PCF Finistère

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Contre la construction de la Centrale à Gaz de Landivisiau, carnaval à Landivisiau le samedi 23 février à 14h

Samedi 23 février à 14H00
Place du Champ de foire à Landivisiau
📣 Grand rassemblement festif et militant ! Déguisez-vous ! 🎊
🐌🌿 Sortez vos plus beaux costumes d’escargots, vos chapeaux de fougères et vos instruments de musique ! 🎶
Pour  montrer que nous sommes CONTRE ce projet de centrale à gaz, projet d’un autre temps au vu de l’état d’urgence climatique,
et POUR une transition vers une société sobre en énergie et conviviale !
Landivisiau doit dire non à la centrale
Association loi 1901 à direction collégiale
Pour l’abandon du projet de Centrale à gaz en Bretagne signez la pétition sur change.org!
Pour nous soutenir, adhérez à l’associationLandivisiau Doit Dire Non à La Centrale.

Elections européennes : le site de campagne est ouvert.

En finir avec la construction libérale de l’Union européenne

Le PCF a toujours combattu et combat toujours «le modèle européen», la construction capitaliste de l’UE, incarnés par les traités en vigueur ! Ce « modèle » a pour tare fondamentale de soumettre la construction européenne et les relations entre les peuples d’Europe au marché et à la concurrence, quitte à bafouer la souveraineté des peuples.

Dix ans après l’éclatement de la crise du capitalisme à laquelle les classes dirigeantes européennes n’ont répondu que par le renforcement des politiques libérales, l’emploi est en miettes dans l’UE. L’UE concentre 10 millions de pauvres en plus depuis 10 ans. Dans le même temps 176 milliards de dollars de dividendes ont été distribués en Europe au 2e trimestre 2018, ce qui représente une hausse de 19% par rapport à 2017. La Banque centrale européenne a versé 3000 milliards d’euros aux banques et aux marchés financiers sans aucune contrepartie depuis 2010. L’évasion et l’optimisation fiscale représentent 1000 milliards d’euros chaque année. Elles coûtent 2000 euros par an et par français.

Nous ne nous reconnaissons pas dans le chantage imposé aux peuples : soit la poursuite du corset austéritaire, soit l’éclatement du continent dans des ensembles rivaux et concurrents. Face à la montée de l’extrême droite et des courants xénophobes et autoritaires il y a urgence ! Pour ouvrir des brèches dans la construction libérale de l’UE et faire émerger une autre vision de la coopération entre les peuples et les nations d’Europe, nous défendons des mesures contraires à la logique libérale des traités européens.

 

https://www.europedesgens.fr

Video : Cinderella BERNARD candidate sur la liste PCF aux élections européennes

Intervention de Cinderella BERNARD, candidate sur la liste PCF aux élections européennes , 2019, lors de la rencontre débat avec Ian BROSSAT tête de liste aux européennes au Relecq -Kerhuon (29) le 2 Février 2019.

Guilvinec/Quimper, 26 et 27 Fev : Conférence d’Alain Mila, la Retirada

Alain Mila, professeur d’histoire, écrivain, petit-fils d’un enfant réfugié espagnol accueilli au Guilvinec après la Retirada.

 

Guilvinec/mardi 26 février/Maison de la presse le Goéland /9H

Quimper/mercredi 27 février /Halles Saint François/18h

 

Retrouvez Alain Mila, professeur d’histoire, écrivain tarbais, auteur d' »Une enfance retrouvée«  sur l’histoire de son grand-père, d’une famille de républicain espagnol victime de la répression fasciste, accueilli par des communistes au Guilvinec.

Conférence/dédicace à la Halle St-François à Quimper, MERCREDI 27 février à 18h sur l’accueil des espagnols en 1939 dans le Finistère (et réfugiés d’aujourd’hui) à l’initiative du PCF Finistère.

Les droits d’auteurs des ouvrages vendus à cette occasion vont en totalité à la station de sauvetage en mer SNSM du Guilvinec.

Artcile de Jean Ortiz sur la Retirada : La Retirada, un traumatisme au long cours.

Education populaire: Jeudis Rouges du PCF à Quimperlé : demandez le programme de février-mars-avril!

Jeudis Rouges du PCF à Quimperlé :

Nasser Mansouri, Catherine Wihtol de Weden, Jean Quétier

Mondialisation, Migrations, Populisme

 

« La mondialisation à l’usage des citoyens ».

Rencontre débat avec Nasser Mansouri Guilani. Docteur en économie, universitaire, syndicaliste, représentant de la CGT au CESER de 2004 à 2015.

28 février 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

 

« Les Migrations aujourd’hui : du mythe à la réalité »

Catherine Wihtol de Weden

28 mars 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

Rencontre débat avec Catherine Wihtol de Weden Directrice de recherche au CNRS et docteur d’État en science politique  elle est une spécialiste des migrations internationales sur lesquelles depuis une vingtaine d’années, elle a mené différents travaux, conduit de nombreuses études de terrain, et dirigé différentes recherches comparatives, surtout européennes. Elle a été consultante auprès de l’OCDE, du Conseil de l’Europe, de la Commission européenne et « expert externe » auprès du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Elle est aussi membre de la Commission nationale de déontologie de la sécurité

 

« Populisme..la balle dans le pied ? »

Jean Quétier, agrégé , doctorant en philosophie et enseignant à l’université de Strasbourg.

25 avril 2019 18h30

salle Isole Espace Benoîte Groult Quimperlé

 

 

renseignements : pcfpaysdequimperle@gmail.com

Brest : 19 fev, rassemblement contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme.

La fédération du Finistère du Parti Communiste Français appelle à participer au rassemblement contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme ce mardi 19 février à 19 h Place de la Liberté à Brest.

Une poignée d’extrémistes ont sali les murs et les vitrines de divers magasins de tags antisémites. Ces actes sont indignes et insupportables. Ils mettent en cause nos valeurs républicaines, le vivre ensemble.

Leurs responsables n’ont rien à voir avec la colère sociale qui s’exprime actuellement dans le pays. La majorité des Français, qu’ils portent un gilet jaune ou pas, réclament plus de justice sociale, plus de justice fiscale. Ils ne sont pas des porteurs de haine.

Comme toujours, lorsque la crise sociale est forte, lorsque la question sociale monte, l’extrême droite s’agite et tente de dévoyer l’exaspération populaire vers ses obsessions identitaires, ethniques ou religieux.
C’est sa manière d’exonérer les fauteurs de crise de leurs responsabilités et de faire de l’Autre le bouc-émissaire des problèmes de nos concitoyens.

Non, ce n’est pas à cause des Juifs, des immigrés, des réfugiés que les usines ferment, que les salaires sont gelés, que les retraites baissent ou que les maternités ferment.

C’est du fait d’un système qui génère l’inégalité. C’est à lui qu’il faut s’attaquer.

Nous dénonçons les actes antisémites qui se multiplient, comme nous combattons toutes les manifestations de racisme. Leurs auteurs et ceux qui les encouragent, quels qu’ils soient, doivent être retrouvés, jugés et sévèrement condamnés.

Notre peuple doit s’unir pour faire vivre ses belles valeurs de solidarité, de fraternité, d’égalité, de liberté, aujourd’hui menacées.

Video: Pierre Outteryck à Morlaix sur Martha Desrumaux.

