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Appel du PCF Finistère à participer à la journée d’action intersyndicale du 27 janvier et aux manifestations à 11h à Brest, Morlaix, Quimper, Quimperlé, Carhaix

La fédération du PCF du Finistère appelle les salariés , les retraités les demandeurs d’emploi et les jeunes à participer massivement aux mobilisations qui auront lieu jeudi 27 janvier à l’appel des organisations syndicales.
La mobilisation paie, dans l’éducation Jean-Michel Blanquer a été forcé de faire des annonces qui vont dans le bon sens mais sont très largement insuffisantes. La situation reste intenable dans les écoles, les collèges, les lycées et les lieux d’enseignement supérieur.
De premières victoires ont aussi été obtenues dans les entreprises, notamment dans quelques grands groupes. Mais si, dans certains secteurs et entreprises, des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte. Il faut accélérer pour amplifier cette bataille pour l’augmentation des salaires
Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et, finalement, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités.
Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications, dans le privé comme dans le public.
Les communistes proposent:
– Pour le pouvoir d’achat et le pouvoir de vivre : bloquer les prix alimentaires, de l’eau, de l’énergie, des télécoms ; instituer une TVA à taux zéro sur les produits de première nécessité ; baisser de 20 % la facture d’électricité domestique en révisant les taxes (CSPE et TVA) ; geler les loyers et les prêts immobiliers ; interdire les expulsions locatives ; accorder une prime de 300 euros à toute personne vivant au-dessous du seuil de pauvreté ; prolonger les droits des chômeurs jusqu’à la fin de 2020 et supprimer définitivement la réforme de l’assurance chômage.
– Pour les retraités : revaloriser les pensions. Aucune ne doit se situer en dessous du seuil de pauvreté, la retraite minimum doit correspondre au smic pour toute carrière complète.
Les communistes sont déterminés à rassembler le plus largement pour que ces propositions soient entendues et mises en œuvre tout de suite par le gouvernement, jusqu’à lors plus prompt à faire d’immenses cadeaux fiscaux aux plus riches et aux grandes multinationales qu’à satisfaire les attentes populaires.
Plus durablement, c’est à une nouvelle politique qu’il va falloir s’atteler, qui permette à chacun de vivre dignement de son travail, aux jeunes d’accéder à des emplois stables, aux populations de disposer partout de services publics de qualité, au pays de se doter, de nouveau, d’une industrie assurant notre souveraineté et répondant aux besoins de la société.
Elle implique de réorienter radicalement les richesses vers la satisfaction des besoins des femmes, des hommes, des jeunes plutôt que de toujours gaver les plus riches et les marchés financiers, et de confier de vrais pouvoirs de décision aux citoyens et au monde du travail.
La fédération du PCF du Finistère appelle à manifester à 11 h ce 27 janvier: 
Brest Place de la Liberté
Morlaix Place des otages
Quimper Place de la Résistance
Carhaix Maison des syndicats
Quimperlé place des écoles

Fête de l’Huma Bretagne des 27 et 28 novembre à Lanester: le retour de l’évènement festif et politique des communistes bretons

Fête de l’humanité Bretagne: forte affluence au meeting de la fête de l’humanité Bretagne. Des dizaines d’adhésions, des centaines de contacts réalisés tout au long du week-end. Des Bretons bien déterminés à relever le défi des jours heureux.  Une fête réunissant les 4 fédérations de Bretagne du Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF). La dynamique est lancée, il reste 5 mois avant le premier tour des présidentielles, 5 mois pour ré-enchanter la politique et l’engagement politique. Allons convaincre celles et ceux qui n’y croient plus, que la politique peut parler de nous, de nos réalités et surtout qu’elle peut changer notre quotidien.
Meeting de la fête de l’Humanité Bretagne – discours de Léon Deffontaines, responsable de la JC et porte-parole de Fabien Roussel devant + 1000 personnes.
Voici quelques clichés souvenirs de cette magnifique Fête de L’ Huma Bretagne des 27 et 28 novembre 2021.

Voeux de bonne année 2022 de la fédération du Finistère du PCF

La fédération PCF du Finistère vous souhaite une bonne année 2022!
Avec le Conseil départemental du Parti communiste français du Finistère et l’exécutif de la fédération, nous vous souhaitons une très bonne année 2022, avec la santé, c’est si important, mais aussi nourrie par la joie, le partage, la fraternité, l’humanité et des moments d’engagement social et politique qui nous permettent d’être utiles pour la défense de nos valeurs et idéaux partagés.
Ensemble nous soutiendrons tous les combats pour la justice sociale, la lutte contre la pauvreté, les services publics, notamment celui, si fragilisé, de la santé, la fraternité, la liberté, le féminisme, l’antiracisme, l’écologie, la paix et le désarmement, la solidarité internationale.
Avec nos 865 adhérents, nos 50 élus, les sympathisants des Comités des Jours Heureux, nous serons mobilisé.e.s pour la campagne présidentielle de Fabien Roussel, qui prend un véritable élan depuis des semaines, que nous allons encore amplifier avec notre mobilisation sur le terrain, et les campagnes législatives de nos candidates et candidats communistes sur cette année électorale à très forts enjeux.
Dans un contexte français et international très difficile et dangereux, mais où les idées communistes ont toute leur place, notamment face à l’agressivité et l’inhumanité du capitalisme, la puissance des milliardaires qui concentrent la propriété de nombreux grands médias qui leur permettent de chercher à modeler l’opinion à leur guise, et à la résurgence du fascisme et du racisme, continuons à nous battre pour un monde plus juste et une société meilleure, pour faire reculer les inégalités et la pauvreté, pour que chacun ait une place reconnue dans la société, et le droit effectif au bonheur et à l’accomplissement personnel.
L’an passé, en 2021, dans le Finistère, 40 nouveaux adhérents nous ont rejoints. Cette année, nous allons nous renforcer davantage encore, n’en doutons pas, grâce aux campagnes présidentielles et législatives, au retour de la fête de l’Humanité, à nos actions en direction de la jeunesse et du monde du travail.
Bravo à nos nouveaux adhérents pour cette décision généreuse et forte de s’engager à nos côtés dans le Parti qui depuis 101 ans lutte pour le progrès social et culturel et l’émancipation des travailleurs!
Soyons unis et mobilisés face aux enjeux immenses que nous avons devant nous.
Bonne année à toutes et tous!

Le député communiste du Havre Jean-Paul Lecoq était à Brest pour un débat sur la Paix et le désarmement nucléaire le 8 janvier à la maison des syndicats, à l’initiative du Mouvement de la Paix

Ce dimanche 9 janvier, de 11h à 13H30, c’était une réunion publique du Mouvement de la Paix qui sonnait le début de la mobilisation pour la paix et le désarmement nucléaire, la sortie de l’OTAN et une autre politique européenne de défense.

100 personnes ont pu participé à cette réunion publique à la maison des syndicats de Brest avant la grande manifestation de 14h place de la liberté a Brest.

Avec à la tribune Roland Nivet, président du Mouvement de la Paix, Alain Rouy, du Bureau International de la Paix, plus vieille organisation pacifiste mondiale et plus large réseau mondial d’organisations pacifistes, des pacifistes portugais et belge (organisation flamande pour la paix).

En présence de Jean-Paul Lecoq député communiste rapporteur de la commission Défense et de l’assemblée nationale sur l’armement nucléaire et de la co-responsable de la commission paix et désarmement d’EELV.

Noëlle Péoc’h pour le Mouvement de la Paix, Roland de Penanros pour le CIAN 29, des militants de la CGT comme Stephane Créach, des militants du PCF, du MLNE, du MRAP, le porte-parole d’ICAN France, Jean-Marie Collin, sont également intervenus.

Une réunion publique très intéressante sur les questions de la militarisation de l’Europe et du monde, avec le doublement des dépenses mondiales d’armement en deux décennies, la politique de l’OTAN et les orientations de la défense européenne:

Jean-Paul Lecoq, député communiste du Havre membre de la commission Défense :  » la France dépense chaque jour 14,5 millions d’euros pour moderniser l’arme atomique. Alors que les États européens considèrent en réalité que les menaces sont plutôt d’ordre numérique et terroriste. Quel sens ont de telles dépenses? Dans la symbolique, l’idée européenne mérite mieux que ça, qu’une première réunion de la présidence française de l’Europe dans le siège de la force de frappe nucléaire européenne, Brest! Quel symbole! C’est ça l’ambition européenne de la France? »

 

Mobilisation pour la paix, le désarmement nucléaire, une autre politique européenne le dimanche 9 janvier à Brest

Alors que les 54 ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères sont attendus à Brest du 12 au 14 janvier, un collectif d’organisations pour la Paix et le désarmement nucléaire organisait un contre-sommet, avec un premier moment organisé hier par le CIAN 29 (Quatre heures pour le désarmement nucléaire, à la fac Segalen de Brest), une manifestation le dimanche 9 janvier a eu lieu dans la ville dont la rade abrite le cœur de la dissuasion nucléaire française, et un nouveau temps de mobilisation jeudi 13 janvier.

Dans la manif de Brest du 9 janvier pour la Paix, le désarmement nucléaire, pour une autre politique européenne à l’occasion du Sommet des Ministres des affaires étrangères et de la défense européens réunis à Brest du 12 au 14 janvier pour le début de la présidence française de l’Union et sur invitation d’Emmanuel Macron.

Plus de 700 participants à cette manifestation réussie, avec de très bonnes prises de parole à l’entame, Roland de Penanros pour le CIAN 29, Roland Nivet pour le Mouvement de la Paix, Alain Rouy pour le Bureau International de la Paix, les délégués flamands et portugais des associations pacifistes internationales, Jean-Marie Collin, porte-parole d’ICAN France qui mène la bataille pour la ratification du Traité d’interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) et un long défilé jusqu’à la Penfeld, avec la pluie qui a commencé à battre le pavé et les crânes rue de Siam, chère à Prévert, et sur le Pont de Recouvrance.

Les communistes étaient très présents dans cette manifestation avec des camarades venus de tout le Finistère, du Morbihan, des Côtes d’Armor, d’Ille-et-Vilaine, de Loire-Atlantique (merci et bravo à eux!), le député communiste rapporteur sur la question de l’armement nucléaire et membre de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale Jean-Paul Lecoq, mais aussi beaucoup de militants de la CGT, de la FSU, de Solidaires, des militants pacifistes bien sûr (mouvement de la paix, université européenne de la paix, bureau international de la paix, ICAN, mouvement pour une alternative non-violente, associations de paix internationales), des camarades de partis et mouvements de gauche (France Insoumise, NPA, EELV, UDB, PRCF), l’AFPS, les membres du CIAN 29.

Nous avons voulu saluer à notre façon par ce rassemblement pacifiste le sommet des ministres européens de la Défense et des Affaires étrangères qui va se tenir cette semaine à Brest.

 

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin – Conférence régionale du PCF Bretagne, 8 janvier 2022

Conférence régionale PCF Bretagne, le 8 janvier 2022.

Intervention sur le ferroviaire et les mobilités de Gilbert Sinquin

Objectivement, surtout comparativement à d’autres régions françaises, la Région Bretagne a eu depuis 20 ans une approche favorable au ferroviaire, au TER, mais aussi au TGV. Les gares TER ont été rénovées, le matériel ferroviaire renouvelé et modernisé, des investissements massifs ont été fait comme dans la LGV ( le prolongement de la ligne TGV de Rennes au Mans), des travaux sur les voies, pour augmenter les vitesses de circulations et la sécurité.
Les résultats sont bon et la SNCF a encore affiché d’excellents résultats en 2019, comme les années précédentes en ce qui concerne le TER Bretagne.
Le trafic et la fréquentation des trains a augmenté sur certains axes jusqu’à saturation parfois, comme maintenant en gare de Rennes à certaines heures.

La Région Bretagne a renouvelé la convention TER 2019 – 2028 avec la SNCF, sans mise en concurrence, ce qui une marque de confiance.
Ce tableau n’est cependant pas parfait et bien des points se sont dégradés sur le terrain surtout depuis 3 – 4 ans, pour ce qui concerne le service public délivré par la SNCF, ce qui est aussi de la responsabilité ou du pouvoir du Conseil Régional de Bretagne, au moins indirectement pour le TER.
Quelques exemples du recul du service public et de perte du lien social:

-Politique de déshumanisation de plus en plus forte dans les gares.
-Suppression massive de guichets et d’espaces de vente sur le territoire breton, comme ailleurs. Diminutions d’horaires d’ouvertures des quelques guichets restant encore ouverts, entraînant des queues d’attentes inadmissibles, la colère des voyageurs et des répercutions sur les conditions de travail et la santé des cheminots restants en poste.

De plus en plus, les voyageurs n’ont plus de choix et sont renvoyés à leurs dépends vers Internet ou des automates dans les gares, parfois uniquement utilisables par carte bancaire ou, parfois ne rendant pas la monnaie. Il s’agit là
d’une rupture d’égalité d’accès au train. Ce n’est pas normal. Par exemple dans le centre Finistère, si on veut acheter un billet dans un guichet (TER, TGV, Inter-cité, abonnements ou renseignements…) il faut d’abord se renseigner sur les horaires d’ouvertures et se déplacer en gare de Quimper ou Landerneau ( à 60 km A/R minimum, sans compter le temps de trajet et l‘impact carbone) ou alors, il faut utiliser Internet avec le manque de conseils, d’informations et le risque le plus souvent de payer son billet plus cher dans le maquis des multiples tarifs. Encore faut-il avoir accès à Internet et savoir l’utiliser, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.

De moins en moins de cheminots sur les quais. Les voyageurs laissés sans informations avec des risques d’accidents parfois, comme à Rennes ou un
voyageur était resté accroché à un train au départ.

De plus en plus trains sans contrôleurs, comme sur la ligne Quimper-Brest avec en conséquence des incivilités, des questions de sécurité pour les voyageurs et les mécaniciens ainsi qu’une baisse de la fréquentation, alors que cette ligne a été rénovée pour près de 80 millions d‘euros.
Des horaires inadaptés, des rabattements qui ne sont pas organisés et des correspondances qui ne peuvent plus se faire, ainsi que des TER qui ne
s’arrêtent plus dans toutes les gares. On peut comprendre qu’un TGV ne
s’arrête pas dans toutes les gares, mais pas un TER.
Des réglementations et des tarifs différents entre billet TER et TGV interdisant
d’accéder à l’un avec le billet de l’autre et des correspondances de l’un vers
l’autre qui ne se font plus systématiquement en cas de retard.
Aucun accès PMR dans aucune gare TER dans tout le centre Bretagne.
Depuis l’été dernier, le paiement et l’obligation de réserver uniquement par
Internet le transport d’un vélo dans un TER si l’on n’est pas abonné sur la
ligne.
Ces reculs du service public ont fait l’objet de multiples protestations,
réclamations, lettres ou courriels auprès de la SNCF et du Conseil Régional,
de pétitions, de manifestations de cheminots et d’usagés ( à Quimper,
Châteaulin, Brest, Morlaix, Rosporden, Hennebont, Pontivy…). Des élus ont
été interpellés, soit directement, soit par écrit. Des vœux votés en conseil
municipal et communautaire à Châteaulin pour le maintien du guichet de la
gare avec l’agent polyvalent. Une entrevue le 05 01 2018 avec la Ministre des
Transports Elisabeth BORNE lors son passage en gare de Châteaulin et une
réunion avec son Chef de cabinet, le Sous Préfet de Châteaulin et le
Directeur régional de la SNCF, M Beaucaire.
Rien n’a changé et ça continue de se dégrader.
Cette politique découle des réformes de la SNCF successives, de l’éclatement en plusieurs sociétés, séparées en différentes activités, cloisonnées, de plus en plus filialisées pour la mise en concurrence.
Dirigées comme le privé, suivant les modes de gestion capitaliste, les décideurs éloignés à Rennes ou à Paris n’ont que faire des conséquences de leurs décision sur le terrain, sinon que d’atteindre leurs objectifs de réductions des coûts, à commencer par la masse salariale et les coûts des services au détriment des cheminots et des populations.
Les activités ou services sont désormais gérés en centres de profits devant tous être rentables économiquement, quoiqu‘il en coûte.
A une lettre le 17 février 2018, de la part des sections PCF 29 de la 6ème
circonscription du Finistère (centre Finistère), Gérard LAHELLEC répondait
que le Conseil Régional ne demandait pas à la SNCF de faire œuvre de zèle
pour supprimer des emplois et des guichets mais leur demandait de se mettre
mieux en capacité de commercialiser les titres régionaux. Il ne poussait pas
non plus la SNCF à optimiser ses résultats en réduisant les comptes décharge mais en développant la fréquentation des trains.

Il observait que la SNCF avait dégagé 15 M€ de bénéfice en Bretagne (en 2
ans), ce qui tendait à prouver qu’elle était en mesure de mettre en œuvre un
certain nombre d’adaptations et, qu’au demeurant, il informait qu‘il n’entendait
nullement m’immiscer dans des gestions qui appartiennent en propre à
l’opérateur et qu’il ne souhaitait pas que la région soit tenue pour responsable
de décisions ne relevant pas de ses prérogatives.
Rien ne change jusqu’à présent et, cela continue à se dégrader encore
récemment avec des suppressions de postes et de guichets à Hennebont,
Quimper, Brest et Rennes…ainsi que des réductions d’horaires au motif cette
fois de la période COVID.
Que pouvons nous faire ?
Retenir les argumentaires et appliquer les propositions positives de Loïg
Chesnais -Girard dans sa réponse le 14 juin 2021, à une association
d’usagés, dans son programme pour la prochain mandature. (celle-ci) (Voir la
lettre en annexe)
Vérifier le contenu de la convention TER, les moyens possibles, car, la Région Bretagne, en temps que donneur d’ordre et financeur devrait être beaucoup plus exigeante envers la Direction de la SNCF et imposer un cahier des charges très ferme en ce qui concerne l’emploi et les services publics dédiés auprès des bretonnes et des bretons. Imposer des pénalités dissuasives en cas de manquement ou du non respect de la convention contractualisée car, il y a un véritable mépris de la Direction de
la SNCF envers les populations, les élus et le personnel cheminot.
La Région Bretagne, les bretonnes et les bretons, sont abusés car la SNCF dégage des marges à leurs détriments chaque année (mise à part cette période COVID). Marges qu’elle réinvestit ailleurs, parfois via des filiales sur d’autres marchés ouverts à la concurrence en France, dans d’autres Régions où à l’étranger.
D’ailleurs, si les compagnies privées reviennent dans les chemins de fer, c’est qu’elles y trouvent de bien meilleurs conditions d’exploitation en étant assurées de faire du profit ou d’équilibrer leurs charges dans le pire des cas, grâce aux subventions.
Il faut impérativement que ces subventions via les conventions soient conditionnées.
Il nous faut impérativement renverser la vapeur et mettre un coup de barre à
gauche.
Si nous parvenions à réorienter cette politique dans le bon sens au service des bretonnes et des bretons, cela serait à mettre à notre crédit.
Si nous n’y parvenions pas, ce serait à désespérer pour la population qui ne voit plus de différence entre une gestion de droite et une gestion de gauche,ce qui entraîne des réactions de rejets du politique et la montée de l’abstention à toutes les élections.
Il nous faut ré-humaniser les gares et les trains, avoir au moins un guichet d’ouvert dans chaque gare du 1er au dernier train.
Offrir les prestations les plus élémentaires comme des toilettes dans les gares (ex Châteaulin ) et, des accès avec prestations PMR dans des gares en centre Bretagne.


Ré-ouvrir des lignes comme Morlaix-Roscoff et les électrifier comme Quimper
– Landerneau ce qui aurait l’avantage d’augmenter les vitesses de circulations
et de réduire l’impacte carbone, tout en réduisant également les coûts
d’exploitations par l’uniformisation du matériel moteur. Cela pourrait être fait
dans le cadre du grand projet Ligne Nouvelles Ouest Bretagne Pays de Loire
(LNOBPL).

Des liaisons modernisées pourraient se faire de Brest à Nantes via Quimper, sachant que la gare de Rennes est déjà saturée. Les métropoles de Bretagne ainsi reliée par le nord ou le sud, ce qui est un des objectifs du projet.
Satisfaire les demandes des usagés avec des horaires, des arrêts et des dessertes adaptées à leurs besoins.
Réduir l’impact carbone et augmenter la fréquentation des trains en supprimant les cars Breizh-Go directs qui circulent entre Quimper et Brest, par la voie express RN 165, en doublon et concurrence avec les TER, presque aux mêmes horaires.

( ex: du lundi au vendredi, de Quimper, un car direct pour Brest au départ à
16h40 et un TER desservant toutes les gares, au départ à 16h57; heure
théorique d’arrivée du car à Brest à 18h00 et le train arrive à 18h23. )

Ces autocars en doublon pourraient être affectés sur des trajets scolaires comme à Pont de Buis (par ex), où il y a de la demande non satisfaite.
Ne pas oublier le FRET que la SNCF a abandonné qui pourrait être développé par une politique volontariste. (ex récent, la suppression encore d’un dernier train de FRET à Rosporden Coat-Conq). Constat que les besoins sont toujours existant mais qu’il n’y a pratiquement plus de trains, ni d’effectifs dédiés à cette activité en Bretagne où, il ne reste plus que 15 agents, tous services confondus pour assurer le fonctionnement. Avec les ports de Brest et Roscoff récemment retenu dans un grand projet européen des ports en eau profonde des moyens devraient également exister.

 

13 janvier – Ismaël Dupont représentait le PCF à un débat sur le désarmement nucléaire à Brest avec des représentants de l’ICAN, du CIAN 29, de FI, de EELV, du NPA

En débat sur le désarmement nucléaire à l’invitation du CIAN 29, en clôture d’une belle semaine de mobilisation pour le désarmement nucléaire, après le pique-nique festif du midi face au Conseil des Ministres Européens réuni aux Capucins, pique-nique qui a rassemblé une centaine de personnes. Le débat était animé par le porte-parole de l’ICAN France Jean-Marie Collin avec Pierre-Yves Cadalen (FI), Ronan Pichon (EELV), Gérard Mas (NPA) et Ismaël Dupont qui, du fait de l’indisponibilité finalement du député communiste Jean-Paul Lecoq, initialement prévu, mais venu dimanche 9 janvier à la manif et au débat du Mouvement de la Paix, représentait le PCF et son candidat aux présidentielles Fabien Roussel sur cette soirée organisée en même temps qu’un rassemblement des ministres européens de la défense et des affaires étrangères à la mairie de Brest.

Merci à Enzo, Eugénie, Claude pour les photos.

Dans la manif du 13 janvier 2022 au côté des personnels de l’éducation nationale

Les communistes étaient nombreux·ses à manifester le jeudi 13 janvier, aux côtés des personnels de l’éducation nationale, afin de revendiquer une politique cohérente de protection et de prévention à la hauteur des enjeux sanitaires, scolaires et sociaux. Crédits Photos: Eug/ Y.Rainero

+ de 2000 manifestants à Brest, et + 800 à Quimper

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La fédération du Finistère apportait son soutien au mouvement des enseignants.

