PCF Finistère

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Cindérella Bernard sur BRETAGNE 5

Cindérella Bernard sur BRETAGNE 5: interview de la candidate communiste aux Européennes des Côtes d’Armor le 25 février 2019.

Très belle et forte interview de 23 minutes par Stéphane Hamon sur Bretagne 5 de Cindérella Bernard avant l’ouverture de la campagne des Européennes dans les Côtes d’Armor ce lundi 25 février au soir à Bégard à la salle de la MJC !

Une super candidate pour le PCF sur la liste de IAN BROSSAT.

Elle trouve des bons arguments contre les récupérations des MACRON et LE PEN et rappelle les atouts de notre liste, de notre parti, le premier parti de France en nombre d’adhérents et en présence militante de terrain. Elle situe le débat sur le terrain de la rupture avec les traités néo-libéraux qui régissent l’union européenne et les politiques des pays européens et connecte cet enjeu avec la prise en compte des urgences du quotidien ressenties par tous: augmentation du pouvoir d’achat, partage des richesses, prise en compte du handicap, renforcement des moyens pour les hôpitaux, les EHPAD, la santé, l’agriculture avec la détresse des agriculteurs.

Cindérella BERNARD était aux côtés de Ian Brossat et Glenn Le Saôut pour le meeting de lancement de campagne des Européennes dans le Finistère au Relecq-Kerhuon le vendredi 1er février (près de 200 personnes présentes). Elle sera présente à nouveau le samedi 9 mars au Relecq-Kerhuon  pour un débat public concernant les droits des femmes et le banquet républicain de la section du Relecq-Kerhuon à la salle Germain Bournot à 17h.

Elle sera aussi présente à Morlaix pour l’intervention politique de la fête du 1er mai du Parti Communiste, place Allende.

Écoute de l’interview en mp3 :

 

Quimper : Référendum local du 3 mars sur les Halles : pourquoi nous voterons non

Déclaration de la section du pays de Quimper du PCF

Référendum local du 3 mars sur les Halles : pourquoi nous voterons non

Face à la perplexité des Quimpérois devant les incertitudes qui entourent le référendum du 3 mars, Ludovic Jolivet et sa majorité municipale, une partie de celle-ci se tenant d’ailleurs prudemment à l’écart, font appel aux Quimpérois par affiches pour donner leur « idée Halles ».

Sauf que la question posée ne le permet pas, le maire ayant par avance tranché entre les options possibles et n’en soumettant qu’une au référendum, la sienne, une démolition-reconstruction qui ne porte d’ailleurs pas son nom puisque le mot « démolition » est soigneusement évité.

Ce choix pose déjà question.

Par son coût financier, + 44 % au m2, et encore en se basant sur les chiffres du maire, par rapport à une restructuration des Halles actuelles, dont 23 architectes, dans une tribune publiée mardi matin affirment la qualité architecturale et technique, avec sa nef évoquant une coque renversée, et le potentiel de régénération.

Par son coût humain avec les risques que feront peser des travaux très lourds et longs sur les petits commerces des Halles et du quartier, l’emploi de leurs salariés, d’autant que rien n’est proposé concrètement pour en assurer la continuité.

Ludovic Jolivet insiste beaucoup sur la revalorisation du patrimoine, mais ce qu’il veut détruire fait partie justement du patrimoine de la ville et contribue à son image, et on ne sait pas ce qu’il entend y substituer.

Quant aux exemples qu’il donne de sa « stratégie patrimoniale », ce n’est pas rassurant, car il énumère les cessions au privé de bâtiments publics de qualité qui vont servir à développer l’immobilier très haut de gamme, éloignant encore plus du centre ville les habitants aux revenus modestes ou moyens, les familles, les jeunes.

Sans parler des fermetures d’écoles et de services publics, de celle du Quartier, musée d’art contemporain, de l’étranglement du Dupleix, cinéma d’art et d’essai de Quimper.

Et de la disparition, dans le projet de nouvelles Halles, des salles de réunion et d’exposition du 1er étage, équipement très utilisé de vie associative et culturelle, de rencontre, d’échange, de citoyenneté.

Ludovic Jolivet veut faire du centre de Quimper un ghetto de riches truffé de caméras et un centre commercial sans âme proposant des produits standardisés, avec les mêmes enseignes qu’on retrouve partout en France.

Et rien ne nous garantit que les Halles elles-mêmes, une fois payé par les citoyens le coût de leur destruction-reconstruction, ne vont pas passer sous la gestion d’un grand groupe privé.

Le maire n’a toujours pas donné de réponse à cette question d’autant plus pertinente qu’il évoque « des modalités de gestion qui doivent évoluer ».

Nous voulons au contraire des Halles qui soient un lieu de vie, d’animation, de découverte, de partage, en lien avec notre territoire, ouvertes aussi à d’autres univers, avec des petits commerces de proximité, des producteurs locaux, accessibles à tous les habitants, où se rencontrent jeunes et anciens, attractives pour toute la région quimpéroise comme pour les visiteurs.

Cela répond aux attentes de nouvelles formes de consommation avec des produits de qualité, des circuits courts, au besoin aussi de convivialité, d’échange, de lien social.

C’est pourquoi nous dirons non le dimanche 3 mars au projet du maire de Quimper.

Brexit: les enjeux avec Patrick Le Hyaric, député européen PCF, à Roscoff au Restaurant – Bar à Vin C’est ici sur le port du Bloscon le samedi 2 mars à 15h

Brexit: les enjeux avec Patrick Le Hyaric, député européen PCF, à Roscoff au Restaurant – Bar à Vin C’est ici sur le port du Bloscon le samedi 2 mars à 15h (Ouest-France, Mercedi 27 février 2019)

Trois questions à Patrick Le Hyaric, député européen, Parti communiste français (PCF), directeur de l’Humanité et n°3 sur la liste européenne communiste. – Recueilli par Maëlle Denis

 

Vous allez parler des conséquences du Brexit pour les ports bretons, quelles sont-elles?

Il y a des conséquences à la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne sur l’ensemble de nos côtes. En matière de pêche, il existait une sorte de mer ouverte, sans frontière. On va revenir à des zones de pêche. Il n’est pas du tout exclu que revienne l’interdiction d’aller pêcher dans certaines zones. Et inversement. ça va à l’encontre de la coopération maritime. Il y a là un enjeu sérieux qui peut avoir des répercussions sur toute la façade atlantique, et sur celle de la Manche, jusqu’à la Belgique.

Où en est l’Europe aujourd’hui, selon vous?

On se trouve dans une situation inédite. D’abord, la crise de l’idée européenne parce que la construction de l’UE, sous l’égide de la loi des marchands et de l’argent, a abouti à beaucoup de déceptions. Aucun souhait n’a été exaucé. On n’a jamais eu autant d’inégalités et aucun effort n’a été fait en matière d’harmonisation sociale, notamment salariale. Aucun effort non plus en matière de protection sociale, on constate même le démantèlement du système de protection sociale de retraite.

Quels sont les enjeux de ces européennes 2019?

Il y a plusieurs gros enjeux qui concernent la vie quotidienne en matière de rémunération du travail, en matière de service public, de répartition de l’argent et en matière d’environnement. A ceci s’ajoutent de gros défis. Celui du climat, on ne peut l’affronter qu’ensemble. Celui du numérique, aujourd’hui une industrie dominée par l’Amérique du Nord, par des gens qui payent très peu de fiscalité sur le sol européen. L’évasion fiscale, enfin, qui coûte près de 1000 milliards d’euros qui seraient une source de financement considérable pour le budget européen.

On est en train d’entrer dans une nouvelle réforme de la PAC (politique agricole commune), on sait en Bretagne la manière dont sont traités nos petits et moyens paysans qui sont confrontés à une concurrence acharnée. Il faut aborder une autre politique agricole européenne.

Ne pas aller voter aujourd’hui, c’est donner carte blanche au Conseil européen qui est à majorité de droite, allié à l’extrême-droite. Donc, il faut que les électeurs se mêlent de cette affaire pour refonder profondément l’Union européenne.

Samedi 2 mars, au pot de plaisance de Bloscon, à 15h, au bar-restaurant « C’est ici ». Glenn Le Saoût, candidat finistérien du PCF aux élections européennes, sera également présent.

http://patrick-le-hyaric.fr/

 

 

Morlaix, 5 Mars : Retour de Palestine dans le cadre des Mardis de l’éducation Populaire.

Mardi de l’éducation Populaire

Retour de Palestine avec François Rippe, Yann Crenn, Thierry Seigland (AFPS Morlaix)

Mardi 5 mars/18h/ au local du PCF Morlaix

Mardi de l’éducation Populaire. Retour de Palestine, la situation des Palestiniens et des camps de réfugiés en Cisjordanie occupée, par François Rippe, Thierry Seigland, Yann Crenn, trois camarades de l’AFPS de retour d’une mission de solidarité à Jalazone ce camp de réfugié près de Ramallah oul’AFPS Morlaix  aide une association qui fait face au handicap.

Ligne Morlaix-Roscoff: le PCF appelle à participer au rassemblement du 2 mars à 11h à Roscoff, à l’appel de l’APMR

Ligne Morlaix-Roscoff. Rassemblement le 2 mars, à Roscoff (Le Telegramme)

L’association de Promotion de la ligne ferroviaire Morlaix – Saint-Pol-de-Léon – Roscoff (APMR) invite, via un communiqué, à un rassemblement le samedi 2 mars, à 11 h, devant la gare SNCF de Roscoff.

« En cette période d’incertitude sur le devenir de cette ligne ferroviaire. Y sont invités, pour la défense du service public l’attractivité et l’avenir du territoire, la population, les forces vives, les élu(e) s de toutes tendances politiques, les associations et les syndicats. Ce rassemblement fédérateur s’appuie sur l’intérêt local, national et international (Roscoff porte d’entrée européenne) de cette ligne ferroviaire. Il fait suite à l’étude de faisabilité qui a démontré un fort potentiel et dans l’attente de la réponse de SNCF Réseau et de l’État sur la nature et le chiffrage exact des travaux à réaliser ainsi que leurs intentions de financement pour la remise en état de la ligne ferroviaire. La population doit être informée sur l’évolution de ce dossier car l’avenir économique de tout le territoire en dépend.

La pétition en ligne est toujours d’actualité (plus de 8 000 signatures) : https://www.mesopinions.com/petition/politique/petite-ligne-morlaix-saint-pol-leon/40192

Contact : Sylvie Fillon, présidente de l’APMR

apmr.association@gmail.com

 www.defense-ligne-ferroviaire-morlaix-roscoff.com

https://www.letelegramme.fr/finistere/morlaix/ligne-morlaix-roscoff-rassemblement-le-2-mars-a-roscoff-21-02-2019-12214550.php

Quimper : Conférence d’Alain Mila, la Retirada et les Réfugiés. Reportage.

Conférence d’Alain Mila à Quimper sur la Retirada le 27 02 2019 : 1939-2019: quelle attitude adoptons-nous face aux Réfugiés? 

Un reportage d’Yvonne Rainero.

Public nombreux, diversifié, intéressé pour la conférence d’Alain Mila à Quimper sur les réfugiés espagnols dans le Finistère en 1939.

Des passeurs de mémoire, certains membres d’associations comme l’ANACR, des descendants de familles de réfugiés, d’autres dont les parents ou grands-parents s’étaient engagés pour leur venir en aide, des militants de la solidarité d’aujourd’hui qui participent à des associations d’aide aux migrants.

Il fut question d’histoire, le débat fut parfois vif mais toujours courtois, de valeurs partagées, du refus de l’Europe-forteresse, de la politique migratoire de la France.

On évoqua la non-intervention du gouvernement Blum, qui a pesé lourdement sur le destin de l’Espagne; le rôle de la compagnie France-Navigation dans la solidarité à la République espagnole, les marins bretons y ont été nombreux, comme Jean Le Brun qui fut après la guerre maire communiste du Guilvinec, ou Christophe Guillou qui y avait aussi navigué à 19 ans et dont le fils était présent; les brigades internationales (au moins 240 Bretons y ont été recensés) avec la grande figure d’Henri Rol-Tanguy, né à Morlaix; la chute de la République, l’accueil des réfugiés de la Retirada, entre 450000 et 500000 arrivés en France en 1939, l’organisation de la solidarité, le rôle du parti communiste, de ses maires comme le marin-pêcheur Marc Scouarnec au Guilvinec et de ses militants, avec la CGT, le Secours Rouge, d’autres encore, socialistes, chrétiens; il fut aussi question de l’internement des combattants de l’armée républicaine, tel le père d’Alain Mila, dans des camps : Argelès, Gurs…, de la continuité pour beaucoup du combat contre le fascisme, de l’Espagne à la Résistance française, notamment dans les rangs des FTP-MOI.