 

Pierre Outteryck est Historien et éditeur il nous présente:

 

Martha Desrumaux,la dirigeante ouvrière, cégétiste, communiste, impliquée dans le recrutement des Brigades Internationales, la solidarité avec les réfugiés espagnols, l’organisation de la grande grève de résistance des mineurs en 41 et qui fut déportée trois ans, à partir de 42, à Ravensbrück où elle fut une des animatrices de la Résistance du camp de concentration.

Martha l’illettrée jusqu’à 28 ans, qui a appris à lire aux écoles du Parti. Martha la seule femme présente aux accords de Matignon de juin 36, Martha courage, Martha la rassembleuse,au panthéon!


Une vie d’engagement, de lutte, de fierté, au centre desquels était la cause des femmes.
Bravo Martha ! Merci Martha ! (présentation de l’éditeur)

A écouter : La culture ouvrière et la figure de Martha Desrumaux.

A lire sur Cause Commune : Martha Desrumaux au Panthéon : briser les murs du silence

Pétition : Martha Desrumaux, pour une ouvrière au Panthéon

Morlaix : Enseignement public. La classe Ulis de Gambetta transférée à Corentin Caër (Le Télégramme, 9 février 2019)

C’est un nouveau coup dur pour l‘école Gambetta qui se voit supprimer sa classe d’ULIS, avec derrière un acte deux qui sera la suppression de deux quarts de poste, et un acte trois qui pourrait être la suppression d’un temps de décharge de direction. Après la perte d’un poste et d’une classe l’an passé, on a l’impression que l’Inspection académique, avec les moyens qui lui sont donnés par le Gouvernement qui n’en a strictement rien à foutre de l’école publique, s’acharne contre cette école populaire du quartier Saint-Augustin à Morlaix! Avec quelles conséquences pour les enfants, la mixité de cette école?

Ismaël Dupont, conseiller municipal PCF, membre de la commission Enseignement de Morlaix.


Article du Telegramme :

L’avenir de la classe Ulis de l’école Gambetta était source d’inquiétudes auprès des AVS de l’établissement. La Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère a confirmé ce vendredi 8 février le transfert de cette classe à l’école Corentin-Caër.

Du changement en vue dans les écoles morlaisiennes de Gambetta et de Corentin Caër. « La classe Ulis (Unité localisée pour l’inclusion scolaire) de Gambetta va être transférée à Corentin Caër ». L’information provient de la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère.

La rédaction avait été alertée un peu plus tôt dans la journée de ce vendredi 8 février par un courrier de l’équipe des AVS (auxiliaires de vie scolaire) de l’école Gambetta. Dans ce courrier adressé à la Directrice académique et communiqué au journal, l’équipe expliquait avoir appris la veille que la classe serait transférée, mais demandait « le maintien ». Une information également entendue par le coprésident de l’Association des parents d’élèves, Sébastien Portier. Restait à la confirmer. Ce qu’a effectué peu après, par téléphone, la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère.

« Incompréhension » devant « cette mesure »

Pour rappel, la classe Ulis de Gambetta est composée de dix élèves. L’école l’accueille depuis des années. Et selon l’équipe d’AVS, c’est « l’incompréhension » devant « cette mesure ». Pour elle, « toute l’équipe enseignante est très engagée et investie pour la réussite des élèves. Tous les élèves d’Ulis sont respectés des autres élèves et ont réussi à créer des liens ». Elle ajoute également que « certains élèves Ulis sont en inclusion dans d’autres classes et tous progressent avec succès. Progression reconnue par tous les intervenants extérieurs qui les encadrent ». Enfin, elle rappelle que « les élèves Ulis sont particulièrement sensibles » et pense qu’« un changement d’environnement et d’encadrement pourrait être néfaste à l’équilibre et la confiance tissée au fil des ans ».

« Facilité l’inclusion des élèves »

Du côté de la Direction académique des services de l’éducation nationale du Finistère, la décision a été prise « après étude », à partir notamment d’une « analyse précise » effectuée entre autres par l’inspectrice « en charge des élèves handicapés ». Le transfert à Corentin-Caër, marquée par l’« ouverture d’une cinquième classe » est « justifié » par « le fait que ce soit une plus grande structure » que Gambetta, ce qui permettra une « facilité d’inclusion des élèves d’Ulis ». L’argument de la direction porte sur « l’intérêt des élèves » et la « qualité d’inclusion ». « Les déplacements » nécessaires de ces enfants auprès des intervenants extérieurs seront programmés.

Du côté des associations des parents d’élèves des écoles, les réactions étaient différentes. Si à Gambetta, Sébastien Portier, parent élu, n’était pas vraiment étonné de la confirmation, à Corentin-Caër, « l’étonnement » était au rendez-vous pour Katell Salazar, la présidente. « Je ne savais pas, je n’étais pas au courant », exprimait-elle.

Cette décision a pour conséquence d’alarmer le co-président de l’APE de Gambetta. Sébastien Portier s’interroge plus fortement sur demain et a « peur de la suppression des deux quarts de postes obtenus en 2018 » suite à la mobilisation et « comme il n’y aura plus que trois classes, il pourrait y avoir suppression du temps de décharge de direction ».

 

 

CRAC : Conférence régionale du PCF à Lorient le samedi 9 février – les communistes planchent sur leur projet régional.

Conférence régional du PCF à Lorient le samedi 9 février – les communistes planchent sur leur projet régional, Philippe Jumeau élu animateur du Comité Régional PCF Bretagne (CRAC).

 

Samedi 9 février, 45 communistes venus des 4 départements de la Bretagne se sont retrouvés à Lorient pour la Conférence Régionale de leur Parti.

Cela a été l’occasion de faire le bilan d’activités du Comité régional PCF entre 2015 et 2018. Pour se projeter dans le mandat suivant de ce Comité Régional, des ateliers de réflexion se sont déroulés autour des thèmes, de  la santé, la maritimité, la culture, l’énergie, la communication et la Fête de L’Humanité Bretagne.

Les synthèses de ces différents thèmes constitueront les grands axes du projet politique du Parti Communiste pour la région Bretagne. Un premier document présentant ces enjeux sera élaboré puis diffusé pendant la campagne des élections européennes, notamment au moment de  la présentation des 4 candidat.e.s bretons de la liste menée par Ian Brossat.

À l’issue de la journée, le nouveau Comité Régional comprenant 16 membres des 4 départements à égalité et à parité a été élu et Philippe Jumeau (secrétaire départemental du PCF Morbihan) en a été désigné comme l’animateur.

 

https://www.facebook.com/particommunistebzh

QUIMPER : MOBILISATION CITOYENNE AU TRIBUNAL POUR DE JEUNES MINEURS ISOLES EN DANGER

Ce mercredi 30 janvier à 14h l’association Temps partagé avait appelé à un rassemblement devant le tribunal de Quimper pour alerter sur la situation de jeunes mineurs isolés en danger. Présence de retraité-e-s engagés dans la solidarité en particulier aux migrants et de jeunes scolaires et étudiants en raison du jour et de l’heure. Présence aussi de représentants de la section PCF.

Plusieurs jeunes mineurs isolés suivis par l’association qui avaient eu un avis des services du conseil départemental allant dans le sens de la reconnaissance de leur minorité se sont vus ensuite rejetés du dispositif d’aide à l’enfance après des tests osseux, de plus en plus contestés de tous côtés, par les défenseurs des droits humains comme par les médecins à la fois sur le plan éthique et humain et en raison de leur absence de fiabilité.