Elle appelait les personnels de l’éducation, les parents d’élèves et les lycéens et étudiants à manifester jeudi 13 janvier à 14h, à Brest (place de la Liberté) et à Quimper (place de la Résistance).

Pour faire entendre leur colère et obtenir une politique cohérente de protection et de prévention à la hauteur des enjeux sanitaires, scolaires et sociaux.

En effet de la maternelle au lycée, la situation est vite devenue explosive depuis la rentrée pour les élèves, les familles et les personnels. Une réalité que le ministre de l’Éducation Nationale a de plus en plus de mal à masquer. Encore moins avec son énième protocole publié le 6 janvier au soir. 

L’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative atteignent un niveau inédit .

Alors que le coronavirus a bouleversé la situation sanitaire cette situation de crise exacerbe un contexte que nous connaissions bien avant  .

La lutte contre les inégalités sociales de réussite scolaire, pour la démocratisation de l’accès aux savoirs sont au cœur des propositions du Parti Communiste Français.
Depuis de nombreuses années, on a privé nos enfants de temps d’école, transférant aux familles, aux communes une partie des enseignements et de ce qui doit être fait à l’école.

Pour cela il faut transformer les pratiques. Il ne s’agit pas seulement d’augmenter le temps scolaire, mais de donner du temps aux équipes pour lutter contre les inégalités sociales de réussite scolaire.
L’argent existe, il faut le prendre sur les revenus du Capital, l’évasion fiscale qui coûte à notre pays plus de 120 milliards d’Euros.

Les communistes proposent :
Un plan national pour rouvrir des écoles et des collèges sur tout le territoire et réduire le temps passé dans les transports, rénover, équiper, construire là où c’est nécessaire ;
Des effectifs réduits dans les classes : pas plus de 20 à 25 par classe en fonction du niveau ;
Un fond national pour garantir la gratuité de tout ce qui est nécessaire à la réussite scolaire.
Plus d’école, c’est nécessairement plus d’enseignants  90 000 RECRUTEMENTS TOUT DE SUITE!

Plus d’école, ce n’est pas plus d’heures pour les enseignants : au contraire, ils ont besoin de temps pour travailler en équipe, se former, réfléchir à leur pratique… : plus de maîtres que de classes en primaire ; un temps de concertation inclus dans le service pour tous les personnels.

– Rattrapage des salaires (+30% et dégel du point d’indice)
Mise en place de dispositifs de pré recrutement aux niveaux Bac et Bac+2, sous statut de la fonction publique, pour une entrée progressive et sereine dans le métier.

Manif éducation nationale à Quimper, 13 janvier 2022 - photos Yvonne Rainero, PCF Quimper

Des nouvelles du comité des jours heureux du Pays de Morlaix

 

La prochaine réunion du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix aura le Vendredi 11 février.

Elle sera consacrée à l’animation de la campagne présidentielle de Fabien Roussel sur le Pays de Morlaix.

Cette réunion est publique, ouverte à tous les sympathisants du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix

Pour rejoindre ce comité de soutien et de campagne:

comite.jh.morlaix@gmail.com/ daniel.ravasio@orange.fr/ dupont.ismael@yahoo.fr

Le 18 janvier nous avons vécu une belle réunion du comité des jours heureux à Morlaix avec 24 personnes présentes, de nombreux excusés, sur les 127 inscrits de notre comité de soutien à Fabien Roussel sur la circonscription de Morlaix, et des personnes qui n’étaient jamais venues encore, dont plusieurs qui ne sont pas adhérents au PCF.
Nous avons maintenant 20 000 à 25 000 exemplaires de la « lettre aux Français » de Fabien Roussel à distribuer sur la circonscription.
Après des présences à Bosch, à la Sermetta, à la Poste, au lycée Tristan Corbière, au marché de Morlaix et Saint Martin des champs les deux semaines, nous allons couvrir les quartiers du pôle urbain et des communes du pays de Morlaix, et nous serons présents aussi au marché de Morlaix le samedi 29 janvier.
Nous avons beaucoup d’ambitions et de détermination à porter haut la candidature de Fabien Roussel et l’adhésion à notre projet.
Nous avons prévu des réunions publiques, deux meetings départementaux au moins, des porte-à-porte.
D’ici là, samedi 22 janvier à 11h, nous serons à Roscoff pour défendre la relance de la ligne ferroviaire Morlaix-Roscoff, puis avec les grévistes et manifestants le Jeudi 27 janvier.
Le prochain comité des jours heureux du pays de Morlaix aura lieu le vendredi 11 février, 2 petite rue de Callac a Morlaix.

***

Ils appellent publiquement à voter Fabien Roussel sur le pays de Morlaix et s’engagent dans le comité des jours heureux du pays de Morlaix: 127 personnes à ce jour sur le pays de Morlaix. 

Patrick ASSELBOURG – Plourin les Morlaix

Manu AUDIGOU – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU – Morlaix

Philippe AUZILLAUD – Morlaix

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Serge BAZIN – St Martin des Champs

Patrick BEGUIVIN – Plouigneau

Annie BERGOT LE CALVEZ – Morlaix

Odette BERRIC – Saint-Jean-du-Doigt

Jean-Pierre BEUZIT – Morlaix

Cécile BLANCHET – Guimaëc

Christophe BOUDROT – Plouigneau

Jules BOUEDEC – Lanmeur

François BOURVEN – Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN – Morlaix

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT – Morlaix

Martine CARN – Plougonven

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – Plougasnou

Marc CORBEL – Lanmeur

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – Morlaix

Maëlvin DANIEL –  Morlaix

Guy DAROL – Plouigneau

Monique DAVID – Morlaix

Eugène DAVILLERS – Morlaix

Enzo DE GREGORIO – Carantec

Christian DELANNEE – Morlaix

Liliane DEROUT – Lanmeur

Corentin DERRIEN – Saint Thégonnec Loc Eguiner

Jean-Philippe DEUNF- Lanmeur

Michel DIZES – Plougasnou

Jean DREAN – Plouigneau et Quimper

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Aloys DUPONT – Morlaix

Ismaël DUPONT – Morlaix

Marie-France FAUJOUR – Penzé (Taulé)

Camille GLIDIC – Île de Batz

Michele GAMBACHE – Morlaix

Patrick GAMBACHE – Morlaix

Mariane GAUTHIER – Plouigneau

Walden GAUTHIER – Plouigneau

Mattéo GESTIN – Brennilis

Gilles GRALL – Plounéour Menez

Muriel GRIMARDIAS – Lanmeur

Maha HASSAN – Morlaix

Joël HELARY – Plourin-les-Morlaix

Roger HERE – Plouigneau

Mireille HERVY – Santec

Yvon HUET –

Charles JAOUEN – Saint-Jean-du-Doigt

Mona JAOUEN – Plounéour Menez

Christelle KERBORIOU – Plougonven

Pascal KERBORIOU – Plougonven

Elise KEREBEL – Morlaix

Jean-Jacques Labous – Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – Carantec

Mariette LABROUSSE – Carantec

Elisabeth LAINE – Lanmeur

Jean-Yves LAINE – Lanmeur

Jérémy LAINE – Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – Morlaix

Enora LAMY – section PCF Morlaix

Andréa LAURO – Morlaix

Amélie LE CALVEZ – Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – Morlaix

Natacha LE CLAIR – Plestin-les-Grèves

Jean LE CORRE – Roscoff

Serge LE DOYEN – Plouegat Moysan

Georges LE DUFF – Lanmeur

Suzanne LE DUFF – Lanmeur

Josette LEFUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL – Roscoff

Léon LE GALL – Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – Morlaix

Marie-Hélène LE GUEN – Morlaix

Remy Le HUIDOUX – Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

François LE MEUR – Morlaix

Gisèle LINTANF – Saint-Martin-des-Champs

Michel LESPAGNOL – Morlaix

Marie-Françoise MADEC – Morlaix

Vinko MARKOV – Morlaix

Gisèle MOAL – Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – Primel Trégastel, Plougasnou

Lucienne NAYET – Locquénolé

Dominique NOGUERES –

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

André PAULUS – La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – La Feuillée/ Morlaix

Paulette PERON – Plouénan

Françoise PILATTE – Morlaix

François PLASSART – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Pascal POUILLET – Locquénolé

Jean Claude POSTIC – Plouegat Guerrand

Michel PRIGENT – Plouigneau

Serge PUIL -Morlaix

Jan RAFFAELY – Sizun

Daniel RAVASIO – Saint Thégonnec Loc Eguiner

Daniel RIOU – Morlaix

Philippe ROPARS – Morlaix

Françoise SALAUN – Roscoff

Jean-Yves SALAUN – Roscoff

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – Morlaix

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Janine SORHOLUS – Morlaix

Guy TANDE – Saint-Martin-des-Champs

Michel TUDO DELER – Lanmeur

Jean François VERANT – Plougasnou

Jean-Louis WEBER – Santec

22 janvier 2022- les communistes quimpérois distribuent sur le marché la lettre aux français de Fabien Roussel

3° ce samedi matin à Quimper, mais la chaleur était dans les cœurs des militants emmitouflés distribuant devant les Halles la lettre de Fabien Roussel aux Français.
Beaucoup de réponses positives : « Ah oui, il m’intéresse »,  » Je l’ai entendu et je l’ai trouvé bien » , « Je crois que je vais voter communiste pour la 1ère fois de ma vie », y compris de la part d’anciens socialistes.
Mais aussi « Je le trouve bien, mais… »
Il faut convaincre inlassablement que l’élection n’est pas pliée, que ce qui sortira des urnes dépendra de ce que nous y mettrons!
Près de 700 lettres distribuées ce matin.
Objectif : 20 000 pour le collectif des Jours Heureux du pays de Quimper.
Sur les photos avec Claude, Ronan, Jean-Yves, Piero, Jean-Claude.

Inscrivez-vous sur le comité de soutien finistérien à la candidature présidentielle de Fabien Roussel

Ce dimanche 23 janvier 2022, 432 personnes participent déjà au comité de soutien finistérien public à la candidature de Fabien Roussel. Nous avons l’ambition de réunir 1000 soutiens pour le 10 avril, 1er tour des élections présidentielles, et 500 soutiens pour le 1er février.  Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr
Et ces soutiens viennent d’une partie significative des 277 communes du Finistère (95 communes différentes du Finistère) :
Bannalec, Baye, Berrien, Beuzec-Cap-Sizun, Brennilis, Brest, Briec, Carantec, Carhaix, Châteaulin, Clohars-Carnoët, Combrit, Concarneau, Crozon, Douarnenez, Elliant, Ergué-Gaberic, Fouesnant, Gouesnac’h, Guipavas, Gouesnou, Guilers, Guimaëc, Ile-de-Batz, Kernével, Kersaint-Landunvez, La Feuillée, La Forêt-Fouesnant, Landerneau, Lanmeur, Lanvéoc, Le Guilvinec, Le Relecq-Kerhuon, Lesconil, Locquénolé, Locmaria-Berrien, Locmaria-Plouzané, Loctudy, Logonna-Daoulas, Loperhet, Mahalon, Melgen, Mellac, Moëlan-sur-Mer, Motreff, Morlaix, Quimper, Quimperlé, Penmarc’h, Penzé, Pleyber-Christ, Plobannalec-Lesconil, Plogonnec, Plomeur, Plouarzel, Plouégat-Guerrand, Plouégat-Moysan, Plouénan, Plougasnou, Plougastel-Daoulas,, Plougastel-Saint-Germain, Plougonven, Plouguerneau, Plouhinec, Plouider, Plouigneau, Plounevez-Porzay, Plouzévédé, Plounéour-Menez, Plourin-les-Morlaix, Plouvien, Plozévet, Pont-Croix, Pont-de-Buis les Quimerc’h, Pont l’Abbé, Plogastel Saint-Germain, Riec-sur-Belon, Roscoff, Rosporden, Rosnoën, Santec, Saint Hernin, Saint-Jean-du-Doigt, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Pabu, Saint-Thégonnec Loc-Eguiner, Saint-Pol-de-Léon, Saint-Renan, Saint Vougay, Saint-Yvi, Santec, Scaër, Sizun, Taulé, Tregunc, Tréflévenez, …
Merci à toutes les personnes, adhérents au PCF ou sympathisants, militants des Comités des Jours Heureux locaux du Finistère, qui ont déjà donné leur soutien public à Fabien Roussel, et qui ont contribué à nourrir ce comité de soutien en posant la question aux proches et aux sympathisants.
On continue à parler autour de nous de notre candidat des Jours Heureux et du Parti Communiste pour amplifier le courant de sympathie et d’adhésion autour de cette candidature!

Si vous voulez vous inscrire sur le comité de soutien finistérien à Fabien Roussel, envoyez un mail à: dupont.ismael@yahoo.fr

A ce jour,  432 personnes appellent publiquement à voter Fabien Roussel dans le Finistère.

  Guy ABGRALL, comédien, auteur et adhérent du PCF, Brest

Anne-Marie ALAYSE, chercheuse Ifremer retraitée, Brest

Sandrine ALLAIN, agente administrative, syndicaliste – Quimper

Philippe ALLOUARD, militant syndical, Quimperlé

Yvette ANDOLFATTO enseignante en retraite, ancienne militante syndicale dans le 93, Plougastel-Daoulas

Françoise ANNE, retraitée, Quimperlé

Serge ANNE, retraité, Quimperlé
Sylvain ARALDI, militant syndical, technicien bureau d’étude ALSTOM, La Forêt Fouesnant

Patrick ASSELBOURG, retraité de l’AFPA, syndicaliste, ancien adjoint à Plourin-les-Morlaix

Manu AUDIGOU, agent territorial, syndicaliste – Morlaix

Marie Laure AUDIGOU, salariée de la Poste – Morlaix

Philippe AUZILLAUD, agent administratif syndicaliste – Morlaix

Antonio AVELLAN – retraité chauffeur routier – Brest

Christiane AVELLAN – retraitée agent d’entretien – Brest

Françoise BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Roland BAGNIS – Saint-Pol-de-Léon

Denise BALLIOT, Loctudy

Gaston BALLIOT – auteur de sites d’histoire locale, Loctudy

Guy BARRE, enseignant en retraite, ancien responsable syndical- secteur Pont L’Abbé

Cyrille BARTHES, adjoint technique principal, syndicaliste CGT, Brest

Serge BAZIN retraité– Saint-Martin-des Champs

Christian BEAUMANOIR, Syndicaliste cheminot CGT , ancien M/Adjoint communiste de Maurepas (Yvelines)- exécutif départemental PCF du Finistère Lanvéoc

Marie José BEAUMANOIR, retraitée du trésor public, Lanvéoc

Patrick BEAUMONT-PEUZIAT Maraîcher Plougastel-Saint-Germain

Patrick BEGUIVIN – ouvrier en miroiterie, conseiller municipal à Plouigneau

Claude BELLEC – élue communiste à Brest pendant plusieurs mandats, administratrice logement social, Brest

Djelloul BENHENNI, ouvrier du BTP, conseiller municipal de Rosporden/ Kernével

Annie BERGOT LE CALVEZ – retraitée des Finances Publiques, ancienne élue à Morlaix

André BERNARD  – retraité de l’éducation national (ancien proviseur) Quimper

Marie-Andrée BERNARD – retraitée de la Mutualité – syndicaliste, Quimper

Odette BERRIC, retraitée, Saint Jean du Doigt

Bernard BERTHIER ancien conseiller municipal de Saint-Yvi, syndicaliste

Alain BESCOU – retraité fonction publique territoriale, Plouhinec

Martine BESCOU – retraitée publique territoriale, Plouhinec

Mehdi BEUNECHE, étudiant. Brest

Jean-Pierre BEUZIT – cuisinier – adhérent PCF – Morlaix

Bertrand BIANIC Conseiller municipal délégué en charge du personnel au Relecq-Kerhuon
Denise BLANCHE retraitée du secteur bancaire semi-public – ancienne élue à Fontenay-aux-Roses – militante associative, syndicale et politique vétéran du PCF, Fouesnant
Fernand BLANCHE retraité du logement social – Fouesnant
Cécile BLANCHET, infirmière libérale, formatrice CGT, Guimaëc

Véronique BLANCHET, Formatrice Professionnelle d’Adultes. Ancienne vice

présidente de la communauté de communes du Pays Bigouden Sud. Ancienne – 3eme adjointe au maire chargée des affaires scolaires et enfance de la ville de Pont-l’Abbé
Bernard BLOYET – Retraité de la RATP, Syndicaliste CGT, MOTREFF

Anne BORGNIET-YOUÉNOU , retraitée, Brest

Christophe BOUDROT infirmier à l’hôpital, syndicaliste, Plouigneau

Jules BOUEDEC ancien élu, Lanmeur

Claude BOULIC, cheminot retraité , responsable associatif, Crozon

Claudie BOURNOT GALLOU Adjointe en charge des finances, de l’administration générale, du personnel et des élections Mairie du Relecq-Kerhuon

Bernard BOURSON, retraité, Plouider

François BOURVEN Cheminot, syndicaliste, Plougonven

Guillaume BOURVEN – Morlaix

Michelle BOURVEN ancienne élue à Plougonven, Morlaix

Jacqueline BRAIRE Le Guilvinec déléguée syndicale S.M.I.C.T. – C.G.T. pendant la carrière professionnelle (syndicat des médecins, ingénieurs,  cadres et techniciens ), Infirmière retraitée,  puis cadre de soins et ensuite cadre supérieure de santé jusqu’en 2004

Nicolas BREUILLE – Saint Vougay

Maëla BURLOT conseillère municipale à Morlaix

Denise CAM contrôleuse des Finances Publiques ER- Brest

Jean-Paul CAM contrôleur des Finances Publiques ER – Brest

Gilles CANQUETEAU -cadre Enedis, militant syndical, secteur Quimper

Christian CARDUNER – Retraité militant CGT PTT ancien secrétaire Départemental CGT  du secteur des activités postales et des télécommunications du Finistère-Sud et secrétaire régional activités postales et communication Bretagne – élu PCF Scaër

Alain CARIOU, professeur retraité, ancien adjoint au maire, Plougonvelin

Alain CARIOU, Marin pêcheur retraité, Loctudy

Mimi CARIOU, Retraitée commerce, membre de la section du Pays bigouden, Loctudy
Jean-Claude CARIOU, professeur en retraite , militant associatif , Logonna-Daoulas

Jean-Yves CAROFF – Plougasnou

Rolande CAROFF – infirmière retraitée, Plougasnou

Martine CARN – conseillère municipale à Plougonven, militante santé publique

René CARN – Plougonven

Philippe CARQUET – Gouesnou

Jeannine CAVACO – Retraitée de l’Education Nationale – 3 mandats conseillère municipale communiste à Mellac

Bernard CELTON ancien responsable syndical de la CGT chez Renault et en Seine st Denis – Melgven

Jean Pierre CHABROL, retraité de la fonction publique territoriale, habitant à Brest.

Jean CHEVALIER. Ancien élu PCF à Landerneau

Jean-Marc CLERY,  Professeur, secteur de Quimper.

Nadine CLOAREC – retraitée France Telecom Orange, militante syndicale, militante politique – exploitante agricole – Locmaria Berrien

Yves CLORENNEC – professeur des écoles – Quimper

Albert COÏC – Beuzec-Cap Sizun

Emile COIGNARD -retraité France Télecom- Secteur Quimper

Isabelle COLPIN – Artisan d’Arts- Moëlan-sur-Mer

Bernard CONDETTE – Tregunc

Marc CORBEL – agent territorial – syndicaliste – Lanmeur

Alain CORFMAT – syndicaliste santé en retraite – Loctudy

Christiane CORRE, retraitée syndicaliste, Le RELECQ KERHUON

Jean-Claude CORRE – retraité, Riec-sur-Belon

Marie-Louise CORRE – Morlaix

Patricia CORRE – professeure – Quimper

Jean-Patrick Courtois – Plounévez-Porzay

Monique Courtois – Plounévez-Porzay

Michel CREIGNOU, ancien élu de Guisseny, retraité d’EDF. Guissegny

André CREN Militant associatif Carhaix

Fabienne CYRIAQUE – Plougonven

Paul DAGORN – enseignant à la retraite – Morlaix

Jeannine DANIEL – ancienne élue à Scaër et présidente du syndicat d’eau du Ster Goz, présidente de l’association « Bretons solidaires » qui vient en aide aux migrants, Scaër

Maëlvin DANIEL – étudiant, Morlaix

Guy DAROL – journaliste et écrivain – Plouigneau

Monique DAVID – syndicaliste, retraitée du Télégramme, Morlaix

Eugène DAVILLERS – conseiller municipal de Morlaix

Louis DEBARNOT – retraité de l’arsenal, militant syndical et associatif – Brest

Enzo DE GREGORIO – responsable des JC Finistère, Carantec

Christian DELANNEE économiste de la construction en retraite,  Morlaix
Marcel DENES, militant associatif, Fouesnant
Liliane DEROUT, Lanmeur

Corentin DERRIEN – étudiant, responsable de l’UEC Finistère, conseiller municipal à Saint Thégonnec Loc Eguiner

Gabriel DERRIEN – agent de maintenance en retraite,  Quimper

Jean-Jacques DERRIEN – retraité, Brest

Philippe DESSENNE, Technicien de maintenance, militant syndicaliste. Plogastel St Germain.

Eric DESURY – éducateur sportif – Brest

Jean-Philippe DEUNF – travailleur de l’agro-alimentaire – Lanmeur

Michel DIZES cadre territorial retraité – Plougasnou

Jean DREAN – cheminot retraité, syndicaliste, Plouigneau et Quimper

Murielle DUBREULE, retraitée, Saint Renan

Christophe DUCOURANT – Morlaix

Emile DUOT – retraité des travaux publics, Quimper

Marie DUIGOU, adjointe déléguée au lien social et à la citoyenneté, Bannalec

Norbert DUIGOU – militant syndicaliste, retraité de la Sécurité Sociale, Bannalec

François DUOT – Retraité des travaux publics – Quimper.

Louis DUOT – Ouvrier métallurgiste, syndicaliste – Quimper.