Alain Mila signalant que les compétences des républicains espagnols dans le maniement des explosifs avaient servi aux cheminots français résistants ; des pages sombres de l’histoire de la région furent évoquées, comme l’internement à Poulgoazec en juin 1940 sous surveillance d’un officier français , dans le même lieu qui avait servi à héberger les réfugiés espagnols, d’intellectuels juifs ayant fui le nazisme ( le scénariste de cinéma Léo Lania, le philosophe Paul-Louis Landsberg…) au prétexte qu’ils étaient Allemands ou Autrichiens, ils purent heureusement s’en évader à la faveur du désordre provoqué par l’approche des troupes allemandes; ou encore le camp d’internement de Lanniron à Quimper où se succédèrent 15000 soldats « coloniaux » de l’armée française, les nazis ne voulant pas sur leur sol de prisonniers « de couleur »…

A l’issue de cette conférence-débat, Alain Mila fut applaudi et plusieurs dizaines de livres furent dédicacés.

Les communistes quimpérois sont fiers d’avoir organisé cet échange, dans la continuité des engagements de ceux qui les ont précédés, notamment en 1939 où l’aide aux réfugiés espagnols fut organisée dans notre ville par un comité animé par Julien Gracq, alias Louis Poirier, jeune prof du lycée La Tour d’Auvergne et l’un des responsables de la section PCF de Quimper en 38-39.

Et merci encore à Alain Mila !
Merci aussi à Caro et Jean-Claude pour les photos.

Yvonne Rainero – secrétaire de section du PCF Quimper

Repas republicain du PCF Bigouden au Guilvinec, Château de Kergoz, le 23 février 2019 en hommage aux Penn Sardin de Douarnenez et du Pays Bigouden: le coeur de la Bretagne maritime rouge

Un reportage d’Ismël Dupont.

 

C’était hier au Repas Républicain de la section PCF du Pays Bigouden au château de Kergoz entre l’école Louise Michel, la rue George Politzer et la rue Neruda. Il reste des traces des Rouges dans ce pays de communisme populaire, chez les marins-pêcheurs et les ouvrières des conserveries.


A côté de Maxime Le Brun, il y a Claude De Lunardo dont le père, immigré italien, a fait de la résistance, comme son grand-père, Vincent Larnicol, qui cachait des armes dans sa carrière à Lesconil, et a connu deux ans de prison pendant l’occupation suite à une rafle, à Quimper, Vanves et Compiègne, avant de s’évader d’un convoi partant en déportation en Allemagne en 44.


Le Parti Communiste, c’est aussi l’ordinaire d’un héritage héroïque et cependant modeste.

 

Maxime Le Brun, à droite, qui milite depuis ses 14 ans au Parti Communiste, ancien éducateur spécialisé chez les Religieuses à Quimper, ancien marin-pêcheur, né en résistance. Son père, Jean Le Brun, maire du Guilvinec jusqu’en 1983, fut radio sur les cargos.

Communiste, il aida à acheminer des armes à l’Espagne Républicaine et avec un poste émetteur remis par la France Libre, il organisa des transmissions radios avec Londres, allant chercher le poste avec sa femme et son fils, Maxime, né en 41, alors tout bébé. Dénoncé,

Jean Le Brun fut déporté à Buchenwald où il intégra la résistance du camp. On lui doit notamment d’avoir protégé et sauvé Marcel Bloch (Marcel Dassault) selon la décision prise par le Parti communiste clandestin pour la reconstruction de la France.

Jean Le Brun, animateur du journal Le Travailleur Bigouden avec Jean Kervision et Gaston Balliot, fut, aux dires mêmes du maire actuel du Guilvinec, de droite, un super maire, très humain, très respecté pour ses valeurs, sa proximité, son exemplarité, en plus d’être un héros de la résistance.

 

 

Mon intervention au repas du PCF Pays Bigouden au Guilvinec le samedi 23 février: sur le mouvement social des Gilets Jaunes et la morgue de la bourgeoisie pour le discréditer, la sauvegarde indispensable de l’Humanité et du pluralisme de la presse, et la campagne des Européennes, avec la présentation de nos candidats, bretons notamment, et de nos axes de campagne. Une quarantaine de soutiens supplémentaires ont été enregistrés sur la liste du Comité de soutien finistérien à Ian Brossat et à la liste du PCF aux élections européennes.

Pour faire un magnifique discours d’hommage aux Penn Sardin des années 1923-1924-1925 avec des résonances dans l’actualité sociale, ou pour chanter Amsterdam de Brel avec une voix magnifique, pour servir le repas, Etienne Le Bellec, élu PCF au Guilvinec, toujours impeccable!

 

La chanteuse, qui chante l’Internationale, le Chiffon Rouge, et bien d’autres chansons révolutionnaires, c’est Yvonne Gadonay, 91 ans, ancienne ouvrière d’usine à la conserverie du Guilvinec, toujours militante communiste, gracieuse, malicieuse et chaleureuse.

 

                                      Femmes du Pays Bigouden: le rouge leur va si bien!

La chanteuse, qui chante l’Internationale, le Chiffon Rouge, et bien d’autres chansons révolutionnaires, c’est Yvonne Gadonay, 91 ans, ancienne ouvrière d’usine à la conserverie du Guilvinec, toujours militante communiste, gracieuse, malicieuse et chaleureuse.

Son père distribuait l’Huma clandestine à Echiagat pendant la guerre tout en vendant des lapins pour survivre. Elle a connu les rafles au Guilvinec en 42, les frères que l’on doit cacher, car tous les hommes ou presque étaient suspects de résistance communiste. Elle s’est retrouvée avec le visage d’un russe blanc venant perquisitionner à la fenêtre de sa mère, héroïque d’avoir su faire face et sauver ses mari, fils, et filles.

A côté d’Yvonne, Jeannine Lagadec, ouvrière à la conserverie de Penmarc’h retraitée, et Cécile Thomas, secrétaire médicale retraitée, qui a connu les rafles de Lesconil, et dont le père, marin-pêcheur à Lesconil, avait un bateau qui s’appelait Crassine, du nom du premier ambassadeur soviétique en France. Son deuxième bateau s’appelait Marcel Cachin.

Toutes les trois ont connu Marcel Cachin faisant ses discours à Pont L’Abbé pour la fête du Parti Communiste.

A côté de moi et d’elles encore pour le repas, Jacqueline Braire, dont la belle-mère était de Lesconil, Joséphine Monot, dans un milieu où tous les bateaux des marins-pêcheurs portaient des noms évoquant la révolution dans les années 30. Sa belle-mère avait la crise et le déplacement de la sardine dût émigrer au Croisic en Loire-Inférieure, sous Nantes, comme beaucoup de gens de mer du Pays Bigouden. Ils n’étaient pas très bien vu. C’était les Rouges. Patronne d’un bar-crêperie au Croisic, elle réussit néanmoins à se faire apprécier des marins-pêcheurs locaux malgré ses convictions communistes affichées.

Quand le lieutenant colonel Hotz a été exécuté à Nantes (prétexte au massacre de Chateaubriant du 22 octobre 1941) elle a fait partie des Otages raflés. Mais une manifestation de femmes du Croisic a fait pression sur le maire pour qu’il intervienne auprès des autorités allemandes pour qu’elle soit libérée, sans quoi elle aurait peut-être été fusillée avec les autres communistes ou cégétistes, ou déportée. Le Cour des Otages à Nantes garde le souvenir de ce tragique épisode.

Libérée, le maire du Croisic l’a contrainte à partir et elle s’est retrouvée réfugiée à Quimper. Deux de ses cousins résistants ont été fusillés à La Torche. Son mari de sa fille, métallurgiste, a été licencié des Chantiers Navals de St Nazaire après la guerre pour avoir organiser les grandes grèves d’aprs-guerre. Il a été secrétaire général de la bourse du travail de Paris jusqu’en 1983.

Toutes ces dames bien sûr soutiennent la campagne de Ian Brossat et font partie du comité de soutien de la liste européennes du Parti Communiste

Témoignages recueillis par Ismaël Dupont au Guilvinec, 23 février 2019

Roscoff, Samedi 2 mars : Débat Europe avec Patrick Le Hyaric

SAMEDI 2 MARS, 15h à Roscoff

Débat Europe

Patrick Le Hyaric, député européen PCF, directeur de l’Humanité, n°3 sur la liste européenne conduite par Ian Brossat

animera avec

Glenn Le Saôut, candidat finistérien du PCF aux élections européennes du 26 mai prochain

 

Une  RENCONTRE-DEBAT sur:

Les Enjeux et Conséquences du Brexit pour les Ports Bretons, l’économie maritime et la pêche dans notre département .

Dans le cadre de ses activités de terrain de parlementaire européen (élu du Grand Ouest) et de la campagne des Européennes

Sera à Roscoff, Port de Plaisance du Bloscon

à 15h, au Bar-Restaurant « C’est ici »

Brest 9 mars : PEUPLE ET CHANSONS de BREST et LA CHORALE POPULAIRE DE PARIS

PEUPLE ET CHANSONS de BREST et LA CHORALE POPULAIRE DE PARIS
LE SAMEDI 9 MARS  20H AU MAC ORLAN

La Chorale Populaire de Paris
La Chorale populaire de Paris s’est constituée en 1935, avec pour buts de contribuer à l’épanouissement de la culture par le chant, de s’attacher à défendre, maintenir et faire connaître le patrimoine musical dans sa diversité
Son histoire est faite d’engagements, tant auprès des travailleurs en grève que par des spectacles thématiques (la Paix, la révolution d’Octobre, la lutte des femmes…)
comme aussi par sa participation à des commémorations mémorielles, au Mont Valérien par exemple, ou aux manifestations du 1er mai.
Elle se mobilise chaque fois que l ’on fait appel à elle, toujours prête à soutenir, par ses chants et son engagement, les luttes des victimes d’un capitalisme de plus en plus brutal, avec une même exigence de qualité dans l’interprétation, qu’elle se produise dans la rue ou dans une grande salle de spectacle, ou à la Fête de L’ Humanité.

Avec des chants tels que : Bella ciao, le chant de la libération , Zoya, La varsovienne , ou encore, le Chant des travailleurs… la chorale invitée, va pour la première fois à Brest, sous la direction de Riccardo Spezia, et avec 45 choristes donner un aperçu de son riche repertoire .

Chorale Peuple et Chansons
La chorale Peuple et Chansons, créée à Brest en 2000, compte aujourd’hui 70 choristes qui perpétuent le répertoire des Chants des Travailleurs et des Libertés.
Retraités et actifs, pour la plupart engagés dans des associations culturelles et humanitaires ou dans des mouvements syndicaux, ils partagent les mêmes valeurs de fraternité et de liberté.
Les choristes expriment leurs convictions à travers un vaste répertoire de chants anciens ou plus récents, certains pacifistes,d’autres dénonçant les conditions de travail difficiles ou le racisme.
Ils se veulent porteurs des sentiments d’indignation et de révolte populaire.

Programme du concert du 9 mars 2019

 

Tarifs:
Adultes : 10€ – Enfants–12 ans : gratuit
Prévente : CULTURA (Galerie Phare de l’Europe-Géant )
PL Jean Le Gouill Brest-( les lundis et mardis)

Quimperlé : 28 Fev, Jeudi Rouge avec Nasser Mansouri Guilani

Pour le prochain jeudi rouge, l’invité est Nasser Mansouri Guilani, économiste et syndicaliste.

Docteur en économie, universitaire, syndicaliste, représentant de la CGT au CESER de 2004 à 2015.

« La mondialisation à l’usage des citoyens »

JEUDI 28 FEVRIER/ 18H30/ Espace Benoîte Groult
3 avenue du Coat Kaër à Quimperlé
salle Isole

 

 

 

 

 

 

« La mondialisation à l’usage des citoyens »

La mondialisation est devenue une référence obligée des décideurs politiques et des chefs d’entreprise. Aujourd’hui émergent certains mouvements qui la combattent ou imaginent des alternatives à sa version libérale, mais ils ne peuvent pas se dispenser de la comprendre. En effet, sait-on vraiment ce que recouvre ce terme ? Quels sont les vecteurs de cette mondialisation ? Quel est le poids des multinationales ? Quelle est la part de responsabilité des Etats ? Comment fonctionnent l’Organisation mondiale du commerce, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale ? A qui bénéficient en définitive les flux d’argent, les fusions et les acquisitions, les délocalisations ? Pourquoi les Etats-Unis dominent-ils ce système ? Quel est l’impact de la démographie et des migrations ? Ne peut-on pas agir pour construire une mondialisation sur des critères plus larges que ceux du marché et de la rentabilisation financière maximale ? S’appuyant sur plusieurs années de travail de recherche, d’échanges et de dialogue avec chercheurs universitaires, militants politiques et syndicaux en France et à l’étranger, l’auteur propose de répondre à ces questions dans un langage accessible. Il illustre les mécanismes actuels de la mondialisation à l’aide de nombreux exemples et d’études de cas. Ces clés de compréhension apportent des outils indispensables à tout citoyen pour participer activement à la construction d’une alternative, fondée sur la coopération et la solidarité et non sur une guerre économique sans fin.