Ils se retrouvent donc à la rue, en pleine période hivernale où les expulsions sont supposées suspendues, et sans papiers, ceux-ci leur ayant été confisqués !
Des jeunes sont ainsi mis en danger par des décisions absurdes et inhumaines sans même avoir pu rencontrer le juge des enfants.

Depuis plusieurs mois l’association, avec d’autres, alertait sur leur situation, et avait écrit au procureur à ce sujet, sans réponse. Aussi ce mercredi c’est accompagnés qu’ils se sont présentés au tribunal, et ont obtenu une entrevue avec le procureur. Pas de réponse sur le fond, mais quelques timides avancées, notamment sur l’accès aux juge des enfants, là aussi le manque de moyens de la justice pèse lourdement, sur la restitution de leurs papiers.

Nous ne lâcherons pas!

https://www.letempspartage.net/

 

Morlaix: loi anti-casseur, le PCF répond à Sandrine Le Feur

Le Parti communiste français du pays de Morlaix vient de publier un communiqué visant la députée, Sandrine Le Feur. | ARCHIVES OUEST-FRANCE

Ouest-France

Dans un communiqué, la section Parti communiste français (PCF) du pays de Morlaix répond à Sandrine Le Feur, députée de la 4e circonscription du Finistère, pour son vote en faveur de la « loi anti-casseur ». Cette dernière a été adoptée à l’Assemblée nationale, mardi 5 février 2019.

Dans un communiqué, la section Parti communiste français a décidé de répondre à la députée du pays de Morlaix, Sandrine Le Feur, par rapport à son vote en faveur de la « loi anti-casseurs ».

« Les députés communistes font, bien sûr, partie des 92 députés qui ont voté contre cette loi liberticide, tout comme notre sénatrice communiste des Côtes-d’Armor, Christine Prunaud , rappelle le PCF.  Ce que des députés comme Sandrine Le Feur ont osé voter restera à tout jamais comme une tache indélébile dans notre histoire républicaine. »

« Restriction des libertés publiques »

Pour la section de Morlaix : « Désormais, les préfets soumis au gouvernement pourront interdire de manifestation quiconque constituerait, selon eux, une menace à l’ordre public. Ces dispositions vont dans le sens d’une restriction des libertés publiques et du droit de manifester. Dans un contexte de fortes mobilisations, violemment réprimées, de Grand débat verrouillé, cette loi est une indication supplémentaire de la dérive antidémocratique et répressive du pouvoir macronien. Face à une contestation grandissante de sa politique antisociale, des injustices criantes qu’elle génère, le gouvernement, au lieu de répondre à la colère des Français, veut mettre l’éteignoir. »

Le PCF s’interroge sur une possible « introduction du fichage politique » , rappelant les sanctions du port de la cagoule. Il conclut : « Ce flou comme la volonté de supprimer le filtre de l’autorité judiciaire, seul garant des libertés individuelles, ont largement de quoi inquiéter. Loin de nous l’idée de vouloir épargner les casseurs, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. Au moment où les blessés graves dus aux forces de l’ordre se comptent par centaines, ce que tente le pouvoir avec cette loi est de dissuader de manifester. »
Communiqué original:
Sandrine Le Feur vote la loi anti-manifs! Quand le néo-libéralisme mène à l’autoritarisme!

Ce 5 février, la tristement célèbre « Loi anti-casseurs » vient d’être adoptée à l’Assemblée Nationale.  Les députés communistes font bien sûr partie des 92 députés qui ont voté contre cette loi liberticide tout comme notre sénatrice communiste des Côtes d’Armor Christine Prunaud interpellait hier encore le gouvernement sur les violences policières et les ravages des LBD 40 et des grenades GLI-F4! 

Le député PCF Stephane Peu s’est ainsi exprimé à la tribune: « Le jour où les manifestations seront réservées aux plus déterminés, le jour où manifester sera devenu un acte héroïque, notre démocratie aura considérablement régressé. Or depuis 2015, la situation se dégrade. »

Ce que des députés comme Sandrine Le Feur ont osé voter restera à tout jamais comme une tâche indélébile dans notre Histoire Républicaine.

En effet, désormais les Préfets (totalement soumis au gouvernement !) pourront interdire de manifestation quiconque constituerait selon eux une menace à l’ordre public.

Ces dispositions vont dans le sens d’une restriction des libertés publiques et du droit de manifester. Dans un contexte de fortes mobilisations violemment réprimées, de grand débat verrouillé, cette loi est une indication supplémentaire de la dérive antidémocratique et répressive du pouvoir macronien.Face à une contestation grandissante de sa politique antisociale, des injustices criantes qu’elle génère, le gouvernement, au lieu de répondre à la colère des Français, veut mettre l’éteignoir.

Les dispositions de la loi prévoient, notamment, des interdictions individuelles de manifester et le fichage de certaines personnes. Outre que de telles dispositions existent déjà dans l’arsenal législatif, au prétexte d’« éviter les saccages et les pillages », elles donneraient un pouvoir répressif à des autorités administratives et non à des juges indépendants. Nombre de juristes notent aussi le caractère vague de certains aspects de la loi, ouverts donc à interprétation. Ainsi le port de la cagoule serait passible de prison et de 15 000€ d’amende, mais un masque ou une écharpe pour se protéger des gaz lacrymogènes pourraient être traités de même. Interrogation identique à l’égard du nouveau fichage prévu à côté de tant d’autres, comme les fichés S, voudrait-on introduire un fichage politique? Ce flou comme la volonté de supprimer le filtre de l’autorité judiciaire, seul garant des libertés individuelles, ont largement de quoi inquiéter. Loin de nous l’idée de vouloir épargner les casseurs, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. Au moment où les blessés graves dus aux forces de l’ordre se comptent par centaines, ce que tente le pouvoir avec cette loi est de dissuader de manifester.
Section du pays de Morlaix du Parti Communiste Français
7 février 2019

 

Communication de l’Humanité

Communication de l’Humanité

Par Patrick Le Hyaric.

Le Tribunal de commerce de Bobigny a décidé de placer l’Humanité en redressement judiciaire, assorti d’un plan de continuation, avec une période d’observation de six mois renouvelables.
Cette décision et la période de transition qui s’ouvre désormais doivent permettre, dans un premier temps, de consolider notre économie de court terme tout en travaillant à un projet de pérennisation de l’entreprise.
Celui-ci passe notamment par la poursuite de la campagne de dons et de souscription, par la promotion des contenus de nos journaux et une augmentation des lecteurs et abonnés à l’Humanité et l’Humanité-Dimanche.
Nous remercions toutes celles et tous ceux qui se sont déjà inscrits de diverses manières dans la chaine de solidarité pour protéger l’Humanité. Plusieurs centaines de personnalités d’opinions diverses, de syndicalistes et de syndicats, d’associations, de créateurs, de penseurs, de journalistes, des parlementaires et responsables politiques, ont tenu à manifester leur solidarité par des messages de soutien ou des dons. Des centaines de lectrices et lecteurs ont apporté en quelques jours 700 000 euros en souscription populaire. 470 abonnements ont été réalisés en moins de 10 jours auxquels s’ajoutent les abonnements que réalisent des lectrices et lecteurs dans le cadre de la campagne « à chaque lectrice, lecteur son (sa) nouvel(le) abonné(e) ».
Cette large mobilisation entamée conforte toutes les équipes de l’Humanité dans le difficile combat engagé. Elle doit encore s’amplifier. Samedi prochain, l’assemblée des amis de l’Humanité sera un moment de ce débat pour réussir une multitude d’initiatives visant à promouvoir l’Humanité, l’Humanité-Dimanche, l’humanité.fr, leurs contenus, leur rôle au service d’une information diversifiée et de qualité prenant le parti de la justice sociale, de la démocratie, d’une planète vivable et durable, du désarmement et de la paix.
La soirée de mobilisation du 22 février s’annonce déjà très importante. Elle sera à la fois la manifestation concrète de la mise sous protection populaire de l’Humanité, et l’un des moments importants pour créer les conditions d’un nouvel élan pour l’Humanité.

