stephane LE BELLEC, Aide soignant, Pompier volontaire, Pont L’abbé
Yann LE BELLEC, Technicien de l’eau, Guilvinec
André LE BERRE, Retraité, Plogonnec

Annie LE BERRE, professeur agrégée de lettres, retraitée de l’éducation nationale, Brest

Jeanne LE BERRE – retraitée PTT secteur Quimper

Yves LE BERRE, professeur émérite des Universités, ancien adjoint au Maire de Brest (chargé de la culture), syndicaliste FSU, adhérent du PCF – Brest

Sergine LE BOHEC – Lesconil

Yannick LE BOHEC – Lesconil

Marie-Thérèse LE BRAS – retraitée de l’éducation nationale – Beuzec Cap Sizun

Bernard LE BRUN – Technicien travaux publics en retraite, syndicaliste,  Quimper

Madeleine LE BRUN – Retraitée, secteur Quimper

Michel LE BRUN – Policier municipal en retraite, secteur Quimper

Amélie LE CALVEZ – conseillère municipale, Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – retraité de la Manu, ancien élu, syndicaliste, Morlaix

Christine LE CAM, retraitée, militante syndicale, Locmaria Berrien

Hubert LE CAM, retraité,  militant syndical,  Locmaria Berrien.

Natacha LE CLAIR, retraitée coiffeuse, Plestin-les-Grèves

Jacqueline LE CLOAREC –  professeur certifiée en retraite; ancienne conseillère municipale de  LANESTER -GUILVINEC

Robert LE CLOAREC Guilvinec professeur certifié en retraite; ancien adjoint au maire de LANESTER; ancien conseiller municipal du Guilvinec

JEAN LE CORRE Retraité PTT Roscoff

Tangi LE COZ – Salarié du secteur social – Brest

Guy LE DANTEC retraité Brest

Serge LE DOYEN – Plouégat Moysan

Romaric LEDUC -militant syndical et associatif -Brest – Pont de Buis lès Quimerc’h

Georges LE DUFF –(ingénieur en bâtiment, retraité, Lanmeur

Suzanne LE DUFF – professeure des écoles, retraitée, Lanmeur

Théo LE FAOU – ancien membre du Conseil du CHU Pitié Salpètriere, Guilvinec

Jean-Claude LE FELL – retraité – Logonna Daoulas

Viviane LE FELL – retraitée – Logonna Daoulas

Josette LE FUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL, artisan ébéniste retraité, ancien conseiller municipal de Roscoff pendant 2 mandats, Roscoff

Léon LE GALL, Retraité, Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – employé municipal, syndicaliste, Morlaix

Marie-José LE GLAS Contrôleur principal du trésor public- Lanvéoc

Bernard LE GOFF – retraité d’Orange, militant syndical et associatif, Quimper

Chantal LE BRUN, Le Guilvinec

Maxime LE BRUN, Le Guilvinec

Michel LE GOFF, militant syndical alimentaire, ancien conseiller municipal et candidat du Front de Gauche aux élections Régionales en 2015, Bannalec

Lydie LE GUEN – employée de commerce – Quimper

Marie-Hélène LE GUEN – retraitée de la Poste, syndicaliste, Morlaix

Roger LE GUENIC – Retraité fonction publique hospitalière -Retraité CGT – Brest

Thierry LE GUENNOU ancien adjoint mairie de Baye, Baye

Gaëtan LE GUERN Professeur dans l’enseignement supérieur ancien adjoint à la culture à Brest – Brest

Chantal LE GUERN DROGUET – Cytologiste, Brest

Léandre LE GUERN, étudiant en 1ère année d’IUT génie biologique à Brest, Plougastel-Daoulas

Rémy LE HUIDOUX Retraité Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Jean-Claude LE JONCOUR – Retraité France Télecom, militant associatif,  Quimper

Jocelyne LE JONCOUR – Retraitée Quimper

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

Jean Michel LE LORC’H  Vice-Président BREST Métropole

François LE MEUR – Morlaix

Jean-Louis LE MEUR – chauffeur routier, Quimper

Jacques LE MOIGNE – Cheminot Retraité, syndicaliste, Plouguerneau

Colette LE NOAC’H – Scaër.

Martine LE NOZERH – retraitée intérimaire de l’agro-alimentaire (Doux, Connetable, Capitaine Cook, etc) – militante du PCF Pays Bigouden – Plozévet

Claude LE PAGE – Cheminot, syndicaliste, secteur Quimper

Michel LESPAGNOL – retraité PTT France Télécom, Morlaix

André LE ROUX commandant des douanes retraité Pont L’Abbé

Francette LE ROUX contrôleur divisionnaire des douanes retraitée Pont L’Abbé

Michel LE ROUX – professeur en retraite militant associatif – Le Relecq-Kerhuon

Sandra LE ROUX, conseillère municipale aux sports et au développement des quartiers à la mairie de Brest. Brest

Sylvain LE ROUX professeur de français

Marie Rose L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

Yvon L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

‌Ernestine L’HENORET, retraitée Fonction Publique, Loctudy

Gisèle LINTANF – retraitée infirmière psy –  Saint-Martin-des-Champs

Oxana LIZIAR, Atsem, Le Relecq-Kerhuon

Pierre-Yves LIZIAR, Professeur des Écoles, Conseiller Municipal délégué en charge du handicap au Relecq-Kerhuon

Lindsay MADEC, postière. Tréflévénez

Marie-Françoise MADEC – conseillère municipale déléguée aux Seniors à Morlaix

Erik MARCHAND – Artiste chanteur – Poullaouen

Taran MAREC – délégué à la langue bretonne à la mairie de Brest, étudiant en informatique, Brest

Jean-Claude MARION, Ingénieur retraité, Kersaint-Landunvez

Vinko MARKOV – Morlaix

Amaury MATHIEU, peintre en bâtiment, Silfiac, section PCF de Brest

Isabelle MAUGEAIS – Militante associative et conseillère Départementale canton Pont-de-Buis-les-Quimerc’h

Isabelle MAZELIN – adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon, tête de liste aux élections Sénatoriales dans le Finistère en 2020, Le Relecq-Kerhuon

Jean-Yves MAZO – Postier, militant associatif, secteur Quimper

Stéphane MEILLOUR, syndicaliste agro-alimentaire. Quimperlé

Yvon MEST – adhérent PCF – Brest

Monique MEVELLEC SITHAMMA, professeure en retraite, syndicaliste, élue conseillère municipale au Relecq-Kerhuon.

Jeannine MILLET – Retraitée de la fonction publique territoriale – adhérente section PCF Pays Bigouden – Mahalon

Gisèle MOAL – ancienne adjointe, Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – militante de la solidarité et PCF, Primel-Tregastel (Plougasnou)

Louise MOREAU – Retraitée – Penmarc’h

Philippe MOREAU – Retraité, militant CGT et PCF à Penmarc’h, ancien conseiller municipal de Poissy (Yvelines), Penmarc’h

Pierig MORVAN Facteur, militant associatif et syndical, Kernével/Rosporden

Michel MOYSAN – Concarneau

Suzanne MULLEMAN – retaitée – Plomeur

Lucienne NAYET – ancienne élue de Champigny s/Marne, militante associative autour de l’histoire de la Résistance, Locquénolé

Françoise NIOCHE – enseignante retraitée, Conseillère Municipale Rosporden

Robert NIOCHE, retraité et syndicaliste, Rosporden

Dominique NOGUERES – militante des droits de l’homme, avocate

Francis NORMAND – informaticien, secteur Quimper

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – syndicaliste, cheminot en retraite, Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Maria OLLIVIER syndicaliste Brest

Sylviane PAPIN, Clohars-Carnoët.

Michèle PARET, Douarnenez

Jean-Louis PASCAL – dessinateur dans le bâtiment en retraite secrétaire de section PCF Concarneau

Germaine PAUBERT – adhérente communiste – Brest

Denis PAUGAUME – électricien, syndicaliste,  Quimper

Maxime PAUL – ancien adjoint et vice-président de communauté d’agglomération à Brest, Plougastel-Daoulas

André PAULUS – enseignant retraité, ancien élu à La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – enseignante en retraite, La Feuillée/ Morlaix

Marie-Pierre PELLEN – région brestoise

Jean-Jacques PENVEN – Retraité, RATP. Militant, CGT, ancien conseiller municipal de La Feuillée

Paulette PERON – Plouénan

Claudine PERROT– retraitée de la fonction territoriale, militante associative, Guilvinec

Ilya PERROT – ouvrier métallurgiste en retraite,  Quimper

Jean-Claude PERROT – conseiller municipal de Briec, postier en retraite, secteur Quimper

Michael PETER – maître artisan retraité- Rosporden-Kernevel

Yves PEUZIAT-BEAUMONT Fonctionnaire – Pays Bigouden

Gilbert PHELEP –  militant syndicaliste retraité – Rosporden

Michel PIBOULEAU – Syndicaliste militant associatif Brest

Pierre-Olivier PICART – retraité éducation nationale – Brest et Crozon

Françoise PILATTE – Morlaix

Olivier PIRIOU – Plouzané

Annick PIROU – retraitée – Carhaix

Jean PIROU, retraité, ancien conseiller municipal, Carhaix

Laurent PLA , Professeur en lycée Professionnel,  Carhaix.

François PLASSART – retraité du syndicat d’électrification, ancien adjoint au maire communiste à l’enseignement à Morlaix – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Patrick PLIQUET – ancien secrétaire du Syndicat CGT de la base aéronavale de Lanvéoc – Lanvéoc

Pierre PLOUGONVEN – Crozon

Pascal POUILLET – militant culturel breton, Locquénolé

Jean Claude POSTIC – Staffeur Ornemaniste retraité PCF Morlaix ancien élu Plouégat-Guérand

Jacky POUPON – adhérent PCF – Kernevel

Michel PRIGENT – ancien chauffeur routier – Plouigneau

Claire PRONONCE, militante syndicale. Moëlan-sur-Mer

Pierre PRONONCE, militant syndical, bureau de l’ARAC. Moëlan sur Mer

Serge PUIL – demandeur d’emploi – section Morlaix

Patrick QUELAUDREN – Militant de l’Education populaire – PONT L’ABBE

Jan RAFFAELY – ancien postier – Sizun

Brigitte RAGOT – Concarneau

Piero RAINERO – ancien conseiller régional de Bretagne et maire-adjoint de Quimper Secrétaire fédéral du PCF de 1982 à 2000, membre du Comité Central de 1987 à 2000 secrétaire régional de Bretagne de 1996 à 2004

Yvonne RAINERO – Conseillère municipale de Quimper déléguée à la santé, Conseillère communautaire, professeure agrégée en retraite, Quimper

Roger RAMONET – retraité France Télécom, syndicaliste, Quimper

Jacques RANNOU, Maire-Délégué de Kernével, commune associée à Rosporden. Cheminot E.R.

Daniel RAVASIO – professeur en retraite, syndicaliste, Saint Thégonnec Loc Eguiner

Larry REA Adjoint au Maire de Le Relecq-Kerhuon En charge de l’Urbanisme et des travaux, Le Relecq-Kerhuon

Dimitri RELOUZAT – Assistant de travaux – Quimper

Gilberte RENEAUD – retraitée CAF, militante syndicale, Lesconil

Jacques RENEAUD – retraité cheminot, Lesconil

Christian RICHARD, informaticien en retraite – Kernével

Hervé RICOU – militant communiste et de la solidarité avec la Grèce – Locmaria-Berrien

Gisèle RICHEZ – Le Relecq-Kerhuon

Daniel RIOU – retraité de la Poste- Morlaix

Guy RIVIERE, retraité de la fonction publique territoriale, militant syndical et associatif. Locmaria Plouzané.

Erwan RIVOALAN, bibliothécaire, syndicaliste, BREST

Pierre ROBIN, retraité, ancien responsable CGT ATOSS.

Tara ROGIEZ, étudiante, Brest

Philippe ROPARS, Morlaix

Michelle ROSA – retraitée – Quimper

Gérard ROUSSEAU, retraité de l’éducation nationale, Beuzec Cap Sizun

Maryse ROUSSEAU retraitée mutualité, Pays Bigouden

Maryse ROUZIER. Brest

Roberte SAINT JALMES – assistante administrative – Quimper

Françoise SALAÜN, retraitée, Roscoff

Jean-Louis SALAÜN, retraité, Roscoff

Maxime SALAUN, maraîcher bio – Loperhet

Rémi SALAÜN Technicien retraité DCNS Brest, syndicaliste mandaté Sécu

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Arlette SAMSON – Riec-sur-Belon

Cathy SAMSON – secrétaire, Fouesnant

Joël SAVINA – Retraité, militant syndical, militant associatif, Saint Hernin

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – syndicaliste, adjointe au maire à Morlaix, conseillère communautaire, Morlaix

Gil SCHMITT – directeur d’administration territoriale en retraite – secteur Douarnenez

Gérard SECHET retraité Rosporden

Malika SECHET retraitée Rosporden

Cécile SEGALEN – Le Relecq-Kerhuon

Pascal SEGALEN – trésorier de la section PCF du Relecq-Kerhuon, ancien élu Relecq-Kerhuon

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Denis SELLIN – retraité – Moëlan-sur-Mer

Jean-Luc SEZNEC – Artisan électricien en retraite – Quimper

Gilbert SINQUIN – Cheminot, syndicaliste, Châteaulin

Ronan SINQUIN – conseiller municipal de Quimper, Postier, syndicaliste

Thérèse SINQUIN – couturière retraitée, Quimper

Janine SORHOLUS – Morlaix

Sylvain SOULARD, Pont-l’Abbé.

Gisèle SQUIVIDANT – OS1, ouvrière spécialisée en retraite, Quimper

Paulette STEPHAN – institutrice en retraite, Quimper

Thomas SUKIENNIC – cheminot, syndicaliste,  Quimper

Guy TANDE – retraité infirmier psy –  Saint-Martin-des-Champs

Jacques TANGUY – adhérent communiste – Brest

Michel TANGUY – adhérent communiste – Brest

Ronan TANGUY – Elu au Relecq-Kerhuon pendant 25 ans, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel de 1976 à 2012, Plouarzel

Aline TASSIN, enseignante à la retraite, militante pour le droit des
enfants et des femmes, Landerneau
Jean-René TASSIN, militant syndical, Landerneau
Marie-Gaëlle TEXIER Éducatrice spécialisée

Mikael THENG – chaudronnier-soudeur, secteur Quimper

Joël THEPAULT – retraité cheminot, Quimper

Pierre-Yves THOMAS – Retraité, syndicaliste et conseiller municipal, Carhaix

Willy TITECA – retraité AIR INTER, syndicaliste, Moëlan-sur-Mer

Robert TOULERASTEL – Penmarc’h

Thierry TRIMAILLE. Professeur retraité. Pont-l’Abbé

Fabien TUDO DELER – contrôleur technique automobiles – Quimper

Michel TUDO DELER – cheminot retraité, syndicaliste, Lanmeur

Jean François VERANT – militant associatif, Plougasnou

Paul VIGOUROUX – prof des écoles à la retraite. Loctudy

Jean-Jacques VILLALON, Quimper

Isabelle VINCENT, secrétaire dans le médico-social, Saint-Renan

Roger VINCENT, couvreur à la retraite, Saint-Renan

Jean-Louis WEBER, Santec

Denis YAOUANC, Cheminot, militant syndical, Elliant.