 

Les Jeudis Rouges, organisés par le Réseau partage des savoirs PCF Finistère sud.

 

Renseignements : pcfpaysdequimperle@gmail.com

Quimper, 27 Fev : Conférence Alain Mila, 80 ème anniversaire de la Retirada.

Conférence-débat, à l’invitation de la section de Quimper du PCF, avec Alain Mila, l’auteur du livre « Une enfance retrouvée » qui raconte l’exil de son père, petit enfant d’une famille de républicains espagnols, de Catalogne au Guilvinec en passant par Quimper.

Mercredi /27 février à 18h /Halles St François de Quimper

1939-2019 : 80 ème anniversaire de la Retirada

Après la chute de Barcelone, marquant la défaite de la République espagnole, vaincue par Franco avec le soutien d’Hitler et de Mussolini, des centaines de milliers d’Espagnols fuient vers la France.

Pour les combattants républicains, ce fut l’internement par les autorités françaises dans des camps.

Les familles furent dispersées dans divers départements.

En février 1939 un convoi de près de 700 réfugiés arrivait en gare de Quimper, ils seront hébergés à Poulgoazec en Plouhinec, au Dourdy malgré le refus du maire de Loctudy (au motif que cela ferait fuir les vacanciers !) , à Treffiagat et au Guilvinec dont les maires communistes Jean-Désiré Larnicol et Marc Scouarnec s’étaient portés volontaires pour recevoir des réfugiés dans leurs communes.

Parmi eux un enfant de 8 ans, Albert Mila, le père d’Alain Mila.

C’est au Guilvinec qu’il fut accueilli avec sa mère, sa sœur, son frère.

La solidarité ne fut pas institutionnelle, elle fut populaire.

La CGT, le Secours Rouge, le parti communiste, d’autres encore s’impliquèrent dans cette solidarité aux réfugiés.

A Quimper, l’un de ses artisans fut Julien Gracq, Louis Poirier à l’état-civil, qui était en 38-39 professeur au lycée La Tour D’Auvergne et membre de la direction de la section communiste.

Du fascisme triomphant en Italie, en Allemagne, en Espagne, à la résurgence actuelle des idées racistes, xénophobes, de la haine de l’autre ; de l’accueil des réfugiés espagnols à celui des migrants aujourd’hui, bien des questions soulevées par cette période de notre histoire européenne renvoient à l’actualité de 2019.

Cette conférence-débat sera aussi l’occasion de les aborder.

Il sera possible d’acquérir et de faire dédicacer le livre d’Alain Mila

 

Justice et démocratie en Catalogne – Déclaration de le Fédération PCF 29

Justice et démocratie en Catalogne – Déclaration de la Fédération PCF 29

Le parti communiste français s’associe à l’appel de l’UDB à un rassemblement à Quimper place de la Résistance ce samedi 23 février à 14h pour protester contre le procès en cours à Madrid contre les 12 indépendantistes catalans accusés de rébellion, de détournement de fonds, mais poursuivis en réalité pour avoir organisé le référendum sur l’indépendance de la Catalogne.

Ce procès, qui se déroule sur fond de discours haineux de la doite nationaliste espagnole et de l’extrême-droite, lesquelles ont manifesté ensemble à Madrid il y a quelques jours, fait peser de graves menaces sur l’avenir démocratique de la Catalogne et de toute l’ Espagne.

Marie-Pierre Vieu, membre de la direction nationale du PCF et députée européenne, se rendra la semaine prochaine à Madrid pour y assister en tant qu’observatrice.

Le PCF refuse que des responsables politiques ou associatifs soient emprisonnés et poursuivis pour avoir organisé pacifiquement un référendum. Cela ne peut en aucun cas constituer un délit, encore moins un crime de «sédition».

Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur le statut de la Catalogne, cette question ne pourra être tranchée par un procès qui n’a pas lieu d’être et porte atteinte aux droits et libertés.

Le futur des relations entre la Catalogne et l’État espagnol ne peut se décider que dans un cadre concerté, démocratique, pacifié et solidaire.

Seul un processus fondé sur un dialogue entre les forces politiques, entre les peuples et les nations qui composent l’État espagnol, peut ouvrir une issue à la crise actuelle.

La section de Quimper du PCF et la Fédération du PCF Finistère, le 21 février 2019

Université Permanente sur Youtube

Les communistes créent une université permanente. L’éducation populaire telle que nous la concevons est une action politique au sens large et noble du terme qui s’inscrit dans une perspective émancipatrice. La politique n’est pas l’art du publicitaire qui espère manipuler et détourner la pulsion du consommateur. La politique n’est pas non plus qu’une affaire de « passion » ; elle est aussi le lieu de la rationalité.

La politique a aussi et surtout à voir avec la connaissance, non pas sur le modèle du théoricien éclairant les masses, mais plutôt sur le modèle du dialogue entre des connaissances et des acteurs décidant par eux-mêmes de l’usage qu’ils pourraient en faire.

La politique ne saurait se réduire non plus à l’indignation. Bien sûr, cette critique morale est utile et ne doit pas être sous-estimée. Mais elle ne suffit pas. Notre société n’est pas d’abord menacée par l’immoralité de ses dirigeants (même si celle-ci n’arrange rien), mais elle est menacée par des logiques largement anonymes (marchés financiers, croissance, etc.).

L’éducation populaire telle que nous la concevons consiste à diffuser les outils intellectuels permettant aux citoyens de comprendre ces dynamiques sociales à l’œuvre dans nos sociétés.

Une université permanente est l’occasion de montrer la faiblesse des discours pseudo-savants et peut contribuer à accroître la qualité du débat politique.

Ce qui pouvait hier nourrir une perspective progressiste prenant au sérieux les apports de Marx notamment, s’est vu si largement relégué au second, voire au troisième plan, du fait de l’offensive idéologique du libéralisme que nous ne serons pas de trop pour animer cette si nécessaire contre-offensive.

Le programme 2018-2019 de l’Université permanente : quatre cours de neuf séances auront lieu cette année, neuf heures de Philosophie, neuf heures de Lettres, neuf heures en Histoire et en Économie.

En Philosophie, les conférenciers traiteront du Matérialisme. Le philosophe Olivier Bloch, professeur émérite à Paris I Panthéon Sorbonne, spécialiste du matérialisme et de la littérature clandestine des XVIIème et XVIIIème siècles, nous a fait le plaisir d’accepter une interview qui viendra clore le cycle.

Le programme de Lettres sera consacré à Aragon. Olivier Barbarant qui dirige la publication des œuvres d’Aragon dans la Bibliothèque de la Pléiade nous a fait l’honneur de participer à la conception du programme. Il animera par ailleurs trois séances.

En Histoire, le cours portera sur la Révolution française. Des chercheurs de plusieurs générations viendront restituer la complexité de l’événement fondateur. L’historien Claude Mazauric, en plus de participer aux séances, nous a aimablement conseillé pour constituer le cours.

Enfin en Économie, le cours sera consacré aux Crises. Les conférenciers, chercheurs au CNRS, administrateurs à l’INSEE, économistes à la Banque de France, etc. proposeront une analyse économique à contre-courant des lectures habituelles qui ont eu bien des difficultés pour anticiper les crises de notre temps

Les conférences se tiendront chaque semaine, les mardis, à l’espace Niemeyer, 2 place du Colonel-Fabien, Paris 19e.

Nous voulons, dans une perspective d’éducation populaire, permettre à une large majorité d’accéder à un savoir ordinairement réservé à une minorité.

Les conférences seront diffusées en direct et seront disponibles le lendemain sur la chaîne Youtube de l’Université permanente.

https://www.youtube.com/channel/UC9aADw3SBkz9-otZiW3APbA/

https://fr-fr.facebook.com/universitepermanente/

Contre la construction de la Centrale à Gaz de Landivisiau, carnaval à Landivisiau le samedi 23 février à 14h

Samedi 23 février à 14H00
Place du Champ de foire à Landivisiau
📣 Grand rassemblement festif et militant ! Déguisez-vous ! 🎊
🐌🌿 Sortez vos plus beaux costumes d’escargots, vos chapeaux de fougères et vos instruments de musique ! 🎶
Pour  montrer que nous sommes CONTRE ce projet de centrale à gaz, projet d’un autre temps au vu de l’état d’urgence climatique,
et POUR une transition vers une société sobre en énergie et conviviale !
Landivisiau doit dire non à la centrale
Association loi 1901 à direction collégiale
Pour l’abandon du projet de Centrale à gaz en Bretagne signez la pétition sur change.org!
Pour nous soutenir, adhérez à l’associationLandivisiau Doit Dire Non à La Centrale.

Elections européennes : le site de campagne est ouvert.

En finir avec la construction libérale de l’Union européenne

Le PCF a toujours combattu et combat toujours «le modèle européen», la construction capitaliste de l’UE, incarnés par les traités en vigueur ! Ce « modèle » a pour tare fondamentale de soumettre la construction européenne et les relations entre les peuples d’Europe au marché et à la concurrence, quitte à bafouer la souveraineté des peuples.

Dix ans après l’éclatement de la crise du capitalisme à laquelle les classes dirigeantes européennes n’ont répondu que par le renforcement des politiques libérales, l’emploi est en miettes dans l’UE. L’UE concentre 10 millions de pauvres en plus depuis 10 ans. Dans le même temps 176 milliards de dollars de dividendes ont été distribués en Europe au 2e trimestre 2018, ce qui représente une hausse de 19% par rapport à 2017. La Banque centrale européenne a versé 3000 milliards d’euros aux banques et aux marchés financiers sans aucune contrepartie depuis 2010. L’évasion et l’optimisation fiscale représentent 1000 milliards d’euros chaque année. Elles coûtent 2000 euros par an et par français.

Nous ne nous reconnaissons pas dans le chantage imposé aux peuples : soit la poursuite du corset austéritaire, soit l’éclatement du continent dans des ensembles rivaux et concurrents. Face à la montée de l’extrême droite et des courants xénophobes et autoritaires il y a urgence ! Pour ouvrir des brèches dans la construction libérale de l’UE et faire émerger une autre vision de la coopération entre les peuples et les nations d’Europe, nous défendons des mesures contraires à la logique libérale des traités européens.

 

https://www.europedesgens.fr

Video : Cinderella BERNARD candidate sur la liste PCF aux élections européennes

Intervention de Cinderella BERNARD, candidate sur la liste PCF aux élections européennes , 2019, lors de la rencontre débat avec Ian BROSSAT tête de liste aux européennes au Relecq -Kerhuon (29) le 2 Février 2019.

Guilvinec/Quimper, 26 et 27 Fev : Conférence d’Alain Mila, la Retirada

Alain Mila, professeur d’histoire, écrivain, petit-fils d’un enfant réfugié espagnol accueilli au Guilvinec après la Retirada.

 

Guilvinec/mardi 26 février/Maison de la presse le Goéland /9H

Quimper/mercredi 27 février /Halles Saint François/18h

 

Retrouvez Alain Mila, professeur d’histoire, écrivain tarbais, auteur d' »Une enfance retrouvée«  sur l’histoire de son grand-père, d’une famille de républicain espagnol victime de la répression fasciste, accueilli par des communistes au Guilvinec.

Conférence/dédicace à la Halle St-François à Quimper, MERCREDI 27 février à 18h sur l’accueil des espagnols en 1939 dans le Finistère (et réfugiés d’aujourd’hui) à l’initiative du PCF Finistère.

Les droits d’auteurs des ouvrages vendus à cette occasion vont en totalité à la station de sauvetage en mer SNSM du Guilvinec.

Artcile de Jean Ortiz sur la Retirada : La Retirada, un traumatisme au long cours.

Education populaire: Jeudis Rouges du PCF à Quimperlé : demandez le programme de février-mars-avril!

Jeudis Rouges du PCF à Quimperlé :

Nasser Mansouri, Catherine Wihtol de Weden, Jean Quétier

Mondialisation, Migrations, Populisme

 

« La mondialisation à l’usage des citoyens ».

Rencontre débat avec Nasser Mansouri Guilani. Docteur en économie, universitaire, syndicaliste, représentant de la CGT au CESER de 2004 à 2015.

28 février 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

 

« Les Migrations aujourd’hui : du mythe à la réalité »

Catherine Wihtol de Weden

28 mars 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

Rencontre débat avec Catherine Wihtol de Weden Directrice de recherche au CNRS et docteur d’État en science politique  elle est une spécialiste des migrations internationales sur lesquelles depuis une vingtaine d’années, elle a mené différents travaux, conduit de nombreuses études de terrain, et dirigé différentes recherches comparatives, surtout européennes. Elle a été consultante auprès de l’OCDE, du Conseil de l’Europe, de la Commission européenne et « expert externe » auprès du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Elle est aussi membre de la Commission nationale de déontologie de la sécurité

 

« Populisme..la balle dans le pied ? »

Jean Quétier, agrégé , doctorant en philosophie et enseignant à l’université de Strasbourg.