Tournée de conférences passionnantes de l’historien Pierre Outteryck sur Martha Desrumaux.

Des conférences passionnantes de l’historien Pierre Outteryck sur Martha Desrumaux, grande dirigeante cégétiste et communiste, actrice de premier ordre de la solidarité avec l’Espagne républicaine, ouvrière, féministe, résistante, déportée.

Après être intervenu dans un Lycée public brestois devant deux classes de terminale Pierre Outteryck nous a parlé à la maison du Peuple à l’initiative de Amis de l’Huma et de l’IHS CGT de la vie et des luttes de Martha Desrumaux,la dirigeante ouvrière, cégétiste, communiste,impliquée dans le recrutement des Brigades Internationales, la solidarité avec les réfugiés espagnols, l’organisation de la grande grève de résistance des mineurs en 41 et qui fut déportée trois ans, à partir de 42, à Ravensbrück où elle fut une des animatrices de la Résistance du camp de concentration.

Ce fut passionnant et très émouvant.

Martha l’illettrée jusqu’à 28 ans, qui a appris à lire aux écoles du Parti. Martha la seule femme présente aux accords de Matignon de juin 36, Martha courage, Martha la rassembleuse,au panthéon!
Sa place est aux côtés de sa voisine de châlis à Ravensbruck Geneviève de Gaulle Anthonioz, !

Pierre a ensuite continué son Tro Breiz en intervenant à Morlaix et à Lorient.

Merci Pierre.
L’association des amis de Martha Desrumaux va demander à la mairie de Brest qu’un lieu lui soit consacré.

Article contenant des compléments d’informations sur

Martha Desrumeaux :

Vidéo : Conférence de Renaud Faroux sur les origines de l’abstraction.

Conférence de l’historien d’art, Renaud Faroux, spécialiste et ami de Ladislas Kijno, au Mille-Club de Landerneau, organisée par le PCF Finistère: aux sources des œuvres de Jean-Michelle Riopelle et Joan Mitchell, aux origines de l’abstraction.

 

 

 

 

 

 

 

Video : Glenn Le Saout sur Tébéo

Glenn Le Saout candidat du Finistere pour le PCF aux éléctions européennes était l’invité politique du journal de Tébéo le 5 février 2019
« Très jeune candidat pour un très vieux parti? « 
« Nous sommes redevenus le premier parti de France en nombre d’adhérents, 800 adhérents dans le Finistère, 2500 en Bretagne, on nous voit beaucoup défendre les services publics, comme la maternité de Guingamp ou la Cardiologie à Morlaix, à l’intérieur de comités de défense de l’hôpital où nous cherchons à rassembler »
« Nous avons une liste à l’image du parti communiste, une liste d’ouvriers, d’employés, d’étudiants, de retraités, une liste de gens ordinaires qui font des choses extraordinaires »
 » Les sondages ce n’est pas une science exacte, le rassemblement nous on le souhaite. EELV et France Insoumise ne sont pas favorables au rassemblement. Avec Génération.s, il y a des discussions sérieuses et une volonté de rassemblement aussi à la base chez de nombreux militants des deux organisations. »
 » Nous avons des Gilets Jaunes sur notre liste. Les propositions de loi de nos parlementaires ont une résonance chez les Gilets Jaunes, comme le RIC, la taxation à la source des profits des multinationales, le rétablissement de l’ISF, etc »
« Nous vivons dans un monde où le système capitaliste a montré ses limites. Il faut le dépasser ».

 

Vidéo : Questions/réponses avec Ian Brossat le 01 Février 2019 au Relecq-Kerhuon

180 personnes au Relecq-Kerhuon pour la rencontre-débat de Ian Brossat sur les élections européennes organisée par le PCF Finistère ce vendredi 1er février, dans une ambiance fraternelle et combative, avec les interventions aussi de deux autres candidats aux Européennes, sur la liste approuvée à 99,5% dans notre département le lendemain, Cindérella Bernard Première adjointe d’une commune rurale des Côtes d’Armor, présidente du groupe communiste au conseil départemental, militante associative Langue, école et culture bretonne (40 ans), une des étoiles montantes du communisme en Bretagne, et Glenn Le Saout (20 ans), le candidat finistérien, étudiant, ex-président du syndicat lycéen FIDL pour la Bretagne, animateur de la bataille contre la loi El Khomri dans le Finistère, bénévole associatif. C’était salle des associations Germain Bournot, le nom d’un camarade. Ian Brossat était chez lui.

Auparavant, Ian et les autres candidats ont effectué une table ronde avec des acteurs de la pêche, de la construction navale, et de l’économie maritime, pour évoquer différents aspects des enjeux actuels en termes de maritimité, de réindustrialisation, de protection de la pêche artisanale respectueuse de la ressource, de lutte contre les importations de poissons pêché dans des conditions bien moins glorieuses, de désarmement nucléaire, de relance de la construction et de la déconstruction navale, de développement des EMR, énergies marines renouvelables, et des éoliennes offshore, puis, pendant 40 minutes avant le meeting, toujours avec les autres candidats et moi-même, ainsi qu’avec Jacqueline Héré, maire adjointe PCF de quartier de Bellevue à Brest, et Christiane Caro, animatrice de l’atelier santé Bretagne du PCF, Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère, il a rencontré et échangé très fraternellement avec trois gilets jaunes brestois, lucides, courageux et déterminés, tout comme nous! .

Ismaël Dupont

Conférence de Renaud Faroux sur les origines de l’abstraction et visite guidée de l’expo Jean-Michel Riopelle et Joan Mitchell au FHEL des Capucins à Landerneau: du pur bonheur!

Ce samedi 2 février au matin, réveillés de bonne heure après un très beau meeting avec Ian Brossat et nos candidats aux européennes Cindérella Bernard et Glenn Le Saout pour aller voir, avec une trentaine de camarades et amis, l’expo d’art abstrait Jean-Paul Riopelle et Joan Mitchell aux Capucins à Landerneau, avec une belle visite guidée de la médiatrice du FHEL, accompagnés de la conservatrice du musée de Rennes, du scénographe des expositions précédentes Eric Morin (Picasso, Giacometti, Figurations Libres, Henry Moore, Hartung…) et de notre historien d’art préféré Renaud Faroux. Un moment de pur bonheur, entre grâce et émotion devant la matière et les couleurs en mouvement, l’évocation abstraite de la nature et des mythes amérindiens !

Conférence d’une heure trente de l’historien d’art, Renaud Faroux, spécialiste et ami de Ladislas Kijno, ce midi au Mille-Club de Landerneau, organisée par le PCF Finistère: aux sources des œuvres de Jean-Michelle Riopelle et Joan Mitchell, aux origines de l’abstraction.

Avec Renaud Faroux, l’art contemporain devient Cinéma Paradiso en poésie! Merci à lui pour ces expériences rares qui se reproduisent maintenant tous les trois mois.

Après Picasso, Figurations Libres, Henry Moore, une autre percée dans l’art contemporain et moderne pour nous le rendre plus intime et réveiller en nous l’intelligence du cœur face aux créations!