 

 

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le samedi 15 janvier 2022

 

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis ce samedi 15 janvier 2022
AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis ce samedi 15 janvier 2022

AG de rentrée 2022 des communistes finistériens à Pont-de-Buis –

Ce samedi 15 janvier 2022 au matin, les représentants des 18 sections finistériennes du Parti communiste et des 865 adhérents du PCF Finistère (40 nouveaux adhérents en 2021 en dehors des mutations) étaient réunis à Pont-de-Buis, salle François Mitterrand, de 9h30 à 12h45, pour échanger sur la situation politique et sociale, s’organiser pour la campagne présidentielle de Fabien Roussel et les élections législatives qui viendront après. Merci à tous les camarades qui vont le déplacement!

Une AG des secrétaires et représentants de fédération avait lieu au même moment à Colonel Fabien à Paris où nous représentait Enzo de Gregorio.

Un bon débat de 3 heures jusqu’à 12h45 avec un peu plus de 40 camarades, suivi par un repas fraternel au restaurant Le Marléa juste à côté de la salle François Mitterrand pour ceux qui le souhaitaient.

Toutes et tous mobilisé.e.s pour la campagne de notre candidat aux présidentielles Fabien Roussel, le succès des nouvelles formules de l’humanité, et la préparation des législatives!

Dans le Finistère, 400 personnes au 15 janvier, étaient d’ores et déjà inscrits sur le Comité de Soutien à Fabien Roussel. 432 personnes au 23 janvier, une semaine plus tard. Objectif d’étape rempli! Prochaine échéance: 1000 soutiens au 10 avril, 50 supplémentaires par semaine, grâce au porte-à-porte dans les circonscriptions du Finistère avec le programme des Jours Heureux, la lettre aux Françaises et Français de Fabien Roussel, nos documents thématiques présentant les différents volets de notre projet. 

Et le 6 février prochain, au lendemain de notre Conseil national, nous aurons le premier grand meeting national de l’année, au Parc Chanot à Marseille.

Le 17 mars, Léon Déffontaines, le secrétaire de la JC et un des 5 porte-paroles de Fabien Roussel, sera dans le Finistère, à Brest, à la fac Ségalen, pour une réunion publique sur les attentes de la jeunesse dans cette campagne présidentielle.

Au mois de février ou de mars, Ian Brossat, le directeur de campagne de Fabien Roussel, devrait venir dans le Finistère pour un meeting départemental.

Pour s’inscrire sur le comité de soutien finistérien: dupont.ismael@yahoo.fr

Photos de nos camarades Daniel et Eugénie.

Rassemblement à Roscoff pour la relance de la ligne Morlaix-Roscoff le 22 janvier – discours de Gladys Grelaud

Photos de Jean-Luc Le Calvez – A l’invitation de l’UDB, que nous remercions pour cette initiative unitaire de relance de la lutte nécessaire et réussie, et avec l’aide de la CGT Cheminots, et de l’APMR, un très important rassemblement s’est tenu hier, samedi 22 janvier, pendant 2 heures de 11h à 13h devant la gare de Roscoff.
Plus de 200 personnes étaient présentes, dont plus d’une quarantaine de camarades du PCF et du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix.
De nombreuses interventions ont eu lieu – et celle de Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste de Bretagne, militante PCF à Landerneau, qui a porté un propos fort et vrai, très applaudi pour la relance, de la ligne Morlaix-Roscoff:
Discours de Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste finistérienne:

Prise de parole train Morlaix Roscoff janvier 2022

Je vais faire court et je ne vais pas revenir sur ce qui a déjà été dit.

D’abord commencer par vous montrer deux images Ici le réseau ferroviaire en 1930 et le réseau ferroviaire en 2008. Une France de 1930 une France ferroviaire, ramifiée, un train au plus près des habitants des villes et des campagnes et aux plus près des entreprises.

Ce que nous défendons ici, c’est bien un nouvel aménagement du territoire pour demain, pour une Bretagne aménagée équitablement, Avec un train, qui dessert l’ensemble des territoires.

Nous communistes, nous portons un aménagement du territoire qui promeut l’égalité entre ville et campagne et cela passe par le maintien mais aussi le développement du rail , du ferroviaire.

Le train c’est un service public de transport de proximité qui permet notre mobilité et un moyen de transport durable. Notre mobilité de plus en plus mis à mal aujourd’hui avec un litre de gasoil qui dépasse la barre des 1 euros 60.

Pour nous la ligne Morlaix Roscoff doit rouvrir et se développer pour deux raisons.

La première c’est pour que chacun puisse se déplacer. Aujourd’hui, selon plusieurs sources, c’est 9000 véhicules jour en moyenne en basse saison sur la route Morlaix Roscoff et, sur une partie de ces 9000 conducteurs, il y en a de plus en plus qui sont attachés fébrilement au pistolet de la station essence et font attention à ne pas dépasser les 15€ pile. Vous savez, comme dans beaucoup d’endroits, parce qu’on est au 20 du mois et qu’on a plus grand chose sur le compte et au 10 mois pour certains.

Le train est un bien public que nous devons défendre et surtout développer. un train du quotidien c’est que veulent les gens.

Parce que le pouvoir d’achat, est la première préoccupation des français et les bretons ne font pas exception. Et défendre la ligne Morlaix Roscoff impactent directement le pouvoir d’achat des nord finistériens. Un calcul pour vous rendre compte de l’intérêt du TER. La ligne Landerneau Brest. c’est 50 km Aller retour environ. 5 fois par semaine et 4 semaines par moi.

En TER, l’abonnement c’est 22,50 € par mois avec trajet illimité même le week-end si on veux avec les gamins pour qui le TER est gratuit dans toute la Bretagne.

je vous dis cela parce que si on transpose cela au même 50 km en voiture, où allez on considère qu’elle coute 0,30 € du km….. ben le calcul il est vite fait ? 30 centimes *50 km * 5 jours * 4 semaines et ben ça fait 300 € par mois…. je vous fais grâce des embouteillages, de trouver une place pour se garer…

alors 22,50 € contre 300 € sur un SMIC par exemple qui a été grassement augmenté de 0,9% de la part de notre gouvernement pour arriver à 1269 € net et ben c’est presque 25% du salaire et 22,50€ ça fait 2%.

Nous les communistes, nous défendons un train du quotidien de proximité et que l’on ne dise pas de ça coûte de l’argent. Le SNCF arrive bien à trouver des milliards pour gagner 10 minutes d’TGV pour améliorer le quotidien de quelques cols blancs alors quelques millions pour des milliers d’usagers bretons. Ca devrait pouvoir se trouver,

La seconde raison est économique ; nos légumes et marchandises, aujourd’hui transportés par des centaines de camions, demain seraient transportés par des trains de FRET électrifiés et apporteraient un bilan carbone amélioré et un plus-value certaine . Pour que nous recréé ions un véritable service public de fret. Les conditions sont réunis : l’intégration du port de Roscoff au réseau transeuropéen de transport, le brexit. Roscoff devient la porte d’entrée européenne la plus proche de l’Irlande. L’Europe, la France, nous, nous voulons notre Roscoff-Rungis en se battant comme ont pu le faire les catalans qui sont cheminots, associations des usagers, syndicalistes, primeurs et qui depuis des années ont lutté et gagné une bataille qui fut âpre.

Nous avons les moyens de repenser les lignes ferroviaires du quotidien et les bretonnes le souhaitent ! En effet, dans une des réunions publique du projet de ligne Bretagne Atlantique (LNOBPL), Une majorité de personnes ayant répondue veulent des investissements sur les lignes du quotidien.

Alors nous élues et militants communistes, ici à Roscoff, à Morlaix, dans le Finistère et à la région, nous demandons l’inscription de la rénovation de la ligne au contrat de plan Etat – Région et le financement par le Réseau trans-européen de transport de la ligne. Nous défendrons comme nous l’avons toujours fait ce service public de proximité des transports de voyageurs de de marchandises en lien avec les cheminots, les associations d’usagers les syndicalistes.

 

Vers une fermeture partielle du bureau de Poste de Kerfeunteun

En fin d’année 2021, la direction de La Poste a annoncé à la mairie sa volonté de fermer, tous les lundis, le bureau de poste situé au 36, avenue de la France-Libre, dans le quartiers de Kerfeunteun. Une fermeture effective à compter de mars, qui passe difficilement auprès des riverains. Un collectif a notamment lancé une pétition en ligne, sur le site change.org, afin de demander « l’ouverture six jours par semaine », « l’ouverture des deux guichets sur une plus grande amplitude pour limiter l’attente » ainsi que « de mettre à l’étude l’allongement des horaires d’ouverture au-delà de 17h ».

Le collectif est soutenu par Bernard Jasserand, adjoint en charge du quartier. Ce dernier a adressé la semaine dernière un courrier à la direction de La Poste. « Le quartier de Kerfeunteun, qui compte 20 000 habitants accueille aussi des commerces et de nombreuses entreprises. C’est un bassin de vie important, qui nécessite une ouverture six jours sur sept, en adéquation avec le rythme de la vie quotidienne des familles, des actifs et des professionnels ».

Une fréquentation importante. « Situé sur un axe de transit, le bureau est également fréquenté par les usagers des communes limitrophes dépourvues de bureau de poste. La fréquentation reste donc importante, les files d’attente sur le trottoir en témoignent quotidiennement, notamment le lundi », continue le maire adjoint. Et d’ajouter : « de nouveaux services non marchands pourraient également être proposés, par exemple un accès au numérique permettant de contacter les différents services publics et ainsi de contribuer à la réduction de la fracture numérique ».

Rencontre le 2 février. Une rencontre est prévue le 2 février entre Bernard Jasserand et le directeur de La Poste de Quimper. « Le service public postal est d’autant plus important pour le lien social dans cette période de crise sanitaire. En tant que prestataire du service postal universel et dans le cadre du contrat qui la lie à l’état, La Poste a des engagements de continuité du service public, elle doit les respecter », conclut l’adjoint quimpérois.

Source : letelegramme.fr du 20/01/22.

Ci-joint la copie de la lettre de Bernard Jasserand au directeur de La Banque Postale

Courrier adressé à M. SERREAU contre la fermeture du bureau de poste de Kerfeunteun le lundi

Pour le PCF de Carhaix-Huelgoat « Il faut renationaliser EDF »

Dans un communiqué adressé à la rédaction, la section PCF de Carhaix-Huelgoat s’émeut de l’annonce gouvernementale concernant la vente, par EDF, de 20 térawattheures à ses concurrents. Pour le porte-parole de la section, Pierre-Yves Thomas, il s’agit- là d' »un cadeau aux entreprises privées et d’un affaiblissement de l’entreprise historique. Acheté 316€ le térawattheure, elle devra le revendre 46€ aux fournisseurs alternatifs, dont un tiers va bénéficier à Total, qui a versé des dividendes pendant la crise sanitaire. C’est une perte de 8Mds d’euros. Le PCF propose de rendre caduque les dispositions de l’Arenh inscrites dans la loi NOME votée en 2010, instaurant une concurrence artificielle de l’électricité en obligeant EDF à vendre une partie de l’électricité nucléaire à faible prix à ses propres concurrents, ainsi que la méthode de tarification actuelle qui prend en compte les prix de marché européen de gros et favorise la concurrence au détriment d’EDF ». Pour les communistes « il faut revenir à un tarif qui prenne réellement en compte les coûts de production, de transport et de distribution dans le calcul des tarifs réglementés de vente. Il faut renationaliser EDF et Engie! »

source Télégramme : Teleg-PCFcx-EDF-2022-01-21.jpg

Relance de la ligne Morlaix-Roscoff et le rassemblement de samedi 11h à la gare de Roscoff

Présentées chaque fois comme des solutions d’améliorations, les réformes successives de la SNCF n’ont fait que détruire le maillage de proximité du système ferroviaire. Cela s’est traduit par la réduction de services aux usagers et la suppression de moyens. Au gré de ces transformations, la SNCF est devenue un groupe financier qui brade son patrimoine dans des opérations financières en France comme à l’étranger. La fermeture de la ligne Morlaix Roscoff en 2018 est pour nous l’effet d’abandon d’infrastructures du réseau ferré national. Depuis le 3 juin 2018, la ligne ferroviaire Morlaix-Roscoff est fermé à la circulation des trains. Cette fermeture, intervenue après les intempéries survenue dans la région morlaisienne au mois de juin 2018 n’est pas une fatalité. L’abandon de la ligne n’est pas vraiment dû à la malchance des pluies orageuses et de l’inondation de juin 2018. L’arrêt d’exploitation était déjà programmé pour janvier 2019. L’absence d’entretien a conduit à une limitation de vitesse associée avec des horaires aberrants rendant la ligne peu attractive puis à la programmation de son abandon. En effet, pour le parti communiste, cette ligne est importante pour la vie des citoyens entre Morlaix et Roscoff au quotidien mais aussi pour le tourisme et la vie économique du territoire.

Sans parler du contre-sens écologique constitué par la fermeture de cette ligne, en effet, si des car TER ont été mis en place depuis la gare de Morlaix jusqu’à la gare de Roscoff, nous savons très bien qu’un car pollue plus qu’un train en circulation. La lutte contre le réchauffement climatique doit pourtant être une priorité.

Sans parler du fret ferroviaire qui pourrait-être mis en place avec l’arrivée récente de la nouvelle de la plateforme de la SICA à Saint-Pol de Léon et du transport de fret fait par la Britanny Ferries avec une arrivée au port du Bloscon à Roscoff. Des trains en circulation, c’est donc moins de camions sur nos routes mais aussi moins de voitures en circulation entre Morlaix et Roscoff.

Il est donc primordial que l’Etat, la région et la SNCF travaillent ensemble pour rouvrir cette ligne vitale pour le territoire de la région de Morlaix. Nous demandons une table ronde réunissant les différents acteurs concernés par la ligne Morlaix Roscoff et un complément d’étude socio-économique intégrant le fret afin que le port de Roscoff puisse bénéficier de l’inscription du port de Brest Roscoff dans le RTE-T (Réseau trans-européen de transport).