25 avril 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

 

renseignements : pcfpaysdequimperle@gmail.com

Brest : 19 fev, rassemblement contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme.

La fédération du Finistère du Parti Communiste Français appelle à participer au rassemblement contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme ce mardi 19 février à 19 h Place de la Liberté à Brest.

Une poignée d’extrémistes ont sali les murs et les vitrines de divers magasins de tags antisémites. Ces actes sont indignes et insupportables. Ils mettent en cause nos valeurs républicaines, le vivre ensemble.

Leurs responsables n’ont rien à voir avec la colère sociale qui s’exprime actuellement dans le pays. La majorité des Français, qu’ils portent un gilet jaune ou pas, réclament plus de justice sociale, plus de justice fiscale. Ils ne sont pas des porteurs de haine.

Comme toujours, lorsque la crise sociale est forte, lorsque la question sociale monte, l’extrême droite s’agite et tente de dévoyer l’exaspération populaire vers ses obsessions identitaires, ethniques ou religieux.
C’est sa manière d’exonérer les fauteurs de crise de leurs responsabilités et de faire de l’Autre le bouc-émissaire des problèmes de nos concitoyens.

Non, ce n’est pas à cause des Juifs, des immigrés, des réfugiés que les usines ferment, que les salaires sont gelés, que les retraites baissent ou que les maternités ferment.

C’est du fait d’un système qui génère l’inégalité. C’est à lui qu’il faut s’attaquer.

Nous dénonçons les actes antisémites qui se multiplient, comme nous combattons toutes les manifestations de racisme. Leurs auteurs et ceux qui les encouragent, quels qu’ils soient, doivent être retrouvés, jugés et sévèrement condamnés.

Notre peuple doit s’unir pour faire vivre ses belles valeurs de solidarité, de fraternité, d’égalité, de liberté, aujourd’hui menacées.

Video: Pierre Outteryck à Morlaix sur Martha Desrumaux.

 

Pierre Outteryck est Historien et éditeur il nous présente:

 

Martha Desrumaux,la dirigeante ouvrière, cégétiste, communiste, impliquée dans le recrutement des Brigades Internationales, la solidarité avec les réfugiés espagnols, l’organisation de la grande grève de résistance des mineurs en 41 et qui fut déportée trois ans, à partir de 42, à Ravensbrück où elle fut une des animatrices de la Résistance du camp de concentration.

Martha l’illettrée jusqu’à 28 ans, qui a appris à lire aux écoles du Parti. Martha la seule femme présente aux accords de Matignon de juin 36, Martha courage, Martha la rassembleuse,au panthéon!


Une vie d’engagement, de lutte, de fierté, au centre desquels était la cause des femmes.
Bravo Martha ! Merci Martha ! (présentation de l’éditeur)

A écouter : La culture ouvrière et la figure de Martha Desrumaux.

A lire sur Cause Commune : Martha Desrumaux au Panthéon : briser les murs du silence

Pétition : Martha Desrumaux, pour une ouvrière au Panthéon

Morlaix : Enseignement public. La classe Ulis de Gambetta transférée à Corentin Caër (Le Télégramme, 9 février 2019)

C’est un nouveau coup dur pour l‘école Gambetta qui se voit supprimer sa classe d’ULIS, avec derrière un acte deux qui sera la suppression de deux quarts de poste, et un acte trois qui pourrait être la suppression d’un temps de décharge de direction. Après la perte d’un poste et d’une classe l’an passé, on a l’impression que l’Inspection académique, avec les moyens qui lui sont donnés par le Gouvernement qui n’en a strictement rien à foutre de l’école publique, s’acharne contre cette école populaire du quartier Saint-Augustin à Morlaix! Avec quelles conséquences pour les enfants, la mixité de cette école?

Ismaël Dupont, conseiller municipal PCF, membre de la commission Enseignement de Morlaix.


Article du Telegramme :

L’avenir de la classe Ulis de l’école Gambetta était source d’inquiétudes auprès des AVS de l’établissement. La Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère a confirmé ce vendredi 8 février le transfert de cette classe à l’école Corentin-Caër.

Du changement en vue dans les écoles morlaisiennes de Gambetta et de Corentin Caër. « La classe Ulis (Unité localisée pour l’inclusion scolaire) de Gambetta va être transférée à Corentin Caër ». L’information provient de la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère.

La rédaction avait été alertée un peu plus tôt dans la journée de ce vendredi 8 février par un courrier de l’équipe des AVS (auxiliaires de vie scolaire) de l’école Gambetta. Dans ce courrier adressé à la Directrice académique et communiqué au journal, l’équipe expliquait avoir appris la veille que la classe serait transférée, mais demandait « le maintien ». Une information également entendue par le coprésident de l’Association des parents d’élèves, Sébastien Portier. Restait à la confirmer. Ce qu’a effectué peu après, par téléphone, la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère.

« Incompréhension » devant « cette mesure »

Pour rappel, la classe Ulis de Gambetta est composée de dix élèves. L’école l’accueille depuis des années. Et selon l’équipe d’AVS, c’est « l’incompréhension » devant « cette mesure ». Pour elle, « toute l’équipe enseignante est très engagée et investie pour la réussite des élèves. Tous les élèves d’Ulis sont respectés des autres élèves et ont réussi à créer des liens ». Elle ajoute également que « certains élèves Ulis sont en inclusion dans d’autres classes et tous progressent avec succès. Progression reconnue par tous les intervenants extérieurs qui les encadrent ». Enfin, elle rappelle que « les élèves Ulis sont particulièrement sensibles » et pense qu’« un changement d’environnement et d’encadrement pourrait être néfaste à l’équilibre et la confiance tissée au fil des ans ».

« Facilité l’inclusion des élèves »

Du côté de la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère, la décision a été prise « après étude », à partir notamment d’une « analyse précise » effectuée entre autres par l’inspectrice « en charge des élèves handicapés ». Le transfert à Corentin-Caër, marquée par l’« ouverture d’une cinquième classe » est « justifié » par « le fait que ce soit une plus grande structure » que Gambetta, ce qui permettra une « facilité d’inclusion des élèves d’Ulis ». L’argument de la direction porte sur « l’intérêt des élèves » et la « qualité d’inclusion ». « Les déplacements » nécessaires de ces enfants auprès des intervenants extérieurs seront programmés.

Du côté des associations des parents d’élèves des écoles, les réactions étaient différentes. Si à Gambetta, Sébastien Portier, parent élu, n’était pas vraiment étonné de la confirmation, à Corentin-Caër, « l’étonnement » était au rendez-vous pour Katell Salazar, la présidente. « Je ne savais pas, je n’étais pas au courant », exprimait-elle.

Cette décision a pour conséquence d’alarmer le co-président de l’APE de Gambetta. Sébastien Portier s’interroge plus fortement sur demain et a « peur de la suppression des deux quarts de postes obtenus en 2018 » suite à la mobilisation et « comme il n’y aura plus que trois classes, il pourrait y avoir suppression du temps de décharge de direction ».

 

 

CRAC : Conférence régionale du PCF à Lorient le samedi 9 février – les communistes planchent sur leur projet régional.

Conférence régional du PCF à Lorient le samedi 9 février – les communistes planchent sur leur projet régional, Philippe Jumeau élu animateur du Comité Régional PCF Bretagne (CRAC).

 

Samedi 9 février, 45 communistes venus des 4 départements de la Bretagne se sont retrouvés à Lorient pour la Conférence Régionale de leur Parti.

Cela a été l’occasion de faire le bilan d’activités du Comité régional PCF entre 2015 et 2018. Pour se projeter dans le mandat suivant de ce Comité Régional, des ateliers de réflexion se sont déroulés autour des thèmes, de  la santé, la maritimité, la culture, l’énergie, la communication et la Fête de L’Humanité Bretagne.

Les synthèses de ces différents thèmes constitueront les grands axes du projet politique du Parti Communiste pour la région Bretagne. Un premier document présentant ces enjeux sera élaboré puis diffusé pendant la campagne des élections européennes, notamment au moment de  la présentation des 4 candidat.e.s bretons de la liste menée par Ian Brossat.

À l’issue de la journée, le nouveau Comité Régional comprenant 16 membres des 4 départements à égalité et à parité a été élu et Philippe Jumeau (secrétaire départemental du PCF Morbihan) en a été désigné comme l’animateur.

 

https://www.facebook.com/particommunistebzh

QUIMPER : MOBILISATION CITOYENNE AU TRIBUNAL POUR DE JEUNES MINEURS ISOLES EN DANGER

Ce mercredi 30 janvier à 14h l’association Temps partagé avait appelé à un rassemblement devant le tribunal de Quimper pour alerter sur la situation de jeunes mineurs isolés en danger. Présence de retraité-e-s engagés dans la solidarité en particulier aux migrants et de jeunes scolaires et étudiants en raison du jour et de l’heure. Présence aussi de représentants de la section PCF.

Plusieurs jeunes mineurs isolés suivis par l’association qui avaient eu un avis des services du conseil départemental allant dans le sens de la reconnaissance de leur minorité se sont vus ensuite rejetés du dispositif d’aide à l’enfance après des tests osseux, de plus en plus contestés de tous côtés, par les défenseurs des droits humains comme par les médecins à la fois sur le plan éthique et humain et en raison de leur absence de fiabilité.

Ils se retrouvent donc à la rue, en pleine période hivernale où les expulsions sont supposées suspendues, et sans papiers, ceux-ci leur ayant été confisqués !
Des jeunes sont ainsi mis en danger par des décisions absurdes et inhumaines sans même avoir pu rencontrer le juge des enfants.

Depuis plusieurs mois l’association, avec d’autres, alertait sur leur situation, et avait écrit au procureur à ce sujet, sans réponse. Aussi ce mercredi c’est accompagnés qu’ils se sont présentés au tribunal, et ont obtenu une entrevue avec le procureur. Pas de réponse sur le fond, mais quelques timides avancées, notamment sur l’accès aux juge des enfants, là aussi le manque de moyens de la justice pèse lourdement, sur la restitution de leurs papiers.

Nous ne lâcherons pas!

https://www.letempspartage.net/

 

Morlaix: loi anti-casseur, le PCF répond à Sandrine Le Feur

Le Parti communiste français du pays de Morlaix vient de publier un communiqué visant la députée, Sandrine Le Feur. | ARCHIVES OUEST-FRANCE

Ouest-France

Dans un communiqué, la section Parti communiste français (PCF) du pays de Morlaix répond à Sandrine Le Feur, députée de la 4e circonscription du Finistère, pour son vote en faveur de la « loi anti-casseur ». Cette dernière a été adoptée à l’Assemblée nationale, mardi 5 février 2019.

Dans un communiqué, la section Parti communiste français a décidé de répondre à la députée du pays de Morlaix, Sandrine Le Feur, par rapport à son vote en faveur de la « loi anti-casseurs ».

« Les députés communistes font, bien sûr, partie des 92 députés qui ont voté contre cette loi liberticide, tout comme notre sénatrice communiste des Côtes-d’Armor, Christine Prunaud , rappelle le PCF.  Ce que des députés comme Sandrine Le Feur ont osé voter restera à tout jamais comme une tache indélébile dans notre histoire républicaine. »

« Restriction des libertés publiques »

Pour la section de Morlaix : « Désormais, les préfets soumis au gouvernement pourront interdire de manifestation quiconque constituerait, selon eux, une menace à l’ordre public. Ces dispositions vont dans le sens d’une restriction des libertés publiques et du droit de manifester. Dans un contexte de fortes mobilisations, violemment réprimées, de Grand débat verrouillé, cette loi est une indication supplémentaire de la dérive antidémocratique et répressive du pouvoir macronien. Face à une contestation grandissante de sa politique antisociale, des injustices criantes qu’elle génère, le gouvernement, au lieu de répondre à la colère des Français, veut mettre l’éteignoir. »

Le PCF s’interroge sur une possible « introduction du fichage politique » , rappelant les sanctions du port de la cagoule. Il conclut : « Ce flou comme la volonté de supprimer le filtre de l’autorité judiciaire, seul garant des libertés individuelles, ont largement de quoi inquiéter. Loin de nous l’idée de vouloir épargner les casseurs, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. Au moment où les blessés graves dus aux forces de l’ordre se comptent par centaines, ce que tente le pouvoir avec cette loi est de dissuader de manifester. »
Communiqué original:
Sandrine Le Feur vote la loi anti-manifs! Quand le néo-libéralisme mène à l’autoritarisme!