Joan Mitchell ou l’impressionnisme abstrait de la poète de Chicago émigrée au pays de Monnet! A voir à Landerneau jusqu’au 22 avril avec les œuvres de son alter ego, le canadien Jean-Michel Riopelle! Le lyrisme et la structure, la grâce et la violence, le mouvement aérien et le travail de la matière! Un couple tourmenté, porté sur les excès, et finalement malheureux. Le chef d’œuvre d’hommage de Jean-Michel Riopelle à son amour morte d’un cancer de la mâchoire est dédiée à Rosa Luxemburg, lui qui surnommait sa femme, fille de poète et poète elle-même, « Rosa Malheur« .

Ismaël Dupont

Vidéo : Intervention du 1er Fev de Ian Brossat au Relecq Kerhuon (29)

 Réunion publique avec Ian Brossat, tête de liste du PCF, Cinderella Bernard et Glenn Le Saout, candidats sur la liste L’Humain d’abord aux Européennes: 180 personnes réunis pour une Europe des gens, et pas de l’argent!

 

 

Glenn le Saout très à l’aise, drôle et percutant pour son baptême du feu de candidat aux Européennes, a pris la parole vendredi au Relecq-Kerhuon après Ismaël Dupont et Cindérella Bernard, et avant Ian Brossat, en évoquant sa vision de l’Europe, des luttes de la jeunesse, d’une autre vision du développement et de l’efficacité du combat pour les droits et la dignité, nourrie de sa récente expérience au Burkina Faso. Sa devise, le chant des supporters de Liverpool pour cet amoureux de football, joueur et entraîneur de jeunes, « You’ll Never Walk Alone! » En rouge, mes amis et camarades, vous ne marcherez jamais seuls et toutes les remontadas sont possibles, c’est pas le Milan AC de Berlusconi qui dira le contraire!

Les mousquetaires de la bataille contre l’Europe du capital. Trois candidats aux Européennes sur la liste « L’Humain d’abord. L’Europe des gens, pas l’Europe de l’argent »: heureux après une réunion publique intense, chaleureuse et fraternelle: Cindérella Bernard Ian Brossat et Glenn le Saout Le Relecq-Kerhuon, 1er février. 99,5% des voix des adhérents communistes finistériens qui ont voté ont approuvé le choix de la liste soutenue par le PCF et République et Socialisme conduite par Ian Brossat, un formidable candidat doublé d’un homme tout aussi bien! Le communisme du XXIe siècle à ses visages! A l’image des 79 candidats de la liste présentée pour les élections européennes du 26 mai 2019.

 

Brest 6 Fev AG du collectif de défense du service public de l’éducation

COLLECTIF BRESTOIS DE DEFENSE DU SERVICE PUBLIC DE
L’EDUCATION
INVITATION à une ASSEMBLEE GENERALE

des parents, élèves, étudiants, enseignants et personnels
de la maternelle à l’Université

Mercredi 6 février à 18h à BREST /Fac Segalen

La mise en œuvre des réformes se précise.

Nous assistons à une attaque sans précédent contre l’enseignement public, de la maternelle à l’Université.
– Baisse générale des moyens
– Précarisation des personnels
– Concurrence déloyale du privé
– Inégalités sociales et territoriales renforcées
– Mise en œuvre d’économies d’échelle à tous les niveaux, au détriment de la qualité du service rendu aux élèves et à leurs familles

Lors de notre première assemblée générale, nous avons débattu des conséquences de laréforme du lycée :

– Réforme de l’enseignement général : spécialités non disponibles dans tous les lycées
(liberté de choix illusoire, même au sein d’un même établissement), concurrence entre les lycées, classes surchargées
– Accès au supérieur problématique (Parcoursup, système de sélection pour l’entrée à l’Université, rejetant les élèves dont les dossiers scolaires ne conviennent pas, concurrence entre les élèves)
– Casse de l’enseignement professionnel, avec la réduction du nombre d’heures d’enseignements généraux, dans l’objectif de former des exécutants, et non plus des citoyens.

Quel avenir pour l’école publique de la maternelle à l’Université et le service public en général ?

Pour s’informer, débattre et s’organiser :

RENDEZ-VOUS MERCREDI 6 FEVRIER 2019 à 18h00
Faculté Segalen, salle A 212
(Boulevard Clemenceau à Brest)

Appel du 5 Février, lieux et horaires dans le Finistère.

Un puissant mouvement social s’exprime dans tous le pays. Il est traversé par une forte exigence sociale, fiscale et démocratique. Il va des gilets jaunes aux multiples mobilisations dans les entreprises, les hôpitaux ou les grandes enseignes de commerce. Les communistes se sentent pleinement solidaires et investis dans ces mouvements.

 

Les premières revendications recueillies dans les mairies qui ont ouvert des cahiers de doléances font largement état de l’exigence sociale et de justice qui s’exprime au travers du mouvement des gilets jaunes et de toutes les mobilisations en cours. Les inégalités, l’affaiblissement des services publics, l’injustice de la politique d’Emmanuel Macron sont vivement dénoncés. A l’heure où s’ouvre le Grand débat national, faisons entendre notre voix pour donner de la force à nos revendications sociales et démocratiques. A cet effet, le PCF lance des cahiers de doléances pour recueillir l’expression de tous les citoyen.ne.s.

 

58 milliards pour les actionnaires, rien pour les salaires !

Le 5 février défendons nos droits !

 

En 2018, les entreprises du CAC40 ont distribué 57,9 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires, en hausse de 12% par rapport à 2017. Les riches ne l’ont jamais été autant et la concentration des richesses s’accélèrent. A l’opposé, les travailleurs n’arrivent plus à vivre de leur travail, les retraités sont ponctionnés et les privés d’emploi menacés d’être encore plus pistés avec la réforme de l’assurance chômage. Quant aux annonces de Macron face au mouvement social, si elles sont une premières victoires, elle sont largement insuffisantes (pas de retour de l’ISF, rien pour les salaires…) et couplées d’une répression policière inacceptable.

Porter haut nos revendications sociales et démocratiques

Les premières revendications recueillies dans les mairies qui ont ouvert des cahiers de doléances font largement état de l’exigence sociale et de justice qui s’exprime au travers du mouvement des gilets jaunes et de toutes les mobilisations en cours. Les inégalités, l’affaiblissement des services publics, l’injustice de la politique d’Emmanuel Macron sont vivement dénoncés. A l’heure où s’ouvre le Grand débat national, faisons entendre notre voix pour donner de la force à nos revendications sociales et démocratiques. A cet effet, le PCF lance des cahiers de doléances pour recueillir l’expression de tous les citoyen.ne.s.

AGIR POUR LE POUVOIR D’ACHAT ET LA JUSTICE SOCIALE

Rétablissement de l’ISF, de la flat tax et de l’exit tax

→ Prélèvement à la source des multinationales

Suppression du CICE

→ Plan de lutte contre l’évasion fiscale

Augmentation du SMIC de 260 euros bruts

→Revalorisation des pensions de retraites

Ouverture de négociations salariales

→TVA à 5,5% sur les produits de premières nécessites

Renforcement de la gratuité des transports

Pétition : Pour l’interdiction des Flash-Ball et des grenades de désencerclement

La répression contre les Gilets Jaunes a été massive. Les chiffres en donnent toute l’étendue : plus de 5 600 interpellations et gardes à vue, plus de mille condamnations. Le bilan officiel fin 2018 recensait environ 3 000 blessés et mutilés. Des femmes et des hommes dont la vie aura été brisée.