Le PCF est engagé dans un travail avec ses élu.e.s, notamment régionaux, pour recenser les besoins en terme de défense et de relance du transport ferroviaire de proximité en Bretagne, avec les syndicats de cheminots, les collectifs d’usagers.

Nous appelons donc la population et nos adhérents et sympathisants à se joindre au rassemblement qui aura lieu ce samedi 22 janvier à partir de 11h à la gare de Roscoff pour que la ligne Morlaix-Roscoff vive. Notre conseillère régionale communiste finistérienne Gladys Grelaud s’exprimera à l’occasion de ce rassemblement qui verra aussi la présence de plusieurs élu.e.s communistes du territoire. 

Réunion transports régionales

Cet après-midi se tenait à la fédération du PCF à Brest la deuxième réunion . Réunissant les responsables de la CGT Cheminots de Brest et de Quimper, ainsi que des camarades du PCF travaillant sur la question des transports.

Nous vous rappelons la manifestation à Roscoff samedi 22 janvier à 11h pour la réouverture de la ligne ferroviaire entre Morlaix et Roscoff en d’élus de la Région, des élus communistes du pays de Morlaix, et d’autres représentants du PCF. Nous invitons tous nos camarades et sympathisants à s’y rendre nombreux.

Matthieu GUILLEMOT : Communiqué de la section PCF de Carhaix-Huelgoat.

Communiqué de la section PCF de Carhaix-Huelgoat du 4 avril 2021

La section PCF de Carhaix-Huelgoat tient à apporter son soutien à Matthieu GUILLEMOT dont la convocation en gendarmerie mercredi prochain ressemble bel et bien à un acharnement contre ce militant politique.

La section PCF de Carhaix-Huelgoat dénonce aussi l’objet de la convocation, « témoin dans l’incendie de la maison » de R. FERRAND en 2019, n’est qu’un prétexte d’intimidation et dénonce un harcèlement politique et policier.

A l’époque l’enquête n’avait rien donné, aujourd’hui il est plus que bizarre que cette histoire soit prise comme motif.

Le représentant de l’État n’a semble-t-il, pas apprécié l’aubade qui lui a été réservée vendredi après-midi lors de sa réception à la Mairie.

La section PCF de Carhaix-Huelgoat s’interroge sur cet autoritarisme ambiant qui entend museler toutes formes d’expression qui irait à l’encontre du discours Macroniste.

La section PCF de Carhaix-Huelgoat constate qu’il y a plus de clémence concernant la décision de non-lieu concernant Richard Ferrand et l’affaire des Mutuelles de Bretagne et la résurgence d’une affaire que tout le monde pensait oubliée deux ans après.

La section PCF de Carhaix-Huelgoat appelle à se joindre au rassemblement devant la gendarmerie de Carhaix mercredi à 14h30.

Le 28 mars marchons pour une vraie loi climat ! Les RDV dans le 29.

Le lundi 29 mars, le gouvernement présentera son projet de loi « climat et résilience », à l’Assemblée nationale, censé reprendre une partie des travaux de la Convention citoyenne pour le climat. Ce texte de loi est bien en deçà des objectifs fixés par l’assemblée citoyenne. En l’état, il ne permettra pas d’atteindre la baisse de 40 % des émissions de gaz à effet de serre.

Les mesures les plus structurantes proposées par la Convention concernant la rénovation globale des bâtiments, la réduction de l’empreinte carbone des grandes entreprises, la régulation du trafic aérien ou de la publicité, l’abandon du CETA et le renforcement du droit environnemental sont repoussées à plus tard ou vidées de leur substance.

Alors que certains pays ont revu à la hausse leurs ambitions de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la France laisse le peloton des nations les plus vertueuses s’échapper en n’étant pas capable d’accélérer, elle aussi, le mouvement !

Au début du mois de février, la justice a condamné l’État pour inaction climatique. Le tribunal de Paris a reconnu la responsabilité de l’État français dans la crise climatique, et jugé illégal le non respect de ses engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre et le juge responsable de préjudice Écologique.
Le PCF tient l’exigence d’une politique volontariste pour lutter contre le réchauffement climatique, d’un changement de braquet, de mesures transformatrices : c’est le système qu’il faut changer, pas le climat !
La Fédération du Finistère du PCF appelle à participer aux marches pour une vraie loi climat à 14 h Place de la Liberté à Brest,10 h 30 de la place des Otages à Morlaix, 11 h, parc du Bel-Air à Quimperlé, 14 h, zone de Lumunoch à Briec.

Les communistes appellent à agir pour une relocalisation de nos productions pour réduire les besoins de transport longue distance des marchandises
Ils se prononcent pour un service public ferroviaire, fret et passager, en réduisant notamment le prix du billet SNCF pour les usagers , la gratuité des transports en commun, un plan de rénovation des bâtiments de 10 milliards d’euros/an ,l’arrêt du projet HERCULE visant à privatiser la production d’énergie, le rejet des accords de libre-échange type CETA et MERCOSUR et l’adoption d’une loi favorisant les circuits-courts ,la création d’un pôle public de l’énergie.

Le 28 mars marchons pour une vraie loi climat:

14 h Place de la Liberté à Brest
10 h 30 de la place des Otages à Morlaix,
11 h, parc du Bel-Air à Quimperlé,
14 h, zone de Lumunoch à Briec.

Fabien Roussel et les communistes avec les Renault de la SBFM à la Fonderie de Bretagne à Caudan.

 

Avec les Renault à la fonderie de Bretagne. En 2013, la direction leur a demandé de travailler plus pour sauver les emplois. Ils ont perdu des jours de RTT, des temps de pause et aujourd’hui, les actionnaires décident… de les vendre !! En vrai, Renault délocalise à l’étranger. C’est une trahison. Tous unis avez les Renault pour re localiser nos productions !

Fabien Roussel

 

A l’occasion de la mobilisation des salarié-es de la Fonderie de Bretagne, Fabien Roussel est venu soutenir la lutte.

Conditions de travail, pauses supprimées, RTT retirées… tout ça pour abreuver les actionnaires. C’est la lutte des classes qui est en marche et nous aussi nous la mènerons!

C’est un véritable chantage à l’emploi qu’opère Renault qui a décidé de délocaliser une partie de la production de la Fonte en Turquie, en Slovénie, en Espagne…

Nous devons nous unir pour ne plus y céder et pour maintenir nos savoirs faire, nos compétences, nos emplois et pour garantir un avenir à notre jeunesse.

(…)

Une nouvelle page est en train de s’écrire pour l’usine et pour votre avenir. Les actionnaires en ont écrit les premières lignes. C’est à vous maintenant de reprendre le stylo en main et d’écrire la suite : continuiez à produire ici!

Il faut reprendre la main sur l’outil industriel. Il ne leur appartient pas. Il vous appartient! Et il doit rester ici.

(…)

Renault et l’État actionnaire sont complices de ce qui est en train de se faire ici. Ils ont décidé de délocaliser à tout va. En plus de la Dacia Spring fabriquée en Chine, il y a aujourd’hui 240 000 véhicules Renault et 141 000 véhicules Dacia produits en Roumanie, Slovénie, Turquie, Espagne, puis réimportés en France. C’est une aberration économique, industrielle et écologique. Nous devons nous battre pour relocaliser, réimporter la production de véhicules en France et passer à 1million de véhicules produit en France!

(…)

Vous produisez des richesses. Ce qui est versé aux actionnaires ne tombe pas du ciel, c’est le fruit de votre travail, de votre sueur. Et c’est à vous que ces richesses doivent revenir.

Produire en France, ça veut dire produire à la hauteur de nos besoins! L’industrie c’est la vie et un pays sans industrie est un pays sans avenir. Produire en France c’est bon pour l’État, c’est bon pour le climat et c’est bon pour l’État.

(…)

Quand je dis que l’industrie c’est bon pour l’État, c’est parce qu’une entreprise qui fonctionne apporte des recettes, elle paye des impôts, elle rapporte des recettes à la région, au département, aux communes. C’est donc de l’argent utile pour nos hôpitaux, nos écoles, nos services publics…

Nous pouvons porter ce combat. Nous pouvons mener une lutte qui est belle, noble et juste. Nous la porterons à l’Assemblée nationale, et nous placerons cette usine sous la protection de la République!

Le 16 mars, les jeunes finistérien.ne.s s mobilisé.e.s pour leur avenir ! – par Enzo de Gregorio

Le 16 mars, les jeunes finistérien.ne.s s mobilisé.e.s pour leur avenir !

Un an après le début de la pandémie, il n’est plus à démonter que la jeunesse est la première impactée.

Si les sondages confirment les dires des jeunes dans leur diversité, la situation est toujours loin d’être réglée.

Les étudiant.e.s font toujours face à une précarité accrue. Semaines après semaines, les files d’attentes devant les banques alimentaires étudiantes s’allongent.
Leur détresse est de plus en plus grande et les mesures mises en place par le gouvernement sont bien insuffisantes. Les chèques psy, dont la ministre Vidal a longtemps vanté les mérites ne sont pas accessibles pour toutes et tous. Il en est de même pour les repas à 1€, non disponibles dans bon nombre de ville ne comptant pas de Restaurant Universitaire.

Le retour des étudiant.e.s en manque de vie sociale et en manque d’enseignement en présentiel se fait lui aussi au compte-goutte.
Frédérique Vidal fait des annonces, mais sur le terrain, quelle mise en place? Mais trop souvent les mesures ne sont pas réalisables !

Les lycéen.ne.s eux aussi sont fortement impacté.e.s après une année scolaire 2019-2020 perturbée: le gouvernement continue et persiste dans sa réforme du lycée. Réforme qui rend l’application du protocole sanitaire dans les lycées totalement infaisable.
Le comodal mis en place dans la majorité des lycées français fait également prendre énormément de retard aux lycéen.ne.s. Déjà victime d’un ralentissement conséquent de leur enseignement avec le confinement de l’année dernière. Pourtant, le gouvernement ne semble pas vouloir mettre en place des mesures de rattrapages massifs ni un aménagements des programmes scolaires en vue des épreuves terminales du mois de juin, créant un stress conséquent pour les lycéen.ne.s.

Du côté des jeunes travailleur.se.s, la situation n’est pas meilleure. La génération des 18-25 ans est celle qui compte le plus de chômeurs.

Et le site 1 jeune, 1 solution du gouvernement qui est en réalité un copié-collé du site de Pôle Emploi est loin de répondre aux besoins de la jeunesse.
Une jeunesse aujourd’hui dans une précarité sans nom.

A qui, le gouvernement et la majorité LREM vienent de refuser d’octroyer le RSA.

Car « Quand on jeune on veut un emploi par un minimum social », oui Bruno Le Maire, quand on est jeune on veut un emploi. Mais quand il n’y a pas d’emploi, on veut aussi pouvoir vivre dignement ! Et cela passe notamment par les minima sociaux.

Aujourd’hui, la colère gronde. Les jeunes en ont plus qu’assez du mépris gouvernemental, nous voulons des vraies mesures. Alors, le 16 mars prochain nous serons dans les rues de Brest comme partout en France ! Pour que nos revendications soit mises en place, et que la jeunesse sorte renforcée de la crise sanitaire !

Pour information, pour le 16 mars, une inter-orga Alternative UBO, MJCF, Jeunes Insoumis.es potentiellement rejoint par Youth For Climate, les Jeunes Socialistes, Extinction Rébellion, et Jeunes Générations est en cours de travail pour créer l’événement sur Brest.

Enzo de Gregorio, secrétaire départemental de la JC Finistère

La fédération du Finistère du PCF apporte son soutien au monde du spectacle en lutte et à Brest à l’occupation du Quartz.

La fédération du Finistère du PCF apporte son soutien au monde du spectacle en lutte et à Brest à l’occupation du Quartz.

Derrière les revendications du monde du théâtre – prolongation de l’année blanche, mesures d’accompagnement pour tous ceux qui ne peuvent pas travailler, réouverture des lieux avec des dispositions sanitaires, mesures d’accompagnement à la reprise – pourraient s’imaginer une démocratisation amplifiée de l’accès à la culture et un renouveau du spectacle vivant. Loin des miettes annoncées par Jean Castex, les prévisibles embouteillages de spectacles devraient aider à penser une nouvelle étape de la décentralisation culturelle, et la prolongation de l’année blanche pour les intermittents du spectacle, à imaginer des dispositifs novateurs pour les « intermittents de l’emploi » .​​​​​​​

Mais le gouvernement confirme à chaque étape son choix du sacrifice de la culture. Elle n’a jamais été dans les priorités de la Macronie, mais voici désormais un an qu’elle est sous l’étouffoir.
A plusieurs reprises, l’exécutif a été pris en flagrant délit de l’oublier. En réalité, il n’y a pas d’oubli : elle ne fait tout simplement pas partie des choses essentielles à ses yeux. La crise dans laquelle se débat notre pays comme toute l’humanité n’est plus depuis longtemps seulement une crise sanitaire.

Le gouvernement aurait tort de penser que les manifestations qui appellent à rouvrir l’espace de la culture sont des enfantillages de professionnels bohèmes et élitistes et de se méprendre sur la dangerosité du blackout culturel, ils ne se méprennent pas sur la dangerosité du virus. Ce qui est à l’œuvre ne met pas seulement en cause leur existence présente et à venir, mais crée les conditions de la décivilisation.
Qu’on se rassure pourtant, tout n’est pas empêché : les cadors de l’industrie culturelle, ceux qui en font une marchandise standardisée, prennent cette situation comme un tremplin!

Pas question de minimiser la crise sanitaire, mais de revendiquer qu’elle ne se double plus d’une crise sociale et culturelle insurmontable qui serait un désastre pour l’ensemble de la société. Plutôt que l’extinction des feux, le moment que nous vivons appelle à changer de modèle. Il appelle à changer notre rapport à l’acte de création. Levez le rideau !

La fédération du Finistère du PCF apporte son soutien au rassemblement à Quimper le samedi 13 mars à 13h13 pour que vivent nos langues !

La promotion des langues et cultures régionales, ainsi que la mise en avant des activités de créations et des activités sociales porteuses de sens sur tout le territoire, en dehors d’une vision uniforme et standardisée de la culture.