Ce 5 février, la tristement célèbre « Loi anti-casseurs » vient d’être adoptée à l’Assemblée Nationale.  Les députés communistes font bien sûr partie des 92 députés qui ont voté contre cette loi liberticide tout comme notre sénatrice communiste des Côtes d’Armor Christine Prunaud interpellait hier encore le gouvernement sur les violences policières et les ravages des LBD 40 et des grenades GLI-F4! 

Le député PCF Stephane Peu s’est ainsi exprimé à la tribune: « Le jour où les manifestations seront réservées aux plus déterminés, le jour où manifester sera devenu un acte héroïque, notre démocratie aura considérablement régressé. Or depuis 2015, la situation se dégrade. »

Ce que des députés comme Sandrine Le Feur ont osé voter restera à tout jamais comme une tâche indélébile dans notre Histoire Républicaine.

En effet, désormais les Préfets (totalement soumis au gouvernement !) pourront interdire de manifestation quiconque constituerait selon eux une menace à l’ordre public.

Ces dispositions vont dans le sens d’une restriction des libertés publiques et du droit de manifester. Dans un contexte de fortes mobilisations violemment réprimées, de grand débat verrouillé, cette loi est une indication supplémentaire de la dérive antidémocratique et répressive du pouvoir macronien.Face à une contestation grandissante de sa politique antisociale, des injustices criantes qu’elle génère, le gouvernement, au lieu de répondre à la colère des Français, veut mettre l’éteignoir.

Les dispositions de la loi prévoient, notamment, des interdictions individuelles de manifester et le fichage de certaines personnes. Outre que de telles dispositions existent déjà dans l’arsenal législatif, au prétexte d’« éviter les saccages et les pillages », elles donneraient un pouvoir répressif à des autorités administratives et non à des juges indépendants. Nombre de juristes notent aussi le caractère vague de certains aspects de la loi, ouverts donc à interprétation. Ainsi le port de la cagoule serait passible de prison et de 15 000€ d’amende, mais un masque ou une écharpe pour se protéger des gaz lacrymogènes pourraient être traités de même. Interrogation identique à l’égard du nouveau fichage prévu à côté de tant d’autres, comme les fichés S, voudrait-on introduire un fichage politique? Ce flou comme la volonté de supprimer le filtre de l’autorité judiciaire, seul garant des libertés individuelles, ont largement de quoi inquiéter. Loin de nous l’idée de vouloir épargner les casseurs, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. Au moment où les blessés graves dus aux forces de l’ordre se comptent par centaines, ce que tente le pouvoir avec cette loi est de dissuader de manifester.
Section du pays de Morlaix du Parti Communiste Français
7 février 2019

 

Communication de l’Humanité

Communication de l’Humanité

Par Patrick Le Hyaric.

Le Tribunal de commerce de Bobigny a décidé de placer l’Humanité en redressement judiciaire, assorti d’un plan de continuation, avec une période d’observation de six mois renouvelables.
Cette décision et la période de transition qui s’ouvre désormais doivent permettre, dans un premier temps, de consolider notre économie de court terme tout en travaillant à un projet de pérennisation de l’entreprise.
Celui-ci passe notamment par la poursuite de la campagne de dons et de souscription, par la promotion des contenus de nos journaux et une augmentation des lecteurs et abonnés à l’Humanité et l’Humanité-Dimanche.
Nous remercions toutes celles et tous ceux qui se sont déjà inscrits de diverses manières dans la chaine de solidarité pour protéger l’Humanité. Plusieurs centaines de personnalités d’opinions diverses, de syndicalistes et de syndicats, d’associations, de créateurs, de penseurs, de journalistes, des parlementaires et responsables politiques, ont tenu à manifester leur solidarité par des messages de soutien ou des dons. Des centaines de lectrices et lecteurs ont apporté en quelques jours 700 000 euros en souscription populaire. 470 abonnements ont été réalisés en moins de 10 jours auxquels s’ajoutent les abonnements que réalisent des lectrices et lecteurs dans le cadre de la campagne « à chaque lectrice, lecteur son (sa) nouvel(le) abonné(e) ».
Cette large mobilisation entamée conforte toutes les équipes de l’Humanité dans le difficile combat engagé. Elle doit encore s’amplifier. Samedi prochain, l’assemblée des amis de l’Humanité sera un moment de ce débat pour réussir une multitude d’initiatives visant à promouvoir l’Humanité, l’Humanité-Dimanche, l’humanité.fr, leurs contenus, leur rôle au service d’une information diversifiée et de qualité prenant le parti de la justice sociale, de la démocratie, d’une planète vivable et durable, du désarmement et de la paix.
La soirée de mobilisation du 22 février s’annonce déjà très importante. Elle sera à la fois la manifestation concrète de la mise sous protection populaire de l’Humanité, et l’un des moments importants pour créer les conditions d’un nouvel élan pour l’Humanité.

Tournée de conférences passionnantes de l’historien Pierre Outteryck sur Martha Desrumaux.

Des conférences passionnantes de l’historien Pierre Outteryck sur Martha Desrumaux, grande dirigeante cégétiste et communiste, actrice de premier ordre de la solidarité avec l’Espagne républicaine, ouvrière, féministe, résistante, déportée.

Après être intervenu dans un Lycée public brestois devant deux classes de terminale Pierre Outteryck nous a parlé à la maison du Peuple à l’initiative de Amis de l’Huma et de l’IHS CGT de la vie et des luttes de Martha Desrumaux,la dirigeante ouvrière, cégétiste, communiste,impliquée dans le recrutement des Brigades Internationales, la solidarité avec les réfugiés espagnols, l’organisation de la grande grève de résistance des mineurs en 41 et qui fut déportée trois ans, à partir de 42, à Ravensbrück où elle fut une des animatrices de la Résistance du camp de concentration.

Ce fut passionnant et très émouvant.

Martha l’illettrée jusqu’à 28 ans, qui a appris à lire aux écoles du Parti. Martha la seule femme présente aux accords de Matignon de juin 36, Martha courage, Martha la rassembleuse,au panthéon!
Sa place est aux côtés de sa voisine de châlis à Ravensbruck Geneviève de Gaulle Anthonioz, !

Pierre a ensuite continué son Tro Breiz en intervenant à Morlaix et à Lorient.

Merci Pierre.
L’association des amis de Martha Desrumaux va demander à la mairie de Brest qu’un lieu lui soit consacré.

Article contenant des compléments d’informations sur

Martha Desrumeaux :

Vidéo : Conférence de Renaud Faroux sur les origines de l’abstraction.

Conférence de l’historien d’art, Renaud Faroux, spécialiste et ami de Ladislas Kijno, au Mille-Club de Landerneau, organisée par le PCF Finistère: aux sources des œuvres de Jean-Michelle Riopelle et Joan Mitchell, aux origines de l’abstraction.

 

 

 

 

 

 

 

Video : Glenn Le Saout sur Tébéo

Glenn Le Saout candidat du Finistere pour le PCF aux éléctions européennes était l’invité politique du journal de Tébéo le 5 février 2019
« Très jeune candidat pour un très vieux parti? « 
« Nous sommes redevenus le premier parti de France en nombre d’adhérents, 800 adhérents dans le Finistère, 2500 en Bretagne, on nous voit beaucoup défendre les services publics, comme la maternité de Guingamp ou la Cardiologie à Morlaix, à l’intérieur de comités de défense de l’hôpital où nous cherchons à rassembler »
« Nous avons une liste à l’image du parti communiste, une liste d’ouvriers, d’employés, d’étudiants, de retraités, une liste de gens ordinaires qui font des choses extraordinaires »
 » Les sondages ce n’est pas une science exacte, le rassemblement nous on le souhaite. EELV et France Insoumise ne sont pas favorables au rassemblement. Avec Génération.s, il y a des discussions sérieuses et une volonté de rassemblement aussi à la base chez de nombreux militants des deux organisations. »
 » Nous avons des Gilets Jaunes sur notre liste. Les propositions de loi de nos parlementaires ont une résonance chez les Gilets Jaunes, comme le RIC, la taxation à la source des profits des multinationales, le rétablissement de l’ISF, etc »
« Nous vivons dans un monde où le système capitaliste a montré ses limites. Il faut le dépasser ».

 

Vidéo : Questions/réponses avec Ian Brossat le 01 Février 2019 au Relecq-Kerhuon

180 personnes au Relecq-Kerhuon pour la rencontre-débat de Ian Brossat sur les élections européennes organisée par le PCF Finistère ce vendredi 1er février, dans une ambiance fraternelle et combative, avec les interventions aussi de deux autres candidats aux Européennes, sur la liste approuvée à 99,5% dans notre département le lendemain, Cindérella Bernard Première adjointe d’une commune rurale des Côtes d’Armor, présidente du groupe communiste au conseil départemental, militante associative Langue, école et culture bretonne (40 ans), une des étoiles montantes du communisme en Bretagne, et Glenn Le Saout (20 ans), le candidat finistérien, étudiant, ex-président du syndicat lycéen FIDL pour la Bretagne, animateur de la bataille contre la loi El Khomri dans le Finistère, bénévole associatif. C’était salle des associations Germain Bournot, le nom d’un camarade. Ian Brossat était chez lui.

Auparavant, Ian et les autres candidats ont effectué une table ronde avec des acteurs de la pêche, de la construction navale, et de l’économie maritime, pour évoquer différents aspects des enjeux actuels en termes de maritimité, de réindustrialisation, de protection de la pêche artisanale respectueuse de la ressource, de lutte contre les importations de poissons pêché dans des conditions bien moins glorieuses, de désarmement nucléaire, de relance de la construction et de la déconstruction navale, de développement des EMR, énergies marines renouvelables, et des éoliennes offshore, puis, pendant 40 minutes avant le meeting, toujours avec les autres candidats et moi-même, ainsi qu’avec Jacqueline Héré, maire adjointe PCF de quartier de Bellevue à Brest, et Christiane Caro, animatrice de l’atelier santé Bretagne du PCF, Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère, il a rencontré et échangé très fraternellement avec trois gilets jaunes brestois, lucides, courageux et déterminés, tout comme nous! .

Ismaël Dupont

Conférence de Renaud Faroux sur les origines de l’abstraction et visite guidée de l’expo Jean-Michel Riopelle et Joan Mitchell au FHEL des Capucins à Landerneau: du pur bonheur!

Ce samedi 2 février au matin, réveillés de bonne heure après un très beau meeting avec Ian Brossat et nos candidats aux européennes Cindérella Bernard et Glenn Le Saout pour aller voir, avec une trentaine de camarades et amis, l’expo d’art abstrait Jean-Paul Riopelle et Joan Mitchell aux Capucins à Landerneau, avec une belle visite guidée de la médiatrice du FHEL, accompagnés de la conservatrice du musée de Rennes, du scénographe des expositions précédentes Eric Morin (Picasso, Giacometti, Figurations Libres, Henry Moore, Hartung…) et de notre historien d’art préféré Renaud Faroux. Un moment de pur bonheur, entre grâce et émotion devant la matière et les couleurs en mouvement, l’évocation abstraite de la nature et des mythes amérindiens !

Conférence d’une heure trente de l’historien d’art, Renaud Faroux, spécialiste et ami de Ladislas Kijno, ce midi au Mille-Club de Landerneau, organisée par le PCF Finistère: aux sources des œuvres de Jean-Michelle Riopelle et Joan Mitchell, aux origines de l’abstraction.

Avec Renaud Faroux, l’art contemporain devient Cinéma Paradiso en poésie! Merci à lui pour ces expériences rares qui se reproduisent maintenant tous les trois mois.

Après Picasso, Figurations Libres, Henry Moore, une autre percée dans l’art contemporain et moderne pour nous le rendre plus intime et réveiller en nous l’intelligence du cœur face aux créations!

Joan Mitchell ou l’impressionnisme abstrait de la poète de Chicago émigrée au pays de Monnet! A voir à Landerneau jusqu’au 22 avril avec les œuvres de son alter ego, le canadien Jean-Michel Riopelle! Le lyrisme et la structure, la grâce et la violence, le mouvement aérien et le travail de la matière! Un couple tourmenté, porté sur les excès, et finalement malheureux. Le chef d’œuvre d’hommage de Jean-Michel Riopelle à son amour morte d’un cancer de la mâchoire est dédiée à Rosa Luxemburg, lui qui surnommait sa femme, fille de poète et poète elle-même, « Rosa Malheur« .

Ismaël Dupont

Vidéo : Intervention du 1er Fev de Ian Brossat au Relecq Kerhuon (29)

 Réunion publique avec Ian Brossat, tête de liste du PCF, Cinderella Bernard et Glenn Le Saout, candidats sur la liste L’Humain d’abord aux Européennes: 180 personnes réunis pour une Europe des gens, et pas de l’argent!