Jackie DUQUENNE – retraité – Pont Croix

Roger DUPAS, retraité RATP syndicaliste et militant PCF, Pont L’Abbé

Aloys DUPONT – étudiant, Morlaix

Ismaël DUPONT – professeur documentaliste en collège, conseiller départemental et 1er adjoint, adjoint Finances-Ressources Humaines de la ville de Morlaix

Daniel EDELIN – retraité de la sécurité sociale,  Quimper

Marie-France FAUJOUR, syndicaliste, retraitée de la Manu, Penzé (Taulé)

Pierre FELICE – retraité Penmarc’h

Jean-Michel FEVRIER – Retraité – Carhaix

Floriane FEYSSEL – secrétaire administrative, militante, Guilers

Marie-Laure FEYSSEL-PIBOULEAU, retraitée et adhérente du PCF, Brest

Alain FLAGEUL, militant associatif, Rosnoen

Catherine FLAGEUL, militante associative et de la Paix, Rosnoen

Didier FLEGEAU Retraité BREST

Yann FLOURIOT, retraité de l’Éducation Nationale, militant, Plouvien

Alain FOUCHE, Clohars-Carnoët

Yann FOUCHER – directeur d’école, Quimper

Pierre FOURNET-FAYAS. Mellac

Marion FRANCES, secrétaire administrative, militante, Guilers

Ronan FRANCES. Ergué Gabéric

Christian GAGOU – Retraité mécanicien de la réparation navale. Landerneau

Fabrice GAKIERE – Conseiller municipal de Briec, militant associatif, secteur Quimper

Denise GALLON – cheminote retraitée, secrétaire de la section des cheminots cgt retraités – Taulé

Jacky GALLOU, retraité, Le Relecq-Kerhuon

Michèle GAMBACHE – professeure en retraite, Morlaix

Patrick GAMBACHE – enseignant en retraite, éditeur, conseiller municipal délégué à Morlaix

Raymonde GARNIER  -retraitée, Moëlan sur mer

Robert GARNIER – retraité, Moëlan-sur-mer

Mariane GAUTHIER – conseillère municipale à Plouigneau

Walden GAUTHIER – lycéen, membre du MJCF 29, Plouigneau

Mattéo GESTIN – lycéen en terminale à Landerneau (littérature – sciences politiques), habitant de Brennilis

Camille GLIDIC – Île de Batz

Marie-Joëlle GLOAGUEN – Retraité de la fonction publique territoriale, Secteur Quimper

Patrick GLOAGUEN retraité de la pêche, militant communiste, Lesconil

Armel GONTIER, Enseignant EPS, militant syndical et militant associatif, Moëlan-sur-Mer.

Camille GONTIER, Maître de conférence en sociologie, Douarnenez

Dominique GONTIER – Moëlan-sur-Mer

Bruno GOULIAN, cheminot retraité, syndicaliste, GUIPAVAS

Yvette GOULM, Quimper

Marie-France GOUSSE, comptable, militante associative, CONCARNEAU

Gilles GRALL – artiste, syndicaliste, Plounéour Menez

Gladys GRELAUD – Conseillère Régionale de Bretagne, Landerneau

Muriel GRIMARDIAS – militante associative, Lanmeur

Loeiz GUILLAMOT – journaliste en retraite, secteur Quimper

Françoise GUEGUEN – Militante Conseillère Pôle Emploi -Le Relecq-Kerhuon
Dominique GUELLEC, auxiliaire de vie scolaire, Brest

Eric GUELLEC, adjoint au maire de Brest, président du groupe des élu-e-s communistes de la ville de Brest et de Brest métropole, Brest

Morgane GUELLEC, section PCF de Brest

Malou GUIAVARC’H, professeur d’école, adhérente PCF, Plouvien

Nicole GUILLOU, adjointe de direction. Quimper

Philippe GUILLOU – cadre territorial en retraite, secteur Quimper

Yves GUIRIEC, cheminot retraité, militant syndical et associatif, Quimper

Alain GUYADER – professeur des écoles en retraite, secteur Quimper

Aline GUYADER – professeure des écoles en retraite, secteur Quimper

Jean GUYOMARCH – postier en retraite, syndicaliste, Quimper

Jean-Pierre GUYON – Retraité EDF, militant syndicaliste de l’Énergie, Concarneau

Maha HASSAN – écrivaine, Morlaix

Joel HEDDE – retraité syndicaliste, Combrit

Dessi HEDIN, professeur et écrivaine, Karlstad, Suède, section PCF Brest

Joël HELARY – syndicaliste, retraité de l’agro-alimentaire, Plourin-les-Morlaix

Noël HELIS, retraité de l’éducation nationale. Guipavas

Martin HELLMANN, étudiant en Histoire à l’UBO Brest, Le Relecq-Kerhuon.

Gérard HENAFF – retraité Alcatel, syndicaliste, Saint-Pabu

Maïté HENAFF – DEMARTY – retraitée Conseil Départemental 92, syndicaliste, Saint-Pabu

Jacqueline HERE – Retraitée des Finances Publiques, Maire de quartier à Bellevue (Brest), conseillère départementale

Roger HERE – retraité des Finances Publiques, syndicaliste, vice-président de Morlaix-Communauté et 1er adjoint à Plouigneau

Mireille HERVY, Santec

Alain HOUZIAUX retraités métaux

Danielle HROUDA – retraitée de la fonction publique territoriale (Assistance Publique – Département de Seine St Denis), syndicaliste, Gouesnac’h

Denis HUET, enseignant à la retraite, militant syndical. Quimperlé

Yvon HUET – journaliste, syndicaliste

Marianne JAN, retraitée, militante du comité de défense de l’hôpital de Concarneau – Concarneau

Charles JAOUEN- Saint Jean du Doigt

Mona JAOUEN – artiste chanteuse, Plounéour Menez

Bernard JASSERAND – Maire-Adjoint de Quimper en charge du quartier de Kerfeunteun, Conseiller Communautaire de QBO. Salarié de l’énergie ER, Quimper

Sylvie JASSERAND – professeure des écoles en retraite, Quimper

Gilbert JEHANNO – retraité de l’Arsenal – militant communiste, syndicaliste, Le Relecq-Kerhuon

Geneviève JEHANNO – retraitée de la mairie de Brest – Le Relecq-Kerhuon

Michelle JEZEQUEL – militante syndicaliste – Quimper

Claude JUILLIERE, retraité militant PCF et comité de défense de l’hôpital de Concarneau, Concarneau

Christelle KERBORIOU – salariée du secteur médico-social, syndicaliste, Plougonven

Pascal KERBORIOU – salarié de l’hôpital, syndicaliste, Plougonven

Elise KEREBEL – salariée du secteur médico-social, conseillère municipale à Morlaix

Louis KERGOURLAY – ancien conseiller municipal d’Ergué Gaberic

Colette KHALFA – retraitée de la fonction publique territoriale, Carhaix

Jean-Jacques LABOUS, militant syndical. Plouzévédé

Jean Roland LABROUSSE – retraité Air Inter, syndicaliste, – Carantec

Mariette LABROUSSE –  retraité Air Inter, syndicaliste, Carantec

Elisabeth LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jean-Yves LAINE – pépiniériste, Lanmeur

Jérémy LAINE – technicien anti-parasitaire adjoint au maire à Guimaëc

Frédéric L’AMINOT – ouvrier, adjoint au maire à l’enseignement à Morlaix

Enora LAMY – étudiante – section PCF Morlaix

Claude LANGRENE –  professeur des lycées professionnels en retraite – Quimper

Claudine LAPORTE – Responsable associative, Carhaix

Daniel LAPORTE – retraité, syndicaliste, Carhaix

Fanch LAPORTE – militant Syndical Retraité Carhaix

Louis LAUNAY retraité Brest

Marc LAUNAY, Concarneau

Andréa LAURO – salarié associatif, militant associatif, Morlaix

Alain LE BEC – professeur en retraite, militant associatif, Quimper

Chantal LE BELLEC, Cadre territoriale Retraitée, Guilvinec

Etienne LE BELLEC, Ancien  conseiller municipal de Guilvinec, Technicien études et conception pour les grandes cuisines professionnelles, Retraité, Guilvinec

Robert LE BELLEC, Ajusteur outilleur, Retraité, Pont L’abbé
Stephane LE BELLEC, Aide soignant, Pompier volontaire, Pont L’abbé
Yann LE BELLEC, Technicien de l’eau, Guilvinec
André LE BERRE, Retraité, Plogonnec

Annie LE BERRE, professeur agrégée de lettres, retraitée de l’éducation nationale, Brest

Jeanne LE BERRE – retraitée PTT secteur Quimper

Yves LE BERRE, professeur émérite des Universités, ancien adjoint au Maire de Brest (chargé de la culture), syndicaliste FSU, adhérent du PCF – Brest

Sergine LE BOHEC – Lesconil

Yannick LE BOHEC – Lesconil

Marie-Thérèse LE BRAS – retraitée de l’éducation nationale – Beuzec Cap Sizun

Bernard LE BRUN – Technicien travaux publics en retraite, syndicaliste,  Quimper

Madeleine LE BRUN – Retraitée, secteur Quimper

Michel LE BRUN – Policier municipal en retraite, secteur Quimper

Amélie LE CALVEZ – conseillère municipale, Sizun

Jean-Luc LE CALVEZ – retraité de la Manu, ancien élu, syndicaliste, Morlaix

Christine LE CAM, retraitée, militante syndicale, Locmaria Berrien

Hubert LE CAM, retraité,  militant syndical,  Locmaria Berrien.

Natacha LE CLAIR, retraitée coiffeuse, Plestin-les-Grèves

Jacqueline LE CLOAREC –  professeur certifiée en retraite; ancienne conseillère municipale de  LANESTER -GUILVINEC

Robert LE CLOAREC Guilvinec professeur certifié en retraite; ancien adjoint au maire de LANESTER; ancien conseiller municipal du Guilvinec

JEAN LE CORRE Retraité PTT Roscoff

Tangi LE COZ – Salarié du secteur social – Brest

Guy LE DANTEC retraité Brest

Serge LE DOYEN – Plouégat Moysan

Romaric LEDUC -militant syndical et associatif -Brest – Pont de Buis lès Quimerc’h

Georges LE DUFF –(ingénieur en bâtiment, retraité, Lanmeur

Suzanne LE DUFF – professeure des écoles, retraitée, Lanmeur

Théo LE FAOU – ancien membre du Conseil du CHU Pitié Salpètriere, Guilvinec

Jean-Claude LE FELL – retraité – Logonna Daoulas

Viviane LE FELL – retraitée – Logonna Daoulas

Josette LE FUR – Plougonven

Marie-Pierre LE GAC – Plougonven

Gabriel LE GALL, artisan ébéniste retraité, ancien conseiller municipal de Roscoff pendant 2 mandats, Roscoff

Léon LE GALL, Retraité, Saint-Jean-du-Doigt

Yvan LE GALL – employé municipal, syndicaliste, Morlaix

Marie-José LE GLAS Contrôleur principal du trésor public- Lanvéoc

Bernard LE GOFF – retraité d’Orange, militant syndical et associatif, Quimper

Chantal LE BRUN, Le Guilvinec

Maxime LE BRUN, Le Guilvinec

Michel LE GOFF, militant syndical alimentaire, ancien conseiller municipal et candidat du Front de Gauche aux élections Régionales en 2015, Bannalec

Lydie LE GUEN – employée de commerce – Quimper

Marie-Hélène LE GUEN – retraitée de la Poste, syndicaliste, Morlaix

Roger LE GUENIC – Retraité fonction publique hospitalière -Retraité CGT – Brest

Thierry LE GUENNOU ancien adjoint mairie de Baye, Baye

Gaëtan LE GUERN Professeur dans l’enseignement supérieur ancien adjoint à la culture à Brest – Brest

Chantal LE GUERN DROGUET – Cytologiste, Brest

Léandre LE GUERN, étudiant en 1ère année d’IUT génie biologique à Brest, Plougastel-Daoulas

Rémy LE HUIDOUX Retraité Plestin-les-Grèves

Yvon LEJEUNE – Plourin les Morlaix

Christiane LE JEUNE – Plourin les Morlaix

Jean-Claude LE JONCOUR – Retraité France Télecom, militant associatif,  Quimper

Jocelyne LE JONCOUR – Retraitée Quimper

Henri LE LANN – Pleyber-Christ

Jean Michel LE LORC’H  Vice-Président BREST Métropole

François LE MEUR – Morlaix

Jean-Louis LE MEUR – chauffeur routier, Quimper

Jacques LE MOIGNE – Cheminot Retraité, syndicaliste, Plouguerneau

Colette LE NOAC’H – Scaër.

Martine LE NOZERH – retraitée intérimaire de l’agro-alimentaire (Doux, Connetable, Capitaine Cook, etc) – militante du PCF Pays Bigouden – Plozévet

Claude LE PAGE – Cheminot, syndicaliste, secteur Quimper

Michel LESPAGNOL – retraité PTT France Télécom, Morlaix

André LE ROUX commandant des douanes retraité Pont L’Abbé

Francette LE ROUX contrôleur divisionnaire des douanes retraitée Pont L’Abbé

Michel LE ROUX – professeur en retraite militant associatif – Le Relecq-Kerhuon

Sandra LE ROUX, conseillère municipale aux sports et au développement des quartiers à la mairie de Brest. Brest

Sylvain LE ROUX professeur de français

Marie Rose L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

Yvon L’HELGOUALC’H , syndicaliste Guilvinec

‌Ernestine L’HENORET, retraitée Fonction Publique, Loctudy

Gisèle LINTANF – retraitée infirmière psy –  Saint-Martin-des-Champs

Oxana LIZIAR, Atsem, Le Relecq-Kerhuon

Pierre-Yves LIZIAR, Professeur des Écoles, Conseiller Municipal délégué en charge du handicap au Relecq-Kerhuon

Lindsay MADEC, postière. Tréflévénez

Marie-Françoise MADEC – conseillère municipale déléguée aux Seniors à Morlaix

Erik MARCHAND – Artiste chanteur – Poullaouen

Taran MAREC – délégué à la langue bretonne à la mairie de Brest, étudiant en informatique, Brest

Jean-Claude MARION, Ingénieur retraité, Kersaint-Landunvez

Vinko MARKOV – Morlaix

Amaury MATHIEU, peintre en bâtiment, Silfiac, section PCF de Brest

Isabelle MAUGEAIS – Militante associative et conseillère Départementale canton Pont-de-Buis-les-Quimerc’h

Isabelle MAZELIN – adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon, tête de liste aux élections Sénatoriales dans le Finistère en 2020, Le Relecq-Kerhuon

Jean-Yves MAZO – Postier, militant associatif, secteur Quimper

Stéphane MEILLOUR, syndicaliste agro-alimentaire. Quimperlé

Yvon MEST – adhérent PCF – Brest

Monique MEVELLEC SITHAMMA, professeure en retraite, syndicaliste, élue conseillère municipale au Relecq-Kerhuon.

Jeannine MILLET – Retraitée de la fonction publique territoriale – adhérente section PCF Pays Bigouden – Mahalon

Gisèle MOAL – ancienne adjointe, Plourin-les-Morlaix

Denise MONTUELLE – militante de la solidarité et PCF, Primel-Tregastel (Plougasnou)

Louise MOREAU – Retraitée – Penmarc’h

Philippe MOREAU – Retraité, militant CGT et PCF à Penmarc’h, ancien conseiller municipal de Poissy (Yvelines), Penmarc’h

Pierig MORVAN Facteur, militant associatif et syndical, Kernével/Rosporden

Michel MOYSAN – Concarneau

Suzanne MULLEMAN – retaitée – Plomeur

Lucienne NAYET – ancienne élue de Champigny s/Marne, militante associative autour de l’histoire de la Résistance, Locquénolé

Françoise NIOCHE – enseignante retraitée, Conseillère Municipale Rosporden

Robert NIOCHE, retraité et syndicaliste, Rosporden

Dominique NOGUERES – militante des droits de l’homme, avocate

Francis NORMAND – informaticien, secteur Quimper

André NUIAOUET – Morlaix

Jean-Yvon OLLIVIER – syndicaliste, cheminot en retraite, Saint Martin des Champs

Dominique OLLIVIER – Saint Martin des Champs

Maria OLLIVIER syndicaliste Brest

Sylviane PAPIN, Clohars-Carnoët.

Michèle PARET, Douarnenez

Jean-Louis PASCAL – dessinateur dans le bâtiment en retraite secrétaire de section PCF Concarneau

Germaine PAUBERT – adhérente communiste – Brest

Denis PAUGAUME – électricien, syndicaliste,  Quimper

Maxime PAUL – ancien adjoint et vice-président de communauté d’agglomération à Brest, Plougastel-Daoulas

André PAULUS – enseignant retraité, ancien élu à La Feuillée/ Morlaix

Patricia PAULUS – enseignante en retraite, La Feuillée/ Morlaix

Marie-Pierre PELLEN – région brestoise

Jean-Jacques PENVEN – Retraité, RATP. Militant, CGT, ancien conseiller municipal de La Feuillée

Paulette PERON – Plouénan

Claudine PERROT– retraitée de la fonction territoriale, militante associative, Guilvinec

Ilya PERROT – ouvrier métallurgiste en retraite,  Quimper

Jean-Claude PERROT – conseiller municipal de Briec, postier en retraite, secteur Quimper

Michael PETER – maître artisan retraité- Rosporden-Kernevel

Yves PEUZIAT-BEAUMONT Fonctionnaire – Pays Bigouden

Gilbert PHELEP –  militant syndicaliste retraité – Rosporden

Michel PIBOULEAU – Syndicaliste militant associatif Brest

Pierre-Olivier PICART – retraité éducation nationale – Brest et Crozon

Françoise PILATTE – Morlaix

Olivier PIRIOU – Plouzané

Annick PIROU – retraitée – Carhaix

Jean PIROU, retraité, ancien conseiller municipal, Carhaix

Laurent PLA , Professeur en lycée Professionnel,  Carhaix.

François PLASSART – retraité du syndicat d’électrification, ancien adjoint au maire communiste à l’enseignement à Morlaix – Morlaix

Marie-Noëlle PLASSART – Morlaix

Patrick PLIQUET – ancien secrétaire du Syndicat CGT de la base aéronavale de Lanvéoc – Lanvéoc

Pierre PLOUGONVEN – Crozon

Pascal POUILLET – militant culturel breton, Locquénolé

Jean Claude POSTIC – Staffeur Ornemaniste retraité PCF Morlaix ancien élu Plouégat-Guérand

Jacky POUPON – adhérent PCF – Kernevel

Michel PRIGENT – ancien chauffeur routier – Plouigneau

Claire PRONONCE, militante syndicale. Moëlan-sur-Mer

Pierre PRONONCE, militant syndical, bureau de l’ARAC. Moëlan sur Mer

Serge PUIL – demandeur d’emploi – section Morlaix

Patrick QUELAUDREN – Militant de l’Education populaire – PONT L’ABBE

Jan RAFFAELY – ancien postier – Sizun

Brigitte RAGOT – Concarneau

Piero RAINERO – ancien conseiller régional de Bretagne et maire-adjoint de Quimper Secrétaire fédéral du PCF de 1982 à 2000, membre du Comité Central de 1987 à 2000 secrétaire régional de Bretagne de 1996 à 2004

Yvonne RAINERO – Conseillère municipale de Quimper déléguée à la santé, Conseillère communautaire, professeure agrégée en retraite, Quimper

Roger RAMONET – retraité France Télécom, syndicaliste, Quimper

Jacques RANNOU, Maire-Délégué de Kernével, commune associée à Rosporden. Cheminot E.R.

Daniel RAVASIO – professeur en retraite, syndicaliste, Saint Thégonnec Loc Eguiner

Larry REA Adjoint au Maire de Le Relecq-Kerhuon En charge de l’Urbanisme et des travaux, Le Relecq-Kerhuon

Dimitri RELOUZAT – Assistant de travaux – Quimper

Gilberte RENEAUD – retraitée CAF, militante syndicale, Lesconil

Jacques RENEAUD – retraité cheminot, Lesconil

Christian RICHARD, informaticien en retraite – Kernével

Hervé RICOU – militant communiste et de la solidarité avec la Grèce – Locmaria-Berrien

Gisèle RICHEZ – Le Relecq-Kerhuon

Daniel RIOU – retraité de la Poste- Morlaix

Guy RIVIERE, retraité de la fonction publique territoriale, militant syndical et associatif. Locmaria Plouzané.

Erwan RIVOALAN, bibliothécaire, syndicaliste, BREST

Pierre ROBIN, retraité, ancien responsable CGT ATOSS.

Tara ROGIEZ, étudiante, Brest

Philippe ROPARS, Morlaix

Michelle ROSA – retraitée – Quimper

Gérard ROUSSEAU, retraité de l’éducation nationale, Beuzec Cap Sizun

Maryse ROUSSEAU retraitée mutualité, Pays Bigouden

Maryse ROUZIER. Brest

Roberte SAINT JALMES – assistante administrative – Quimper

Françoise SALAÜN, retraitée, Roscoff

Jean-Louis SALAÜN, retraité, Roscoff

Maxime SALAUN, maraîcher bio – Loperhet

Rémi SALAÜN Technicien retraité DCNS Brest, syndicaliste mandaté Sécu

Amélie SALZENSTEIN – Plougonven

Arlette SAMSON – Riec-sur-Belon

Cathy SAMSON – secrétaire, Fouesnant

Joël SAVINA – Retraité, militant syndical, militant associatif, Saint Hernin

Pascal SCATTOLIN – Morlaix

Valérie SCATOLLIN – syndicaliste, adjointe au maire à Morlaix, conseillère communautaire, Morlaix

Gil SCHMITT – directeur d’administration territoriale en retraite – secteur Douarnenez

Gérard SECHET retraité Rosporden

Malika SECHET retraitée Rosporden

Cécile SEGALEN – Le Relecq-Kerhuon

Pascal SEGALEN – trésorier de la section PCF du Relecq-Kerhuon, ancien élu Relecq-Kerhuon

Mikael SEILLE – Pleyber-Christ

Denis SELLIN – retraité – Moëlan-sur-Mer

Jean-Luc SEZNEC – Artisan électricien en retraite – Quimper

Gilbert SINQUIN – Cheminot, syndicaliste, Châteaulin

Ronan SINQUIN – conseiller municipal de Quimper, Postier, syndicaliste

Thérèse SINQUIN – couturière retraitée, Quimper

Janine SORHOLUS – Morlaix

Sylvain SOULARD, Pont-l’Abbé.