Notre langue bretonne avec le parler gallo font partie de la culture bretonne et sont un patrimoine commun précieux . Ils contribuent à l’identité et à l’attractivité de la Bretagne, parmi d’autres éléments, comme le sport – la lutte bretonne ou gouren -, les jeux gallos ou bretons, la musique, les danses, les chants, la poésie, la littérature. Certains de ces éléments font l’objet d’une appropriation populaire et massive, comme la danse , la musique…

En revanche, l’apprentissage de la langue est beaucoup plus difficile, beaucoup plus long, mais indispensable, car il est la base de toute cette culture. Pour réussir, il faut informer les familles, recruter les enseignants, valoriser la langue au niveau des examens et assurer une continuité, à la fois dans le cursus scolaire et sur le plan géographique

L’État doit être le garant des langues de France et de leur statut, aux côtés des régions qui, mieux que quiconque, peuvent accompagner et mettre en œuvre les dynamiques nécessaires pour relancer une pratique populaire et massive de la langue .

Une convention ambitieuse pour les langues de Bretagne est la seule façon de donner les moyens aux Bretons de développer et de prendre en charge la transmission de la langue bretonne. Elle se doit d’être conclue avant les élections de juin pour cela les blocages dénoncés par Loïg Chesnais-Girard doivent être levés.

Régionales – résultats du vote interne des adhérents bretons et finistériens du PCF – du 4 au 6 mars 2021

En Bretagne: dans les quatre fédérations des Côtes d’Armor, du Finistère, d’Ille et Vilaine, du Morbihan

1670 cotisants à jour

1100 votants (65,86%)

Programme:

960 voix pour (90,9 %)

6 voix contre (0,62%)

89 abstentions (8,4%)

Choix stratégique de rassemblement:

816 voix pour option 1 (74,18%): Proposition de la conférence régionale du 23 février – Travailler à la construction d’une liste commune avec le Parti socialiste menée par Loïg Chesnais-Girard, ouverte à d’autres formations politiques de gauche, du mouvement social. Elle participera au rassemblement au second tour des forces de gauche et écologistes pour battre droite et extrême-droite.

106 voix pour option 2 (9,63%): Travailler à la constitution d’une liste avec la France Insoumise, ouverte à d’autres formations politiques de gauche, au mouvement social

126 voix pour option 3 (11,45%) – Présenter une liste de rassemblement conduite par un-e communiste, ouverte au mouvement social. Elle participera au rassemblement de l’ensemble des forces de gauche et écologistes au second tour pour battre la droite et l’extrême-droite.

36 abstentions (3,27%)

Dans la fédération PCF du Finistère –

Votants: 380 (sur 542 adhérents cotisants à jour de cotisation): 70% de participation

Programme du PCF pour les élections régionales de juin 2021:

Pour: 346 (92,2%)

Contre: 2 (0,5%)

Abstention: 27 (7,2%)

Choix stratégique

Choix 1 – Proposition de la conférence régionale – Travailler à la construction d’une liste commune avec le Parti socialiste menée par Loïg Chesnais-Girard, ouverte à d’autres formations politiques de gauche, du mouvement social., … : 299 voix (79,3%)

Choix 2 – Travailler à la constitution d’une liste avec la France Insoumise, ouverte à d’autres formations politiques de gauche, au mouvement social: 28 voix (7,4%)

Choix 3 – Présenter une liste de rassemblement conduite par un-e communiste, ouverte au mouvement social,…: : 40 voix (10,6%)

Choix 4 – Abstention: 10 voix (2,6%)

Je tiens à remercier tous les adhérents qui ont participé au scrutin, et je crois que nous pouvons nous féliciter collectivement de ce niveau de participation, supérieur à celui de la consultation interne sur les régionales en 2015.

Je tiens également à remercier chaleureusement tous ceux qui dans les sections, au CD, et à l’exécutif départemental ont œuvré pour faciliter cette bonne participation et la collecte des votes des camarades.

Fraternellement,

Ismaël Dupont, secrétaire départemental fédération PCF Finistère

Communiqué du PCF Bretagne:

Les communistes des 4 fédérations bretonnes du PCF ont voté du 4 au 6 mars en vue des élections régionales pour l’approbation d’un programme de propositions pour la Bretagne et les breton.ne.s et du choix stratégique concernant les élections régionales.

1100 votants, cotisants à jour dans les fédérations du PCF en Bretagne, près de 66 % des adhérents donc ont exprimé leur choix, ce qui constitue une bonne participation après une préparation peu évidente au vu des conditions difficiles pour se réunir.

Le programme du PCF a été approuvé par 91 % d’opinions favorables.

Le choix stratégique s’est porté à près de 75 % en faveur d’un rassemblement sur une liste commune avec le PS et d’autres organisations de gauche, menée par Loïg Chesnais-Girard, tandis que 10 % des votants souhaitait se rapprocher de LaFI et que environ 11 % aurait préféré une liste conduite par un.e communiste.

Ce choix décidé démocratiquement par la grande majorité des communistes va permettre au comité régional PCF Bretagne représentant les quatre fédérations du PCF, de mener les discussions et négociations qui vont arriver, avec pour but de participer à l’élaboration d’un programme axé sur des priorités correspondant aux attentes des bretonnes et des bretons, en terme d’emploi, de services publics, d’environnement, de culture, de jeunesse…

Les communistes ont débattu, nourri et validé un projet d’une dizaine de pages comprenant des dispositions ambitieuses: lutte contre les inégalités sociales et territoriales, gratuité des transports en commun pour les jeunes, contrôle des aides publiques aux entreprises, soutien à la transition écologique dans l’agriculture, politique de relocalisation industrielle, création d’un fonds régional et de conférences permanentes pour l’emploi et la formation, créer un droit d’initiative citoyenne, et la possibilité d’organiser des référendums sur des grands projets régionaux.

Pour cela il sera utile que la représentation des élu.e.s issu.e.s du PCF contribue à former une future majorité clairement engagée à gauche au Conseil Régional de Bretagne pour répondre aux attentes des bretonnes et bretons et contrecarrer les visées libérales du gouvernement Macron et de ses soutiens, pour faire barrage aux deux droites LR et LREM et empêcher l’extrême-droite d’étendre ses idées antisociales.

PCF Bretagne, le 7 mars 2021

Conférence régionale du Parti communiste en Bretagne ce samedi 20 février – La délégation finistérienne réunie à Morlaix

 

11 camarades étaient réunis à Morlaix 2, petite rue de Callac ce samedi 20 février – délégués finistériens à la Conférence Régionale du PCF Bretagne-  qui suivaient la viséo-conférence qui nous reliait avec les délégués des trois autres fédérations bretonnes réunies pour l’essentiel des camarades dans les locaux de fédérations à Lanester, Saint-Brieuc, Rennes.

Les 12 délégués du PCF Finistère ont participé avec beaucoup d’intérêt et d’implication à des discussions constructives sur le projet porté par les communistes bretons pour les régionales « En Bretagne, l’Humain et la Planète d’abord! », projet d’une dizaine de pages encore modifiable et susceptible d’être enrichi qui a été approuvé dans ses grandes lignes par 38 voix pour, 2 abstentions, 1 refus de vote, après qu’une vingtaine de camarades ait pu proposer des amendements.

Puis, lors de l’après-midi, nous avons débattu de trois options possibles pour les élections régionales:

Choix 1 – Travailler à la construction d’une liste commune avec le Parti socialiste menée par Loïg Chesnais-Girard, ouverte à d’autres formations politiques de gauche. Elle participera au rassemblement de second tour des forces de gauche et écologistes pour battre la droite et l’extrême-droite.

Choix 2 – Travailler à la construction d’une liste avec la France Insoumise ouverte à d’autres formations politiques de gauche, au mouvement social.

Choix 3 – Présenter une liste de rassemblement conduite par un-e communiste, ouverte au mouvement social. Elle participera au rassemblement de l’ensemble des forces de gauche et écologistes au second tour pour battre la droite et l’extrême-droite.

Ou- Abstention (choix 4)

Le bulletin de vote qui sera proposé à l’ensemble des adhérents communistes des 4 départements de la Bretagne administrative à jour de cotisation a été approuvé par 37 voix pour, 2 voix contre, 2 abstentions.

Et les 41 délégués de la conférence régionale, représentant les fédérations du Morbihan, du Finistère, de l’Ille-et-Vilaine, et des Côtes-d’Armor, ont aussi exprimé un avis majoritaire de la conférence régionale, compte tenu de l’ensemble des discussions, des éléments à disposition, et du contexte politique et de nos objectifs, sur nos choix pour les Régionales en terme d’alliance:

31 voix / 41 pour Choix 1 – Travailler à la construction d’une liste commune avec le Parti socialiste menée par Loïg Chesnais-Girard, ouverte à d’autres formations politiques de gauche. Elle participera au rassemblement de second tour des forces de gauche et écologistes pour battre la droite et l’extrême-droite.

3 voix sur 41 pour Choix 2 – Travailler à la construction d’une liste avec la France Insoumise ouverte à d’autres formations politiques de gauche, au mouvement social.

2 voix sur 41 pour Choix 3 – Présenter une liste de rassemblement conduite par un-e communiste, ouverte au mouvement social. Elle participera au rassemblement de l’ensemble des forces de gauche et écologistes au second tour pour battre la droite et l’extrême-droite.

5 abstentions

Désormais, c’est à l’ensemble des adhérents à jour de cotisation du PCF Bretagne de s’exprimer lors d’un vote sur le programme et la stratégie d’alliance au cours d’une consultation qui aura lieu entre le 4 et le 6 mars 2021.

Départementales dans le Finistère – Les communistes engagé.e.s sur une voie de rassemblement à gauche avec des propositions fortes pour les Finistériennes et Finistériens.

Le Conseil Départemental du PCF Finistère s’est réuni le samedi 6 février dernier à Morlaix.
Nous sommes revenus la situation politique et des mobilisations récentes où les communistes ont pu s’impliquer (contre la loi Sécurité globale, les nouvelles réformes de démantèlement du service public de l’énergie, de la SNCF, de l’éducation, de la santé, les manifs intersyndicales pour l’emploi, les salaires et contre la précarité, pour les droits de l’homme et les droits des migrants et réfugiés, avec les étudiants pour un revenu d’existence et d’autonomie). Nous avons analysé un contexte politique et social global marqué par une crise sanitaire économique, sociale, et démocratique , d’une grande violence.

 

Le Conseil départemental a préparé la conférence régionale des communistes du 20 février sur les élections régionales et adopté des orientations programmatiques portées par les communistes pour les élections départementales des 13 et 20 juin 2021. Ces orientations programmatiques communistes pour les Départementales  ont été adoptées à l’unanimité.
Pour les élections départementales, à une très large majorité (95% des suffrages exprimés), le conseil départemental du PCF Finistère a adopté une volonté de rassemblement à gauche avec le PS, EELV, UDB et d’autres organisations ou mouvements de gauche et régionalistes, sous réserve d’un débouché favorable des discussions en cours actuellement, au travers de la validation d’un accord départemental avec le PS et le groupe majoritaire de gauche sortant, impliquant des candidatures de rassemblement à gauche dans les 27 cantons finistériens, dont plusieurs avec des titulaires communistes dans les binômes.

 

Si nous arrivons à construire des campagnes dynamiques et rassembleuses, et à construire un projet de mandat correspondant aux enjeux sociaux, démocratiques et écologiques du moment, le PCF pourrait ainsi retrouver plusieurs conseillers départementaux dans le Finistère, ce qui n’est pas arrivé depuis plusieurs décennies.
Cette démarche correspond selon nous aux besoins de la période. Nos concitoyens n’ont rien à gagner dans la situation du moment à de nouvelles victoires de la droite. Elle s’appuie sur les attentes majoritaires de rassemblement de l’électorat de gauche, et cela donne les meilleures chances à la possibilité de garder le département du Finistère à gauche, de battre les deux droites (LREM et LR), et l’extrême-droite, et d’avoir une majorité de gauche beaucoup plus diversifiée et représentative de la diversité de la gauche où les communistes pourront jouer un rôle important pour défendre les valeurs humaines, sociales, démocratiques, de défense du service public.

 

Voici les propositions que les communistes mettent en débat avec leurs partenaires de gauche, la population, et qui appuieront l’action et les positionnements de nos élus au Département, si les électeurs font confiance à nos candidats.

 

Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère

 


Orientations des communistes finistériens pour les élections Départementales de juin 2021
Vivre mieux dans un département du Finistère solidaire, écologique et démocratique

 

La pandémie qui nous frappe durement ne vient pas de nulle part. Annoncée par les scientifiques depuis au moins 20 ans sans que les pouvoirs publics français ou européens ne s’en émeuvent, nous pensons qu’elle trouve ses origines, et son amplification dramatique, dans les politiques sociales et économiques néolibérales, capitalistes qui supposent compétition effrénée, expansion des mobilités internationales, accélération des rythmes, saccage de la biodiversité, déforestation, bétonnage à outrance, agricultures et élevages intensifs.

 

Les tentatives pour faire face à cette épidémie procèdent des mêmes désordres. Leur désorganisation, entre improvisation erratique et pénurie généralisée des masques puis des vaccins sont les fruits amers de décennies de destruction des services publics, particulièrement des services hospitaliers et de santé, de nos potentiels industriels et de recherche, de l’asservissement de la société aux impératifs uniques du profit le plus immédiat.

 

Le libéralisme est nu. Ses résultats montrent crûment son incapacité à répondre aux besoins des populations et aux grands défis de nos sociétés.

 

Dans ce contexte inquiétant et face aux risques que courent les salariés,  les populations fragiles , les institutions de proximité, dont le Conseil Départemental fait partie, prennent tout leur sens.

 

Il est de première importance que les Conseils Départementaux soient défendus face aux projets de fusion Région/Département déconnectée de la vie quotidienne et des politiques efficaces de solidarité.
Plus que jamais les Finistériennes et les Finistériens ont besoin que leur Département  soit tourné vers la solidarité, l’égalité des droits, le respect des territoires, une vision audacieuse de la protection de l’environnement.
Pour toutes ces raisons il est impérieux de conserver le département du Finistère à gauche. Une gauche diversifiée, renouvelée où les Communistes, partisans et garants de politiques de progrès social et humain, ont toute leur place.

 

En préambule :

 

– Nous défendons le rôle du département contre les projets de fusion régions/départements : le Conseil départemental permet à notre sens la proximité de l’action publique, le lien des élus de proximité avec l’action sociale et la solidarité, avec les communes, et la solidarité entre les communes et intercommunalités de notre territoire. Les Départements ont été inventés à la Révolution et correspondent à un projet de réorganisation républicaine basé sur un principe d’unicité et d’égalité certes, mais aussi de décentralisation démocratique et de gestion démocratique locale.