 

 

Glenn le Saout très à l’aise, drôle et percutant pour son baptême du feu de candidat aux Européennes, a pris la parole vendredi au Relecq-Kerhuon après Ismaël Dupont et Cindérella Bernard, et avant Ian Brossat, en évoquant sa vision de l’Europe, des luttes de la jeunesse, d’une autre vision du développement et de l’efficacité du combat pour les droits et la dignité, nourrie de sa récente expérience au Burkina Faso. Sa devise, le chant des supporters de Liverpool pour cet amoureux de football, joueur et entraîneur de jeunes, « You’ll Never Walk Alone! » En rouge, mes amis et camarades, vous ne marcherez jamais seuls et toutes les remontadas sont possibles, c’est pas le Milan AC de Berlusconi qui dira le contraire!

Les mousquetaires de la bataille contre l’Europe du capital. Trois candidats aux Européennes sur la liste « L’Humain d’abord. L’Europe des gens, pas l’Europe de l’argent »: heureux après une réunion publique intense, chaleureuse et fraternelle: Cindérella Bernard Ian Brossat et Glenn le Saout Le Relecq-Kerhuon, 1er février. 99,5% des voix des adhérents communistes finistériens qui ont voté ont approuvé le choix de la liste soutenue par le PCF et République et Socialisme conduite par Ian Brossat, un formidable candidat doublé d’un homme tout aussi bien! Le communisme du XXIe siècle à ses visages! A l’image des 79 candidats de la liste présentée pour les élections européennes du 26 mai 2019.

 

Brest 6 Fev AG du collectif de défense du service public de l’éducation

COLLECTIF BRESTOIS DE DEFENSE DU SERVICE PUBLIC DE
L’EDUCATION
INVITATION à une ASSEMBLEE GENERALE

des parents, élèves, étudiants, enseignants et personnels
de la maternelle à l’Université

Mercredi 6 février à 18h à BREST /Fac Segalen

La mise en œuvre des réformes se précise.

Nous assistons à une attaque sans précédent contre l’enseignement public, de la maternelle à l’Université.
– Baisse générale des moyens
– Précarisation des personnels
– Concurrence déloyale du privé
– Inégalités sociales et territoriales renforcées
– Mise en œuvre d’économies d’échelle à tous les niveaux, au détriment de la qualité du service rendu aux élèves et à leurs familles

Lors de notre première assemblée générale, nous avons débattu des conséquences de laréforme du lycée :

– Réforme de l’enseignement général : spécialités non disponibles dans tous les lycées
(liberté de choix illusoire, même au sein d’un même établissement), concurrence entre les lycées, classes surchargées
– Accès au supérieur problématique (Parcoursup, système de sélection pour l’entrée à l’Université, rejetant les élèves dont les dossiers scolaires ne conviennent pas, concurrence entre les élèves)
– Casse de l’enseignement professionnel, avec la réduction du nombre d’heures d’enseignements généraux, dans l’objectif de former des exécutants, et non plus des citoyens.

Quel avenir pour l’école publique de la maternelle à l’Université et le service public en général ?

Pour s’informer, débattre et s’organiser :

RENDEZ-VOUS MERCREDI 6 FEVRIER 2019 à 18h00
Faculté Segalen, salle A 212
(Boulevard Clemenceau à Brest)

Appel du 5 Février, lieux et horaires dans le Finistère.

Un puissant mouvement social s’exprime dans tous le pays. Il est traversé par une forte exigence sociale, fiscale et démocratique. Il va des gilets jaunes aux multiples mobilisations dans les entreprises, les hôpitaux ou les grandes enseignes de commerce. Les communistes se sentent pleinement solidaires et investis dans ces mouvements.

 

Les premières revendications recueillies dans les mairies qui ont ouvert des cahiers de doléances font largement état de l’exigence sociale et de justice qui s’exprime au travers du mouvement des gilets jaunes et de toutes les mobilisations en cours. Les inégalités, l’affaiblissement des services publics, l’injustice de la politique d’Emmanuel Macron sont vivement dénoncés. A l’heure où s’ouvre le Grand débat national, faisons entendre notre voix pour donner de la force à nos revendications sociales et démocratiques. A cet effet, le PCF lance des cahiers de doléances pour recueillir l’expression de tous les citoyen.ne.s.

 

58 milliards pour les actionnaires, rien pour les salaires !

Le 5 février défendons nos droits !

 

En 2018, les entreprises du CAC40 ont distribué 57,9 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires, en hausse de 12% par rapport à 2017. Les riches ne l’ont jamais été autant et la concentration des richesses s’accélèrent. A l’opposé, les travailleurs n’arrivent plus à vivre de leur travail, les retraités sont ponctionnés et les privés d’emploi menacés d’être encore plus pistés avec la réforme de l’assurance chômage. Quant aux annonces de Macron face au mouvement social, si elles sont une premières victoires, elle sont largement insuffisantes (pas de retour de l’ISF, rien pour les salaires…) et couplées d’une répression policière inacceptable.

Porter haut nos revendications sociales et démocratiques

Les premières revendications recueillies dans les mairies qui ont ouvert des cahiers de doléances font largement état de l’exigence sociale et de justice qui s’exprime au travers du mouvement des gilets jaunes et de toutes les mobilisations en cours. Les inégalités, l’affaiblissement des services publics, l’injustice de la politique d’Emmanuel Macron sont vivement dénoncés. A l’heure où s’ouvre le Grand débat national, faisons entendre notre voix pour donner de la force à nos revendications sociales et démocratiques. A cet effet, le PCF lance des cahiers de doléances pour recueillir l’expression de tous les citoyen.ne.s.

AGIR POUR LE POUVOIR D’ACHAT ET LA JUSTICE SOCIALE

Rétablissement de l’ISF, de la flat tax et de l’exit tax

→ Prélèvement à la source des multinationales

Suppression du CICE

→ Plan de lutte contre l’évasion fiscale

Augmentation du SMIC de 260 euros bruts

→Revalorisation des pensions de retraites

Ouverture de négociations salariales

→TVA à 5,5% sur les produits de premières nécessites

Renforcement de la gratuité des transports

Pétition : Pour l’interdiction des Flash-Ball et des grenades de désencerclement

La répression contre les Gilets Jaunes a été massive. Les chiffres en donnent toute l’étendue : plus de 5 600 interpellations et gardes à vue, plus de mille condamnations. Le bilan officiel fin 2018 recensait environ 3 000 blessés et mutilés. Des femmes et des hommes dont la vie aura été brisée.

Le gouvernement a fait le choix d’un maintien de l’ordre brutal et disproportionné face au mouvement : dispositifs policiers démesurés, journalistes bousculés et empêchés de travailler, gardes à vue et arrestations préventives, gazages et matraquages systématiques, évacuations violentes, tirs de Flash‐Ball et de grenades de désencerclement, drones et hélicoptères, déploiement de blindés…

En annonçant le retour de la loi « anti‐casseurs », invention de la droite après Mai 68, le Premier ministre affiche la couleur. La désescalade n’est pas l’option du gouvernement. La matraque est désormais sa seule réponse politique !

Le choix de la force et de l’affrontement est toujours la tentation d’un pouvoir affaibli, ébranlé par une exigence démocratique et sociale qui vient des profondeurs du pays, et qui le conteste. L’escalade répressive et l’utilisation intensive des moyens de police finissent d’ailleurs par mettre en danger les gendarmes et les policiers eux‐mêmes.

Le Président, le gouvernement, la majorité parlementaire et leurs relais médiatiques en appellent aujourd’hui à la défense des institutions et de la République pour mieux se protéger et justifier la criminalisation d’un mouvement qui ne saurait se résumer aux violences que nous condamnons. Ce faisant, ils nourrissent la logique infernale de la « provocation‐répression » et minent en fait encore un peu plus les bases de notre pacte républicain.

Nous sommes bien en face d’une incompréhension de classe, doublée d’une tentative désespérée de mettre à l’abri une oligarchie qui a permis à Emmanuel Macron d’accéder au pouvoir.

Ce choix de la répression et de la violence policière est à l’œuvre depuis longtemps dans les quartiers populaires et touche particulièrement les pauvres, les précaires, les jeunes, les migrants. Il est également à l’œuvre contre les ZAD et contre les mouvements d’écologie radicale. Les victimes de ces politiques avaient une vie, des familles, des rêves. Elles ont aussi des noms : Remi Fraisse à Sivens, Adama Traoré à Beaumont‐sur‐Oise.

La « maladie sécuritaire » ne date pas d’aujourd’hui. Emmanuel Macron n’est qu’un accélérateur de particules. Il est le digne héritier des gouvernements précédents, qui avaient bien commencé le travail de régression en matière de libertés publiques et d’attaques contre le pacte social.

Rappelons toutes les lois votées qui ont relégué le juge derrière le préfet, le procureur et le policier, suivies par le basculement, par cette nouvelle majorité, de dispositions de l’état d’urgence dans le droit commun. Aujourd’hui, Édouard Philippe n’a plus qu’à « piocher » dans cet arsenal répressif, « co‐construction » de la droite et du gouvernement Hollande‐Valls, pour réprimer et diaboliser un mouvement auquel il ne veut pas répondre.

Les Gilets Jaunes ont mis le doigt sur tout ce qui ne va pas et le rappellent à chaque rond‐point. Il est temps de trouver des remèdes pour soulager ce corps malade qu’est devenue la France et d’apporter des réponses concrètes aux attentes de justice et de démocratie exprimées par les manifestant.e.s, notamment le rétablissement de l’ISF, la mise en place du RIC (dont les modalités restent à définir), une fiscalité plus juste pour les PME et TPE, notamment celles travaillant pour la transition écologique, une réelle augmentation du SMIC et des minima sociaux, la baisse du prix des produits de première nécessité.

Nous devons, et nous allons combattre la nouvelle étape annoncée par le Premier ministre dans la mise sous tutelle du droit de manifester, inspirée de la proposition de loi du sénateur LR Bruno Retailleau. Aujourd’hui ce sont les Gilets Jaunes qui sont visés. Demain, nous pourrons l’être toutes et tous.

Il est grand temps d’abandonner et d’interdire toutes les armes dites non létales dont l’utilisation conduit à des mutilations ou à des morts telles que les Flash‐Balls et les grenades de désencerclement – et d’en finir avec l’arbitraire de l’État policier, des lois et de la justice à deux vitesses, qui garantissent aux puissants et aux forces de l’ordre l’impunité et imposent à celles et ceux qui contestent l’ordre établi la répression sans limites.

Mais au‐delà de ce combat contre la criminalisation et la répression de masse et pour nos libertés, une autre responsabilité nous incombe à toutes et à tous, qui exige la mobilisation la plus déterminée possible : celle de pousser au changement que les Gilets Jaunes et tant de citoyen.ne.s exigent à raison aujourd’hui.

Premiers signataires

Esther Benbassa, sénatrice EELV de Paris, Sergio Coronado, ancien député, Noël Mamère, ancien député et ancien maire écologiste, Pouria Amirshahi, journaliste, Patrick Apel‐Muller, directeur de la rédaction de L’Humanité, Cathy Apourceau‐Poly, sénatrice PCF du Pas‐de‐Calais, Eliane Assassi, sénatrice PCF de Seine‐Saint‐Denis, Jean‐Christophe Attias, universitaire, Clémentine Autain, députée FI de la 11e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Guillaume Balas, coordinateur de Génération.s, Julien Bayou, conseiller régional IdF (groupe AES), porte‐parole d’EELV, David Belliard, président du groupe des élu.e.s écologistes au Conseil de Paris, Ugo Bernalicis, député FI de la 2e circonscription du Nord, Olivier Besancenot, porte‐parole du NPA, facteur, Éric Bocquet, sénateur PCF du Nord, Youcef Brakni, Comité Adama, Céline Brulin, sénatrice PCF de la Seine‐Maritime, Damien Carême, maire de Grande‐Synthe, Hugues Charbonneau, producteur, Eric Coquerel, député FI de la 1ère circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Alain Coulombel, secrétaire national adjoint d’EELV, Laurence Cohen, sénatrice PCF du Val‐de‐Marne, Antoine Comte, avocat, Yves Contassot, animateur de l’espace Idées de Génération.s, Laurence De Cock, historienne, Didier Éribon, philosophe, Fabien Gay, sénateur PCF de Seine‐Saint‐Denis, Guillaume Gontard, sénateur écologiste de l’Isère, Nicolas Haeringer, militant de la justice climatique, Eva Joly, députée européenne EELV, Mathilde Larrère, historienne, Geoffroy de Lagasnerie, philosophe et sociologue, Pierre Laurent, sénateur PCF de Paris, Jean‐Paul Lecocq, député PCF du Havre, Marie‐Noëlle Lienemann, sénatrice de Paris, apparentée CRCE, Édouard Louis, écrivain, Pierre Mairat, avocat, coprésident du MRAP, Jean‐Luc Mélenchon, président du groupe FI à l’Assemblée nationale, Claire Monod, conseillère régionale IdF (groupe AES), coordonnatrice de Génération.s, Danièle Obono, députée FI de la 17e circonscription de Paris, Pierre Ouzoulias, sénateur PCF des Hauts‐de‐Seine, Pascal Savoldelli, sénateur PCF du Val‐de‐Marne, Sophie Taillé‐Polian, sénatrice Génération.s du Val‐de‐Marne, Thomas Porcher, économiste, Sabine Rubin, députée FI de la 9e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Serge Slama, professeur de droit public, Université de Grenoble‐Alpes, Assa Traoré, Comité Adama, Marie‐Christine Vergiat, députée européenne Front de Gauche, Benedicte Monville, conseillère régionale IdF (groupe AES), Alexis Corbière, député FI de la 7e circonscription de Seine Saint‐Denis, Bastien Lachaud, député FI de la 6e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Mathilde Panot, députée FI de la 10e circonscription du Val de Marne.