Le gouvernement a fait le choix d’un maintien de l’ordre brutal et disproportionné face au mouvement : dispositifs policiers démesurés, journalistes bousculés et empêchés de travailler, gardes à vue et arrestations préventives, gazages et matraquages systématiques, évacuations violentes, tirs de Flash‐Ball et de grenades de désencerclement, drones et hélicoptères, déploiement de blindés…

En annonçant le retour de la loi « anti‐casseurs », invention de la droite après Mai 68, le Premier ministre affiche la couleur. La désescalade n’est pas l’option du gouvernement. La matraque est désormais sa seule réponse politique !

Le choix de la force et de l’affrontement est toujours la tentation d’un pouvoir affaibli, ébranlé par une exigence démocratique et sociale qui vient des profondeurs du pays, et qui le conteste. L’escalade répressive et l’utilisation intensive des moyens de police finissent d’ailleurs par mettre en danger les gendarmes et les policiers eux‐mêmes.

Le Président, le gouvernement, la majorité parlementaire et leurs relais médiatiques en appellent aujourd’hui à la défense des institutions et de la République pour mieux se protéger et justifier la criminalisation d’un mouvement qui ne saurait se résumer aux violences que nous condamnons. Ce faisant, ils nourrissent la logique infernale de la « provocation‐répression » et minent en fait encore un peu plus les bases de notre pacte républicain.

Nous sommes bien en face d’une incompréhension de classe, doublée d’une tentative désespérée de mettre à l’abri une oligarchie qui a permis à Emmanuel Macron d’accéder au pouvoir.

Ce choix de la répression et de la violence policière est à l’œuvre depuis longtemps dans les quartiers populaires et touche particulièrement les pauvres, les précaires, les jeunes, les migrants. Il est également à l’œuvre contre les ZAD et contre les mouvements d’écologie radicale. Les victimes de ces politiques avaient une vie, des familles, des rêves. Elles ont aussi des noms : Remi Fraisse à Sivens, Adama Traoré à Beaumont‐sur‐Oise.

La « maladie sécuritaire » ne date pas d’aujourd’hui. Emmanuel Macron n’est qu’un accélérateur de particules. Il est le digne héritier des gouvernements précédents, qui avaient bien commencé le travail de régression en matière de libertés publiques et d’attaques contre le pacte social.

Rappelons toutes les lois votées qui ont relégué le juge derrière le préfet, le procureur et le policier, suivies par le basculement, par cette nouvelle majorité, de dispositions de l’état d’urgence dans le droit commun. Aujourd’hui, Édouard Philippe n’a plus qu’à « piocher » dans cet arsenal répressif, « co‐construction » de la droite et du gouvernement Hollande‐Valls, pour réprimer et diaboliser un mouvement auquel il ne veut pas répondre.

Les Gilets Jaunes ont mis le doigt sur tout ce qui ne va pas et le rappellent à chaque rond‐point. Il est temps de trouver des remèdes pour soulager ce corps malade qu’est devenue la France et d’apporter des réponses concrètes aux attentes de justice et de démocratie exprimées par les manifestant.e.s, notamment le rétablissement de l’ISF, la mise en place du RIC (dont les modalités restent à définir), une fiscalité plus juste pour les PME et TPE, notamment celles travaillant pour la transition écologique, une réelle augmentation du SMIC et des minima sociaux, la baisse du prix des produits de première nécessité.

Nous devons, et nous allons combattre la nouvelle étape annoncée par le Premier ministre dans la mise sous tutelle du droit de manifester, inspirée de la proposition de loi du sénateur LR Bruno Retailleau. Aujourd’hui ce sont les Gilets Jaunes qui sont visés. Demain, nous pourrons l’être toutes et tous.

Il est grand temps d’abandonner et d’interdire toutes les armes dites non létales dont l’utilisation conduit à des mutilations ou à des morts telles que les Flash‐Balls et les grenades de désencerclement – et d’en finir avec l’arbitraire de l’État policier, des lois et de la justice à deux vitesses, qui garantissent aux puissants et aux forces de l’ordre l’impunité et imposent à celles et ceux qui contestent l’ordre établi la répression sans limites.

Mais au‐delà de ce combat contre la criminalisation et la répression de masse et pour nos libertés, une autre responsabilité nous incombe à toutes et à tous, qui exige la mobilisation la plus déterminée possible : celle de pousser au changement que les Gilets Jaunes et tant de citoyen.ne.s exigent à raison aujourd’hui.

Premiers signataires

Esther Benbassa, sénatrice EELV de Paris, Sergio Coronado, ancien député, Noël Mamère, ancien député et ancien maire écologiste, Pouria Amirshahi, journaliste, Patrick Apel‐Muller, directeur de la rédaction de L’Humanité, Cathy Apourceau‐Poly, sénatrice PCF du Pas‐de‐Calais, Eliane Assassi, sénatrice PCF de Seine‐Saint‐Denis, Jean‐Christophe Attias, universitaire, Clémentine Autain, députée FI de la 11e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Guillaume Balas, coordinateur de Génération.s, Julien Bayou, conseiller régional IdF (groupe AES), porte‐parole d’EELV, David Belliard, président du groupe des élu.e.s écologistes au Conseil de Paris, Ugo Bernalicis, député FI de la 2e circonscription du Nord, Olivier Besancenot, porte‐parole du NPA, facteur, Éric Bocquet, sénateur PCF du Nord, Youcef Brakni, Comité Adama, Céline Brulin, sénatrice PCF de la Seine‐Maritime, Damien Carême, maire de Grande‐Synthe, Hugues Charbonneau, producteur, Eric Coquerel, député FI de la 1ère circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Alain Coulombel, secrétaire national adjoint d’EELV, Laurence Cohen, sénatrice PCF du Val‐de‐Marne, Antoine Comte, avocat, Yves Contassot, animateur de l’espace Idées de Génération.s, Laurence De Cock, historienne, Didier Éribon, philosophe, Fabien Gay, sénateur PCF de Seine‐Saint‐Denis, Guillaume Gontard, sénateur écologiste de l’Isère, Nicolas Haeringer, militant de la justice climatique, Eva Joly, députée européenne EELV, Mathilde Larrère, historienne, Geoffroy de Lagasnerie, philosophe et sociologue, Pierre Laurent, sénateur PCF de Paris, Jean‐Paul Lecocq, député PCF du Havre, Marie‐Noëlle Lienemann, sénatrice de Paris, apparentée CRCE, Édouard Louis, écrivain, Pierre Mairat, avocat, coprésident du MRAP, Jean‐Luc Mélenchon, président du groupe FI à l’Assemblée nationale, Claire Monod, conseillère régionale IdF (groupe AES), coordonnatrice de Génération.s, Danièle Obono, députée FI de la 17e circonscription de Paris, Pierre Ouzoulias, sénateur PCF des Hauts‐de‐Seine, Pascal Savoldelli, sénateur PCF du Val‐de‐Marne, Sophie Taillé‐Polian, sénatrice Génération.s du Val‐de‐Marne, Thomas Porcher, économiste, Sabine Rubin, députée FI de la 9e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Serge Slama, professeur de droit public, Université de Grenoble‐Alpes, Assa Traoré, Comité Adama, Marie‐Christine Vergiat, députée européenne Front de Gauche, Benedicte Monville, conseillère régionale IdF (groupe AES), Alexis Corbière, député FI de la 7e circonscription de Seine Saint‐Denis, Bastien Lachaud, député FI de la 6e circonscription de la Seine‐Saint‐Denis, Mathilde Panot, députée FI de la 10e circonscription du Val de Marne.