 

-Nous voulons des élus communistes au Département et nous voulons garder le département du Finistère à gauche dans le cadre d’une majorité de gauche plurielle et diversifiée parce que le cœur de l’engagement communiste est le combat pour l’égalité des droits, contre la pauvreté et les inégalités, pour des services publics garantissant cette égalité d’accès aux droits. Or, la moitié du budget du Département du Finistère est consacré à la solidarité (520 millions d’€ sur un budget global de 998 millions d’euros en 2021) : Personnes handicapées (157 millions : 30%), Enfance et Famille (106 millions : 20%), Personnes âgées (122 millions : 23%), Insertion (127 millions : 24%). Le Département est aussi à l’initiative sur le logement social, son amélioration qualitative, sa politique d’octroi, les loyers, les programmes de développement du logement social. Collectivité des solidarités humaines et territoriales, le département doit retrouver
des élus communistes pour maintenir ce cap.
. Le département du Finistère compte 3100 agents et 648 assistants familiaux. Les valeurs de défense de l’Humain, du social, et du service public et du droit à l’initiative et au respect de ses agents, doivent donc être représentés dans l’assemblée départementale, et elles seront nous l’espérons représentés par des élus communistes là où, à l’inverse, les droites du très libéral Maël de Calan ou de LREM entendent taper sur les fonctionnaires, les aides sociales, les allocataires du RSA et les présumés fraudeurs, sur les mineurs non accompagnés.

 

– Face à l’austérité, aux transferts des charges de solidarité non compensées sur le moyen terme, à la baisse des dotations de fonctionnement, et un contexte d’évolution des recettes fiscales incertain et mouvant, nous demandons des moyens nouveaux pour les départements : taxation des revenus financiers des entreprises comme recettes nouvelles, exiger de l’État qu’il rembourse ses dettes, lutte contre la fraude fiscale, action pour que les collectivités puisse emprunter auprès de la BCE a taux très faible voir nul, financements garantis et renationalisés de la solidarité (EHPAD, structures d’accueil pour personnes âgées et handicapés, aide à domicile, RSA). La capacité à financer le social et l’accès aux droits ne doit pas dépendre de la richesse relative des départements : elle doit être garantie à tous les Français, dans tous les territoires, ce doit être la préoccupation majeure de notre État.

 

Seule une autre politique fiscale et économique de l’État, une autre politique d’affectation des richesses créées par les travailleurs, une autonomie fiscale retrouvée aussi pour les départements, permettra aux départements de jouer pleinement leur rôle de solidarité et d’atténuation des inégalités. En ces temps de crise sanitaire et économique sans précédent, c’est plus que jamais nécessaire : En 2021, la crise a eu un impact de 10 millions d’euros sur le budget du département du Finistère, et les non-compensations de l’État aux transferts de charge ou aux déplacements de fiscalité peuvent s’évaluer à 140 millions d’euros sur le fonctionnement.

 

Première collectivité en lien avec la précarité, les plus pauvres, les plus fragiles, le Département est la collectivité la plus visée par les politiques néo-libérales et d’austérité du pouvoir à l’heure où les plus riches et les actionnaires du CAC 40 ne cessent de s’enrichir avec la politique du gouvernement Macron, au service du capital.

 

Nos élus départementaux contesteront le cadre budgétaire que l’État leur impose s’il ne permet pas de couvrir les efforts de solidarité nécessaire pour satisfaire les besoins sociaux, ce qui est le cas actuellement, et ne se priveront pas de faire le lien entre des politiques économiques nationales au service de la finance et des profits et les souffrances sociales vécues « en bas », dans nos communes et sur notre territoire, faute d’investissement public suffisant dans les services publics, les EHPAD et les services d’aide à domicile pour les personnes âgées, les structures pour handicapés, l’accueil des mineurs isolés.

 

Le poids des dépenses militaires, et d’un choix de l’armement nucléaire auquel nous nous opposons (6 milliards d’euros par an), interroge sur les priorités quand on voit le niveau de sous-financement des dépenses de solidarité et sociales, et tout particulièrement du secteur de la perte d’autonomie.

 

1/ Face à la crise économique et sociale liée à la pandémie, répondre à l’urgence sociale !

 

– Mise en place d’un comité départemental de suivi des effets économiques et sociaux de la crise. Travail avec les organisations syndicales et associatives et les représentants du monde économique, les représentants des chômeurs, des allocataires du RSA et des jeunes, dans ce cadre, visant à faire des propositions à l’assemblée départementale sur la base d’un observatoire de la vie économique et sociale locale.

 

– Renforcer les moyens du CDAS (comité départemental d’action sociale) et lutter contre une tendance à la technocratisation des métiers du social au détriment de l’humain.

 

– Porter une attention toute particulière à la prévention des violences faites aux femmes et des violences intra-familiales. Mettre des moyens pour accompagner les victimes, matériellement et dans le conseil, l’assistance, pour faire valoir leurs droits et se mettre à l’abri du danger et de la précarité. Défendre avec énergie des politiques au service de la lutte contre les discriminations, pour l’égalité femmes-hommes, la lutte contre l’homophobie.

 

– Bataille pour permettre aux jeunes de moins de 25 ans de pouvoir bénéficier du RSA.

 

– Permettre à tous ceux qui n’ont pas demandé le RSA alors qu’ils y ont droit (environ 40%) d’y accéder en simplifiant les démarches. Mieux faire connaître l’ensemble des aides existantes et simplifier les démarches.

 

 

– Objectif zéro sans abri en partenariat avec les communes et l’État

 

– Développer le logement social et assurer des programmes de rénovation réguliers tout en lui conservant sa pleine accessibilité aux personnes et familles les plus modestes. Ne pas augmenter les loyers lors de travaux de réhabilitation.

 

– Soutenir les activités impactées très fortement par la pandémie, notamment les restaurateurs, commerçants, le monde de la culture, etc.

 

– Maintenir des repas de cantine à des prix les plus accessibles possibles pour les familles des collégiens aux revenus les plus modestes, travailler sur l’aide aux transports scolaires pour ces familles, particulièrement en milieu rural.

 

– Préserver les petits collèges, éléments indispensables à la vitalité de nos communes et outils aussi intéressants pour développer des cadres scolaires propices à la réussite de tous et à un climat familial et fraternel. Donner des moyens suffisants aux collèges qui trop souvent ont des budgets très limites permettant de moins en moins de financer les dépenses pédagogiques, les sorties culturelles, les voyages, les partenariats culturels. L’éducation, l’égalité d’accès à l’ouverture à la culture, aux livres, aux sports et au monde de nos jeunes, doivent être des priorités. Le soutien aux écoles publiques doit être une priorité. Dans le cadre des collèges, il faut développer les actions de prévention, de citoyenneté, et par exemple la lutte contre la précarité menstruelle avec l’accès aux serviettes hygiénique pour les filles.

 

– La culture est un élément essentiel de nos vies, de l’émancipation des femmes et des hommes, d’un lien social plus harmonieux et riche. C’est aussi une des forces reconnues de la Bretagne et du Finistère que nous voulons continuer à soutenir, dans un contexte de pandémie, de fermetures, d’annulations et de confinement, très compliqué pour ses acteurs, mais qui rend d’autant plus indispensable leur existence et leur travail d’éducation populaire et pour créer du sens. Dans le Finistère comme sur le plan national et local, et on sait que cela passe par des financements, nous voulons consolider la place motrice, dans l’embellissement de nos vies, l’intelligence collective, et la création d’une société meilleure, de la culture, de l’art et de la création. Soutenir les acteurs de la culture et de l’art, la démocratisation de l’enseignement de la musique et des pratiques artistiques, de l’accès aux livres et à la lecture. Chercher à compenser

 

les différences de potentiel entre l’urbain et le rural en soutenant tout particulièrement les initiatives culturelles dans les territoires ruraux.

 

Le département du Finistère doit aussi continuer à préserver et encourager l’enseignement du breton, la visibilité du breton dans l’espace public .

 

2/ Agir pour l’emploi :

 

– en lien avec la région, encourager la relocalisation d’activités industrielles dans notre département. Contribuer au développement des industries et activités économiques existantes avec des critères de transparence, de contrôle et de fléchage dans les aides économiques aux entreprises prenant en compte des critères sociaux et écologiques.

 

– mise en place d’une conférence départementale pour l’emploi et la formation avec l’ensemble des forces vives du territoire afin de recenser les besoins de services publics et les besoins en activités marchandes, évaluer les besoins en emploi et en formation qui en résulte, puis agir vers la satisfaction de ces besoins

 

– clause de proximité dans les contrats publics afin de favoriser la production en Finistère

 

– lorsqu’une fermeture d’entreprise est envisagée (ou une restructuration destructrice d’emploi), agir pour que les salariés ait un droit de véto suspensif, permettant aux salariés d’avoir le temps d’élaborer un projet alternatif. Accompagnement du conseil départemental si les salariés font le choix de reprendre leur entreprise en SCOP

 

– soutenir le dispositif « territoire zéro chômeur longue durée »

 

– développer des emplois d’insertion pour les bénéficiaires du RSA, sur le principe du volontariat et de l’accompagnement dans l’acquisition d’expériences, de compétence, et de qualification.

 

– soutenir l’économie sociale et solidaire, les associations qui y travaillent
– le département doit être un employeur « exemplaire » qui agit contre la précarité de ses agents, préserve ses moyens d’intervention publique, cherche à préserver et améliorer les acquis et rémunérations des fonctionnaires, favorise l’échange ouvert et permanent avec les organisations syndicales et reconnaît le professionnalisme de ses agents.

 

3/ Garantir l’accès aux services publics sur tout le territoire :

 

– Agir contre les fermetures de services publics (bureaux de postes, trésorerie, guichets SNCF, petites lignes ferroviaires)

 

Agir avec la région et les intercommunalités pour impulser une dynamique politique en matière de mobilités et de déplacements, en offrant aux usagers un bouquet de solutions adaptées aux différents territoires, tant ruraux que urbains,

 

– par le développement et la remise en service des petites lignes ferroviaires,

 

– par le développement des services de transport collectifs réguliers de voyageurs (urbains, périurbains, scolaires…), permettant un rééquilibrage en faveur des territoires ruraux, et dans une orientation plus écologique favorisant le recours à des moyens de transport décarbonés,

 

– par le développement de services relatifs aux mobilités actives (vélo, marche à pied)

 

– par le développement de services relatifs aux usages partagés de la voiture : covoiturage et autopartage…

 

– par le développement de services de mobilités solidaires, afin d’améliorer l’accès à la mobilité des personnes se trouvant en situation de vulnérabilité économique ou sociale et des personnes en situation de handicap ou dont la mobilité est réduite (service de transports à la demande, etc…)

 

Accompagner les communes dans leurs investissements sur la base de critères et de priorisations décidés démocratiquement, et d’une volonté de prendre en compte les fragilités sociales et économiques des territoires.

 

S’attaquer résolument aux déserts médicaux en zone rurale et dans les quartiers populaires avec la création de centre de santé.

 

Donner des nouveaux moyens humains et matériels aux pompiers

 

Collèges : Batailler avec les personnels d’éducation et les parents d’élèves pour un maximum de 25 élèves par classe. Poursuivre le plan de réhabilitation des collèges.

 

Permettre l’accès au haut débit sur tout le département. Aucune « zone blanche » pour la téléphonie mobile.

 

Accompagner les petits commerces en zone rurale. Développer avec l’aide du département le système de commerce coopératif.

 

4/ Mieux accompagner les personnes et les familles
Augmenter le nombre d’emplois qualifiés dans l’aide à la personne et le secteur de la perte d’autonomie et le statut de ces personnels, bien souvent féminins et précarisés. Cela nécessite la revalorisation de ces métiers en augmentant les salaires, en reconnaissant les qualifications et en améliorant les conditions de travail. Cela suppose de continuer à soutenir des structures souvent déficitaires en raison des règles de financement décidées par l’État et des déficits de solidarité comme l’ADMR, tout en travaillant des projets de construction de nouveaux services publics pour structurer le secteur de l’accompagnement des personnes âgées et de la perte d’autonomie. C’est un enjeu essentiel pour le département du Finistère à la population vieillissante.

 

– EHPAD : Faire un état des lieux précis. Permettre à chaque personne qui le souhaite de pouvoir aller en établissement à un tarif accessible. Présence de Médecin gériatre, Kinésithérapeute, ergothérapeute et infirmière, dans tous les EHPAD. Augmenter le nombre de soignants et personnels en EHPAD et prévoir un plan de formation et recrutement de personnel pour répondre aux besoins. Il est inacceptable que dans beaucoup d’EHPAD, la qualité de l’alimentation laisse à désirer, et que les résidents n’aient droit qu’à 1 douche tous les 2 semaines. Il faut accompagner la création de nouvelles places et une nette amélioration des conditions d’accueil pour les résidents des maisons de retraite tout en veillant aussi au développement des solutions d’hébergement intermédiaires accessibles aux revenus les plus modestes. Selon les souhaits des personnes, accompagner le maintien à domicile dans un secteur avec des personnels qualifiés, sortis de la précarité, et avec des conditions de travail permettant une réelle qualité et humanité de la prise en charge. Favoriser des « solutions intermédiaires » entre domicile et EPHAD : logements adaptés et équipés, maisons de retraites non médicalisées

 

– Handicap : augmenter le nombre de place d’accueil dans les IME, réduire les délais d’attente, être attentif à l’amélioration de la qualité des internats, augmenter les moyens de la MDPH. Simplifier les démarches administratives pour les personnes en situation de handicap et mieux les accompagner pour leur faire connaître les dispositifs auxquels ils ont le droit et leur permettre d’en bénéficier.

 

Rendre accessible aux PMR l’ensemble des bâtiments gérés par le conseil départemental et accompagner les communes pour leurs travaux de mise en accessibilité.

 

Favoriser l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap : accompagnement des personnes et des employeurs pour favoriser le maintien dans l’emploi, campagne de communication auprès des employeurs pour favoriser les embauches. Aller plus loin que ce que prévoit la loi (6 %) en pourcentage de personnes en situation de handicap dans les effectifs du conseil départemental.

 

– Favoriser le handi-sport. Œuvrer pour l’accessibilité des événements culturels.

 

– PMI : accroître les moyens

 

– Petite enfance : Favoriser le développement de crèches publiques. + des propositions à mettre sur les assistantes maternelles

 

– Aide aux mineurs non accompagnés (MNA):

 

– Élargir la capacité d’accueil des mineurs isolés en structure ou en cellule familiale et éviter les mise à l’abri hôtelière sans suivi.

 

– Améliorer les conditions d’accueil des Mineurs non accompagnés en privilégiant des professionnel référent (éducateur et psychologue). Limiter le turn over des professionnels et privilégier les suivis individuels.