Gisèle SQUIVIDANT – OS1, ouvrière spécialisée en retraite, Quimper

Paulette STEPHAN – institutrice en retraite, Quimper

Thomas SUKIENNIC – cheminot, syndicaliste,  Quimper

Guy TANDE – retraité infirmier psy –  Saint-Martin-des-Champs

Jacques TANGUY – adhérent communiste – Brest

Michel TANGUY – adhérent communiste – Brest

Ronan TANGUY – Elu au Relecq-Kerhuon pendant 25 ans, délégué syndical national CGT du Crédit Mutuel de 1976 à 2012, Plouarzel

Aline TASSIN, enseignante à la retraite, militante pour le droit des
enfants et des femmes, Landerneau
Jean-René TASSIN, militant syndical, Landerneau
Marie-Gaëlle TEXIER Éducatrice spécialisée

Mikael THENG – chaudronnier-soudeur, secteur Quimper

Joël THEPAULT – retraité cheminot, Quimper

Pierre-Yves THOMAS – Retraité, syndicaliste et conseiller municipal, Carhaix

Willy TITECA – retraité AIR INTER, syndicaliste, Moëlan-sur-Mer

Robert TOULERASTEL – Penmarc’h

Thierry TRIMAILLE. Professeur retraité. Pont-l’Abbé

Fabien TUDO DELER – contrôleur technique automobiles – Quimper

Michel TUDO DELER – cheminot retraité, syndicaliste, Lanmeur

Jean François VERANT – militant associatif, Plougasnou

Paul VIGOUROUX – prof des écoles à la retraite. Loctudy

Jean-Jacques VILLALON, Quimper

Isabelle VINCENT, secrétaire dans le médico-social, Saint-Renan

Roger VINCENT, couvreur à la retraite, Saint-Renan

Jean-Louis WEBER, Santec

Denis YAOUANC, Cheminot, militant syndical, Elliant.

 

 

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le samedi 15 janvier 2022

 

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis ce samedi 15 janvier 2022
AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (Photo Eug)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis le 15 janvier 2022 (photo Daniel Laporte)

AG des communistes finistériens à Pont-de-Buis ce samedi 15 janvier 2022

AG de rentrée 2022 des communistes finistériens à Pont-de-Buis –

Ce samedi 15 janvier 2022 au matin, les représentants des 18 sections finistériennes du Parti communiste et des 865 adhérents du PCF Finistère (40 nouveaux adhérents en 2021 en dehors des mutations) étaient réunis à Pont-de-Buis, salle François Mitterrand, de 9h30 à 12h45, pour échanger sur la situation politique et sociale, s’organiser pour la campagne présidentielle de Fabien Roussel et les élections législatives qui viendront après. Merci à tous les camarades qui vont le déplacement!

Une AG des secrétaires et représentants de fédération avait lieu au même moment à Colonel Fabien à Paris où nous représentait Enzo de Gregorio.

Un bon débat de 3 heures jusqu’à 12h45 avec un peu plus de 40 camarades, suivi par un repas fraternel au restaurant Le Marléa juste à côté de la salle François Mitterrand pour ceux qui le souhaitaient.

Toutes et tous mobilisé.e.s pour la campagne de notre candidat aux présidentielles Fabien Roussel, le succès des nouvelles formules de l’humanité, et la préparation des législatives!

Dans le Finistère, 400 personnes au 15 janvier, étaient d’ores et déjà inscrits sur le Comité de Soutien à Fabien Roussel. 432 personnes au 23 janvier, une semaine plus tard. Objectif d’étape rempli! Prochaine échéance: 1000 soutiens au 10 avril, 50 supplémentaires par semaine, grâce au porte-à-porte dans les circonscriptions du Finistère avec le programme des Jours Heureux, la lettre aux Françaises et Français de Fabien Roussel, nos documents thématiques présentant les différents volets de notre projet. 

Et le 6 février prochain, au lendemain de notre Conseil national, nous aurons le premier grand meeting national de l’année, au Parc Chanot à Marseille.

Le 17 mars, Léon Déffontaines, le secrétaire de la JC et un des 5 porte-paroles de Fabien Roussel, sera dans le Finistère, à Brest, à la fac Ségalen, pour une réunion publique sur les attentes de la jeunesse dans cette campagne présidentielle.

Au mois de février ou de mars, Ian Brossat, le directeur de campagne de Fabien Roussel, devrait venir dans le Finistère pour un meeting départemental.

Pour s’inscrire sur le comité de soutien finistérien: dupont.ismael@yahoo.fr

Photos de nos camarades Daniel et Eugénie.

Rassemblement à Roscoff pour la relance de la ligne Morlaix-Roscoff le 22 janvier – discours de Gladys Grelaud

Photos de Jean-Luc Le Calvez – A l’invitation de l’UDB, que nous remercions pour cette initiative unitaire de relance de la lutte nécessaire et réussie, et avec l’aide de la CGT Cheminots, et de l’APMR, un très important rassemblement s’est tenu hier, samedi 22 janvier, pendant 2 heures de 11h à 13h devant la gare de Roscoff.
Plus de 200 personnes étaient présentes, dont plus d’une quarantaine de camarades du PCF et du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix.
De nombreuses interventions ont eu lieu – et celle de Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste de Bretagne, militante PCF à Landerneau, qui a porté un propos fort et vrai, très applaudi pour la relance, de la ligne Morlaix-Roscoff:
Discours de Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste finistérienne:

Prise de parole train Morlaix Roscoff janvier 2022

Je vais faire court et je ne vais pas revenir sur ce qui a déjà été dit.

D’abord commencer par vous montrer deux images Ici le réseau ferroviaire en 1930 et le réseau ferroviaire en 2008. Une France de 1930 une France ferroviaire, ramifiée, un train au plus près des habitants des villes et des campagnes et aux plus près des entreprises.

Ce que nous défendons ici, c’est bien un nouvel aménagement du territoire pour demain, pour une Bretagne aménagée équitablement, Avec un train, qui dessert l’ensemble des territoires.

Nous communistes, nous portons un aménagement du territoire qui promeut l’égalité entre ville et campagne et cela passe par le maintien mais aussi le développement du rail , du ferroviaire.

Le train c’est un service public de transport de proximité qui permet notre mobilité et un moyen de transport durable. Notre mobilité de plus en plus mis à mal aujourd’hui avec un litre de gasoil qui dépasse la barre des 1 euros 60.

Pour nous la ligne Morlaix Roscoff doit rouvrir et se développer pour deux raisons.

La première c’est pour que chacun puisse se déplacer. Aujourd’hui, selon plusieurs sources, c’est 9000 véhicules jour en moyenne en basse saison sur la route Morlaix Roscoff et, sur une partie de ces 9000 conducteurs, il y en a de plus en plus qui sont attachés fébrilement au pistolet de la station essence et font attention à ne pas dépasser les 15€ pile. Vous savez, comme dans beaucoup d’endroits, parce qu’on est au 20 du mois et qu’on a plus grand chose sur le compte et au 10 mois pour certains.

Le train est un bien public que nous devons défendre et surtout développer. un train du quotidien c’est que veulent les gens.

Parce que le pouvoir d’achat, est la première préoccupation des français et les bretons ne font pas exception. Et défendre la ligne Morlaix Roscoff impactent directement le pouvoir d’achat des nord finistériens. Un calcul pour vous rendre compte de l’intérêt du TER. La ligne Landerneau Brest. c’est 50 km Aller retour environ. 5 fois par semaine et 4 semaines par moi.

En TER, l’abonnement c’est 22,50 € par mois avec trajet illimité même le week-end si on veux avec les gamins pour qui le TER est gratuit dans toute la Bretagne.

je vous dis cela parce que si on transpose cela au même 50 km en voiture, où allez on considère qu’elle coute 0,30 € du km….. ben le calcul il est vite fait ? 30 centimes *50 km * 5 jours * 4 semaines et ben ça fait 300 € par mois…. je vous fais grâce des embouteillages, de trouver une place pour se garer…

alors 22,50 € contre 300 € sur un SMIC par exemple qui a été grassement augmenté de 0,9% de la part de notre gouvernement pour arriver à 1269 € net et ben c’est presque 25% du salaire et 22,50€ ça fait 2%.

Nous les communistes, nous défendons un train du quotidien de proximité et que l’on ne dise pas de ça coûte de l’argent. Le SNCF arrive bien à trouver des milliards pour gagner 10 minutes d’TGV pour améliorer le quotidien de quelques cols blancs alors quelques millions pour des milliers d’usagers bretons. Ca devrait pouvoir se trouver,

La seconde raison est économique ; nos légumes et marchandises, aujourd’hui transportés par des centaines de camions, demain seraient transportés par des trains de FRET électrifiés et apporteraient un bilan carbone amélioré et un plus-value certaine . Pour que nous recréé ions un véritable service public de fret. Les conditions sont réunis : l’intégration du port de Roscoff au réseau transeuropéen de transport, le brexit. Roscoff devient la porte d’entrée européenne la plus proche de l’Irlande. L’Europe, la France, nous, nous voulons notre Roscoff-Rungis en se battant comme ont pu le faire les catalans qui sont cheminots, associations des usagers, syndicalistes, primeurs et qui depuis des années ont lutté et gagné une bataille qui fut âpre.

Nous avons les moyens de repenser les lignes ferroviaires du quotidien et les bretonnes le souhaitent ! En effet, dans une des réunions publique du projet de ligne Bretagne Atlantique (LNOBPL), Une majorité de personnes ayant répondue veulent des investissements sur les lignes du quotidien.

Alors nous élues et militants communistes, ici à Roscoff, à Morlaix, dans le Finistère et à la région, nous demandons l’inscription de la rénovation de la ligne au contrat de plan Etat – Région et le financement par le Réseau trans-européen de transport de la ligne. Nous défendrons comme nous l’avons toujours fait ce service public de proximité des transports de voyageurs de de marchandises en lien avec les cheminots, les associations d’usagers les syndicalistes.

 

Fabien Roussel et les communistes avec les Renault de la SBFM à la Fonderie de Bretagne à Caudan.

 

Avec les Renault à la fonderie de Bretagne. En 2013, la direction leur a demandé de travailler plus pour sauver les emplois. Ils ont perdu des jours de RTT, des temps de pause et aujourd’hui, les actionnaires décident… de les vendre !! En vrai, Renault délocalise à l’étranger. C’est une trahison. Tous unis avez les Renault pour re localiser nos productions !

Fabien Roussel

 

A l’occasion de la mobilisation des salarié-es de la Fonderie de Bretagne, Fabien Roussel est venu soutenir la lutte.

Conditions de travail, pauses supprimées, RTT retirées… tout ça pour abreuver les actionnaires. C’est la lutte des classes qui est en marche et nous aussi nous la mènerons!

C’est un véritable chantage à l’emploi qu’opère Renault qui a décidé de délocaliser une partie de la production de la Fonte en Turquie, en Slovénie, en Espagne…

Nous devons nous unir pour ne plus y céder et pour maintenir nos savoirs faire, nos compétences, nos emplois et pour garantir un avenir à notre jeunesse.

(…)

Une nouvelle page est en train de s’écrire pour l’usine et pour votre avenir. Les actionnaires en ont écrit les premières lignes. C’est à vous maintenant de reprendre le stylo en main et d’écrire la suite : continuiez à produire ici!

Il faut reprendre la main sur l’outil industriel. Il ne leur appartient pas. Il vous appartient! Et il doit rester ici.

(…)

Renault et l’État actionnaire sont complices de ce qui est en train de se faire ici. Ils ont décidé de délocaliser à tout va. En plus de la Dacia Spring fabriquée en Chine, il y a aujourd’hui 240 000 véhicules Renault et 141 000 véhicules Dacia produits en Roumanie, Slovénie, Turquie, Espagne, puis réimportés en France. C’est une aberration économique, industrielle et écologique. Nous devons nous battre pour relocaliser, réimporter la production de véhicules en France et passer à 1million de véhicules produit en France!

(…)

Vous produisez des richesses. Ce qui est versé aux actionnaires ne tombe pas du ciel, c’est le fruit de votre travail, de votre sueur. Et c’est à vous que ces richesses doivent revenir.

Produire en France, ça veut dire produire à la hauteur de nos besoins! L’industrie c’est la vie et un pays sans industrie est un pays sans avenir. Produire en France c’est bon pour l’État, c’est bon pour le climat et c’est bon pour l’État.

(…)

Quand je dis que l’industrie c’est bon pour l’État, c’est parce qu’une entreprise qui fonctionne apporte des recettes, elle paye des impôts, elle rapporte des recettes à la région, au département, aux communes. C’est donc de l’argent utile pour nos hôpitaux, nos écoles, nos services publics…

Nous pouvons porter ce combat. Nous pouvons mener une lutte qui est belle, noble et juste. Nous la porterons à l’Assemblée nationale, et nous placerons cette usine sous la protection de la République!

Samedi 18 mai, 18h: réunion publique à Plourin-les-Morlaix, salle du Cheval Blanc, avec LASSANA BATHILY, président du comité de soutien de la liste de Ian Brossat, et GLENN LE SAOUT

Nous vous invitons à mettre dans votre agenda la date du samedi 18 mai à 18h pour participer à la dernière réunion publique Européennes du PCF sur le Finistère avec notre jeune et brillant candidat:

Salle du Cheval Blanc à Plourin-les-Morlaix, 18h

GLENN LE SAOUT, 20 ans, étudiant salarié, bénévole en club sportif, ancien président de la FIDL Bretagne

et

LASSANA BATHILY, 28 ans, franco-malien, dont le monde entier a salué l’action courageuse et pleine de sang-froid pour sauver des vies à l’hyper cacher lors du massacre djihadiste de 2015, président du comité de soutien de Ian Brossat et de la liste « ‘Europe des gens contre l’Europe de l’argent » soutenue par le PCF et République et Socialisme.

CINDERELLA BERNARD, la candidate costarmoricaine, présidente du groupe communiste au conseil départemental des Côtes d’Armor, sera aussi présente au côté de GLENN LE SAOUT pour cette dernière réunion publique de campagne

Lassana Bathily sera le midi à Quimper avec Glenn Le Saoût et les soutiens à la liste de Ian Brossat.

Nous vous attendons nombreux pour soutenir Glenn Le Saoût et la liste de Ian Brossat, ou tout simplement pour entendre nos arguments afin de vous faire une idée.

Obsèques de notre camarade Pierre-Charles Bizien

Les obsèques de notre camarade

Pierre-Charles Bizien ,
réfractaire au STO, Maquisard au bataillon de Stalingrad , président d’honneur de l’ARAC Finistère auront lieu au

Crématorium de  Quimper vendredi 3 mai à 13 h30.

 

« L’Irlande en révolutions », samedi 12 janvier, Pont-l’Abbé

Olivier Coquelin présentera et dédicacera son ouvrage

samedi 12 janvier 2019 à partir de 10 h 30

Maison du PCF 9 square de la Madeleine

à Pont-l’Abbé

 

 

 

 

Olivier COQUELIN vient de publier un nouvel ouvrage : « L’Irlande en révolutions – Entre nationalismes et conservatismes: une histoire politique et sociale (18e-20e siècles) ».(Editions SYLLEPSE)

 

Pour comprendre les particularités de l’Irlande contemporaine, l’auteur nous invite à un voyage dans une histoire des revendications émancipatrices du peuple irlandais.

La partition de l’île d’Irlande, qui perdure à ce jour, fut l’une des conséquences de la Révolution de 1916-1923. Inachevée, la rupture avec l’ordre ancien contribua surtout à renforcer le pouvoir des forces conservatrices, à l’œuvre des deux côtés de la frontière.

Pareil phénomène oblige à s’interroger sur la nature même des mouvements politiques (révolutionnaires comme constitutionnels) et sociaux (agraires comme ouvriers) irlandais qui se réclamèrent du nationalisme, à partir du siècle des Lumières.

Dans quelle mesure se faisaient-ils les partisans de desseins progressistes dans la perspective d’une Irlande indépendante, autonome ou maintenue dans le giron britannique ?

Olivier Coquelin est enseignant à l’Université de Caen et membre associé du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC) et du Groupe de recherche en études irlandaises (GREI). Il a codirigé (avec Patrick Galliou et Thierry Robin), Political Ideology in Ireland : From the Enlightenment to the Present (Cambridge Scholars Publishing, Newcastle, 2009).

 

Premiers retours sur le Congrès d’Ivry-sur-Seine.

 

Un congrès pleinement réussi, où les communistes ont réaffirmé leur unité et leurs objectifs communs en élisant un nouveau secrétaire national, Fabien Roussel, et votant un texte d’orientation riche et ambitieux.

Notre nouveau secrétaire national Fabien Roussel s’est exprimé avec détermination pour un Parti Communiste qui mette la question du pouvoir d’achat, de la lutte contre les profits délirants du capital, l’évasion fiscale, pour la défense de la ruralité et des services publics de proximité au cœur du débat politique. Tous ses gestes pendant le Congrès ont été marqués au sceau de la responsabilité, pour le rassemblement, l’unité et l’efficacité des communistes. Nous serons tous unis avec Fabien pour redonner un nouvel élan aux combats de notre parti.

 

 

Philippe Boyssou, le maire communiste d’Ivry-sur-Seine, nous a a scotché par l’humanité, l’intelligence de ses interventions et de ses combats pour la dignité des classes populaires, des Roms, des réfugiés, au service d’une autre idée de la société, de la justice, et de l’humanité. Avoir des maires communistes militants de cette qualité et générosité là, comme Philippe Boyssou, Philippe Rio, Patrice Bessac, Mériem Derkaoui, avoir des parlementaires de la qualité de ceux que nous avons, ça regonfle chaque coco pour donner de soi-même dans des conditions plus difficiles électoralement car c’est là qu’est l’honneur de la politique et de la gauche!

Cecile Cukierman et Fabien Gay ont animé avec punch, humour, émotion et brio tous les intermèdes du congrès, donnant la parole à nos grands témoins, les lutteurs ordinaires de la vie sociale. L’engagement de nos parlementaires – André Chassaigne, Pierre Darhéville, Eliane Assassi, Laurence Cohen, Cathy Apourceau Poly, et d’autres en dehors bien sûr de Pierre Laurent et Fabien Roussel, – a été décisif pour mettre ce congrès sur de bons rails.

 

 

Témoignage bouleversant d’Assa Traoré au congrès d’Ivry du PCF sur la mort de son petit frère le jour de son anniversaire, petit-fils de deux tirailleurs maliens de la guerre 14-18, l’un mort au combat, l’autre amputé, mort des suites de violences policières à l’occasion d’un contrôle d’identité qui a dégénéré. Le ministère de l’intérieur a tout fait pour écarter les preuves des causes de la mort d’Adama Traoré. Assa a dit combien les mairies communistes avaient aidé au combat pour la vérité et la justice sur cette bavure policière criminelle.

J’ai eu l’honneur de m’exprimer 3 minutes pour  la dernière prise de parole du Congrès (c’était Yannick Nadesan, de Rennes, qui avait fait la première prise de parole des délégués) avant la prise de parole de Fabien Roussel et le premier vote sur l’état de la liste proposé au CN – dimanche 25 novembre, Ivry-sur-Seine:

« Au regard des périls que laissaient entrevoir l’avant-congrès, de l’échauffement des esprits pendant plusieurs semaines, et au-delà de certains phénomènes qui ne sont que l’écume des choses, notre congrès est réussi, je dirais même qu’il est extraordinaire.
Grâce à une intelligence collective, à l’esprit de responsabilité des uns et des autres, au désir commun d’en sortir par le haut et de se rassembler, nous sommes parvenus à démentir les pronostics les plus pessimistes.
Surtout, collectivement, nous avons su répondre à l’exigence des adhérents communistes, exprimée fortement lors des congrès de section et congrès fédéraux:
une exigence d’unité
une exigence de transformation profonde et d’enrichissement de la base commune
une exigence d’avoir un texte qui rassemble le meilleur de ce que portent les communistes. Qui donne une visée claire de nos objectifs.
Nous avons de quoi être fiers de ce que nous avons produits.
Bien sûr, le plus dur reste à faire et un travail collectif très important doit être conduit, un travail d’invention et d’imagination aussi. Nous avons à construire une direction efficace qui renforce notre activité, notre visibilité, notre influence. Les enjeux sont énormes pour rendre un espoir à notre peuple, au peuple de gauche, aux travailleurs, pour faire échec aux politiques capitalistes et à la progression très inquiétante de l’extrême-droite, car le ventre de la bête immonde, plus que jamais, est fécond.
Un grand merci et un salut fraternel à Pierre Laurent. Félicitations
à Fabien Roussel.
Je lui souhaite pleine réussite, je souhaite avec lui notre pleine réussite.
Courage et sagesse, camarade!« 

Je suis intervenu sinon en début de Congrès pour saluer l’esprit d’unité qui avait lancé le congrès et le travail de la commission texte pour transformer et enrichir le texte en tenant compte des remontées des amendements des fédérations et des sections. Je suis intervenu aussi sur notre travail autour de la culture et de l’éducation populaire dans le Finistère, à Morlaix et Quimperlé notamment, son sens et ses modalités, ainsi que sur la question de l’organisation militante, de la vie des sections, de la nécessité d’un CN qui se penche sérieusement sur ces questions.

Une intervention de Daniel Boudin sur l’énergie et la sécurisation du nucléaire, les perspectives de recherches à poursuivre pour recycler les déchets nucléaires, et de Maxime Paul sur l’appropriation publique et démocratique des industries d’armement, en lien avec une politique de paix à reconstruire.

A la clôture du Congrès, avec le vote de la liste conduite par Fabien Roussel pour le Conseil National, j’intègre le Conseil National avec deux autres bretons: Stephanie Missir (22), Amar Bellal (35).

Merci aux camarades pour leur confiance. On va se retrousser les manches!

Ismaël Dupont.

Valère Staraselki à Brest. Conférence Débat.

Valère Staraselki évoquera la question de l’antisémitisme à partir de son livre « Le Parlement des cigognes« .

Lieu : La Petite Librairie, 4bis Rue Danton, 29200 Brest

Date : Mercredi 14 novembre

Horaire : 19 h

Gratuit et ouvert à tou.te.s

 

 

 

 

 

Valère Staraselki sera le 14 novembre à 19 h à la Petite Librairie 4 bis rue Danton à Brest quartier ST Martin à l’invitation de l’Association des Amis du journal l’Humanité pour évoquer la question de l’antisémitisme à partir des recherches accomplies pour l’écriture de son dernier livre: « Le Parlement des cigognes » (2017) sur la Shoah et la complicité de polonais dans l’extermination des juifs (prix Licra).

 

 

 

C’est aussi l’auteur de plusieurs autres romans « Sur les toits d’Innsbruck », « Une histoire française » (sur la France prérévolutionnaire, en janvier 1789), « L’Adieu aux rois » (un roman qui se passe pendant la Révolution Française, en 1794), « Le Maître du Jardin. Dans les pas de La Fontaine », « Nuit d’hiver », « Un homme inutile », etc. Mais aussi d’un très beau texte sur la Fête de l’Humanité, Comme un Air de liberté (2005), de 1909-2009:«Un siècle de  Vie Ouvrière»avec Denis Cohen (Cherche-Midi), de Voyage à Assise.

Centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918 : Spectacle du Théâtre de la Corniche « Bonsoir m’amour »

« Bonsoir m’amour »
Compagnie du Théâtre de la Corniche
Date : Dimanche 11 novembre
Lieu : Salle Gallouedec, 29600 Saint-Martin-des-Champs, près de Morlaix
Horaire : 16h00
Entrée libre

A l’occasion du Centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918 et de la fin de cette grande boucherie inutile que fut la Grande Guerre (10 millions de morts au total – 1 350 000 Français qui en furent victimes). 