Liens vers la pétition et autres sites d’information :

 

 

Pierre Outteryck, Brest le 4 février, Morlaix le 5 février.


Martha Desrumaux – la solidarité populaire au cœur –
Conférences de l’historien Pierre Outteryck à Brest le lundi 4 février et à Morlaix le mardi 5 février.

Infos le 4 février pour Brest : http://pcf29.org/brest-4-fevrier-conference-martha-desrumaux-par-pierre-outteryck/

Le mardi 5 février : Pierre Outteryck sera à Morlaix pour les Mardis de l’éducation populaire sur Martha Desrumaux, 18h au local du PCF, 2, petite rue de Callac.

Martha naquit à Comines (59) en 1897. À 9 ans, elle doit travailler comme bonne à tout faire, son père ayant été écrasé par la pompe à eau des pompiers. Parmi les domestiques règne la précarité, la misère et la peur… Aucune solidarité ! Très vite, elle décide de devenir ouvrière ; le monde ouvrier construit à cette époque des solidarités de classes face à un patronat qui se croit roi absolu. À 13 ans, elle adhère à la CGT, puis aux jeunesses socialistes d’avant 14.

Évacuée à Lyon, elle y vit la fin de la guerre et participe à la solidarité envers les populations de la Volga, victimes de la famine après la guerre 14/18 et la guerre civile.

Engagée dans le PC et la CGTU, elle va animer les luttes ouvrières de l’entre-deux-guerres et particulièrement la grève des dix sous à Halluin de septembre 1928 à avril 1929. Elle parvient à convaincre les mamans à accepter de laisser leurs enfants rejoindre pendant plusieurs mois des familles d’accueil ; les enfants échappent ainsi à la misère liée au refus de toute négociation.

En 1936, Martha est une des figures de proue du mouvement ouvrier et du Front populaire. Dès septembre, elle organise dans les Hauts-de-France et en Champagne, la solidarité avec la République espagnole menacée par le coup d’État de l’extrême droite franquiste… Solidarités multiformes : impulsion des Brigades internationales en choisissant les jeunes susceptibles de partir en Espagne se battre aux côtés de l’armée républicaine, collecte de couvertures, de chaussures, de produits alimentaires et envoi d’ambulances pour aider les Républicains , accueil dans des familles du Nord Pas -de- Calais de plus de 500 enfants espagnols victimes du conflit. Notre ami Gilbert Avril, futur dirigeant du SPF du Nord, se souviendra de l’arrivée de ces enfants dans le bassin minier. Martha est présente à de nombreux meetings organisés par le SPF naissant pour favoriser la solidarité envers l’Espagne. Enceinte, Martha se rendra à plusieurs reprises en Espagne et deviendra l’amie de la Passionaria dirigeante du Frente popular espagnol.

Durant l’Occupation, le SPF aide des familles de mineurs déportés après la grande grève de mai/juin 1941. Plusieurs dirigeants du SPF seront arrêtés et déportés comme l’instituteur Résistant Willy Dubois.

Arrêtée le 26 août 1941, Martha est déportée au camp de Ravensbrück. Ici encore, elle y organise la solidarité. En décembre 1943 elle aide Charlotte Rosenberg et ses trois très jeunes enfants à survivre dans cet enfer. Aujourd’hui encore, Lili Rosenberg Leignel témoigne auprès de la jeunesse de cette solidarité qui lui a permis de survivre. Rescapée de Ravensbrück, redevenue responsable de la CGT, Martha organise avec le SPF la solidarité pour les enfants des mineurs grévistes de 1948 (aide alimentaire, aide vestimentaire, accueil des enfants dans la région parisienne, aide juridique pour les mineurs jugés pour fait de grève). En 1965, elle est présente lors de l’inauguration du premier local du SPF à Lille Wazemmes. Nous la retrouvons à Toulon dans les années 70 entre autres auprès du SPF piloté dont la cheville ouvrière sera Jo Séguy. Grande figure du mouvement ouvrier et de la solidarité, Martha est au centre de la campagne « Ouvrir le monde ouvrier au Panthéon, Martha Desrumaux, pour une ouvrière au Panthéon, campagne à laquelle participe, notre ami, symbole de la Résistance, Julien Lauprêtre.

Laurence Dubois
Présidente des Ami.e.s de Martha Desrumaux
Janvier 2019

 

Face au blocage de Macron, amplifier les mobilisations .

Le PCF appelle à la mobilisation le 5 février

A l’appel de la CGT, le PCF sera mobilisé pour la grève et les manifestations mardi 5 février prochain.

Alors que la mobilisation des gilets jaunes continue, alors que les réponses apportées sont insuffisantes, le PCF sera mobilisé mardi 5 février partout en France pour répondre à l’urgence sociale.

Les communistes s’impliqueront dans tous les échanges citoyens, les favoriseront et aideront à ce qu’ils se traduisent en propositions concrètes.

C’est dans cet esprit que le PCF souhaite que s’élaborent partout des « Cahiers d’espoir », nouveaux cahiers de doléances de ce XXI° siècle, où chacune et chacun pourra s’exprimer, faire état de ses revendications, avancer des solutions qui correspondront aux besoins les plus urgents de nos concitoyens.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, participera à la manifestation parisienne aux côtés d’élu-es et de militant-es communistes.

Paris, le 30 janvier 2019.

Cahier de l’espoir : https://www.humanite.fr/cahiers

Mobilisation générale pour L’Humanité.

Vous l’aurez sans doute entendu ou lu, le journal « L’Humanité » est dans une très grave situation.

Il y a donc nécessité de l’aider à continuer d’être le relais des luttes, des batailles qui fleurissent ici et là, en France ou dans le monde.

Si l’Huma venait à disparaître, qui pourrait relayer ce qui se passe en Palestine, à l’usine Blanquefort, dans le monde du travail (dans les Services Publics et les entreprises), porter une voix internationaliste pour la Paix, le développement, contre l’impérialisme, le néo-colonialisme, la montée des extrêmes-droites en Autriche, Hongrie, Pologne, dans le monde bouillonnant de la culture, dans les progrès scientifiques bénéfiques pour la population et non pour quelques actionnaires…. Qui dénoncerait avec justesse et virulence les profits outranciers des multinationales… qui serait capable comme en 2005 de décrypter ligne à ligne, mot à mot le projet de TCE pour aider les électeurs à  se battre contre celui-ci…

Bref des sujets dont le reste de la presse écrite ne parle guère, puisqu’elle est tenue par le monde la finance qui impose les lignes éditoriales. Faudra-t-il en arriver à ne plus avoir en kiosque que Les Echos, le Figaro, Challenges,…. qui sont des journaux aidés par des patrons du CAC 40 ?

L’indépendance de l’Huma, voilà ce qui gêne le nouveau monde de Macron et ses copains financiers.

Depuis 2015, l‘Humanité perd 1 millions d’euros par an lié à la suppression des aides à la presse touchant peu de recettes publicitaires. Des journaux qui perdent des lecteurs, sont achetés par des milliardaires et des groupes financiers pour avoir une influence, n’ont pas de réelle indépendance par rapport au monde de l’argent, sont bien plus aidés que l’Humanité. Renault met 2,5 millions d’€ dans Challenge. Le Monde et Libération appartiennent à des stars du CAC 40. Marianne a un milliardaire russe, etc.

Alors, si chacun.e d’entre nous contribue, même modestement, à soutenir la parution de l’Huma, s’abonne, propose l’abonnement, achète l’Huma hebdo chaque vendredi (au passage, il me reste un n° de cette semaine, 3,50€ !), l’Huma continuera d’être le relais de vos combats, de nos batailles, bref sera le journal de chacun.e d’entre nous.

L’Humanité va lancer une grande campagne d’abonnement / 2 mois découverte à 27€

Contrairement à ce qui s’est dit dans certains médias, le « lectorat de l’Huma ne s’effondre pas avec le vieillissement et la raréfaction des militants communistes » (France Inter hier, dans un commentaire scandaleux!). Le lectorat de l’Huma a baissé pendant des années mais remonte depuis 2 ans mais les coûts afférents augmentent, les recettes publicitaires baissent, et l’aide d’Etat pour le maintien du pluralisme de la presse aussi. L’Humanité numérique est encore en phase de rodage et coûte moins cher à l’abonnement que d’autres titres.

NB : tout don ouvre droit à 66 % de déduction fiscale du montant versé.

Ismaël Dupont

Pour faire un don par internet : https://www.donspep.caissedesdepots.fr/?journal=huma

Bulletin pour faire un don par chèque cliquez ici !!!

Site internet de la souscription : https://www.humanite.fr/mobilisation-humanite-souscription-exceptionnelle-667137

Découvrez la liste présentée par le PCF aux élections européennes et conduite par Ian Brossat

Le Conseil National du PCF réuni à la bourse du travail de Saint-Denis a validé samedi 26 mai le choix des 79 candidats présents sur la liste « L’Humain d’abord. Pour une Europe des gens, par de l’argent » conduite par Ian Brossat pour les élections européennes du 26 mai prochain.

Parmi eux, quatre candidats bretons, des quatre départements de la Bretagne administrative: Cinderella Bernard, première adjointe de sa commune, militante associative, présidente du groupe communiste au Département des Côtes d’Armor (32e), Katja Krüger, comédienne franco-allemande, ancienne syndicaliste et socialiste ouvrière allemande, élue à la Petite Enfance à Rennes (38e), Christelle Dumont (aide-soignante de l’hôpital Yves Lanco à Belle-Ile-en Mer, syndicaliste, qui a fait une grève de la faim pour protester contre les conditions de travail dans l’hôpital public (58e), Glenn Le Saout, 20 ans, étudiant, ancien président de la FIDL Bretagne (Taulé, Morlaix).

Voici la liste sur laquelle les adhérents communistes seront appelés à voter du 31 janvier au 2 février, sachant que nous n’avons pas renoncé à poursuivre les discussions que nous avons engagées avec d’autres formations de gauche en vue d’un éventuel rassemblement (avec Génération.s. notamment, avec qui des contacts sérieux ont eu lieu, EELV et FI ne voulant pas du rassemblement).

Une très belle liste soutenue par le PCF et « République et socialisme » avec des personnalités extrêmement diverses, toutes engagées fortement sur le terrain humaniste, social et des luttes, de nombreux non communistes aussi, 50% d’ouvriers et d’employés. Une liste représentative du monde du travail et de la vraie vie!

Candidatures Européennes:

1. Ian Brossat (38 ans)

Professeur de français, Maire adjoint de Paris chargé du logement et de l’hébergement d’urgence, auteur de plusieurs livres, dont le dernier sur la nouvelle économie « Airbnb, la ville ubérisée ». Outre son combat pour la régulation des géants du numérique, Ian Brossat a ouvert le premier centre d’hébergement pour sans-abris dans le 16e arrondissement de Paris ».

2. Marie-Hélène Bourlard (61 ans)

Ouvrière textile pendant 43 ans à Poix dans le Nord et figure du documentaire « Merci Patron! ». Marie-Hélène Bourlard a été à la tête du combat face à Bernard Arnault, première fortune de France (57 milliards de patrimoine) afin d’éviter la délocalisation de son usine. Le 26 mai prochain, elle deviendra la première femme ouvrière à siéger au Parlement européen.

3. Patrick Le Hyaric (61 ans)

Directeur du journal L’Humanité, député européen sortant et conseiller municipal d’Aubervilliers.

4. Marie-Pierre Vieu (51 ans)

éditrice, mobilisée sur les sujets de culture et engagée dans sa ville de Tarbes, députée européenne.

5. Mamoudou Bassoum (35 ans)

« J’avais pris deux choses en partant: le drapeau français et mon gilet jaune ». Médaillé d’or aux championnats d’Europe de Taekwendo, le 1er décembre dernier, Mamoudou Bassoum est monté sur le podium des championnats d’Europe avec son gilet jaune sur les épaules, en soutien au mouvement qu’il a rejoint dès les premières heures. Ingénieur dans le Loiret.

6. Julie Pontalba (40 ans)

Enseignante au collège à Saint-Leu (La Réunion), Julie Pontalba est membre du Parti Communiste réunionais (PCR). Elle a été candidate de rassemblement des forces de gauche, et militante pour la paix.