 

– Créer dans le département plusieurs petites structures (« maison d’enfant ») pouvant accueillir de 10 à 15 enfants . Avoir l’encadrement humain nécessaire auprès des jeunes accueillis dans ces structures.

 

– Réappropriation par le département du suivi des jeunes au plus tôt dans le processus

 

– Interdiction et suppression des AEM ( outils d’aide à l’évaluation de la minorité), notamment les tests osseux

 

Faire la promotion du processus famille accueillante qui existe déjà et dont on entend trop peu parler

 

Mettre en place une coordination d’accueil des MNA dans les différentes communes du département

 

Avoir un conseiller.e départemental travaillant spécifiquement sur cette question des MNA

 

5/ Un département engagé sur la transition écologique

 

Évaluer l’impact écologique de chaque politique départementale. Protéger nos espaces naturels, nos cours d’eau, nos littoraux, la biodiversité.

 

Renforcer l’alimentation bio et locale dans la restauration scolaire, dans les collèges. Exemple de l’exploitation maraîchère en lycée agricole.

 

Préserver les terres agricoles. Limiter voire renoncer à des aménagements routiers non indispensables et à de nouvelles grandes zones commerciales.

 

Favoriser l’agriculture paysanne et écologique. Accompagner les agriculteurs vers le bio ou vers la réduction de l’utilisation de pesticides.

 

Plan ambitieux de lutte contre la précarité énergétique en réhabilitant des logements publics et sociaux + travaux de rénovation énergétique des bâtiments publics.

 

Favoriser l’utilisation du train, du vélo et le covoiturage.

 

Énergie : Agir pour la maîtrise publique de la production et de la distribution de l’électricité (contre le projet Hercule). Besoin de réflexion sur la méthanisation : pour nous, les terres agricoles doivent avant tout servir à produire de l’alimentation, pas de l’énergie. Soutenir le développement des énergies renouvelables en étant attentif aux critères de maîtrise publique et de profit.

 

Nous devons engager une action résolue sur la question de l’adaptation aux effets du changement climatique, et sur les risques de submersion et d’inondation, l’érosion des littoraux.

 

Nous voulons continuer à valoriser l’extraordinaire diversité et qualité de nos paysages maritimes et terrestres en préservant et faisant découvrir notre biodiversité.

 

Nous voulons travailler avec les collectivités une politique de réduction des déchets et de traitement le plus écologique possible.

 

6/ Agir pour le renouveau démocratique

 

Réunir régulièrement les élus municipaux et les citoyens dans chaque canton pour être au plus près des besoins des communes, faire des bilans de mandat, mettre les priorités et l’action départementale en débat.

 

Consulter régulièrement les organisations syndicales et associatives et prendre en compte leurs propositions.

 

Création d’un conseil des habitants dans chaque canton qui pourrait proposer des projets lors des séances du conseil départemental.

 

Mise en place d’un observatoire des engagements.

 

Brest 11 Février : Le PCF mobilisé auprès des cheminot.e.s. et des AESH

Mobilisé·es par tous les temps, le PCF était présent en soutien à l’action des cheminot·es contre la suppression d’agents d’accueil fixes dans les gares du 29, ainsi qu’au rassemblement des AESH qui dénoncent la dégradation continue de leurs conditions de travail.

 

 ARTICLES LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/suppressions-de-postes-envisagees-a-la-sncf-la-presentation-du-projet-decalee-apres-une-reunion-a-brest-11-02-2021-12703193.php

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/la-neige-deroute-les-aesh-brestois-qui-etaient-partis-manifester-a-quimper-11-02-2021-12703329.php

 

Fermetures de classes dans les écoles du pays de Morlaix – Communiqué PCF et du Mouvement des jeunes communistes du Pays de Morlaix.

 

L’école, comme les autres services publics, est un pilier essentiel du bon fonctionnement de la République et de la démocratie, alors même que nous traversons une terrible crise sanitaire, qui met à mal les conditions d’apprentissage des enfants et adolescents.

Beaucoup de promesses ont été faites dont, par exemple, le fait de ne pas toucher aux écoles rurales.

La réalité est toute autre : force est de constater que la carte scolaire prévue pour la rentrée 2021 dans le Finistère ne répond pas aux besoins, et notamment aux besoins spécifiques liés aux conditions sanitaires.

Il est indispensable que chaque enfant puisse avoir accès, partout sur le territoire, à une éducation de qualité.

Le Pays de Morlaix, marqué par une situation sociale et économique particulièrement difficile, est très sévèrement touché avec la fermeture prévue de 11 classes !

Les sections PCF du Pays de Morlaix, la section Morlaisienne Du MJCF (Mouvement des jeunes Communistes de France) tiennent à faire part de leur interrogation et opposition aux fermetures prévues.

Cette décision prise loin du terrain vécu chaque jour par les équipes enseignantes et les élèves, ne répond pas à une question de qualité d’apprentissage des élèves mais, à une question de simple logique comptable.

Les écoles touchées par ces mesures, vont se retrouver avec des situations difficiles, inacceptables encore plus dans la situation de crise sanitaire que nous connaissons.

Le PCF et le MJCF se félicite du rejet de ce projet de carte scolaire lors du Comité Technique Paritaire du mardi 9 Février.

Nous exigeons le gel de toutes les fermetures sur le Pays de Morlaix, comme en France d’ailleurs, pour permettre à l’école d’assumer sa mission au plus près des jeunes.

PCF et MJCF du Pays de Morlaix.

10/02/2021

Article LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/morlaix/les-communistes-du-pays-de-morlaix-remontes-contre-les-fermetures-de-classes-envisagees-sur-le-territoire-10-02-2021-12702589.php

 

 

11 Février : Le PCF soutient l’action des cheminot.e.s du secteur de Brest-Landerneau.

Communiqué de la cellule PCF de Landerneau : 

La ligne ferroviaire de Landerneau-Brest est l’une des plus empruntées de Bretagne : des centaines de voyageurs chaque jour, des landernéens et leurs trajets domicile travail, les plus jeunes pour les loisirs et l’école ou encore pour les plus âgés. Un nœud ferroviaire essentiel est une clef pour tendre vers la réduction de l’utilisation de la voiture pour les landernéens, pour le climat mais aussi pour leur porte-monnaie.

L’accueil des voyageurs en gare, se repérer dans les prix des billets, aider les personnes à mobilité réduite à prendre le train en toute sécurité ne peut se faire sans personnel à quai fixe et dans notre gare de landerneau.
Aujourd’hui, la direction de la SNCF veut imposer des « équipes mobiles » à la place des « équipes fixes » ce qui se solderait par la disparition des guichets en gare et la suppression de 4 postes à Landerneau.

Les trains et les agents qui les rendent accessibles sont essentiels et une gare landernéenne déshumanisée est inacceptable. Le PCF Landerneau apporte son soutien à l’action des cheminots de jeudi 11 février à Brest, également touché.

Pour soutenir la gare de landerneau, RDV jeudi 11 février 10h en gare de Brest »

Cellule PCF de Landerneau.

 

Communiqué de la section PCF du Pays de Brest : 

La section du Pays de Brest du PCF apporte son soutien aux actions des cheminots du secteur Brest Landerneau  qui se dérouleront  ce jeudi 11 février alors qu’une réunion de dialogue social aura lieu ce jour. La section du PCF sera présente devant la gare de Brest à 10 h.

La direction de la SNCF impose le remplacement des équipes fixes par les équipes mobiles, et remplace des postes de guichets dans les grandes gares et les réserves correspondantes par des « agents territoriaux (ex équipes mobiles)». Elle ne couvre pas plus les besoins de vente ou d’escale dans les petites gares.

La section du PCF demande le respect de la convention TER avec le conseil régional qui rend complémentaires les équipes fixes et équipes mobiles.
Ainsi des suppressions d’emplois, au nombre de trois, sont  annoncées à Brest et Quimper et la suppression de l’agent d’accueil et de prise en charge des personnes à mobilité réduite en gare de Brest.

Ces suppressions sont inacceptables ainsi sur la  la ligne Quimper-Brest ,toutes les études prouvent que c’est l’incompatibilité de l’offre et l’absence de contrôleurs qui obèrent le développement de la demande.

Section PCF du Pays de Brest,

09/02/2021

Article LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/landerneau/suppressions-de-postes-attendues-dans-les-gares-finisteriennes-09-02-2021-12701749.php

 

CGT Brest – Landerneau :

https://www.facebook.com/CGT-Cheminots-Brest-et-Landerneau-1671560316267536/

 

Déclaration de la section PCF du pays de Quimper sur le projet de carte scolaire.

La pandémie et sa gestion incohérente par le gouvernement et le ministre de l’Éducation nationale ont fragilisé nos écoles et leurs élèves.

Malgré l’investissement, qu’il faut saluer, des enseignants et autres personnels, des parents, des collectivités et de leurs agents, les effets négatifs se feront sentir durablement.

Pour beaucoup d’élèves, le lien scolaire s’est distendu, et les inégalités sociales ont fortement pesé sur le vécu des familles et les apprentissages des enfants.

L’urgence aujourd’hui est de prendre soin de ces enfants, de faciliter et sécuriser leur scolarité, de lutter contre les inégalités, de garantir le droit à l’éducation pour toutes et tous dans la sérénité.

La nouvelle majorité municipale de Quimper en a fait une priorité dès le début de son mandat : augmentation de la présence des Atsem en maternelle, aide aux devoirs, et maintenant engagement dans le réseau des « villes amies des enfants » qui porte aussi une forte ambition éducative.

Nous nous en félicitons.

Mais le ministre de l’Éducation Nationale avec ses services, au lieu d’accompagner cette ambition d’égalité et de qualité pour l’école, la sacrifie une nouvelle fois à des mesures strictement comptables.

C’est inacceptable.

Dans un tel contexte de crise sanitaire et aussi scolaire, aucune fermeture de classe n’est légitime.

Or le projet de carte scolaire pour le Finistère, si l’on met à part les dédoublements de CP-CE1, c’est 54 fermetures de classe pour 12 ouvertures !

Dans les écoles touchées par les suppressions, les moyennes par classe vont augmenter, rendant plus difficile le suivi individualisé de chaque enfant et compliquant encore la mise en œuvre des mesures de protection sanitaire.

Le cas des 3 écoles quimpéroises concernées par les menaces de suppressions de classes, Jacques Prévert, Émile Zola, Ferdinand Buisson, est tristement révélateur : il s’agit d’écoles accueillant des enfants dans leur diversité sociale, culturelle, linguistique, et aussi des enfants malentendants (Jacques Prévert), des enfants de familles de gens du voyage (Émile Zola)… À noter enfin que Ferdinand Buisson est notre dernière école publique en cœur de ville après la fermeture de Jules Ferry et des Pommiers, l’affaiblir encore est pour le moins incohérent quand est partagé par tous l’objectif de revitaliser notre centre ville !

Nous n’acceptons pas de voir dégrader notre école publique, de voir reculer l’inclusion de tous les enfants dans une école commune.

Notre solidarité va pareillement aux parents et enseignants de Plomelin, Briec, Plonéis, menacés eux aussi de mesures de carte scolaire.

Les communistes du pays de Quimper demandent instamment à la Directrice des services de l’Éducation Nationale du Finistère de retirer ces projets de suppression totalement hors de propos.

Article LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/a-quimper-la-section-pcf-reagit-au-projet-de-carte-scolaire-08-02-2021-12701588.php

Les communistes mobilisé.e.s avec les syndicats pour l’emploi, les salaires, le recul de la précarité- Retour Manifs du 4 février à Brest, Quimper, Carhaix, Quimperlé, Morlaix

Journée de grève et de mobilisation intersyndicale – Ce 4 février, avec la CGT, SUD, FO, la FSU, 500 manifestant.e.s à Brest, 350 à Quimper, 80 à Carhaix, 150 à Morlaix, un peu plus d’une cinquantaine à Quimperlé. Ce n’était pas une très grosse mobilisation sociale pour le Finistère mais les communistes étaient bien présent.e.s dans les manifs.

Nous étions nombreux·ses à nous rassembler à Brest ce 4 Février pour défendre l’emploi et les services publics !

 

Suivent des photos prises à Quimper le 4 février dans une belle manifestation colorée où les camarades du PCF étaient nombreux et nombreuses à être présent.e.s, de la région quimpéroise, du cap Sizun, du pays Bigouden, de Crozon.

Morlaix, environ 150 personnes pour le rassemblement syndical du 4 février.

*Morlaix. Journée d’action interprofessionnelle, prise de parole de Patrick Le Goas **
Il y a bientôt 8 ans, en novembre 2013, l’usine GAD de Lampaul Guimilliau fermait. 900 camarades se retrouvèrent sur le carreau, tout çà pour satisfaire les lois du marché.
En 2014, 400 salariés décident de ne pas accepter ce licenciement à prix cassé, en effet les indemnités perçues sont dérisoires et ne permettent pas de s’en sortir dignement et ils décident d’aller aux Prud’hommes. Après un première déception en première instance, ils décident malgré tout de continuer le combat ; Ce n’est pas pour rien qu’ils se nomment eux-mêmes : LES IRREDUCTIBLES DE CHEZ GAD !
Lundi prochain, le 8 Février 2021 à 14h00 se tiendra l’audience d’appel à Rennes. Nous voulons tous gagner, nous voulons que les juges nous rendent notre dignité face à ce capitalisme destructeur de vie, nous voulons que l’ex CECAB qui s’appelle maintenant Groupe D’Aucy et qui avait racheté GAD, à l’époque, soit condamné, reconnu coupable de licenciement abusif.
7 suicides, un petit pays sinistré, ou l’emploi ne court pas les rues, cela mérite bien une reconnaissance. Nous n’oublions pas nous ne pardonnons pas !
Compte tenu du couvre-feu, nous n’incitons pas à y aller, mais nous, ex-représentants du personnel nous y serons.
Marc Hébert, Patrick Le Goas, Jean-Marc Detivelle, Katell Abgrall, Luis Fereirra

 

 

 

Le PCF 29 appelle à participer massivement à la journée d’action interprofessionnelle du 4 février !

 

Appel de la section PCF du Pays de Brest : 

Le PCF appelle à participer massivement à la journée d’action interprofessionnelle du 4 février 2021 à 11 h Place de la Liberté à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires .

Notre pays est confronté à une situation très grave parce que depuis des années, les gouvernements successifs ont réduit les dépenses publiques utiles, privatisé des pans entiers d’activités stratégiques, affaibli la protection sociale, encouragé la baisse de ce qu’ils nomment « le coût du travail », avec comme conséquence une pression sans cesse plus forte sur nos emplois, nos salaires, notre formation.