En hommage aux sacrifiés du nationalisme et du militarisme, en hommage aux combattants de la Paix, la section PCF du Pays de Morlaix invite la compagnie du Théâtre de la Corniche avec les comédiens Claude Bonnard, Jérôme André, Antoine Asnar.

Pour une représentation du très beau, très émouvant, très drôle  de leur  nouveau spectacle musical et chanté.


« Bonsoir m’amour »

1925, le 11 novembre, dans un bar à Morlaix. A la fin de la commémoration de l’armistice, le bar devient le rendez-vous des anciens combattants parmi lesquels on rencontrera le petit fils du bistrotier et un musicien ambulant. Tous deux ont été sur le front, avec chacun des motivations différentes : le jeune va-t-en guerre qui a la victoire revancharde et l’artiste qui a pu surmonter les horreurs de la guerre grâce à la musique.

Ça discute, ça s’apostrophe, ça évoque la mémoire des amis disparus, les faits d’armes du voisin de Ploujean, le maréchal Foch, ou de ce planqué de l’arrière, fils d’un notable local, plus occupé à faire des affaires qu’à remonter le moral des troupes.

Ça chante aussi, les refrains de l’époque qui traduisent bien l’évolution des états d’esprits, de la fleur au fusil des premières semaines au découragement ressenti devant l’interminable mitraille. Le tout devant la philosophie du patron qui, lui, a connu celle de 70 et le siège de Paris par les Prussiens, et qui a donné à son bistrot le nom d’une chanson « Bonsoir m’amour » dont l’air avait été utilisé par les auteurs anonymes de la chanson de Craonne alors encore interdite!

Spectacle public 

Entrée libre, participation au chapeau

Suivi d’un pot convivial pour continuer à échanger 


Site de la compagnie :  https://www.theatredelacorniche.fr

 

Débat parcoursup et l’éducation pour tous à Brest le 22 octobre : compte rendu

Cher-s camarades, 

 

Excellent débat sur Parcoursup organisé par le PCF , pour l’égalité d’accès à l’éducation et l’enseignement supérieur hier à la fac Ségalen de Brest avec Pierre Ouzoulias, sénateur communiste des Hauts-de-Seine, Lucien Richard, responsable organisation de la JC 35, Marie Dagnaud de la CGT educ’action, Olivier Cuzon, de Sud-Solidaires, et Jean-Marc Clery, porte parole de la FSU-Bretagne .

Des intervenants de très grande qualité. 

Un débat organisé par la section de Brest et animé par Gérald du PCF BREST.

Morceaux choisis: 

« Parcoursup, une « belle réussite« , qui a éliminé des dizaines de milliers de bacheliers de l’enseignement supérieur (-7% d’inscrits en fac notamment), des jeunes issus des classes populaires, de lycées techniques et professionnels pour la plupart ».

 » La France consacre depuis 10 ans de moins en moins de moyens, rapportés au nombre d’étudiants qui augmente, à l’enseignement supérieur ».

« Les algorithmes locaux des universités sont non communiqués, on ne sait pas sur quels critères ils travaillent, ni s’ils sont légaux »

« On va préparer la spécialisation des élèves en amont pour correspondre aux attendus des universités. Dès la fin 3ème, les élèves vont devoir avoir une idée des choix qu’ils vont devoir faire. On spécialise l’enseignement général et technologique, on despécialise l’enseignement professionnel en lui retirant une série de compétences générales. On cherche à ce que les élèves restent bien dans la bonne case. On a pas un gouvernement qui vise l’émancipation des gens ».

« En Bretagne, 33 000 lycéens bacheliers passaient par la plateforme parcoursup. 8000 n’avaient aucune réponse au mois de juin, 950 savaient qu’ils étaient sans aucune proposition. C’est difficile de savoir combien de jeunes ont vu leurs vœux préférentiels satisfaits. 20% des élèves ont sans doute décroché de Parcoursup, se retrouvant sans orientation dans le supérieur, ou dans des écoles privées. En STAPS à Rennes, 200 dossiers ont été refusés, une centaine de dossiers ont été refusés en sciences de l’éducation

.

« Les effectifs ont baissé pour la première fois de 7% à l’entrée à l’université. Pour ce qui est des STMG, un tiers d’entre eux ont abandonné parcoursup. En région parisienne, il y a une sélection incroyable sur critères sociaux que parcoursup accentue ».

« Le tirage au sort a bien lieu en réalité dans certaines universités pour départager les candidats aux dossiers voisins ».

« Il manque des places à l’université et en même temps il y a des filières qui ne font pas le plein mais on ne rentre pas les étudiants dans les filières comme des sardines dans des boîtes. Le service public d’éducation a vocation a fonctionné même si certaines classes sont à moi tié vides ».

« Parcoursup traduit une projet idéologique de la droite depuis longtemps: le refus de la démocratisation de l’enseignement. Il s’agit d’empêcher tous ceux qui ont le bac d’accéder à la filière de leur choix. Le Bac n’est plus le premier diplôme du supérieur ».

« Les enfants d’ouvriers sont 12% en master, 4% en doctorat, actuellement. Parcoursup ne fait que renforcer ces discriminations. Cela conduit à l’auto-sélection, l’auto-censure. Et on localise le bac. Les notes de terminale n’ont pas la même valeur dans un lycée de centre-ville d’une grande ville et dans un petit lycée d’une petite ville ».

« On oblige les jeunes à se déterminer beaucoup plus tôt sur leur orientation future alors qu’on liquide parallèlement des cohortes de conseillers d’orientation. Le summum c’est la lettre de motivation qui discrimine ceux qui sont à l’aise à l’écrit ou ont des aides familiales et les autres »

« On a pas anticipé le pic de natalité de l’an 2000 avec 35 000 naissances de plus. C’est soit un problème d’incompétence totale, soit un choix. Il aurait fallu augmenter de manière significative les moyens pour l’université. Aujourd’hui, on oblige les jeunes à cocher les cases par défaut, les bacheliers professionnels accédant à l’université sont passés de 25% à 15%. Avec parcoursup, ce n’est plus les humains qui dépendent des machines mais les êtres humains qui se transforment en machines devant s’auto-évaluer et se vendre. Parcoursup, c’est un projet idéologique des forces capitalistes et libérales qui renvoient au processus. Cela renvoie au processus de Bologne par lequel les décideurs européens ont voulu uniformiser le modèle compétitif et managérial à l’université »

« Blanquer ne cesse de faire des cadeaux au privé. Alors que 95% des enfants sont scolarisés en maternelle à 3 ans, Blanquer, en rentant la scolarisation obligatoire à 3 ans fait un énorme cadeau aux écoles privées car les mairies vont devoir financer l’enseignement confessionnel ».

« Dans le débat d’orientation budgétaire, nous avons proposé d’affecter les 6,5 milliards de crédit impôt-recherche aux universités plutôt que cela serve à faire de l’optimisation fiscale ou autre. Pour embaucher des profs d’université, des maîtres de conférence, des responsables de TD, il faut des moyens. Est-ce légitime de mettre 6 milliards sur les prochaines années dans le programme M 51 de renouvellement des armes atomiques et des missiles atomiques alors qu’on aurait pu les mettre dans l’éducation, la jeunesse? Pour autant nous avons été le seul groupe a voté contre au Sénat » ( Pierre Ouzoulias)

« Il faut réellement mettre des moyens en face des besoins. Je suis pour une nationalisation de l’enseignement privé, le refus de la collaboration des enseignants avec les réformes libérales de tri des élèves ».

« En 2000, 18% des élèves de lycée poursuivaient leurs études. Aujourd’hui, c’est 36%. Entre 2008 et 2018 on a gagné plus de 500 000 étudiants. Le processus de démocratisation de l’enseignement est inéluctable, irréversible. Toute la question, c’est les moyens qu’on met pour l’accompagner. Depuis 10 ans, l’effort de la nation par étudiant a nettement diminué. Quels moyens sommes nous prêts à investir pour la formation de la jeunesse? »

« Aujourd’hui, depuis les accords Vatican-Kouchner il y a 10 ans dans le supérieur, qui autorise le privé à délivrer des diplômes, le privé est à l’offensive dans l’enseignement supérieurs, avec aussi des objectifs d’évangélisation assumés ».

« On a des difficultés à mobiliser, et pourtant c’est la clef de tout. Pas de vraie victoire des batailles étudiantes depuis la lutte contre le CPE en 2005-2006 »

« La non hiérarchisation des voeux produit un temps d’attente extrêmement long sur parcoursup et c’est un effet dissuasif voulu. L’attente fait partie du système: elle a concerné 20% des élèves du général, 50% des élèves sortant d’un bac pro. Parcoursup classe en fonction des milieux sociaux. Il ne faut pas confondre l’apparent amateurisme de l’algorithme et de la structure de parcoursup et le projet politique et la stratégie très calculés. Avec APB, tu pouvais avoir l’impression que tu choisissais ton école, ta filière; là c’est l’inverse, on te choisit et tu dois te vendre « .

Plusieurs lycéens et étudiants sont intervenus au court du débat:

Regrettant la non hiérarchisation des vœux et les effets que ça induit.

– Pour mettre l’accent sur le discours centré sur l’humain, les valeurs, le quotidien partagé et l’épanouissement individuel à tenir auprès des jeunes, plutôt que sur les chiffres, les moyens, l’argent, si on veut les toucher et les mobiliser. On a aussi besoin qu’on nous présente un projet en positif plutôt qu’une simple critique de l’existant. ON NE SE BAT PAS POUR DE L’ARGENT MAIS POUR DES DROITS.

– Sur la situation de stress vécue par les jeunes en terminale, qui vont malades au lycée pour éviter que des absences les handicapent dans le cadre de Parcoursup.

– Sur la mise à distance psychologique par rapport à des choix d’orientation qu’opère parcoursup.

– Sur le scandale de la confidentialité des données dans les algorithmes locaux de parcoursup.

– Sur les difficultés pour les jeunes des catégories populaires qui se rajoutent avec parcoursup.

– Sur le droit à l’orientation pour se former intellectuellement et non pour réussir socialement par une filière de prestige. Il faut pouvoir faire des études dans lesquels on se reconnaît. Il faut casser les représentations négatives sur certaines formations.

– Il faut accompagner les jeunes dans l’enseignement supérieur, les former, leur parler.

– Sur les pertes d’heures et de moyens de profs dans les UV dans certaines filières comme la psycho.

– Sur le travail salarié des étudiants et son impact pour la réussite dans les études.

– Sur le revenu d’autonomie étudiant à conquérir.

Des syndicalistes SNES-FSU, CGT de l’éducation privé, CGT  sont aussi intervenus dans la salles, où étaient présents des chercheurs à l’université.  

A l’issue de ce débat passionnant de 2h30 environ, avec une grande richesse d’interventions, 3 lycéens et étudiants ont demandé d’adhérer au PCF.


Document à télécharger:

Rapport Parcoursup – La perception par les lyceens de la nouvelle procedure – CAVL Nantes

Audition de Mme Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Mardi 23 octobre 2018 . Intervention de Pierre Ouzoulias.

http://videos.senat.fr/video.857271_5bccfdba7616c.audition-de-mme-frederique-vidal-ministre-de-l-enseignement-superieur-de-la-recherche-et-de-l-inno?timecode=5287820

 

 

JEUDIS ROUGES

Le compagnonnage du Parti Communiste avec la culture et l’éducation, le partage des savoirs, des compétences est une longue histoire.

Souvenons nous, par exemple, que la première Maison de la culture en France est fondée à l’initiative de Paul Vaillant Couturier en 1935 à Paris avec Louis Aragon comme secrétaire général. L’idée fera son chemin et André Malraux  devenu ministre la reprendra à son compte !Les ambitions du Réseau d’Initiatives « partage des savoirs » sont modestes mais elles s’inscrivent dans cette histoire là et dans cette vision de la société.

Les Jeudi Rouges  qui se tiendront à Quimperlé, espace Benoîte Groult, à partir du mois d’octobre tous les derniers jeudis du mois ont pour vocation de découvrir,  de comprendre, de débattre autour d’un thème  et avec l’aide d’une ou d’un spécialiste de la question retenue.  Et d’aider à agir et à riposter.

Le premier des « Jeudis Rouges » aura lieu le jeudi 25 octobre à 18 h 30

(infos à télécharger : jeudis rouges flyer)

On inaugurera ce cycle de rencontres par les questions posées par le vocabulaire, les mots, les mots de tous les jours , ceux notamment dont on nous rebat les oreilles à longueur d’antenne et de revues libérales. Que cachent ils ? Que véhiculent ils ?

Les mots « glissants ou vocabulaire et politique

Petit cours d’auto-défense intellectuelle

avec Pierre Crépel, mathématicien, historien des sciences

Et la suite…

Jeudi 29 novembre: « Avec Marx penser et agir aujourd’hui » (1ére partie) Bernard Vasseur Professeur de Philosophie

Jeudi 13 décembre : « Avec Marx penser et agir aujourd’hui » (2 éme  partie) Bernard Vasseur Professeur de Philosophie (ce n’est pas le dernier jeudi du mois pour cause de Noel !)

Jeudi 31 janvier : « Faut il sauver le soldat Europe ? »

Jeudi 28 février : « La mondialisation »; Nasser Mansouri ; Economiste; coordinateur du pôle économique de la CGT

Jeudi 28 mars:  « Les migrations aujourd’hui »  Catherine Wihtol de Wenden . CNRS, Politologue. spécialiste des migrations internationales.

Jeudi 25 mars: « Vous avez dit populisme ? »  Jean Quétier ; Doctorant en Philosophie Université de Strasbourg.

Les soirées se concluront par un buffet partagé où chaque participant est invité à apporter qui à boire qui à se restaurer.

Pour une bonne organisation de la soirée, merci de nous faire part de votre éventuelle participation.

A bientôt.

Plus d’information :pcfpaysdequimperle@gmail.com

 

 

le numéro 3 de la revue Rouge Finistère est paru !

rouge f page 1Tiré à 30 000 exemplaires, on peut se le procurer dans les sections, le diffuser, le distribuer…

Ou le télécharger via ce lien : rouge3

 

 

Loctudy, vendredi 17 août: Souper marin et fête organisée par le PCF du pays Bigouden avec la présence d’Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

Olivier Dartigolles, qui été présent à Mellac (région de Quimperlé), Lorient, et Vannes début février, , à St Brieuc pour un débat sur l’âgisme, la perte d’autonomie et les EHPAD le 8 mars,  à Morlaix et à Brest le 1er mai, sera à nouveau en Bretagne le vendredi 17 août prochain, sur le port de Loctudy, pour participer au souper marin et à la troisième fête de l’été du travailleur bigouden organisée par la section PCF du Pays Bigouden.

Il assurera le discours politique et pourra dédicacer son livre « Macron, entreprise de démolition – Forces, failles et supercheries » plus que jamais d’actualité

Retour sur le 26 mai dans le Finistère

Marée Humaine on continue !

À l’appel de plus de 60 organisations associatives, syndicales et politiques, 190 manifestations ont eu lieu ce samedi partout en France contre la politique d’Emmanuel Macron et pour « l’égalité, la justice sociale et la solidarité ». Elles ont réuni 280 000 personnes dont 80 000 à Paris.

Environ 2 200 personnes à manifester en tout dans le Finistère sur 4 lieux de manifestations (Quimper, Brest, Quimperlé, Morlaix).

1000 personnes à Brest (700 comptabilisées par la presse), 300 à Morlaix (250 comptabilisées par la presse), 250 à Quimperlé, 700 à Quimper. 

Une mobilisation moyenne, surtout de militants du premier et deuxième cercle, sans beaucoup de jeunes malheureusement, ni de syndiqués de base (comparer les 1000 manifestants à Brest aux 4000 de la manif de la fonction publique le 22 mai quatre jours avant) mais qui a eu le mérite d’entretenir la flamme.

A Morlaix, c’est le PCF qui a pris l’initiative de rassembler les organisations signataires de l’appel et représentées localement, 15 sont venues dans notre local mardi dernier, c’est nous qui avons pris la parole pendant la conférence de presse et nos idées ont été reprises pour le rassemblement initial et le défilé (de la place de la gare Rol Tanguy à l’hôpital).  Les militants communistes ont dialogué et dit leurs quatre vérités au suppléant de la députée En marche. L e discours de Martine Carn, militante communiste et par ailleurs porte-parole du comité de défense de l’hôpital de Morlaix, a été très applaudi.

  marée

A Brest, où France Insoumise est bien implantée comme à Morlaix, la réunion de préparation s’est passée dans un bon climat et le PCF a joué tout son rôle dans l’organisation et le défilé.

A Quimper,  le PCF était  co-organisateur et a participé à la manif.

Vendredi soir, Emmanuel Macron avait tenté, depuis la Russie, de prendre les devants avec un entretien sur BFMTV. «  Mon seul message : ceux qui veulent bloquer le pays n’y arriveront pas. Aucun désordre ne m’arrêtera. Le calme reviendra », a résumé l’équipe du président sur son compte Twitter officiel. Pas de quoi décourager ceux qui, à l’appel de plus de 60 organisations syndicales, politiques et associatives, s’étaient donné rendez-vous samedi pour faire déferler partout dans le pays une « marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité ». Bien au contraire. 190 défilés ont réuni 280 000 manifestants, selon les organisateurs.

Après la manifestation du jour, ce rassemblement a-t-il vocation à se poursuivre ? « L’avenir nous le dira », répond Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT derrière la banderole de son syndicat, estimant important le message envoyé aux citoyens : «il y a la possibilité de faire autrement que de toujours gagner moins, toujours travailler plus au profit de quelques uns», résume-t-il. Si tous les organisateurs ont rendez-vous lundi soir pour tirer le bilan du week-end, certains estiment d’ores et déjà qu’il faudrait donner des suites à ces « marées populaires ». « A la mesure que la colère grandit, l’espoir grandit aussi.

Les chantiers de démolition des ordonnances Macron à lire sur le blog du PC bigouden

Les chantiers de démolition des ordonnances Macron par le blog du PC bigouden

Décryptage réalisé par Stéphane Guérard, Kareen Janselme et Cécile Rousseau (Journal L’Humanité du 1er septembre 2017)

Les 36 mesures présentées hier par l’exécutif organisent la casse du droit du travail. Elles s’attaquent de front aux accords collectifs en faisant de l’entreprise l’échelon principal de la négociation sociale, affaiblissent le rôle et les prérogatives des syndicats, et facilitent les plans sociaux.

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1- L’entreprise fait sa loi

L’accord d’entreprise prime. La loi El Khomri l’avait initiée, ces ordonnances parachèvent l’inversion de la hiérarchie des normes. Derrière cette expression, se cache un principe fondateur de notre droit du travail. Jusqu’à présent, le Code du travail primait sur toute autre forme d’accord émanant de la branche professionnelle ou d’une entreprise, à moins que ces derniers soient plus favorables aux travailleurs. Tout est envoyé cul par-dessus tête. Le Code du travail ne fixera plus que des seuils minimalistes, adaptables au niveau de chacune des branches professionnelles chargées de définir des règles communes de fonctionnement au sein d’un même secteur économique. Règles que les entreprises auront tout le loisir de contourner via toute une série d’outils distillés au fil des cinq ordonnances. Alain Griset, le président de l’U2P (artisans et indépendants), était sans doute le plus heureux de cette évolution. Car, ces contournements s’offrent aux petites entreprises. Jusqu’ici, en l’absence de délégué syndical, celles-ci devaient se conformer à la loi et aux accords de branche. Désormais, les petits patrons auront la possibilité de passer outre en téléguidant des négociations maison (voir par ailleurs).

Accords compétitivité-emploi survitaminés. Symbole de cette prime donnée aux accords d’entreprise, le gouvernement offre un recours généralisé aux accords compétitivité emploi. « Il s’agit d’une mesure majeure, reconnaissait Muriel Pénicaud, hier. Nous donnons la possibilité aux entreprises de s’adapter vite à une hausse ou une baisse de l’activité économique par des accords simplifiés. » Ces accords étaient jusqu’alors l’apanage de grosses PME ou multinationales (Renault et PSA, par exemple) en proie à des difficultés, souhaitant jouer sur le temps de travail, la rémunération et la mobilité de leurs salariés, dans un laps de temps réglementé, en échange d’une garantie de niveau d’emploi. Les négociations menant à ce genre d’accord vont être « simplifiées », expliquait la ministre du Travail. Et malheur aux salariés qui s’y opposeraient. Leur éviction ne sera plus considérée comme un licenciement économique. Adieu les indemnités et droits au reclassement afférents.

Contrats de chantier, CDD au rabais. Les promoteurs des ordonnances insistaient tout de même, hier, sur le rôle central des branches professionnelles pour la fixation des salaires minimums, des grilles de qualification, des politiques de formation, de prise en compte de la pénibilité et de l’égalité professionnelle femmes-hommes, ainsi que du choix des complémentaires santé. Une façon de souligner que le dumping social tous azimuts entre entreprises d’un même secteur économique avait été évité. Les branches sont dotées d’une nouvelle prérogative : celle du contrat de chantier, dont les modalités étaient jusqu’alors fixées par la loi. Chacune pourra bientôt fixer par la négociation les règles permettant aux entreprises concernées de recourir à ce genre de contrat plus précaire et moins protecteur qu’un CDD. Il n’en reste pas moins que les textes gouvernementaux offrent à la négociation, au niveau de l’entreprise, les moyens de contourner ces seuils fixés par la branche. Un exemple mentionné par le gouvernement ? Une prime d’ancienneté « imposée par la branche » pourra, après négociation d’entreprise, être détournée pour autre chose, comme le financement d’une garde d’enfant.