7. Anthony Gonçalves (47 ans)

Cancérologue et enseignant à la faculté de Médecine de Marseille. Il milite contre les fermetures d’hôpitaux de proximité. A l’échelle européenne, il plaide pour la création d’un pôle public du médicament.

8. Maryam Madjidi (38 ans)

Prix Goncourt du premier roman (2017) et Prix Ouest-France étonnants voyageurs (2017) pour « Marx et la poupée ». D’origine iranienne, Maryam n’est pas seulement une écrivaine reconnue et nouvelle figure de la littérature française: elle est aussi bénévole dans une association d’apprentissage de la langue française pour les réfugiés.

9. Arthur Hay (28 ans)

Livreur (Deliveroo), Arthur Hay est à l’initiative du premier syndicat de France des coursiers à vélo. Face à l’ubérisation de la société, il milite pour la régulation à l’échelle européenne et une protection des salariés de la nouvelle économie.

10. Barbara Filhol (45 ans)

Aide-soignante, secrétaire générale du syndicat des EHPAD du Val-de-Marne, investie pour l’amélioration des de l’accueil de nos aînés et des conditions de travail du personnel soignant. Dans un pays comptant 14 millions de retraités, il s’agit d’un sujet de société majeur.

11. Franck Saillot

Ouvrier de la papeterie Arjowigins de Wizernes dans le Pas-de-Calais, il a occupé avec ses collègues durant 3 ans, jour et nuit, son usine pour en éviter la fermeture et la délocalisation. Grâce à leur lutte, Franck Saillot et ses collègues ont trouvé un repreneur à l’automne 2018, et sauvé une centaine d’emplois.

12. Claire Cemile Renkliçay

Co-présidente du Conseil démocratique kurde de France, militante pour la paix et élue à Grigny.

13. Michel Jallamion (44 ans)

Président de la Convergence nationale des services publics, conseiller régional d’Ile-de-France. Membre du mouvement République et Socialisme.

14. Sophia Hocini

Salariée de l’économie sociale et solidaire à Paris, militante associative dans les quartiers populaires.

15. Stanislas Baugé

Chauffeur routier à La Rochelle (17), Stanislas Baugé s’est mobilisé avec ses collègues devant le Parlement Européen pour défendre les conditions de travail des routiers et éviter le dumping social et le travail détaché.

16. Manuela Dona (48 ans)

Douanière et syndicaliste au Havre. Militante pour la création d’une Douane européenne.

17. Michel Branchi

Économiste, élu à l’Assemblée de Martinique, dirigeant du Parti communiste martiniquais, conseiller territorial de Martinique.

18. Elina Dumont (50 ans)

SDF pendant 15 ans, Elina Dumont est de ceux qui plaident pour le retour de l’ISF et un meilleur partage des richesses en France et en Europe. Désormais comédienne et chroniqueuse régulière aux « Grandes gueules » (RMC), elle soutient le mouvement des Gilets Jaunes.

19. Benjamin Amar (42 ans)

Professeur d’histoire-géographie au lycée Gutemberg de Creteil, débatteur reconnu sur les plateaux télés, responsable syndical dans le Val-de-Marne

20. Sarah Chaussy

Paysanne, conseillère municipale à Sceautres, petit village de 150 habitants en Ardèche.

21. Loïc Pen

Médecin à l’hôpital de Creil, il a démissionné de son poste de chef de service des urgences pour protester contre la fermeture de la maternité. Lanceur d’alerte.

22. Christine Mequignon

Cheminote en Auvergne-Rhônes-Alpes, représentante des salariés à la SNCF.

23. Pascal Pontac

Grutier au port de Saint-Nazaire, responsable du syndicat des ports et docks.

24. Michèle Picard (51 ans)

Restauratrice, maire de Vénissieux.

25. Ralph Blindauer

Avocat au barreau de Metz, il a défendu de nombreux salariés en lutte dans toute la France, comme les 300 salariés marseillais d’une chaîne de fastfood, les métallos dijonnais contre TRW, ou encore les embouteilleurs aux Pennes-Mirabeau. Il a contribué au film « En Guerre » présenté au dernier Festival de Cannes.

26. Anne Laure Perez

Artiste sculptrice, maire-adjointe à Gennevilliers.

27. Franck Merouze

Salarié de la grande distribution, il a également accompagné les salariés de la biscuiterie Jeannette dans leur combatr victorieux pour sauvegarder les emplois (Calvados)

28. Marianne Journiac

Infirmière syndicaliste à l’Assistante publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP). Dirigeante de « République et Socialisme ».

29. Belaïde Dedreddine

Vice-président du Conseil départemental de Seine St Denis en charge de l’écologie urbaine.

30. Amandine Miguel

Ancienne porte-parole de l’inter-LGBT, Amandine Miguel est militante féministe engagée contre l’homophobie? Paris.

31. Nacim Bardi

Ouvrier métallurgiste à Saint-Saulve et représentant syndicaliste.

32. Cinderella Bernard (40 ans)

éducatrice spécialisée, première adjointe de sa commune, présidente du groupe communiste au Conseil Départemental des Côtes d’Armor, militante associative

33. Jean Luc Bou

Enseignant, militant Droits Humains à SOS Méditerranée en Occitanie (34).

34. Isabelle Liron

Salariée à Pôle Emploi en Bourgogne Franche Comté, syndicaliste

35. Dominique Pani

Employé dans le secteur de l’énergie (26).

36. Hulliya Turan

Assistante sociale, militante des droits humains à Strasbourg.

37. Khaled Bouchajra

Employé chez Amazon. Syndicaliste sur le site de Saran dans le Loiret

38. Katja Krüger (43 ans)

comédienne-chanteuse franco-allemande, ancienne syndicaliste et socialiste ouvrière allemande, élue à la Petite Enfance à Rennes

39. Pierre Lacaze (53 ans)

Infirmier, élu à la Métropole de Toulouse

40. Aicha Dabale

Militante féministe et altermondialiste vivant à Bagnolet (93), Aïcha Dabale est engagée sur la scène internationale dans la lutte contre les violences faites aux femmes

41. Jean Mouzat

Paysan, président du Modef (Mouvement de Défense des Exploitants Familiaux). Elu à Tulle

42. Delphine Pietu (48 ans)

Directrice de l’école primaire de la commune de Thénioux où elle est maire-adjointe (18)

43. Denis Lanoy

Metteur en scène de théâtre à Nîmes. militant des droits sociaux des artistes, des écrivains et intermittents du spectacle.

44. Charlotte Blandiot-Faride (37 ans)

Maire de Mitry-Mory (77)

45. Arnaud Petit

Ouvrier métallurgiste, maire de Woincourt dans la Somme

46. Virginie Neumayer (44 ans)

Technicienne, syndicaliste à EDF

47. Aurélien Gall (36 ans)

Représentant des salariés de l’agriculture. Conseiller prud’homal. Président de la Fédération colombophile de Picardie.

48. Patricia Tejas

Agent administratif des Finances Publiques. Secrétaire générale d’une fédération des Finances. Militante auprès des sans-papiers (67)

49. Aurélien Aramini

Professeur de philosophie au Lycée Gustave Courbet à Belfort

50. Sandrine Macigno

Travailleuse de l’Etat sur la base navale de Cuers dans le Var, syndicaliste (83)

51. Cyrille Bonnefoy

Infirmier, maire de la Ricamarie (42)

52. Emilie Lecroq (37 ans)

Militante de l’éducation populaire à Saint-Ouen (93).

53. Emmanuel Trigo (44 ans)

Enseignant et responsable syndical dans le Var (83

54. Cathy Apourceau Poly

Attachée territoriale, sénatrice du Pas-de-Calais

55. Michel Stefani

Conseiller à l’Assemblée de Corse (20)

56. Lucie Martin (18 ans)

Étudiante syndicaliste à Sciences-Po Grenoble.

57. Youssef Benamar

éducateur spécialisé, artiste et élu de la ville d’Allonnes (72)

58. Christelle Dumont

Aide-soignante de l’hôpital Yves Lanco à Belle-Ile-en Mer (Morbihan), syndicaliste, qui a fait une grève de la faim pour protester contre les conditions de travail dans l’hôpital public

59. Sébastien Nugou

Cheminot dans le Loiret. Secrétaire régional syndicat SNCF

60. Laëtitia Maure

Aide à domicile dans les Pyrénées-Orientales

61. David Blaise

Ouvrier métallurgiste et syndicaliste en Meurthe-et-Moselle

62. Lamya Kirouani

Fonctionnaire territoriale. Vice-présidente du Conseil Départemental du Val-de-Marne (94)

63. Aurélien Crifo (37 ans)

Auteur et interprète. Gilet Jaune (68)

64. Maryline Lucas

Maire de Guesnain (59)

65. Yves Dedevec

Salarié Airbus en Loire-Atlantique

66. Mina Idir (43 ans)

Responsable d’exploitation dans le transport de marchandise, secrétaire départementale PCF Vaucluse, militante associative

67. Glenn Le Saout (20 ans)

étudiant, ancien président de la FIDL Bretagne (syndicat lycéen), bénévole dans une association sportive

68. Geneviève de Gouveia (56 ans)

Militante au Secours Populaire à Montluçon, conseillère départementale de l’Allier

69. Alain Pagano

Enseignant chercheur en écologie et biologie à l’université d’Angers, conseiller municipal à Angers

70. Sandra Blaise (45 ans)

Formatrice, syndicaliste (88)

71. Edmond Baudouin (76 ans)

Dessinateur de BD et écrivain. Alpes-Maritimes

72. Ghislaine Noirault

Ouvrière retraitée à Trimouille (86)

73. Florian Monteil

Ingénieur agronome. Syndicaliste agricole du Lot-et-Garonne

74. Nathalie Fabre (45 ans)

Présidente d’un club de Rugby en Dordogne et du club Agenais. Maire de Beaumont-du-Périgord

75. Fréderic Boulanger

Psychiatre à Nancy

76. Cécile Cukierman (42 ans)

Professeur d’histoire-géographie, sénatrice de la Loire, porte-parole du PCF avec Ian Brossat

77. Gilbert Garrel

Cheminot syndicaliste, président de l’Institut d’Histoire Sociale

78. Odette Nilès (94 ans)

Grande résistante française arrêtée par les Nazis en août 1941. Fiancée de Guy Môquet. Doyenne de la liste

79. André Chassaigne (68 ans)

Principal de collège, président du groupe communiste GDR à l’Assemblée Nationale

Prochaines actions de la CGT Brest, Finistère, National

 

Mercredi 30 janvier : Appel du syndicat CGT CHU de Brest

A l’invitation du directeur de l’Hôpital de Brest, Apple, Orange et le CNES

viennent le mercredi 30 janvier pour une soirée sur le thème de «osez un

hôpital innovant». Pour la CGT CHU il s’agit d’une opération de marketing de

grands groupes privés qui cherchent à tirer des profits de l’hôpital public.

Appel à la mobilisation de 18 à 20 heures devant le multiplex boulevard Clemenceau

Jeudi 31 JANVIER : MOBILISATION DES RETRAITÉ.E.S QUIMPER

« Reprenez vos cadeaux, rendez-nous notre pouvoir d’achat ! »

Le message des neuf organisations syndicales et associations de retraités

est on ne peut plus clair. Ce 31 janvier comme lors des mobilisations précédentes

les retraités exigeront :

– l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités ;

– la revalorisation des pensions, conformément au code de la sécurité sociale,

à la hauteur de l’inflation : 1,7 % pour 2018 ;

– le retour à l’indexation sur les salaires ;

– le maintien de la pension de réversion selon les modes de calcul actuels.

Dans le Finistère une seule manif à Quimper.

On peut s’inscrire pour les cars à l’UL de Brest

 

Lundi 4 février 18 H Maison du Peuple Brest

L’IHS 29 organise, avec l’association des amis du journal l’Humanité du pays de Brest une conférence sur Martha Desrumeaux présentée par Pierre Outteryck, historien

Née en 1895 dans le nord, ouvrière du textile, militante de la CGT et du PC, elle fut secrétaire

de l’Union régionale de la CGTU, trésorière puis secrétaire adjointe de l’UD du nord,

membre de la Commission exécutive de la CGTU et de la Commission exécutive de la FD

du textile. membre du Comité central et du bureau politique du PCF. Lors des grèves de

juin 1936, elle fut la seule femme à participer aux accords Matignon aux côtés de Benoit

Frachon. Au moment de la guerre d’Espagne, elle a organisé, dans le nord, le recrutement

des combattants des brigades internationales.

 

Pour répondre à l’urgence sociale, la CGT appelle à la grève le 5 février

https://www.cgt.fr/documents/5-fevrier-le-grand-debat-sur-le-bitume

Rennes, Samedi 2 février, Manifestation contre la loi Asile Immigration



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