Avec la pandémie, le résultat de ces politiques est encore plus catastrophique. L’hôpital public, malgré des personnels totalement mobilisés, est démuni. Le pays est incapable de relever le défi de la recherche et ne dispose pas du potentiel industriel nécessaire pour répondre à ses besoins.

La pauvreté explose avec l’extension du chômage, la jeunesse, étudiante, salariée ou sans emploi, est précarisée et massivement confrontée à la détresse. La culture, les activités sportives et de loisirs sont renvoyées au rang d’activité « non essentielles ».

Quant au traitement des défis climatiques, environnementaux, ils sont renvoyés à un horizon lointain, alors qu’il y a urgence !Les dizaines de milliards du « plan de relance » n’arrêtent pas la crise économique et sociale. Les services publics, les collectivités territoriales sont étranglés.

Dans le même temps, les grandes fortunes et les distributions de dividendes explosent.

Et les salarié⋅e⋅s payent la facture : plans de suppressions d’emplois, de délocalisations, de suppressions d’activité…Plutôt que la course aux profits, le PCF propose de s’attaquer à la domination de la finance et d’orienter les richesses vers l’emploi, la formation, les salaires, pour sécuriser la vie des salarié⋅e⋅s et l’avenir de la jeunesse.

PCF Section du Pays de Brest .

 

Appel de la section PCF du Pays de Morlaix :

Le PCF appelle à participer massivement à la journée d’action interprofessionnelle du 4 février initiée par plusieurs organisations syndicales et à participer à la manifestation programmée ce jeudi 4 février à Morlaix (11 h – Place des Otages)

Notre Pays est confronté à une situation très grave parce que depuis des années, les gouvernements successifs ont réduit les dépenses publiques utiles, privatisé des pans entiers d’activités stratégiques, affaibli la protection sociale, encouragé la baisse de ce qu’ils nomment « le coût du travail », avec comme conséquence une pression sans cesse plus forte sur nos emplois, nos salaires, notre formation.

Avec la pandémie, le résultat de ces politiques est encore plus catastrophique. L’hôpital public, malgré des personnels totalement mobilisés, est démuni. Le pays est incapable de relever le défi de la recherche et ne dispose pas du potentiel industriel nécessaire pour répondre à ses besoins. La pauvreté explose avec l’extension du chômage, la jeunesse, étudiante, salariée ou sans emploi, est précarisée et massivement confrontée à la détresse. La culture, les activités sportives et de loisirs sont renvoyées au rang d’activité « non essentielles ».

Quant au traitement des défis climatiques, environnementaux, ils sont renvoyés à un horizon lointain, alors qu’il y a urgence !

Les dizaines de milliards du « plan de relance » n’arrêtent pas la crise économique et sociale. Les services publics, les collectivités territoriales sont étranglées. Dans le même temps, les grandes fortunes et les distributions de dividendes explosent. Et les salarié⋅e⋅s payent la facture : plans de suppressions d’emplois, de délocalisations, de suppressions d’activités, …

Le gouvernement et le Président de la République veulent faire payer le monde du travail et accélérer leurs politiques de casse sociale : démantèlement des services publics ; reprise de la contre-réforme des retraites et de l’assurance – chômage en renonçant à investir la nécessaire révolution écologique, dans la recherche publique et dans l’Education.

La période appelle à changer radicalement de système économique et à engager une vraie révolution démocratique.

Appel de la section PCF du pays de Quimper :

Jeudi 4 février à 11h place de la Résistance à Quimper, manifestons!

Pour la grande majorité de nos concitoyens, particulièrement pour celles et ceux qui subissaient déjà la précarité et le chômage, cette période de pandémie est vécue dans la souffrance et l’angoisse : inquiétude pour soi et pour ses proches, difficulté d’accès aux vaccins et plus généralement aux soins, perte de revenus, d’emploi, quasi-impossibilité d’accès à la culture, aux activités sportives et de loisirs, liens sociaux, familiaux mis à mal. C’est un drame pour beaucoup de personnes âgées et leurs familles mais une catastrophe aussi pour la jeunesse.

Certes la Covid 19 pèse lourdement sur nos vies, mais si nous sommes confrontés à une situation aussi grave, si la gestion de la crise par nos dirigeants paraît à la fois erratique et totalement décalée par rapport à la réalité, c’est que cette pandémie a malheureusement trouvé un terrain favorable à ses ravages.

Depuis des années, les gouvernements successifs ont réduit les dépenses publiques utiles à la population et au pays, privatisé des pans entiers d’activités stratégiques, affaibli la protection sociale, encouragé la baisse de ce qu’ils nomment « le coût du travail ».

Le résultat de ces politiques est catastrophique.

L’hôpital public, malgré des personnels totalement mobilisés, est démuni, et les décisions de santé publique sont à la merci d’intérêts privés. Le pays est incapable de relever le défi de la recherche, il ne dispose pas du potentiel industriel nécessaire pour répondre à ses besoins. La pauvreté et le chômage explosent, la jeunesse est précarisée et massivement confrontée à la détresse. Nos biens communs sont privatisés. La culture est abandonnée.

Pendant ce temps, entre mars et décembre 2020, en France, les milliardaires ont gagné près de 175 milliards d’euros soit deux fois le budget de l’hôpital public !

Ce qui coûte cher à notre pays c’est le prélèvement du capital sur les richesses créées, ce sont les dividendes versés aux actionnaires.

Le gouvernement et le président persistent dans cette voie sans issue.

Ils veulent faire payer le monde du travail et accélèrent leurs politiques de casse sociale.
Et ils s’engagent dans une course infernale vers toujours plus d’autoritarisme, toujours plus de lois liberticides.

Cette société-là, nous n’en voulons pas !

Ce qu’il faut mettre à l’ordre du jour, c’est un changement radical du système économique pour réorienter l’argent vers l’emploi et les salaires, la formation, la protection sociale, la culture, et aussi, cela va de pair, une vraie révolution démocratique et écologique.

La section du pays de Quimper du PCF et les élus communistes appellent toutes et tous à se joindre à la manifestation intersyndicale du jeudi 4 février à 11h place de la Résistance à Quimper pour porter ces exigences.

Article LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/a-quimper-le-pcf-appelle-a-manifester-jeudi-4-fevrier-pour-l-emploi-et-les-salaires-02-02-2021-12698272.php

 


Appel des communistes du Pays de Quimperlé

Le PCF appelle à participer massivement à la journée d’action interprofessionnelle du 4 février
initiée par plusieurs organisations syndicales…

Notre pays est confronté à une situation très grave parce que depuis des années, les
gouvernements successifs ont réduit les dépenses publiques utiles, privatisé des pans entiers
d’activités stratégiques, affaibli la protection sociale, encouragé la baisse de ce qu’ils nomment
« le coût du travail », avec comme conséquence une pression sans cesse plus forte sur nos
emplois, nos salaires, notre formation.

Avec la pandémie, le résultat de ces politiques est encore plus catastrophique.
L’hôpital public, malgré des personnels totalement mobilisés, est démuni.
Le pays est incapable de relever le défi de la recherche et ne dispose pas du potentiel industriel
nécessaire pour répondre à ses besoins.

La pauvreté explose avec l’extension du chômage.

La jeunesse, étudiante, salariée ou sans emploi, est précarisée et massivement confrontée à la
détresse. La culture, les activités sportives et de loisirs sont renvoyées au rang d’activité « non
essentielles ».

Quant au traitement des défis climatiques, environnementaux, ils sont renvoyés à un horizon
lointain, alors qu’il y a urgence !

Les dizaines de milliards du « plan de relance » n’arrêtent pas la crise économique et sociale.
Les services publics, les collectivités territoriales sont étranglés. Dans le même temps, les
grandes fortunes et les distributions de dividendes explosent. Et les salarié e s payent la ⋅ ⋅
facture : plans de suppressions d’emplois, de délocalisations, de suppressions d’activité
Le gouvernement et le Président de la République veulent faire payer le monde du travail et
accélérer leurs politiques de casse sociale. C’est en cours avec des coupes sombres dans les
services publics, l’accélération du démantèlement de fleurons économiques (EDF avec
Hercule), le tout en préparant l’opinion à la reprise des contre-réforme des retraites et de
l’assurance-chômage. Et cela en renonçant à investir massivement dans la nécessaire
révolution écologique, dans la recherche publique et dans l’Education..

La période appelle à changer radicalement de système économique et à engager une vraie
révolution démocratique »

  stopper les licenciements, favoriser la mise en formation des salariés embaucher
massivement dans les services publics (hôpitaux, Education nationale, recherche,…), comme
dans le privé.
 augmenter les salaires, le SMIC, les minima sociaux, les pensions de retraite et revenir sur
la réforme de l’UNEDIC
 investir massivement dans la transition écologique, les transports collectifs, dans la
modernisation de notre industrie;
 empêcher les délocalisations et rebâtir un outil industriel adapté aux besoins du pays
 stopper la dérive autoritaire du pouvoir en impulsant une révolution démocratique, avec un
pouvoir renforcé au Parlement, des pouvoirs nouveaux pour les salariés dans les entreprises et
un contrôle citoyen de l’utilisation de l’argent public.

Les communistes du Pays de Quimperlé appellent à participer à la manifestation du jeudi 4 février 2021
à 10h30 au Coat Kaer

Quimperlé le 2 février 2021

 

 

Brest 31/01, retour sur la contre « Manif pour Tous »

Face à l’extrême droite, aux fascistes, aux homophobes et autre réac nous étions près de 300 dans les rues de Brest dans une bonne ambiance malgré la pluie.

Beaucoup de monde cette après-midi dans les rues de Brest pour tenir le haut du pavé face aux réacs du collectif « Marchons enfants » rassemblés cours Dajot contre le projet de loi bioéthique.

 

Brest, 30/01 Retour sur la manifestation Sécurité Globale.

À Brest, quelles que soient les conditions météo, notre détermination reste intacte pour défendre nos libertés et exiger l’abandon des textes liberticides et sécuritaires !

 

 

 

 

 

 

 

Les élu.e.s communistes de Quimper soutiennent les salarié.e.s d’EDF en mobilisation à Douarnenez.

Avec le soutien des élu.e.s communistes de Quimper qui étaient présent.e.s en solidarité avec les salarié.e.s et la population de ce territoire pour défendre la présence de l’agence Enedis de Douarnenez, et revendiquer un service public de l’énergie face aux projets Hercule et Clamadieu.

Bernard Jasserand, adjoint communiste de Quimper a pris la parole devant les grévistes.

Macron et son gouvernement veulent aujourd’hui porter le coup de grâce à ce qui reste du grand service public de l’électricité et du gaz créé à la Libération par Marcel Paul, ministre communiste et cégétiste du gouvernement du général de Gaulle, et qui était un modèle d’efficacité au service de la population, de réussite industrielle, de démocratie sociale.

Cela veut dire pour les usagers moins de service rendu, moins de proximité, plus de délais d’attente, moins de sécurité aussi, et une flambée des prix du gaz et de l’électricité qui plonge des millions d’entre eux dans la précarité énergétique.

Ne les laissons pas faire !
L’énergie est un bien commun.

Yvonne Rainero, conseillère municipale déléguée à Quimper et secrétaire de section PCF

Article OF :

https://www.ouest-france.fr/bretagne/douarnenez-29100/douarnenez-salaries-et-syndicats-se-mobilisent-contre-la-privatisation-de-l-energie-7134791

Article LE TELEGRAMME :

https://www.letelegramme.fr/finistere/douarnenez/non-l-energie-n-est-pas-une-marchandise-comme-les-autres-28-01-2021-12695702.php

 

 

30 Janvier : Brest, Quimper , Appel à manifester contre la loi dite de sécurité globale …

 

La loi dite de sécurité globale conduirait à l’impunité pour les policiers coupables de violences C’est une loi d’exception qui prend sa place dans le cadre d’un climat sécuritaire et autoritaire installé par un pouvoir, qui tourne le dos aux principes démocratiques et de défense des libertés publiques.

La mobilisation contre cette loi liberticide qui a été votée à l’assemblée nationale et va désormais passer au sénat a été très importante. Il faut la poursuivre d’autant que trois décrets publiés dans le journal officiel du 4 décembre dernier, par le ministère de l’intérieur, visent à renforcer, sur de nouveaux critères, le fichage des individus et des personnes morales ! Malgré un recours initié par des organisations syndicales, la LDH …, le conseil d’État a pris la décision de ne pas suspendre l’extension du fichage des militants !

De plus, dans le projet de loi « confortant les principes républicains », précédemment nommée «  contre le séparatisme », l’article 18 reprendrait les directives de l’article 24 de la loi « sécurité globale ».

La section du Pays de Brest du PCF invite tous les démocrates à se rassembler et à manifester ce samedi 30 janvier à 15 heures place de la Liberté à Brest.

La section du Pays de Quimper du PCF invite tous les démocrates à se rassembler et à manifester ce samedi 30 janvier 14 h place Saint-Corentin. 

 

Article OF :

https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-projet-de-loi-securite-globale-nouvelle-manifestation-samedi-7134736

 

 

Brest 31 Janvier : Nous ne laisserons pas les réactionnaires tenir le haut du pavé.

Les messages discriminatoires et les discours haineux de La Manif pour Tous, d’Alliance Vita et de Marchons enfants n’ont leur place ni à Brest, ni ailleurs. Le PCF avec les organisations syndicales réunies au sein de Visa 29 et d’autres forces de gauche appelle les Finistérien-ne-s  à affirmer haut et fort leur refus de l’expression de l’intolérance et de la discrimination dans les rues de Brest .

Communiqué de VISA 29 : 

Nous ne laisserons pas les réactionnaires  tenir le haut du pavé.

Dimanche 31 janvier, les franges les plus réactionnaires de la société française s’apprêtent à sortir à nouveau dans les rues de Brest. Leur étendard du moment : la lutte contre la PMA & la GPA . Qu’on ne soit pas dupes des intentions des organisateurs de « Marchons enfants », peu leur importe les enfants, ils sont là pour la défense de leur credo : l’ordre moral et le couple hétéro-patriarcal.

Émanation anti-PMA de la « Manif pour tous », « Marchons enfants » est officiellement composée de dizaines d’associations se présentant comme plus respectables les unes que les autres. En effet, même si la stratégie de « la Manif pour tous » avait déjà été de lisser son image auprès de l’opinion en ne faisant pas apparaître les franges les plus intégristes et radicales, force est de constater que le bilan avait été mitigé : d’un côté elle avait réussi à mobiliser dans la rue (dont des « réacs-modérés ») d’un autre côté elle n’avait pas pu freiner l’expression et les actions violentes des groupes intégristes et d’extrême droite (printemps français, CIVITAS, groupuscule, d’ultra-droite divers…).