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2-Le licenciement devient presque une formalité

la rupture conventionnelle collective sortie du chapeau. C’est la grosse surprise de la journée. Alors que le gouvernement souhaitait inscrire dans le Code du travail les plans de départ volontaires (PDV), il a finalement proposé à la place une rupture conventionnelle collective. Dans le PDV, la prime de départ est incitative, donc en générale supérieure à celle d’un plan de sauvegarde de l’emploi. Désormais, la négociation sera menée sur le modèle des ruptures conventionnelles individuelles, qui donnent souvent lieu à des indemnités bien moindres, beaucoup d’employeurs se contentant de verser l’équivalent de l’indemnité légale de licenciement. Leur nombre est d’ailleurs en explosion depuis leur création en 2008, avec 35 700 ruptures conclues rien qu’en juin dernier, un record. Ce dispositif, reposant sur le principe erroné que salarié et employeur sont sur un pied d’égalité, fait pourtant couler beaucoup d’encre. Accusée de servir de préretraite déguisée, de n’être souvent qu’à la simple initiative de l’employeur, la rupture conventionnelle collective prédit de nouvelles dérives. Pour Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, « cette création » est aussi une manière d’éviter de mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), avec les garanties sociales qui vont avec…

Le rôle du juge anéanti. Après une première tentative avortée dans la loi Macron, l’exécutif réussit cette fois-ci à sérieusement limiter les recours des salariés licenciés devant les prud’hommes. Tout d’abord, les ex-employés voient le délai de contestation devant la justice passer de deux ans à un an. Mais surtout, alors que la compensation allouée au plaignant était laissée à l’appréciation du juge, elle sera désormais plafonnée à vingt mois de salaire brut pour les personnes ayant trente ans d’ancienneté et dont le licenciement a été requalifié sans cause réelle et sérieuse, de six à trois mois de salaire pour deux ans passés dans l’entreprise, et un mois de salaire en dessous de deux ans. Ces plafonds ne s’appliqueront pas en cas de plainte pour discrimination ou d’atteinte des droits des salariés. Cet encadrement drastique augure d’indemnités moindres pour les salariés lésés et d’une sécurisation des licenciements pour les employeurs. Pour tenter de faire passer la pilule, le gouvernement propose en parallèle d’augmenter les indemnités légales de licenciements de 25 %. « Insuffisant », pour Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO.

Le plan social facilité. Le périmètre du plan social et son motif économique ne seront plus appréciés au niveau international, mais au niveau local. Pour le gouvernement, il s’agit d’harmoniser les règles avec celles des pays européens : « Cette solidarité de toutes les filiales du monde avec la filiale française en difficulté compte parmi les règles qui pénalisent la France dans les comparaisons internationales et qui détournent les investisseurs. » Rien que cela ! Cette réduction du périmètre rend possible la mise en faillite d’une unité implantée en France alors que la santé du groupe est florissante à l’échelle mondiale. Même si la ministre du Travail précise que des garde-fous seront instaurés, comme un « éventuel contrôle du juge », le risque est réel.

cgt

3- Dialogue social : les syndicats au second plan

Des accords pourront être signés sans les syndicats… Contre-révolution dans l’entreprise : les sociétés de moins de 20 salariés pourront négocier avec un employé non élu et non mandaté par un syndicat. Les entreprises de 20 à 50 salariés le pourront avec un élu du personnel non mandaté. Un seuil de 50 que revendiquait la CFDT lors des concertations, rejointe aujourd’hui par Jean-Claude Mailly, de Force ouvrière, qui affirme que les discussions ont permis d’éviter que cela ne s’étende aux entreprises jusqu’à 300 salariés. Maigre consolation pour les autres syndicats. Argument du gouvernement et des patrons ? La présence syndicale dans les PME atteint juste les 4 %, et l’absence de délégués syndicaux impose de se conformer aux accords de branche, sans négociation possible à l’échelle de l’entreprise. Dans les TPE, le chef d’entreprise pourra directement consulter ses salariés, notamment par le biais du référendum.

Référendum pour les employeurs dans les TPE. Dans les entreprises comprenant jusqu’à 11 salariés, l’employeur pourra consulter directement ses employés par référendum, sur l’ensemble des thèmes ouverts à la négociation d’entreprise. Dans les entreprises de 11 à 20 salariés, qui ne possèdent pas d’élus du personnel, un référendum à l’initiative de l’employeur pourra aussi être utilisé pour valider un accord d’entreprise. La loi El Khomri avait ouvert la possibilité du référendum mais initié par des syndicats minoritaires. La loi Pénicaud donne cette fois-ci directement la prérogative à l’employeur. Une possibilité qui inquiète même Laurent Berger, le numéro 1 de la CFDT, plutôt sensible jusqu’ici aux propositions du gouvernement.

Fusion des IRP et disparition des CHSCT. Osant afficher vouloir « défendre un dialogue social simplifié et opérationnel », le gouvernement a décidé de fusionner les trois instances représentatives du personnel – délégué du personnel, comité d’entreprise, et CHSCT (comité d’hygiène, sécurité et conditions de travail) – en un seul conseil social et économique (CSE) dans toutes les entreprises de plus de 50 salariés. François Hommeril, président de la CFE-CGC, dénonce une « fusion forcée » qui « supprime le CHSCT de sa personnalité morale, ce qui discrédite l’ensemble du projet ». Une commission CHSCT pourra exister dans les entreprises de plus de 300 salariés ou être imposée dans certains cas par l’inspection du travail. L’ensemble des syndicats de salariés dénonce cette fusion qui entraînera la diminution du nombre d’élus et de moyens. Un décret prochain devrait préciser ces chiffres. Le gouvernement ouvre également à hauteur de 20 % la participation du CSE aux frais des expertises, qui jusqu’ici demeuraient principalement à la charge de l’employeur. Une façon d’en freiner le recours car le budget octroyé actuellement au comité d’entreprise n’est pas extensible. Autre bouleversement : par accord majoritaire, il sera possible de fusionner les délégués syndicaux (DS) au CSE, et donc leur compétence de négociation. Dans ce cas-là, le CSE prendra le nom de « conseil d’entreprise ». Or, comme le souligne Philippe Martinez, de la CGT : « Un représentant du personnel et un syndicat, ce n’est pas la même chose. »

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Face à l’offensive libérale menée par le gouvernement et le Medef, un seul moyen de défense : la lutte commune des salarié.e.s public et privé, des étudiant.e.s, lycéen.e.s, des privé.e.s d’emploi pour mettre en échec le tandem Macron/Gattaz et gagner de nouveaux droits pour toutes et tous !

Premier rendez-vous important : les manifestations du 12 septembre !!!

Tou.te.s ensemble nous gagnerons !

 

Suppression des emplois aidés, un coup de Trafalgar contre les plus fragiles.

Un communiqué de presse du groupe des élu.e.s communistes de Brest

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Suppression des emplois aidés, un coup de Trafalgar contre les plus fragiles !

Le Gouvernement a décidé de tailler dans les contrats aidés. C’est inadmissible ! Cette mesure brutale est un coup de massue qu’Emmanuel Macron, le PDG de la République, assène aux collectivités, aux associations et aux personnes les plus vulnérables. À terme, près de 300 000 personnes risquent de se retrouver au chômage.

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Sur Brest, la suppression des contrats aidés aura de violentes répercussions. Le secteur associatif qui remplit des missions d’utilité publique a recours aux contrats aidés. Comment pourra-t-’il mener ses actions au mieux s’il doit se priver d’une partie de ses salariés ? Il ne le pourra pas, bien évidemment.

D’autre part, au sein de notre collectivité, 70 agents sous contrat aidés contribuent au service public rendu aux habitants. En direction notamment des publics les plus fragiles, c’est à dire les enfants et les personnes âgées. Ces postes répondent à des besoins concrets et quotidiens des Brestois. Supprimer les postes ne supprimera pas les besoins !

La suppression des contrats aidés par Emmanuel Macron entraînerait une double peine pour les personnes les plus fragilisées. D’un côté, les services dont elles et leur famille bénéficient se verront amputer faute de moyens. D’autre part, ces personnes se retrouveront à la case chômage.

C’est en réalité un vaste plan social que nous dénonçons.

Nous, élu-e-s communistes, demandons à ce que l’État accompagne les associations pour transformer les contrats aidés en emplois sécurisés et qualifiés. Nous exhortons également le Gouvernement à doter les services publics et les collectivités locales de financements dignes de ce nom. Cela permettrait le recrutement de personnels sur des emplois durables, nécessaires à la satisfaction des besoins des populations.

 

Groupe des élu-e-s communistes de la Ville de Brest, le 31 août 2017.

Jacqueline Héré, Eric Guellec, Claude Bellec, Jean-Michel Le Lorc’h, Gaëlle Abily

Dans le Finistère cet été actions pour la fête de l’Huma contre les ordonnances Macron

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Dans le Finistère, nous avons eu des actions intéressantes, à l’initiative de la section de Brest, cette année comme l’an passé mais en plus systématisé, avec des petites équipes de militant.e.s mobilisé.e.s pour aller faire la promotion de la fête de l’Huma et vendre des vignettes dans les festivals d’été du Finistère, nombreux et rassemblant beaucoup de monde.

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La réception au festival du Bout du monde de Crozon notamment a été très bonne.

Voici tous les festivals où nous avons été présent.e.s :

Aux Vieilles Charrues à Carhaix mi-juillet

Aux Jeudis du Port à Brest le 27 juillet

Au festival du Bout du Monde dans la presqu’île de Crozon du 3 au 5 août

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À la Fête du Bruit à Landerneau du 11 au 13 août

Au Fest Ker Zion à Guisseny du 19 au 20 août

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Pas de capitalisme sans casser des oeufs ! Questions à Xavier Compain

Xavier Compain a animé pendant l’Université du PCF à Angers un débat avec Jean Louis Durand , chercheur communiste à l’INRA, cégétiste , sur le thème « l’agriculture au défi de la transition écologique « 

A la Fête de l’Humanité, le samedi 16 septembre à 14h30, il animera un débat sur l’Alimentation, la Santé, l’Agriculture et l’Environnement sur le thème « Du danger dans nos assiettes. Pas de capitalisme sans casser des œufs ».

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Parallèlement, dans le sillage de la vente solidaire de fruits et légumes à juste prix du 17 août des agriculteurs du MODEF et du Parti Communiste sur une centaine de points de vente, les communistes bretons présents sur la fête de l’Humanité au parc de la Courneuve organiseront un marché solidaire de légumes et de fruits bretons le samedi 16 septembre dans l’après-midi.

Voici une interview de Xavier Compain réalisée pour le journal du PCF Finistère du mois de septembre « Rouge Finistère » en lien avec le récent scandale des œufs contaminés au Fipronil    

ob_041236_xavier-compain-et-la-cgt-indecosa Xavier Compain, porte-parole du PCF Bretagne et responsable de la commission Agriculture-Pêche-Fôrets du PCF avec Martine Sellier, présidente de la CGT Indecosa

PAS DE CAPITALISME SANS CASSER DES ŒUFS !

3 questions à Xavier Compain, porte-parole du PCF Bretagne, animateur de la commission Agriculture-Pêche-Forêt du Parti Communiste. Sommes-nous sûrs de ce que nous consommons ?

 

Avec les poulaillers traités au Fipronil, pourtant interdit on a l’impression qu’une crise agro- sanitaire succède à une crise agro-sanitaire.

Cette crise dite du Fipronil (des poulaillers géants ont été désinfectés avec ce produit interdit) fait suite à d’autres crises dans des secteurs très différents les uns des autres… On a des alertes depuis des années. Souvenons nous de la « vache folle » entre 1996 et les années 2000, des épidémies de grippe aviaire qui traversent le globe, des lasagnes à la viande de cheval. N’oublions pas non plus les dommages collatéraux, qui touchent notre environnement : les marées d’algues vertes sur nos côtes, les pollutions au nitrate des cours d’eau. Si les crises s’enchaînent, c’est que peu de choses changent et que les changements, quand il y en a, prennent un temps fou ou sont partiels. Et je ne parle pas des décisions publiques contradictoires et brouillonnes. Tout cela n’est pas lié au hasard, au « pas de chance ». Le système de production est directement en cause. C’est un système à bout de souffle qui interpelle à juste titre.

 

C’est, comme on dit, un risque systémique ?

Oui. Bien sûr C’est le gigantisme des lieux de production, la standardisation des produits et des cultures, la spécialisation des exploitations, la course au profit, en amont des fournisseurs, en aval des distributeurs. Certains qualifient le système comme « industriel libéral ». Appelons un chat un chat et une poule une poule, c’est la marque même du système capitaliste. Reprenons le cas du Fipronil. Quand une exploitation accueille 30 000 poules, pondeuses ou non, bien évidemment la désinfection obligatoire des immenses locaux ne peut être confiée qu’à des entreprises de nettoyage industriel et/ou à des procédés de décontamination particulièrement agressifs. C’était le cas en l’espèce. Le développement sans limite des exploitations – 20 000 porcelets pour 980 truies gestantes là, 1000 vaches ici, 35 000 canards ailleurs – expose le cheptel entassé au moindre virus, à la moindre attaque bactériologique et favorise les réponses en « cides » : fongicide, insecticide, pesticide, et « aincide » de suite…

ob_f4ae10_xavier-compain-dartigolles-bonnet Xavier Compain, Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF et Nicolas Bonnet-Ouladj, président du groupe communiste des élu.e.s de Paris lors d’une vente solidaire de fruits et légumes, organisée par le PCF, place de la Bastille à Paris.

Alors ?? STOP… ou encore ?

Pour des raisons impérieuses qui intéressent l’emploi, le revenu des agriculteurs et la reconnaissance de leur savoir faire, la qualité alimentaire, l’aménagement du territoire, l’environnement, il est urgent de reconsidérer le modèle agricole qui nous a été progressivement imposé au tournant des années 70. Un modèle qui a démontré sa nocivité et son inadéquation avec les besoins humains. Nous n’en voulons plus. Le monde ne se divise pas entre je ne sais quels détenteurs des progrès techniques et les folkloristes, adeptes des sabots de bois et des sols en terre battue dont nous serions.

Nous travaillons à la promotion d’une agriculture paysanne capable de satisfaire en tout premier lieu les besoins locaux et nationaux, libérée des contraintes mortifères de la concurrence internationale, hautement qualifiée, notamment d’un point de vue agronomique, respectueuse des consommateurs et de ceux qui les nourrissent.

Propos recueillis par Gabriel Collorec.

Hommage à Yves Autret, grand militant et résistant communiste finistérien

La Fédération du PCF du Finistère rend hommage et adresse un dernier salut fraternel à Yves Autret, notre camarade de Pont-de-Buis, adhérent de la section de Châteaulin, décédé à 93 ans le 17 août 2017 et s’associe à la tristesse de sa famille, des ses amis, de ses proches.

Nous avons reçu le 22 août une lettre, ci-dessous, du secrétaire national du PCF, Pierre Laurent qui a écrit au secrétaire départemental pour s’associer à l’hommage à Yves Autret.

ob_cba199_yves-autret-capitaine-pierre Yves Autret, capitaine Pierre – photo ANACR

Cher camarade,

Je viens d’apprendre le Décès de Yves Autret.

Je voudrais, au nom de la direction nationale du Parti communiste français, te faire part de ma grande tristesse, en te demandant de dire toute mon affection à sa famille, aux communistes du Finistère, aux camarades et amis, notamment de la CGT et de l’Anacr, à toutes celles et ceux qui l’ont apprécié, aimé et ont milité avec lui.

Yves était un homme que le Parti communiste est fier d’avoir compté parmi les siens. Membre de notre Parti dès l’âge de 15 ans, il a fait de son engagement, de son attachement aux valeurs d’égalité et de justice, de son combat pour un monde de paix et de solidarité avec les peuples, une constante de toute sa vie : sa fidélité à son engagement et à tous les combats émancipateurs force le respect.

C’est notamment le cas pendant l’occupation où il occupa, au sein des FTP du Finistère, des responsabilités importantes de propagande ou d’actions directes contre l’occupant Nazi. Nous n’oublierons pas l’engagement et le courage d’Yves, ou plutôt du «Capitaine Pierre » pour reprendre son pseudonyme de l’époque.

Yves n’a eu de cesse ensuite de militer, jusqu’à ses dernières forces, au sein de son parti et de son syndicat la CGT, dans l’entreprise du bâtiment où il travaillait.

Il avait à cœur aussi de faire connaître aux nouvelles générations, au sein de l’ANACR dont il fut un militant actif dès sa création dans le Finistère ce que fut son combat libérateur, l’expérience et les leçons qu’il en tirait.

La trace qu’a laissé Yves est et restera vive.

En te faisant part de la peine qui est la mienne, je voulais dire combien le Parti communiste français est fier et reconnaissant de la part qui fut celle d’Yves dans le rayonnement et la place originale de notre parti en France, aux côtés de toutes celles et ceux qui agissent pour un avenir de progrès pour le monde du travail et pour toute l’Humanité.

Je t’adresse, Cher ami, cher camarade, mes salutations les plus fraternelles.

Pierre Laurent, le 22 août 2017.

Présent aux obsèques d’Yves,  Ismaël Dupont a prononcé cet hommage de la Fédération du PCF du Finistère à notre camarade :

À la déclaration de guerre, Yves Autret, formé dans le milieu ouvrier de Pont-de-Buis et par ses professeurs progressistes de l’école républicaine, était un militant des Jeunesses Communistes.

Il prends la responsabilité des Jeunesses Communistes et entre dans la Résistance à Pont-de-Buis sous la direction d’Albert Abalain, fusillé au Mont Valérien le 17 septembre 1943.

Il organise la jeunesse résistante FTP dans le Finistère, l’action directe contre l’occupant, les sabotages. À la fin de la guerre, sous le nom de guerre et de clandestinité de capitaine Pierre, il devient membre de l’état-major FTPF dirigé par Daniel Trellu, puis il participe au Comité Départemental de Libération et continuera à militer pour le Parti Communiste et la justice sociale dans le centre-Finistère.

Notre pays et les Finistériens peuvent être reconnaissants vis à vis d’hommes comme Yves Autret qui, la foi progressiste et révolutionnaire chevillée au corps,  ont placé les exigences de liberté, d’égalité et de justice au-dessus de leur intérêt propre et ont permis de libérer le territoire de l’occupation nazie. Le parti communiste est fier d’avoir suscité ces dévouements pour la nation et d’avoir compté dans ses rangs des hommes ayant manifesté un tel héroïsme par sens du collectif, de la lutte et du devoir.

Nous ne devons pas laisser se dilapider leur héritage, celui du CNR et de son programme « Les jours heureux », et surtout nous leur devons d’en être dignes.

La Fédération du Finistère du Parti Communiste Français, le 19 août 2017  

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Université d’été 2017 du PCF à Angers : belle expérience de partage intellectuel et humain

Une université d’été intense, riche, chaleureuse, avec plus de 1 100 communistes rassemblé.e.s au campus de Lettres et de Sciences d’Angers Belle Meille pendant 3 jours, du vendredi 25 au dimanche 27, sous un soleil rayonnant, et dans une très belle ambiance, avec un effort d’organisation très important de la fédération PCF du Maine-et-Loire dirigée par Alain Pagano, avec l’aide d’Aurélien Guillot, nouveau secrétaire départemental d’Ille et Vilaine, du secteur Formation du parti et notamment de Guillaume Roubaud-Quashié, et des Jeunesses Communistes.

Comme on pouvait s’y attendre, les médias n’ont eu globalement une présence qu’à la convention des Insoumis et au conclave interne des cadres du PS.  Et la couverture médiatique de notre université d’été a été riquiqui, limitée à la presse malheureusement.

ouv_universite-d-ete-pcf Plus de 1 100 communistes ont participé à l’Université d’été du PCF à Angers, ouverte le vendredi 25 août.

Pourtant, notre université avait de la gueule, avec trois députés européens Front de Gauche (Marie-Christine Vergiat, Patrick Le Hyaric, Marie-Pierre Vieu), une grande partie des parlementaires communistes, des dirigeants syndicaux, des scientifiques et universitaires, philosophes et sociologues, des journalistes. Aucun représentant du Parti de Gauche ou de la France Insoumise qui avaient pris soin de fixer leur convention le jour de notre Université d’été, et qui n’ont pas répondu à notre invitation…

La délégation finistérienne était composée de 9 camarades : Dominique, Yvonne, Gérald, Eric, Paul, Yann, Martine, Anne-Marie et moi-même.

ob_fc21fb_universite-d-ete-du-pcf-rencontre-a Pierre Laurent et Raul Peck cinéaste du film Le Jeune Marx, avec Alain Hayot animateur de la commission Culture du PCF et Camille Lainé, responsable du Mouvement des Jeunes communistes.

Nous avons tous eu un grand plaisir à voir en avant-premier le film Le jeune Marx de Raul Peck, décrivant la naissance de l’amitié, de la théorie et de l’engagement politique de Marx et Engels, entre 1844 et 1848, et à rencontrer ce réalisateur engagé.

Le banquet du samedi, les soirées au bar de la JC, ont été d’autres moments forts.

Toutes les heures et demi, 6 ateliers de conférences-débats étaient proposés en même temps, sur les sujets les plus divers, avec des intervenants différents.

ob_928c3d_universite-d-ete-du-pcf-avec-minh-h  Minh Ha Duong, prix Nobel avec le GIEC, est revenu sur l’avenir de l’accord de Paris sur le climat.

ob_02a71a_eric-bocquet-et-raoul-hedebouw  Éric Bocquet, sénateur communiste, est intervenu sur l’évasion fiscale et comment la combattre tandis que Raoul Hedebouw, porte-parole du Parti des Travailleurs de Belgique, a donné son point de vue sur les stratégies de transformation sociale en Europe.

ob_f05f55_eliane-assassi  Des rencontres personnelles rapides avec les membres de la direction du PCF étaient proposées aux militant.e.s. Ici deux camarades avec Éliane Assassi, présidente du groupe communiste au Sénat.

Outre la l’intervention de Pierre Laurent le samedi midi, avec beaucoup de hauteur, nous avons ainsi pu assister quant à nous à un débat sur la loi travail avec un syndicaliste CGT du Val de Marne très percutant et le député communiste du Havre Jean-Paul Le Coq, à de très bonnes interventions sur la situation politique allemande (avec le journaliste de l’Huma Bruno Odent et Anne Sabourin) et anglaise (une analyse du labour de Jeremy Corbyn avec un excellent exposé d’Eleanor Moody, une camarade du Nord), à deux brillants exposés philosophiques de Denis Kermen sur Georges Politzer, philosophe marxiste résistant fusillé en 42, et d’un autre camarade philosophe et universitaire, Jean Quétier, sur la philosophie du populisme de gauche post-moderne et critique du marxisme de Chantal Mouffe et Laclau qui inspirent Mélenchon, France Insoumise et Podémos, mais aussi à un atelier très marrant et instructif avec le journaliste et militant cégétiste et communiste Jean-François Téaldi sur la prise de parole en public et un exposé drôle et brillant du sociologue bourdieusien Gérard Mauger sur le Populisme.

ob_c278bc_andre-chassaigne André Chassaigne, président du groupe Gauche Démocratique et Républicaine, fort de ses 11 député.e.s communistes, a présenté son livre d’interpellation face à Macron : Et maintenant Monsieur le Président ?

Si nos débats, à part ceux du Conseil National réuni en Séminaire de Travail le vendredi, n’étaient pas spécifiquement portés sur les enjeux du prochain congrès national du PCF en 2018, mais plutôt sur le monde, l’histoire (communiste particulièrement, évidemment), la science, la théorie marxiste dans un esprit d’ouverture et d’exigence intellectuelle, critique et non dogmatique, ce moment de formation de haut niveau et de partage fraternel avec des camarades de toute la France, de toutes générations, de toutes origines et milieux sociaux, incarnant la très grande diversité et richesse humaine du Parti Communiste, donne l’envie de continuer à se battre et se creuser les méninges pour construire une réponse et une riposte communiste forte et rassembleuse à la domination capitaliste et libérale, pour bâtir les moyens d’une relance efficace de la lutte pour les dominés, ceux qui subissent la dictature de la finance, celle des 1% de la grande bourgeoisie, pour ne pas en rester à l’empire de l’arrivisme, des effets de manche et des prétentions messianiques personnelles.