Liens vers la pétition et autres sites d’information :

 

 

Pierre Outteryck, Brest le 4 février, Morlaix le 5 février.


Martha Desrumaux – la solidarité populaire au cœur –
Conférences de l’historien Pierre Outteryck à Brest le lundi 4 février et à Morlaix le mardi 5 février.

Infos le 4 février pour Brest : http://pcf29.org/brest-4-fevrier-conference-martha-desrumaux-par-pierre-outteryck/

Le mardi 5 février : Pierre Outteryck sera à Morlaix pour les Mardis de l’éducation populaire sur Martha Desrumaux, 18h au local du PCF, 2, petite rue de Callac.

Martha naquit à Comines (59) en 1897. À 9 ans, elle doit travailler comme bonne à tout faire, son père ayant été écrasé par la pompe à eau des pompiers. Parmi les domestiques règne la précarité, la misère et la peur… Aucune solidarité ! Très vite, elle décide de devenir ouvrière ; le monde ouvrier construit à cette époque des solidarités de classes face à un patronat qui se croit roi absolu. À 13 ans, elle adhère à la CGT, puis aux jeunesses socialistes d’avant 14.

Évacuée à Lyon, elle y vit la fin de la guerre et participe à la solidarité envers les populations de la Volga, victimes de la famine après la guerre 14/18 et la guerre civile.

Engagée dans le PC et la CGTU, elle va animer les luttes ouvrières de l’entre-deux-guerres et particulièrement la grève des dix sous à Halluin de septembre 1928 à avril 1929. Elle parvient à convaincre les mamans à accepter de laisser leurs enfants rejoindre pendant plusieurs mois des familles d’accueil ; les enfants échappent ainsi à la misère liée au refus de toute négociation.

En 1936, Martha est une des figures de proue du mouvement ouvrier et du Front populaire. Dès septembre, elle organise dans les Hauts-de-France et en Champagne, la solidarité avec la République espagnole menacée par le coup d’État de l’extrême droite franquiste… Solidarités multiformes : impulsion des Brigades internationales en choisissant les jeunes susceptibles de partir en Espagne se battre aux côtés de l’armée républicaine, collecte de couvertures, de chaussures, de produits alimentaires et envoi d’ambulances pour aider les Républicains , accueil dans des familles du Nord Pas -de- Calais de plus de 500 enfants espagnols victimes du conflit. Notre ami Gilbert Avril, futur dirigeant du SPF du Nord, se souviendra de l’arrivée de ces enfants dans le bassin minier. Martha est présente à de nombreux meetings organisés par le SPF naissant pour favoriser la solidarité envers l’Espagne. Enceinte, Martha se rendra à plusieurs reprises en Espagne et deviendra l’amie de la Passionaria dirigeante du Frente popular espagnol.

Durant l’Occupation, le SPF aide des familles de mineurs déportés après la grande grève de mai/juin 1941. Plusieurs dirigeants du SPF seront arrêtés et déportés comme l’instituteur Résistant Willy Dubois.

Arrêtée le 26 août 1941, Martha est déportée au camp de Ravensbrück. Ici encore, elle y organise la solidarité. En décembre 1943 elle aide Charlotte Rosenberg et ses trois très jeunes enfants à survivre dans cet enfer. Aujourd’hui encore, Lili Rosenberg Leignel témoigne auprès de la jeunesse de cette solidarité qui lui a permis de survivre. Rescapée de Ravensbrück, redevenue responsable de la CGT, Martha organise avec le SPF la solidarité pour les enfants des mineurs grévistes de 1948 (aide alimentaire, aide vestimentaire, accueil des enfants dans la région parisienne, aide juridique pour les mineurs jugés pour fait de grève). En 1965, elle est présente lors de l’inauguration du premier local du SPF à Lille Wazemmes. Nous la retrouvons à Toulon dans les années 70 entre autres auprès du SPF piloté dont la cheville ouvrière sera Jo Séguy. Grande figure du mouvement ouvrier et de la solidarité, Martha est au centre de la campagne « Ouvrir le monde ouvrier au Panthéon, Martha Desrumaux, pour une ouvrière au Panthéon, campagne à laquelle participe, notre ami, symbole de la Résistance, Julien Lauprêtre.

Laurence Dubois
Présidente des Ami.e.s de Martha Desrumaux
Janvier 2019

 

Face au blocage de Macron, amplifier les mobilisations .

Le PCF appelle à la mobilisation le 5 février

A l’appel de la CGT, le PCF sera mobilisé pour la grève et les manifestations mardi 5 février prochain.

Alors que la mobilisation des gilets jaunes continue, alors que les réponses apportées sont insuffisantes, le PCF sera mobilisé mardi 5 février partout en France pour répondre à l’urgence sociale.

Les communistes s’impliqueront dans tous les échanges citoyens, les favoriseront et aideront à ce qu’ils se traduisent en propositions concrètes.

C’est dans cet esprit que le PCF souhaite que s’élaborent partout des « Cahiers d’espoir », nouveaux cahiers de doléances de ce XXI° siècle, où chacune et chacun pourra s’exprimer, faire état de ses revendications, avancer des solutions qui correspondront aux besoins les plus urgents de nos concitoyens.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, participera à la manifestation parisienne aux côtés d’élu-es et de militant-es communistes.

Paris, le 30 janvier 2019.

Cahier de l’espoir : https://www.humanite.fr/cahiers

Mobilisation générale pour L’Humanité.

Vous l’aurez sans doute entendu ou lu, le journal « L’Humanité » est dans une très grave situation.

Il y a donc nécessité de l’aider à continuer d’être le relais des luttes, des batailles qui fleurissent ici et là, en France ou dans le monde.

Si l’Huma venait à disparaître, qui pourrait relayer ce qui se passe en Palestine, à l’usine Blanquefort, dans le monde du travail (dans les Services Publics et les entreprises), porter une voix internationaliste pour la Paix, le développement, contre l’impérialisme, le néo-colonialisme, la montée des extrêmes-droites en Autriche, Hongrie, Pologne, dans le monde bouillonnant de la culture, dans les progrès scientifiques bénéfiques pour la population et non pour quelques actionnaires…. Qui dénoncerait avec justesse et virulence les profits outranciers des multinationales… qui serait capable comme en 2005 de décrypter ligne à ligne, mot à mot le projet de TCE pour aider les électeurs à  se battre contre celui-ci…

Bref des sujets dont le reste de la presse écrite ne parle guère, puisqu’elle est tenue par le monde la finance qui impose les lignes éditoriales. Faudra-t-il en arriver à ne plus avoir en kiosque que Les Echos, le Figaro, Challenges,…. qui sont des journaux aidés par des patrons du CAC 40 ?

L’indépendance de l’Huma, voilà ce qui gêne le nouveau monde de Macron et ses copains financiers.

Depuis 2015, l‘Humanité perd 1 millions d’euros par an lié à la suppression des aides à la presse touchant peu de recettes publicitaires. Des journaux qui perdent des lecteurs, sont achetés par des milliardaires et des groupes financiers pour avoir une influence, n’ont pas de réelle indépendance par rapport au monde de l’argent, sont bien plus aidés que l’Humanité. Renault met 2,5 millions d’€ dans Challenge. Le Monde et Libération appartiennent à des stars du CAC 40. Marianne a un milliardaire russe, etc.