Le résultat avait été catastrophique avec des manifestations finissant en émeutes LGBTQIphobes, xénophobes et racistes et une multiplication dramatique des agressions contre les personnes LGBTQI pendant et après les trop longs mois qu’avait duré la promulgation de la loi pour le mariage pour toutes et tous.

« Marchons enfants » tente donc de contrôler son image au maximum, mais quand on y regarde de plus près sa sociologie est évidente. Une grande partie des groupes censés en faire partie sont des coquilles vides. Les organisations animatrices du mouvement sont toujours les mêmes et en particulier Alliance Vita et la Manif pour tous. Sans oublier la présence de militant.es de la plus vieille organisation politique d’extrême-droite (royaliste et nationaliste) encore en activité : l’Action Française.

Ce sont des mobilisations pour le maintien (voire le renforcement) des inégalités de genres et d’orientations sexuelles. Au contraire nous continuerons à nous battre pour l’égalité de toutes et tous et sommes solidaires des associations LGBTQI.

Comme nous l’avions déjà fait le 10 octobre 2020, les organisations syndicales réunies au sein de Visa 29 (Solidaires29, CGT Educ’action 29, CGT Enseignement Privé Bretagne, CGT Chru Brest-Carhaix, FSU 29, CNT29), l’UL CGT Brest, L’alternative UBO, politiques : PCF, UCL, FI, NPA 29, et  associatives : ATTAC, LDH, West-Up Brest, Le planning familiale de Brest, Les Détraqueers, le Collectif des brestoises pour les droits des femmes, Glory All… appellent à affirmer une nouvelle fois, et de façon toujours aussi massive et festive, leur refus de l’expression de l’intolérance et de la discrimination dans les rues de Brest le dimanche 31 janvier 2021.

Rendez-vous est donné à 14h le dimanche 31 janvier sur le parvis de la Fac V.Segalen à Brest.

https://www.facebook.com/events/2187250901408285/

 

 

Brest 26 janvier / Trempé·es mais déterminé·es !

Malgré la pluie, les communistes et les jeunes communistes étaient mobilisé·es ce 26 janvier aux côtés des étudiant·es et enseignant·es de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur ! Une belle manifestation pour réclamer une reprise des cours en présentiel ambitieuse à l’université, un plan de lutte contre la précarité étudiante, ainsi que des mesures concrètes concernant les salaires et les conditions de travail des enseignant·es !

26 Janvier : De la maternelle à l’université, pas de génération sacrifiée !

 

La crise sanitaire démontre combien nous avons besoin de services publics d’éducation nationale, d’enseignement supérieur et de recherche pour affronter les défis de l’avenir. Et pourtant, le gouvernement fait tout pour les affaiblir!

Blanquer, Vidal et le gouvernement sont irresponsables ! Depuis presque un an que nous vivons au rythme de la crise sanitaire, ils auraient eu le temps de prendre des mesures pour garantir l’éducation de toutes et tous dans des conditions sereines. En mars dernier, le PCF proposait déjà un plan d’urgence. Mais Mrs Macron, Blanquer et Vidal ont choisi la politique de l’autruche.

Le gouvernement profite de la crise sanitaire pour en finir avec l’ambition d’une école commune à toutes et tous, et pour généraliser la concurrence. Des établissements proposent un enseignement à mi-temps pour protéger les élèves et les familles. D’autres ne veulent pas renoncer à terminer les programmes et prennent le risque de maintenir des effectifs complets. À l’université, les étudiant-e-s subissent un enseignement dégradé, à distance. Mais les élèves des classes préparatoires ont cours comme si de rien n’était! L’absence de cadre national accroît les inégalités.

Pendant que les personnels tiennent à bout de bras un système éducatif au bord de l’explosion, leurs ministres en profitent pour imposer de nouvelles réformes…

…Avec la loi de programmation de la Recherche qui augmente la précarité, au moment où nous constatons que notre pays a besoin de pouvoir compter sur ses enseignants et enseignantes et ses chercheurs et chercheuses, et donc de leur garantir la stabilité grâce au statut de fonctionnaire !

…Ou M Blanquer qui s’attaque à l’éducation prioritaire : sa réforme renonce à l’ambition d’égalité sur tout le territoire et accroît encore la concurrence entre les établissements. Ne laissons pas faire ces irresponsables. Il est urgent de reprendre la main sur notre éducation, nos métiers, notre avenir !

L’autoritarisme de Blanquer et Vidal conduisent l’éducation nationale et l’université dans le mur. Avec leurs politiques, c’est toute une génération qui va être sacrifiée. Il est urgent d’agir !

La Fédération du Finistère du Parti Communiste Français appelle les jeunes, les personnels de l’éducation nationale et les parents d’élèves à se joindre au rassemblement syndical :

26 janvier – 11h BREST (place de la Liberté) QUIMPER (place de la Résistance)

LE TELEGRAMME : 

https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/a-quimper-le-pcf-se-joint-a-l-appel-a-manifester-pour-l-ecole-ce-mardi-25-01-2021-12693995.php

 

 

 

Soutien du PCF Pays de Quimperlé à une famille d’origine congolaise – Rassemblement lundi 25 janvier à 16h .

AUCUNE FAMILLE A LA RUE , NI AUJORD’HUI NI DEMAIN

Une famille de sept personnes, originaire du Congo composée du père et de ses six enfants, dont deux filles de 19 et 17 ans et quatre garçons de 15, 13, 11 et 10 ans risque de se retrouver à la rue prochainement.

Cette famille a quitté la république démocratique du Congo fuyant la répression politique. On est sans nouvelles de la mère arrêtée à son domicile.

Arrivée en France en 2017, la famille obtient le statut de demandeur d’asile, valable jusqu’au 12 février 2021. Elle est donc en situation parfaitement régulière.

 En janvier 2018, elle intègre le Centre d’accueil de demandeurs d’asile à Quimperlé.

Brutalement en décembre 2020, l’administration lui retire le droit d’asile et lui signifie.tout aussi brutalement qu’elle doit rendre les clés du logement qu’elle occupe.. La famille devra donc quitter son logement et se retrouvera à la rue, sans ressource, sans possibilité de travailler.

Bel exemple d’humanité !

Signalons que la famille a entamé les démarches en Préfecture du Finistère pour renouveler sa carte de séjour. Mais en raison du COVID les services préfectoraux  sont inaccessibles et injoignables.

Il n’est pas impossible que le virus ait bon dos en l’espèce.

L’association Cent pour un toit qui accompagne cette famille appelle à un rassemblement de soutien le lundi 25 janvier à 16h devant le collège Jules Ferry, où est scolarisé un des garçons.

Les Communistes du Pays de Quimperlé s’associent pleinement à cette initiative et appellent toutes et tous à y participer.

PCF Pays de Quimperlé,

Quimperlé le 24 janvier 2021

Brest – 26 Janvier – Le MJCF soutient la mobilisation étudiante.

Ce jeudi, c’est de l’Université Paris Saclay en présence d’étudiants et d’étudiantes
triées sur le volet, le président de la République et la Ministre de l’Enseignement
supérieur et de la Recherche, ont annoncé des mesures concernant la précarité
étudiante, et la reprise des cours en présentiel.

Ces annonces interviennent au lendemain de la mobilisation ayant rassemblé des
milliers d’étudiants et d’étudiantes à travers tout le pays pour faire face à l’inaction du
Gouvernement. Une mobilisation appelée par les organisations étudiantes et de
jeunesse, dont l’Union des étudiants et étudiantes communistes. Face à l’ampleur de
la mobilisation, le Président et la Ministre n’ont pas eu d’autres choix que d’apporter
des réponses.

Sur la précarité étudiante, qui a explosé avec les effets de la crise économique, Macron
a annoncé l’extension des repas Crous à 1€ à l’ensemble des étudiants et étudiantes
et ce deux fois par jour, alors même qu’une grande partie des restaurants universitaires
sont encore aujourd’hui fermés. Initialement, ces repas étaient destinés aux seuls
étudiants boursiers. S’il s’agit là de la mise en place d’une mesure d’urgence, que nous
demandions avant la crise sanitaire, il faut désormais ouvrir les restaurants
universitaires avec un protocole sanitaire strict afin de pouvoir appliquer cette mesure.
Et si cette annonce constitue une avancée, il y a urgence à aller plus loin pour sortir efficacement les étudiants et les étudiantes de la précarité et des logiques de charité.

Le MJCF Finistère revendique la mise en place d’un plan de lutte ambitieux pour en
finir avec la précarité étudiante : un investissement massif dans le CROUS afin de
pouvoir développer et renforcer ses services (cité-U, Resto U..). L’instauration d’un
revenu étudiant, au-dessus du seuil de pauvreté et financé par une nouvelle branche
de la sécurité sociale. C’est là aussi une nécessité pour lutter efficacement contre la
précarité étudiante, sortir des logiques de solidarité familiale et permettre à
chaque étudiant·e de poursuivre ses études.

Sur les universités, le Président a annoncé que ce second semestre ne serait pas celui
d’un retour à la normale. La mise en place des moyens nécessaires afin de permettre
un plan d’ouverture des universités n’étant toujours pas au programme. Cependant pour Macron, les étudiants et les étudiantes qui en feront la demande pourront venir suivre leurs cours en présentiel une fois par semaine. S’il s’agit là d’une avancée sortie du chapeau du Président, nous ne savons ni quand ni comment cette mesure sera mise en place par les universités, les étudiants et les étudiantes restent encore une fois dans le flou.

Le MJCF Finistère demande l’ouverture des universités à l’ensemble des étudiants et
des étudiantes avec un dédoublement des promotions, c’est-à-dire la mise en place
d’une jauge à 50% dans les Universités et d’un protocole sanitaire strict.

À situation exceptionnelle, il faut mettre en place des moyens financiers, humains et
matériels exceptionnels : réquisitions des locaux et des salles vides, recrutement des
personnels éducatifs et leur titularisation. La multiplication des espaces de cours
permettra à la fois d’assurer la sécurité du personnel et des étudiants et des étudiantes
mais également rattraper en partie le retard. Un plan de rattrapage du retard accumulé
doit également être mis en place.

Ces annonces sont des premières victoires et prouvent l’intérêt et l’importance de se
mobiliser !

Le 26 janvier amplifions la mobilisation pour la qualité de nos formations,
un retour en présentiel ambitieux, et un réel plan de lutte contre la précarité étudiante !
Nous appelons donc l’ensemble des étudiant.e.s du Finistère à rejoindre la
mobilisation organisée par l’Alternative UBO et la Fédé B à 10h sur la Parvis de la Fac
Segalen.

 EVENEMENT FB : https://www.facebook.com/events/237377731220828

 

Lorient – Reprise des cours en fac en présentiel: soutien à la prof de l’UBS Florence Gourlay !

Comme tu l’as lu, ou vu, Florence Gourlay, professeure d’histoire-géographie à l’UBS de Lorient, a voulu reprendre les cours « en présentiel » avec ses élèves, afin de répondre à la demande de plus en plus pressante des étudiant.e.s qui sont en détresse, sans cours, constamment derrière leur écran, coupés de toute relation sociale, amicale, …. Le cours qu’elle a tenu s’est déroulé dans le strict respect des normes sanitaires et cette initiative a été fortement médiatisée (presse locale, Europe 1, FR 3, Médiapart, Le Monde…)

Pour avoir voulu braver l’interdit (interdit qui n’existe pas dans les classes de prépa où les élèves peuvent se retrouver à plus de 35 dans des locaux inadaptés, ou encore les lycées de l’enseignement catholique qui accueillent l’entièreté des classes dans leurs établissements, ne suivant pas les recommandations de travailler par demi-groupe..),  

Florence est convoquée à la direction de l’université lundi 25 janvier à 8h30, 27 rue Armand Guillemot à Lorient. Un comité de soutien se réunira devant cette même présidence à 8h15.

Soutenons-la nombreux!!!

Philippe Jumeau, secrétaire départemental du PCF Morbihan, adjoint aux Affaires sociales à Lanester, animateur du comité régional Bretagne

Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère, adjoint à Morlaix

Veuillez trouver ci-joint le communiqué de la FSU Bretagne et du SNESup de l’Université de Bretagne Sud – UBS concernant la convocation par la Présidence de l’UBS de notre collègue Florence Gourlay.

La FSU Bretagne et le SNESup de l’Université de Bretagne Sud – UBS appellent au rassemblement de soutien organisé lundi à 8h30 à Lorient devant les locaux de la Présidence de L’UBS

François Merciol SNESup UBS
Jean-Marc Cléry FSU Bretagne

A Mesdames, Messieurs les journalistes COMMUNIQUE DE PRESSE FSU BretagneUniversités: aujourd’hui plus que jamais notre présence auprès des étudiant·es est essentielle –soutien à notre collègue Florence Gourlay Alors qu’aujourd’hui la détresse des étudiant·es est largement médiatisée et que le gouvernementannonce le retour partiel à des cours «en présentiel», une collègue Maîtresse de Conférence (MCF) engéographie à l’Université de Bretagne Sud à Lorient est convoquée ce lundi par la direction del’Université pour avoir repris ses cours « en présentiel » avec ses étudiant·es la semaine dernière. Florence Gourlay a agi par devoir en répondant à la demande de plus en plus pressante des étudiant.e.squi subissent depuis des semaines de cours «en distanciel» et sont en détresse, isolé·es derrière leursécrans, coupé·es de toute relation sociale. Elle a agi en pleine responsabilité en assurant ses cours dansle strict respect des normes sanitaires de sécurité. Le SNESup-FSU de l’UBS et la FSU régionale apportent sans réserve leur soutien à notrecollègue qui a agi en conformité avec l’appel de l’intersyndicale nationale du Supérieur du14janvier qui demande un retour sur site pour l’ensemble des étudiant·es. Au moment où le gouvernement s’émeut enfin de la situation gravissime des étudiant·es en consentantun retour partiel «en présentiel», il serait inacceptable que Florence Gourlay fasse l’objet d’unesanction! Nous exigeons l’abandon de toute poursuite contre notre collègue et nous invitons la communautéuniversitaire à se mobiliser pour obtenir du Ministère un vrai retour des étudiant·es dans des conditionssanitaires sécurisées et avec les moyens humains, financiers et matériels nécessaires!Le SNESup-FSU de UBS et la FSU Bretagne appellent à rejoindre le comité de soutien àFlorence Gourlay qui se réunira devant la présidence de l’UBS à Lorient à 8h15