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Présence des militant.e.s communistes dans les festivals

Des militants communistes du Finistère seront présents pour rencontrer les festivaliers, notamment :

 au Festival du Bout du Monde à Crozon (du 4 au 6 août)

aux Jeudis du Port à Brest (27 juillet, 3, 10 et 17 août)

à la Fête du Bruit à Landerneau (du 11 au 13 août)

au festival Fest Kern Zion à Guissenny (du 19 au 20 août)

devant l’exposition Picasso au Fonds Edouard Leclerc des Capucins à Landerneau

Nous vendrons à cette occasion la vignette de soutien pour la fête de l’Huma (25€, ouvrant droit à l’entrée sur 3 jours de fête).

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En Bretagne comme ailleurs, pour la jeunesse et les salariés, l’été et les vacances sont là pour faire la fête, se reposer et se détendre, mais aussi pour préparer la riposte et la résistance à la politique de Macron de casse du travail et des services publics et notamment la grande manifestation intersyndicale du 12 septembre soutenue, entre autres, par le PCF.

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Une belle fête du PCF au Guilvinec samedi 15 juillet

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La fête de la section communiste du pays bigouden au Guilvinec a encore été réussite cette année. Participation populaire, groupes de musique et échanges politiques préparant résistances et alternatives à Macron et son monde de la finance, ont fait son succès.

Ci-dessous l’intervention d’Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF 29, lors de cette belle soirée du samedi 15 juillet 2017.

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Bonjour à toutes et tous,

Quel plaisir d’être là avec vous sous le soleil à cette belle fête du Travailleur Bigouden, à l’invitation de la section communiste du Pays Bigouden!

Quel plaisir de nous retrouver au Guilvinec, ville de pêche et de conserveries, de chantiers navals, petite ville à forte mémoire ouvrière!

Les militants et sympathisants communistes se sentent ici en pays ami comme dans tous les ports du pays bigouden, de la pointe sud-ouest du Finistère, entre Douarnenez et de Concarneau.

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Le Guilvinec, un port empli de luttes et résistances sociales et politiques

En 1926, c’est la grande grève des ouvrières des conserveries au Guilvinec, à Lesconil et dans tous les ports aux alentours, organisée avec l’aide de Charles Tillon de la CGTU, futur grand résistant et membre des Brigades Internationales pendant la guerre d’Espagne. Les ouvrières demandaient 22 centimes d’augmentation pour leur tarif horaire. « Pemp real ar vo ! » : ce sera un franc 25.

Les ouvrières bigoudènes à coiffe manifestaient en chantant l’Internationale et des chansons de lutte en breton, drapeau rouge en tête.

Une image forte de la lutte des classes en terre bretonne qu’a immortalisée en 1982 l’artiste quimpérois Alain Le Quernec pour une conférence de l’UL CGT sur les luttes sociales en pays bigouden.

Charles Tillon, élu conseiller municipal à Douarnenez avec Daniel Le Flanchec, raconte qu’une ouvrière d’usines de conserverie sur quatre ou cinq était tuberculeuse. « Le mouvement victorieux des femmes d’usine a entraîné les pêcheurs à mieux prendre conscience de leurs droits et qu’en labourant la mer, ils étaient à la source de tout ».

Il est resté des traces profondes de ce beau combat des forçats de la mer dans l’histoire politique et sociale de la région.

Le Guilvinec faisait partie des 5 communes à municipalités communistes du Finistère à la veille du Front Populaire en 1935 avec Treffiagat, Beuzec-Conq, Douarnenez et Concarneau. 

Pendant la guerre, la résistance communiste au Guilvinec fut importante, animée notamment par l’ancien maire Marc Scouarnec jusqu’à son arrestation, Pierre Cossec, Pierre Tanneau, etc.. qui constituèrent une cellule communiste clandestine.

Jean Le Brun, futur maire communiste du Guilvinec fut déporté à Buchenwald. Employé à France Navigation, il faisait passer des armes à l’Espagne République, appartenait au réseau « Orchestre Rouge ». Déporté à Buchenwald, Marcel Paul, dirigeant communiste de la Résistance du Camp, le chargea de protéger coûte que coûte Marcel Bloch, le futur Marcel Dassault, l’avionneur qui avait accordé des congés payés aux ouvriers de ses usines avant même le Front Populaire et dont les services étaient jugés nécessaires à la reconstruction de la France par le Parti Communiste. 

De 1945 à 1983, avec les anciens résistants Marc Scoarnec et Jean Le Brun pour maires, Le Guilvinec est restée une mairie gérée par les communistes.

Si le communisme, la « jeunesse du monde » pour reprendre les propos d’Henri Malberg, est toujours une tâche à réaliser et non un patrimoine muséal à gérer, bien sûr, c’est aussi en se tournant vers ce passé du communisme populaire aux fortes traditions locales, et ses combats pour la dignité des ouvriers, des pêcheurs, des travailleurs, pour la liberté de notre pays et la lutte contre l’occupant nazi et les collaborateurs, que l’on tire des leçons d’engagement et de politique.

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Les communistes à l’avant du combat antifasciste

Ainsi, c’est en mesurant le poids des combats de nos aînés que nous avons jugé nécessaire de faire à nouveau barrage à l’extrême-droite et aux idées rances de Marine Le Pen aux élections présidentielles.

Et avant cela de tout mettre en œuvre pour rassembler et faire gagner une gauche capable de préserver et d’étendre les conquêtes sociales et démocratiques, parce qu’elle affronterait le monde de l’argent. Nous n’avions pas envie que l’on continue à abîmer les services publics, l’hôpital, la sécurité sociale, le droit du travail, à renforcer la pauvreté, la précarité et le chômage avec des politiques pro-finance et inégalitaires.

Nous avons pris nos responsabilités en plaidant pour l’unité de la gauche authentique et en soutenant Mélenchon après un long débat interne et un vote souverain assez partagé de nos adhérents pour tenter de qualifier un candidat de gauche au second tour des Présidentielles.

Nous n’avons pas réussi à gagner notre pari, mais la barre était très haute tant les institutions desservent la gauche d’alternative et tant Hollande et les socialistes qui l’ont soutenu ont une responsabilité écrasante sur le discrédit de la gauche pour une grande partie de nos concitoyens.

Le piège présidentialiste s’est refermé

Un candidat qui a obtenu 24 % des voix aux premiers tours des présidentielles, qui a bénéficié d’un vote CONTRE au second tour, et d’une résignation aux législatives, va bénéficier de tous les pouvoirs pour mener, avec une majorité hybride et caméléon (ex-PS centristes ou de droite comme Le Drian et écolos centristes, nouveaux venus à En Marche, droite libérale) mais une majorité aux ordres, un projet de gestion de l’économie et de la société au service du big business.

Les forces de l’argent avaient deux fers au feu, Fillon et Macron.

Fillon délégitimé par la radicalité de son programme et de ses appuis de droite extrême, par ses affaires d’enrichissement familial, c’est Macron, soutenu dès le départ par bon nombre de milliardaires, d’actionnaires du CAC 40 et de patron de presse, qui a réussi le tour de force de gagner un projet néo-libéral, austéritaire, et pro-Europe des marchés, minoritaire de notre pays, en réussissant à fédérer différentes fractions de la bourgeoisie et à se faire passer pour le candidat du renouveau, lui dont la politique est promue par les élites depuis 35 ans, lui qui était le conseiller, puis le ministre des Finances, de François Hollande.

Lui qui a inspiré ces cadeaux aux grandes entreprises qu’étaient le CICE et le Pacte de responsabilité, mesures dictées par le MEDEF qui ont coûté 40 milliards d’euros aux finances publiques, avec pour résultat 500 000 chômeurs en plus, 46 milliards de dividendes versés par les entreprises à leurs actionnaires en 2016 (13 % en plus) !

Dans ce contexte difficile, avec un second tour des présidentielles ayant vu l’élimination de la gauche, l’affrontement entre néo-libéralisme et populisme d’extrême-droite, nous regrettons profondément l’attitude de Jean-Luc Mélenchon et de la direction de France Insoumise qui, malgré l’appui des communistes à Jean-Luc Mélenchon aux présidentielles (414 parrainages d’élus communistes pour le candidat), ont préféré joué la concurrence et le cavalier seul aux élections législatives, pour tenter d’installer une nouvelle hégémonie à gauche.

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La situation méritait autre chose que des luttes électorales fratricides

Résultat : une abstention record, un éparpillement des voix, 28 députés communistes et France Insoumise là où nous aurions pu en compter deux fois plus ! La gauche, si l’on compte les députés PS non ralliés à Macron, et qui sont pour l’instant dans une politique de ni-ni très équivoque, ni opposition, ni ralliement au nouveau Bonaparte du monde des affaires, ne compte plus que 64 députés.

Une déroute inédite pour la gauche, à référer à ses moins de 30 % des élections présidentielles : signe d’une dangereuse recomposition en cours, d’un vrai risque de marginalisation, et du poids terrible des logiques anti-démocratiques de la Ve République : personnalisation du pouvoir et des enjeux politiques, toute-puissance du président, dépendance du monde politique par rapport au monde de l’argent, élections législatives transformées en instance de validation des dynamiques des présidentielles, absence de proportionnelle.

Les résultats du PCF ne sont globalement décevants aux législatives, malgré notre implantation militante active tout au long de l’année en dehors des campagnes électorales, des candidats souvent jeunes, issus du monde du travail, élus de terrain au bon bilan, en dehors des régions d’implantation forte, nous ne résistons pas à la vague France Insoumise avec qui nous partageons un espace politique, celui de la gauche de transformation.

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Des député.e.s communistes au service du peuple contre Macron et pour de nouveaux droits sociaux démocratiques pour tou.te.s !

Malgré tout, nous avons 12 députés communistes à l’assemblée nationale, dont 9 nouveaux, en comptant Huguette Bello, du PC réunionnais. Et nous pouvons former un groupe autonome avec 4 députés d’outre-mer de gauche. Groupe présidé par André Chassaigne avec les députés de Seine-Maritime Sébastien Jumel et des Bouches-du-Rhône Pierre Darhéville comme porte-paroles.

Ces députés communistes ont déjà commencé à batailler contre le Président de « ceux qui comptent », celui qui regarde de haut « ceux qui ne sont rien » dans les gares, comme ces « illettrées de Gad », celui qui prend ses consignes au MEDEF, ressuscite les préjugés les plus condescendants à propos de nos amis africains, celui qui s’achète une vitrine internationale interlope en invitant Poutine à Versailles, le milliardaire Trump, le fossoyeur du climat, populiste, imbécile et raciste, au 14 juillet, et Netanyahou, le président d’extrême-droite israélien, aux commémorations de la rafle du Vélodrome d’Hiver les 16 et 17 juillet : 13 000 juifs, dont 4000 enfants, arrêtés brutalement au petit matin par la police française, entassés au Vel d’Hiv, avant d’être transférés dans les camps de transit, puis dans les camps d’extermination allemand.

Notre regretté camarade Henri Malberg, qui vient de disparaître cette semaine à 87 ans, ancien dirigeant communiste de la fédé de Paris et porte-parole du groupe des élus communistes parisiens, qui a échappé de peu à la rafle du Vel d’Hiv, n’aurait pas aimé que l’on demande à un chef d’Etat brutal, raciste et irresponsable comme Netanyahou d’honorer les victimes juives du fascisme français et allemand, comme si le chef d’Etat d’Israël, engagé dans une politique de colonisation et d’apartheid à droite toute, était le porte-parole des juifs du monde entier.

Défenseurs du peuple à l’assemblée, les députés communistes ont voté contre la confiance au gouvernement Edouard Philippe, ont boycotté le discours d’Emmanuel 1er à Versailles, ils ont combattu, alinéa par alinéa, les 9 articles de la loi travail qui va encore renforcer la remise en cause du code du travail après une loi El Khomri rejetée par 2/3 des français et contre laquelle s’était levé un mouvement social de haute intensité pendant 8 mois.

Cette loi travail rejetée dans ses contours actuels par 60 % des Français qui facilite les licenciements économiques, réduit les pouvoirs d’intervention des syndicats, dénature les CDI, réduit les indemnités versés par les patrons en cas de licenciement injustifié, créant un véritable droit au licenciement abusif. Elle fait disparaître le CHSCT.

Nos parlementaires ont aussi porté dans ce débat l’exigence de la réduction du temps de travail (passage à 32h pour 2021)

Ils ont voté contre les nouvelles exonérations d’ISF (3 à 4 milliards d’euros à partager pour les riches), le maintien de la TVA à 21 %, la hausse de la CSG qui va durement frapper les retraités et continuer à détruire les fondements de la Sécu, basée sur le prélèvement sur les richesses produites dans l’entreprise.

46 % des baisses d’impôts voulues par Macron vont profiter aux 10 % de Français les plus riches a révélé le magazine Capital la semaine passée.

Nos parlementaires ont voté pour la suppression des emplois familiaux, pour que les élus condamnés pour des abus de biens sociaux deviennent inéligibles. Ils ont rejeté l’inscription dans la loi des mesures d’exception de l’état d’urgence qui menacent aussi tous ceux qui s’engageront dans la contestation sociale, les syndicalistes notamment.

Je pourrais continuer longtemps à illustrer la combativité des élus communistes, qui, dans l’ensemble, dans l’histoire, à quelques exceptions près, sont ceux qui n’ont jamais trahi les travailleurs et les classes populaires, ceux qui ont voulu faire du respect de la dignité du peuple et de l’accès de tous aux droits essentiels un objectif de civilisation dans les Palais de la République.

Toutefois, le vrai défi, c’est de faire monter la résistance populaire à Macron et à ses politiques capitalistes, et dès maintenant d’organiser la reconstruction sur de nouvelles bases d’une gauche conquérante et rassembleuse, travaillant pour l’intérêt commun, avec un projet tenant compte des évolutions de la société et des nouvelles attentes sociales, mais ne désertant pas les piliers historiques du projet de gauche que sont la défense des exploités, l’égalité des droits, la volonté de combattre les prédations capitalistes, la laïcité, la Paix.

Le Parti Communiste se croit utile à réaliser cet objectif de part son histoire, ses valeurs, ses idées, ses milliers de militants et d’élus.

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Le capitalisme financier et mondialisé n’a jamais été si brutal, si manifestement une force de régression qu’aujourd’hui quand 8 hommes les plus riches de la planète possède autant que la moitié de l’Humanité, quand les 20 milliardaires les plus aisés de France possèdent autant que 40 % des Français (étude d’OXFAM en 2016).

Nous devons travailler aussi de son côté à réveiller une perspective d’espoir et de société non soumise à l’argent et au capitalisme, à repenser notre stratégie, notre communication, notre présence et notre organisation militante, nos propositions, pour contourner le « mur ou du mépris du silence » des médias publics ou privés, et ne pas laisser aux seules forces populistes et bonapartistes le terrain.

Ce sera l’objet notre congrès extraordinaire en 2018.

Merci de votre attention et bonne fête !

Ismaël Dupont secrétaire départemental du PCF 29

 

 

Fête du Travailleur bigouden le samedi 15 juillet au Guilvinec sur le port

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Première des trois fêtes communistes du Pays Bigouden (avec Lesconil le samedi 22 juillet et Loctudy le vendredi 18 août, en présence du porte-parole du PCF Bretagne, Xavier Compain), la fête du Guilvinec le samedi 15 juillet sera à nouveau un grand moment de rassemblement populaire, avec plusieurs centaines de participants venant goûter paella, soupe de poisson, moules, frites, saucisses merguez, discuter politique, écouter les concerts des « Bad Loosers » et de « La Compile à Johnny« .
La plus grosse section communiste du Finistère après Brest, la section du Pays Bigouden, sait organiser des événements festifs d’été chaleureux et très animés.
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Cette année, au port du Guilvinec, aux port de Lesconil le 22 juillet et au port de Loctudy le 18 août, la fédération du Parti Communiste tiendra un stand politique, animé notamment par Dominique Gontier et Yvonne Rainero, pour échanger avec les participants de la fête.
Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère, fera le discours politique à cette fête du Guilvinec entre les deux concerts de « La Compile à Johnny » et des « Bad Loosers« .
Venez nombreux au Guilvinec le samedi 15 juillet pour le plaisir de partager un bon moment et pour soutenir les camarades du Pays Bigouden.
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Retenez aussi les dates des fêtes de la section de Fouesnant :
– le lundi 12 août, Soirée Crêpes à la Forêt-Fouesnant
Et de la fête de l’Isole de la section PCF de Scaër :
– les samedi 19 et surtout le dimanche 20 août, avec un repas le dimanche 20 août et un verre de l’amitié à 11h30 (au Grand Champ à Scaër) 

Belle AG des communistes finistériens à Kernevel le samedi 8 juillet

75 adhérents des sections des 4 coins du Finistère présents à cette belle AG des Communistes Finistériens à Kernevel, sur la commune de Rosporden, avec pour ordre du jour les débats sur la situation politique nationale, le bilan de la séquence des présidentielles et des législatives, la préparation d’un Congrès Extraordinaire pour le PCF en 2018 et les questions à instruire pour relancer un Parti Communiste à l’offensive au service de la population. Une belle fraternité, des débats de qualité et respectueux, un plaisir de se retrouver, ont marqué cette journée. 

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Jacques Rannou, maire délégué de Kernevel sur la commune de Rosporden, a accueilli l’assembléephoto Philippe Hernot

Xavier Compain a fait le discours d’introduction en reprenant les points saillants des décisions et débats du Conseil National des 23 et 24 juin et en développant aussi sur les initiatives régionales et les chantiers des mois à venir : fêtes de l’Humanité Paris et Bretagne, résistance aux lois de destruction du droit du travail et des services publics de Macron… 

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Xavier Compain, porte-parole des communistes bretons, a fait le discours introductif – photo Philippe Hernot

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Des communistes attentifs posant les bases de la réinvention d’un PCF toujours utile pour lutter contre les mauvais coups de Macron et proposer des alternatives révolutionnaires en matière démocratique, sociale, écologique et économique – Photo Philippe Hernot

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Chacun.e a pu prendre la parole pour proposer des axes de transformation du Parti pour améliorer son audience et sa capacité à répondre aux besoins des populations et aux défis d’une situation politique de plus en plus inquiétante – photo Philippe Hernot

 

paroles communistes #7 – section de Brest

Dans le dernier Paroles communistes publié par la section de Brest on trouve, outre le rappel de l’AG des communistes finistériens le 8 juillet de 10 à 13h à Rosporden :

  • un vote des élu.e.s communistes brestois pour défendre les moyens pour les écoles publiques (ci dessous en intégralité
  • une affiche de campagne du PCF pour réclamer justice pour les victimes de l’amiante
  • la mobilisation pour la Fête de l’Huma les 15 16 et 17 septembre (25€ le prix en vente militante)
  • un rappel de la résolution du CN du 24 juin
  • le rappel de la campagne d’été L’été ce n’est pas fait pour casser le code du travail !

Lors du Conseil municipal du 29 juin 2017, la délibération 25 portait sur les projets de conventionnement entre la Ville et les écoles privées brestoises. En désaccord sur l’accompagnement financier facultatif de la Ville aux écoles privées maternelles, le Groupe des élu-e-s communistes, par la voix d’Éric Guellec, s’est prononcé contre.

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« Il nous est aujourd’hui proposé d’approuver les projets de convention concernant la mise en œuvre de la prise en charge par la Ville des dépenses des écoles privées pour les 4 prochaines années.

Cela dans un contexte budgétaire contraint, il n’est pas inutile de le rappeler, une fois de plus.

Vous le savez tous, la loi prévoit la prise en charge obligatoire par les communes des dépenses de fonctionnement des classes des écoles élémentaires, qu’elles dépendent de l’enseignement public ou de l’enseignement privé sous contrat.

Cette loi ne satisfait pas le Parti Communiste Français qui souhaite que les fonds publics financent uniquement l’Éducation Nationale. Afin de toujours améliorer la qualité du service public qu’elle doit rendre à tous les enfants.

Mais ce combat politique dépasse bien évidemment le cadre de notre Conseil Municipal.

A la lecture de cette délibération, nous notons certes que la Ville concentrera désormais son accompagnement de la scolarisation dans le privé sur les élèves dont les parents habitent à Brest.

Cependant un point nous pose réellement question : celui de l’accompagnement financier par notre Ville de la scolarisation dans les écoles maternelles privées.

Rappelons que ce financement, aux yeux de la loi, n’a aucun caractère d’obligation. Il est purement facultatif.

Nous souhaitons qu’à l’avenir, soit baissé de façon significative l’accompagnement financier de la Ville de Brest à la scolarisation dans les écoles maternelles privées sous contrat.

Nous voterons contre cette délibération. »

Élu.e.s communistes de Brest le jeudi 29 juin 2017.

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LGV et TER : mêmes services et besoins publics

L’élu communiste de Quimper, Piero Rainero a fait voter au Conseil Municipal de la ville un vœu pour défendre et développer le service public  ferroviaire. La mise en place de la LGV ne doit pas empêcher le renforcement des TER, trains d’équilibre du territoire, singulièrement la liaison Landerneau-Quimper.

Il a été adopté par 39 voix et 10 abstentions.

Ce vœu est adressé particulièrement au président de la Région Bretagne et à la ministre des Transports.

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Proposition de vœu à porter à l’ordre du jour de la prochaine réunion du Conseil Municipal conformément à l’article 2.2.7 du règlement intérieur.

À l’intention de Madame Elisabeth Borne Ministre de la transition écologique chargée des transports et de Monsieur Loïg Chesnais-Girard Président du Conseil Régional de Bretagne.

La mise en service le 2 juillet prochain de la LGV en Bretagne s’accompagne de modifications de la desserte par les TER qui affectent les déplacements des usagers du quotidien : personnes se rendant à leur travail, scolaires et étudiants.

Les habitants de notre ville et de toute la Cornouaille sont directement concernés.

Par exemple s’agissant de la gare de Quimper :

Pour la destination de Rennes le dernier TER direct du matin partira à 6H38, et en fin de journée, de Rennes vers Quimper, il n’y aura que 2 TER directs après 16H, le dernier étant à 17H35.

Pour la destination d’Auray il ne restera que 3 TER directs avant 10H au départ de Quimper contre 6 actuellement, et pour Lorient il n’en restera plus que 3 avant 8h contre 6 auparavant.

Quant à se reporter sur les TGV, les tarifs sont plus élevés et les places ne sont pas réservées pour les titulaires de la carte Korrigo.

De plus il importe de mieux coordonner aux nouveaux horaires des TGV ceux des lignes de cars du conseil départemental desservant les gares de Quimper et de Brest.

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L’arrivée à Quimper de la grande vitesse ne doit pas conduire à une baisse de la qualité de la desserte ferroviaire régionale qui se traduirait par le report sur la route d’une partie du trafic voyageurs au bénéfice des sociétés privées de transport.

Le transport ferroviaire répond à une nécessité de service public pour les usagers, qui n’ont souvent pas d’autre choix, et pour le développement harmonieux des territoires qu’il dessert. Il répond aussi à des exigences de sécurité et à des impératifs écologiques incontournables.

Le conseil municipal de Quimper demande par conséquent à Madame la Ministre de la transition écologique chargée des transports et à Monsieur le Président du Conseil régional de Bretagne de rechercher avec la SNCF, en lien avec les élus concernés, les syndicats de personnels, les représentants des différents collectifs de défense des usagers, les solutions les plus adaptées aux problèmes qui restent posés : horaires, cadencement des TER et tarifications.

Quimper le 23 juin 2017.

Piero Rainero, conseiller municipal communiste de Quimper.

Assemblée générale des communistes finistériens

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Assemblée Générale des communistes finistériens

samedi 8 juillet à Rosporden de 10h à 13h

(salle du complexe sportif de la Boissière au bourg de Kernevel)

en présence de Xavier Compain, membre de la direction nationale du PCF, et secrétaire du comité régional PCF Bretagne.

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Cette assemblée sera suivie d’un apéritif et d’un pique-nique/barbecue.

La fédération et les camarades du sud-Finistère s’occuperont de la base du pique-nique (salades et saucisses du pays) mais si tu veux préparer une tarte sucrée ou salée, un gâteau, une salade à partager, cela permettra de mettre encore plus les palais à la fête. Merci d’annoncer ta présence pour les préparatifs  à : dominique-gontier5829@orange.fr / 06 74 44 04 90

Il est important de se retrouver pour partager et construire ensemble notre réflexion à partir d’un débat où tous les points de vue seront écoutés et respectés afin de relancer l’activité du Parti Communiste après les moments politiquement difficiles que nous venons de traverser.

Ces dernières semaines, les institutions de la Vème République ont joué à fond et ont profité à deux formations politiques nouvelles (La République En Marche et France Insoumise). L’Assemblée Nationale sera presque univoque (80% des sièges pour En Marche qui n’a réalisé que 15% des inscrits à la présidentielle et aux législatives), au service d’un président qui représente essentiellement les intérêts du grand capital.

À gauche le PS est laminé et les scores de la FI et des candidats de Macron sont impressionnants, peu importe la qualité des candidat.e.s présenté.e.s, leur implantation locale et leur campagne.

Le refus de France Insoumise de s’allier au PCF sur une base de respect mutuel alors que nous avons soutenu la campagne de Jean-Luc Mélenchon et lui avons permis d’être candidat par les parrainages de nos élus nous a coûté cher, en même temps qu’à la gauche de transformation en général. Nous n’avons pas eu la même exposition médiatique que FI et la même dynamique pendant l’élection présidentielle et les médias nationaux nous ont assez systématiquement ignorés.

À l’origine d’une déroute et marginalisation de la gauche, la responsabilité de Hollande ces cinq dernières années et du PS est écrasante : renoncements tous azimuts, politique anti-sociale qui a nourri colère et désarroi.

En Finistère les scores du PCF sont très bas (dans les 7 circonscriptions, entre un peu moins de 1% et un peu plus de 3% pour les candidats que le PCF présentait seul, sans rassemblement possible malgré nos efforts et nos propositions). Même là où nous avons mené des campagnes dynamiques sur la durée, avec toujours une ouverture au rassemblement à gauche, cela n’a pas changé grand chose. La candidature suppléante au candidat FI dans la 7e circonscription permet un score de 14% mais sans se qualifier au 2nd tour.

Ces scores, très décevants et préoccupants pour l’avenir, sont à l’image du score national (2,70% en moyenne nationale, mais 3,50 % en moyenne là où nous étions présents) et régional (3 circonscriptions en Bretagne où le PCF fait plus de 5%), à part quelques circonscriptions où le Parti est bien implanté et/ou a des sortants.

11 député.e.s communistes au service du peuple et un groupe Gauche Démocratique et Républicaine en progression

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Petit baume au cœur, mais c’est surtout important politiquement pour la suite : nous réussissons à faire élire 4 députés supplémentaires par rapport à 2012 et pouvons constituer un groupe avec 11 députés communistes et 5 députés ultra-marins. Si nous avons perdu deux sièges de députés sortants (Nicolas Sansu et Patrice Carvalho), aucun de nos sortants n’a subi de défaite cinglante comme d’autres députés de gauche. 9 nouveaux députés communistes siégeront à l’Assemblée Nationale, avec de très belles victoires en Seine-Maritime, dans les Bouches-du-Rhône, dans le Nord.

Plus globalement, la situation issue des campagnes et élections présidentielles et législatives 2017 ne constitue pas seulement un nouveau et profond séisme de la vie politique française, elle en accélère le remodelage de façon inédite.

Les deux principales formations politiques qui ont dirigé le pays n’ont pu accéder au second tour de l’élection présidentielle. Et l’abstention a atteint, aux élections législatives de juin, un niveau historique dramatique qu’il faut comprendre comme une forme de rejet des pratiques et des institutions politiques confisquées et sclérosées.

La nature même du régime est en plein bouleversement, et les libertés et droits démocratiques, humains et sociaux de notre peuple sont menacés.

Le président Emmanuel Macron sort conforté d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale pour mettre en œuvre sans plus tarder ses projets de destruction du modèle social français.

La question de l’avenir de notre combat posée. De la redéfinition et de la mise en question de notre projet, de notre stratégie, de nos modes d’organisation et d’action.

Dans un contexte de profondes divisions de la gauche de transformation sociale, divisions que le PCF, malgré ses initiatives, n’a pas été en mesure de résorber, le Parti communiste essuie un véritable échec électoral et rencontre un problème d’identification et de reconnaissance de son utilité et de son avenir dans l’électorat.

Le Conseil National du PCF des 23 et 24 juin a ouvert un processus de débats et d’actions vers un congrès extraordinaire en 2018 (en juin ou à l’automne). Le PCF est appelé à se réinventer.

Le PCF se doit de remettre en chantier une stratégie et des pratiques de conquêtes et de victoires durables pour la transformation sociale.

Le Conseil national du PCF invite les communistes à ouvrir dès à présent un processus de débats, d’actions et d’élaboration collective qui verrait son aboutissement en 2018 par la tenue d’un congrès national extraordinaire dont les thèmes et questions à trancher seront élaborés par les adhérents du Parti eux-mêmes.

Un bilan doit être fait collectivement qui permette de faire, clairement et lucidement, la part des problèmes politiques présents et de l’expérience de ces 15 derniers mois, de celle des problèmes structurels et stratégiques qui sont les nôtres depuis des années.

Université d’été d’Angers et Fête de l’Huma : des rendez-vous pour la riposte et l’inventivité politiques

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L’Université d’été du PCF (Angers, 25-27 août) et la Fête de l’Humanité 2017 (La Courneuve, 15-17 septembre) constitueront deux rendez-vous nationaux importants dans ce processus général.

La fédération du Parti Communiste Français du Finistère se fixe pour objectif d’envoyer au moins 10 militants à l’Université d’été d’Angers, mais plus si possible. Le coût des inscriptions sera pris en charge au moins pour moitié par la fédération (75€ sur les 150€ de forfait d’inscription). Renseignements et inscriptions : dupont.ismael@yahoo.fr/ 06 20 90 10 52.

La fédération aura un stand à la fête de l’Huma les 15, 16, 17 septembre. Un appel est fait à toutes les bonnes volontés pour participer au montage, à la tenue et à l’animation du stand. Pour s’inscrire comme bénévole, contactez Jean-Louis Pascal : pascaljeanlouis0432@orange.fr/ 06 75 86 25 76. Des fiches d’inscription seront envoyées prochainement, ainsi que des invitations à d’autres réunions de préparation.

La fédération du Finistère se donne aussi pour objectif de vendre 400 vignettes de bons de soutien à l’Humanité. Les vignettes sont à acheter et commander auprès des sections.

Des fêtes de section estivales pour se rassembler et dialoguer

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Dans cette situation délicate pour nous, pour notre peuple et nos acquis démocratiques et sociaux, mais où nous n’avons pas pour autant à rougir de nos efforts de rassemblement pour qualifier une gauche servant les intérêts de la population et pour lutter contre l’extrême-droite, les communistes ont besoin de se rencontrer, de s’entraider, d’échanger, et de faire entendre leur parole originale et unique, notamment aux cinq fêtes organisés par les sections du PCF Pays Bigouden, de Scaër, et de Fouesnant cet été :

– le lundi 14 août à la Forêt-Fouesnant (soirée crèpes)

– aux fêtes et repas du pêcheur du Pays Bigouden : samedi 15 juillet au port du Guilvinec (en présence du secrétaire départemental), samedi 22 juillet au port de Lesconil, samedi 19 août au port de Loctudy (en présence de Xavier Compain)

– à la fête de l’Isole à Scaër: 19 et 20 août.

Nous faisons aussi un appel solennel à tous les camarades qui le peuvent et ne l’ont pas déjà fait pour verser à la souscription à l’ADF PCF 29 pour nous aider à financer nos 45 000€ environ de restes à charge pour le financement de nos sept campagnes législatives (même si beaucoup de dons ont déjà été effectués qui permettent de financer déjà nos campagnes dans plusieurs circonscriptions), à défaut de remboursement d’État, et nous aider à faire face aux avances de dépenses pour la fête de l’Humanité.

Les chèques sont à libeller à l’ADF PCF 29 (déductible de 66 % sur vos impôts) et à envoyer à : Fédération PCF du Finistère/ 5 rue Henri Moreau/ 29 200 BREST.

En souhaitant vous retrouver bientôt dans nos réunions et dans nos combats communs, je vous souhaite un bel été, qui résonne fortement avec nos valeurs d’humanité, de fraternité, de convivialité, de ténacité et de combativité. La fédération compte 15 nouveaux adhérents depuis le début 2017, signe que les valeurs, le discours et les pratiques du PCF ont un sens pour beaucoup de personnes encore.

Fraternellement,

Ismaël Dupont, secrétaire départemental.

 Le 29 juin 2017

 

Résolution du Conseil National du PCF le 24 juin

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Un séisme électoral et politique inédit
La situation issue des campagnes et élections présidentielles et législatives 2017 ne constitue pas seulement un nouveau et profond séisme de la vie politique française, elle en accélère le remodelage de façon inédite.
Les deux principales formations politiques qui ont dirigé le pays n’ont pu accéder au second tour de l’élection présidentielle. Et l’abstention a atteint, aux élections législatives de juin, un niveau historique dramatique qu’il faut comprendre comme une forme de rejet des pratiques et des institutions politiques confisquées et sclérosées. La nature même du régime est en plein bouleversement, et les libertés et droits démocratiques, humains et sociaux de notre peuple sont menacés.
Le président Emmanuel Macron sort conforté d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale pour mettre en œuvre sans plus tarder ses projets de destruction du modèle social français. Le Parti communiste français, ses militant-e-s et ses élu-e-s, seront dès cette semaine dans toutes les luttes et tous les rassemblements pour imposer des reculs au chef de l’État, à son gouvernement, sa majorité et au Medef dont président, ministres et député-e-s d’En Marche ! protègent les intérêts.

La question de l’avenir de notre combat posée

La nouvelle situation politique interpelle directement toutes les forces politiques, et pour ce qui nous concerne, elle pose directement la question du rôle et de l’avenir de notre parti.
Dans un contexte de profondes divisions de la gauche de transformation sociale, divisions que le PCF, malgré ses initiatives, n’a pas été en mesure de résorber, le Parti communiste essuie un véritable échec électoral même si l’élection et la réélection de 11 député-e-s, manifestent une réelle capacité de mobilisation, de rassemblement et de résistance. Notre parti reste confronté aux problèmes institutionnels du présidentialisme qu’il n’a pas su à ce jour résoudre.

Les 11 député.e.s communistes : Alain Bruneel (59), Marie-Georges Buffet (93), André Chassaigne (63), Pierre Dharréville (13),  Jean-Paul Dufrègne (03),  Elsa Faucillon (92), Sébastien Jumel (76), Jean-Paul Lecoq (76), Stéphane Peu (93), Fabien Roussel (59), Hubert Wulfranc (76).

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Le Conseil national du PCF tient à remercier chaleureusement les 524 candidates et candidats, les secrétaires fédéraux qui les ont appuyés dans leurs campagnes, les milliers de militantes et militants du Parti qui sont allé-e-s partout à la bataille pour arracher des avancées électorales, et la victoire dans les 11 circonscriptions de nos député-e-s.
Le Conseil national félicite ces derniers pour leur élection ainsi que toutes celles et ceux élu-e-s au second tour grâce au rassemblement de la gauche auquel le PCF a contribué.
Nous saluons également l’entrée au Parlement européen de notre camarade Marie-Pierre Vieu qui vient renforcer le groupe GUE-NGL dont Patrick Le Hyaric est vice-président.
Nous voulons enfin adresser nos amitiés aux député-e-s sortant-e-s du groupe GDR qui ne se représentaient pas ou n’ont pas été réélu-e-s.
Nos député-e-s et le groupe qu’elles et ils ont décidé de former avec 4 député-e-s des Outre-Mers seront un point d’appui précieux pour les luttes qui s’annoncent et les conquêtes à venir du mouvement social et citoyen de notre pays. Leur volonté de rassemblement reste intacte puisque les député-e-s communistes proposent la création d’un « comité de liaison » avec le groupe France insoumise afin de coordonner au mieux l’activité législative et de faire obstacle efficacement aux mauvais coups du gouvernement d’Édouard Philippe.

Pour un processus de débats et d’actions vers un congrès extraordinaire en 2018
Le Parti communiste français est appelé à se réinventer s’il tient à contribuer dans les mois et années à venir à l’amorce d’un processus de transformation sociale au service des intérêts populaires de notre pays.
Le PCF se doit de remettre en chantier une stratégie et des pratiques de conquêtes et de victoires durables pour la transformation sociale. Cela exige de notre part de nous réinventer pour être un parti communiste du XXIe siècle à la hauteur de cet objectif tout en travaillant à l’émergence d’une construction politique, à vocation majoritaire, de l’ensemble de la gauche de transformation sociale.
Le Conseil national du PCF invite les communistes à ouvrir dès à présent un processus de débats, d’actions et d’élaboration collective qui verrait son aboutissement en 2018 par la tenue d’un congrès national extraordinaire dont les thèmes et questions à trancher seront élaborés par les adhérents du Parti eux-mêmes.

Pour un bilan approfondi et collectif
Le Conseil national s’accorde sur le fait qu’un bilan poussé et collectif s’impose à présent à notre parti et à ses directions.
Un bilan qui permette de faire, clairement et lucidement, la part des problèmes politiques présents et de l’expérience de ces 15 derniers mois, de celle des problèmes structurels et stratégiques qui sont les nôtres depuis des années.
Ce travail, pour aboutir, a besoin de l’intelligence collective des communistes, et oblige par conséquent les directions à tous les échelons du Parti à travailler pour réunir les conditions les plus favorables, sous toutes les formes, à la participation de chaque communiste aux débats, élaborations, décisions et leurs mises en œuvre.

 

Une première liste ouverte de questions à traiter
Le Conseil national a commencé à échanger autour de problématiques que soulèvent les débats des communistes et qui demanderaient un travail collectif de conception et d’action :
Comment redevenir le parti des classes populaires, au travail, à l’entreprise, dans les quartiers populaires et la ruralité ?
Quelle stratégie de transformation concrète de la société, comment devenir un parti de la conquête citoyenne, dans une visée révolutionnaire ?

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Comment, à partir de nos bonnes pratiques locales et du travail de nos élu-e-s, de toutes nos expérimentations militantes, construire des outils de notre stratégie nationale de transformation sociale ?
Quel rassemblement voulons-nous, avec qui, comment ?
Quel nouveau modèle d’organisation ?
Quelle conception des collectifs de direction ?
Comment reconstruire notre communication et notre identification ?
Quels moyens humains et financiers pour mettre en œuvre ces politiques ?
Ces premiers éléments doivent être critiqués et enrichis par les communistes eux-mêmes au cours de l’été au moyen d’un document permettant de formuler les questions politiques à traiter au congrès.

Une proposition de calendrier

Nous proposons qu’une première phase de discussions et de prises d’initiatives se déroule d’ici au 14 octobre 2017 avec la tenue d’une assemblée nationale des animatrices et animateurs de section. Celle-ci tirera le bilan de cette phase de consultation et contribuera à établir l’ordre du jour du congrès avant validation par le Conseil national.
Le Conseil national souhaite que ce travail, le plus collectif et commun possible, soit animé au-delà de lui-même et du Comité exécutif national par des groupes de travail composés de responsables fédéraux et locaux, de militant-e-s et d’élu-e-s engagé-e-s concrètement sur les questions à traiter.
La date elle-même du Congrès extraordinairesoit avant l’été 2018, soit à l’automne 2018 – sera déterminée par les adhérent-e-s lors d’une consultation nationale.
Le Conseil national se réunira en séminaire de travail le 25 août, à l’Université d’été du PCF, pour préparer l’Assemblée nationale des animatrices et animateurs de section d’octobre 2017.
L’Université d’été du PCF (Angers, 25-27 août) et la Fête de l’Humanité 2017 (La Courneuve, 15-17 septembre) constitueront deux rendez-vous nationaux importants dans ce processus général.
Pour débuter, les travaux de la réunion de juin du Conseil national doivent faire l’objet de comptes-rendus dans toutes les sections et fédérations du Parti, de journées de travail locales, et les débats, propositions et demandes des communistes consignés par écrit et transmis à la présidence du Conseil national pour une diffusion plus large.

Des mobilisations immédiates à engager

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Le PCF affrontera tous les défis de la nouvelle période – ceux auxquels notre peuple et notre pays font face, ceux qui le concernent directement et ceux d’une gauche fracturée et émiettée – dans la lutte et l’action.
Le PCF appelle à la mobilisation de toutes les forces, individuelles et collectives, de la transformation sociale, démocratique et citoyenne, pour relever ensemble tous ces défis.
Le président Macron et son gouvernement veulent clore leur prétendue concertation sociale avant de l’ouvrir réellement en faisant adopter par ordonnances leur projet de flexibilisation maximale du travail.
Le PCF s’engage dans la bataille contre ces lois d’ordonnances et pour une loi de sécurisation de l’emploi et de la formation afin de lutter efficacement contre le chômage. Pour contribuer à la mobilisation populaire la plus large possible, les communistes organiseront pendant toute la période estivale, partout en France, des initiatives publiques de la campagne « L’été n’est pas fait pour casser le Code du travail », lancée le 1er juin.
Le PCF, engagé également dans la bataille pour la démocratisation des institutions et la défense des libertés publiques, appelle à se mobiliser pour la mise en place du scrutin proportionnel, et prendra une part active à toutes les mobilisations contre le projet d’introduction de l’état d’urgence dans le droit commun.
Le PCF entend faire de ces trois mois à venir l’été des solidarités et de la fraternité en organisant notamment avec toutes celles et tous ceux qui le souhaitent des journées à la mer et des ventes de fruits et légumes solidaires directes du producteur au consommateur.
Du 4 au 9 septembre, semaine de la rentrée scolaire, les communistes de tout le pays prendront des initiatives de mobilisation pour un grand service public de l’école.
La Fête de l’Humanité 2017, fête de la fraternité, de la liberté et de l’égalité, fête des solidarités populaires et de la grande paix humaine, sera en septembre le lieu de centaines de débats politiques sur les défis du moment et un rendez-vous national de lutte et de riposte. Plus que jamais à cette heure, elle est la Fête de L’Humain d’abord face « au chacun pour soi et l’argent pour quelques-uns ».
La diffusion de sa vignette-bon de soutien sous l’impulsion du collectif national, animé par Nathalie Simonnet, sera lancée nationalement le 28 juin à 19h lors de l’initiative publique sur le parvis du siège du Parti avec Patrick Le Hyaric, directeur du journal, Fabien Gay, directeur de la Fête, Nathalie Simonnet et Pierre Laurent.
Les élections sénatoriales de septembre constitueront la troisième et dernière étape du cycle électoral 2017. Leurs enjeux, malgré le type de scrutin, concernent directement l’avenir de nos communes et territoires dont la cohésion et le développement exigent des politiques fondées sur l’ambition d’une République pour tou-te-s. L’élection de nombreuses sénatrices et nombreux sénateurs communistes et de candidat-e-s soutenu-e-s par notre parti constituera une force de résistance et d’alternative offensive au Sénat contre les projets gouvernementaux.

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Ouvrir un débat large pour réinventer à gauche
Le Parti communiste français ne se résout pas à la crise et l’affaiblissement historique de la gauche dans notre pays, et relève le défi de la reconstruction de la gauche. Il invite l’ensemble de ses organisations locales et départementales à s’adresser aux millions de femmes et d’hommes de notre pays qui veulent redonner à la gauche tout son sens et qui sont prêt-e-s à réfléchir, débattre et agir avec toutes les forces engagées au service du mouvement populaire et citoyen dans cet objectif, tout particulièrement dans le cadre de luttes politiques et sociales de riposte à la politique d’Emmanuel Macron.
Pour sa part, le PCF, son secrétaire national Pierre Laurent, invitent à l’Université d’été du PCF puis à la Fête de l’Humanité, plusieurs dizaines de personnalités avec lesquelles ce dialogue est en cours et la volonté d’agir est partagée.

Tournoi de foot solidarité avec la Palestine le samedi 24 juin à Brest

Samedi 24 juin, l‘Association France Palestine Solidarité et le Parti Communiste organisent un tournoi de football à 7, en soutien au camp de réfugiés de Jalazone (Palestine) dans lequel l’AFPS Brest soutient l’association « Palestinian Aged Friends Charitable Society » (soutien aux personnes âgées) et l’AFPS Morlaix le centre de réhabilitation du camp.
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Organisation de la journée

9h30 : rdv au stade du Bougen 
(accès par rue du Bougen ou rue de Kergoat)
10h : Début des matchs (Foot à 7 sur demi terrains)
12h30 : pause repas et discussion sur la situation à Jalazone
13h30 : Reprise des matchs
16h30 : Fin du tournoi
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Inscriptions par mail à afps29n@yahoo.fr ou tel (06 78 45 01 57)
ou Ismaël Dupont: 06 20 90 10 52 – dupont.ismael@yahoo.fr

Participation de 2 euros par joueur

Buvette et restauration sur place
Les « non footeux » sont bien évidemment conviés à cette journée !