Alors, si chacun.e d’entre nous contribue, même modestement, à soutenir la parution de l’Huma, s’abonne, propose l’abonnement, achète l’Huma hebdo chaque vendredi (au passage, il me reste un n° de cette semaine, 3,50€ !), l’Huma continuera d’être le relais de vos combats, de nos batailles, bref sera le journal de chacun.e d’entre nous.

L’Humanité va lancer une grande campagne d’abonnement / 2 mois découverte à 27€

Contrairement à ce qui s’est dit dans certains médias, le « lectorat de l’Huma ne s’effondre pas avec le vieillissement et la raréfaction des militants communistes » (France Inter hier, dans un commentaire scandaleux!). Le lectorat de l’Huma a baissé pendant des années mais remonte depuis 2 ans mais les coûts afférents augmentent, les recettes publicitaires baissent, et l’aide d’Etat pour le maintien du pluralisme de la presse aussi. L’Humanité numérique est encore en phase de rodage et coûte moins cher à l’abonnement que d’autres titres.

NB : tout don ouvre droit à 66 % de déduction fiscale du montant versé.

Ismaël Dupont

Pour faire un don par internet : https://www.donspep.caissedesdepots.fr/?journal=huma

Bulletin pour faire un don par chèque cliquez ici !!!

Site internet de la souscription : https://www.humanite.fr/mobilisation-humanite-souscription-exceptionnelle-667137

Découvrez la liste présentée par le PCF aux élections européennes et conduite par Ian Brossat

Le Conseil National du PCF réuni à la bourse du travail de Saint-Denis a validé samedi 26 mai le choix des 79 candidats présents sur la liste « L’Humain d’abord. Pour une Europe des gens, par de l’argent » conduite par Ian Brossat pour les élections européennes du 26 mai prochain.

Parmi eux, quatre candidats bretons, des quatre départements de la Bretagne administrative: Cinderella Bernard, première adjointe de sa commune, militante associative, présidente du groupe communiste au Département des Côtes d’Armor (32e), Katja Krüger, comédienne franco-allemande, ancienne syndicaliste et socialiste ouvrière allemande, élue à la Petite Enfance à Rennes (38e), Christelle Dumont (aide-soignante de l’hôpital Yves Lanco à Belle-Ile-en Mer, syndicaliste, qui a fait une grève de la faim pour protester contre les conditions de travail dans l’hôpital public (58e), Glenn Le Saout, 20 ans, étudiant, ancien président de la FIDL Bretagne (Taulé, Morlaix).

Voici la liste sur laquelle les adhérents communistes seront appelés à voter du 31 janvier au 2 février, sachant que nous n’avons pas renoncé à poursuivre les discussions que nous avons engagées avec d’autres formations de gauche en vue d’un éventuel rassemblement (avec Génération.s. notamment, avec qui des contacts sérieux ont eu lieu, EELV et FI ne voulant pas du rassemblement).

Une très belle liste soutenue par le PCF et « République et socialisme » avec des personnalités extrêmement diverses, toutes engagées fortement sur le terrain humaniste, social et des luttes, de nombreux non communistes aussi, 50% d’ouvriers et d’employés. Une liste représentative du monde du travail et de la vraie vie!

Candidatures Européennes:

1. Ian Brossat (38 ans)

Professeur de français, Maire adjoint de Paris chargé du logement et de l’hébergement d’urgence, auteur de plusieurs livres, dont le dernier sur la nouvelle économie « Airbnb, la ville ubérisée ». Outre son combat pour la régulation des géants du numérique, Ian Brossat a ouvert le premier centre d’hébergement pour sans-abris dans le 16e arrondissement de Paris ».

2. Marie-Hélène Bourlard (61 ans)

Ouvrière textile pendant 43 ans à Poix dans le Nord et figure du documentaire « Merci Patron! ». Marie-Hélène Bourlard a été à la tête du combat face à Bernard Arnault, première fortune de France (57 milliards de patrimoine) afin d’éviter la délocalisation de son usine. Le 26 mai prochain, elle deviendra la première femme ouvrière à siéger au Parlement européen.

3. Patrick Le Hyaric (61 ans)

Directeur du journal L’Humanité, député européen sortant et conseiller municipal d’Aubervilliers.

4. Marie-Pierre Vieu (51 ans)

éditrice, mobilisée sur les sujets de culture et engagée dans sa ville de Tarbes, députée européenne.

5. Mamoudou Bassoum (35 ans)

« J’avais pris deux choses en partant: le drapeau français et mon gilet jaune ». Médaillé d’or aux championnats d’Europe de Taekwendo, le 1er décembre dernier, Mamoudou Bassoum est monté sur le podium des championnats d’Europe avec son gilet jaune sur les épaules, en soutien au mouvement qu’il a rejoint dès les premières heures. Ingénieur dans le Loiret.

6. Julie Pontalba (40 ans)

Enseignante au collège à Saint-Leu (La Réunion), Julie Pontalba est membre du Parti Communiste réunionais (PCR). Elle a été candidate de rassemblement des forces de gauche, et militante pour la paix.

7. Anthony Gonçalves (47 ans)

Cancérologue et enseignant à la faculté de Médecine de Marseille. Il milite contre les fermetures d’hôpitaux de proximité. A l’échelle européenne, il plaide pour la création d’un pôle public du médicament.

8. Maryam Madjidi (38 ans)

Prix Goncourt du premier roman (2017) et Prix Ouest-France étonnants voyageurs (2017) pour « Marx et la poupée ». D’origine iranienne, Maryam n’est pas seulement une écrivaine reconnue et nouvelle figure de la littérature française: elle est aussi bénévole dans une association d’apprentissage de la langue française pour les réfugiés.

9. Arthur Hay (28 ans)

Livreur (Deliveroo), Arthur Hay est à l’initiative du premier syndicat de France des coursiers à vélo. Face à l’ubérisation de la société, il milite pour la régulation à l’échelle européenne et une protection des salariés de la nouvelle économie.

10. Barbara Filhol (45 ans)

Aide-soignante, secrétaire générale du syndicat des EHPAD du Val-de-Marne, investie pour l’amélioration des de l’accueil de nos aînés et des conditions de travail du personnel soignant. Dans un pays comptant 14 millions de retraités, il s’agit d’un sujet de société majeur.

11. Franck Saillot

Ouvrier de la papeterie Arjowigins de Wizernes dans le Pas-de-Calais, il a occupé avec ses collègues durant 3 ans, jour et nuit, son usine pour en éviter la fermeture et la délocalisation. Grâce à leur lutte, Franck Saillot et ses collègues ont trouvé un repreneur à l’automne 2018, et sauvé une centaine d’emplois.

12. Claire Cemile Renkliçay

Co-présidente du Conseil démocratique kurde de France, militante pour la paix et élue à Grigny.

13. Michel Jallamion (44 ans)

Président de la Convergence nationale des services publics, conseiller régional d’Ile-de-France. Membre du mouvement République et Socialisme.

14. Sophia Hocini

Salariée de l’économie sociale et solidaire à Paris, militante associative dans les quartiers populaires.

15. Stanislas Baugé

Chauffeur routier à La Rochelle (17), Stanislas Baugé s’est mobilisé avec ses collègues devant le Parlement Européen pour défendre les conditions de travail des routiers et éviter le dumping social et le travail détaché.

16. Manuela Dona (48 ans)

Douanière et syndicaliste au Havre. Militante pour la création d’une Douane européenne.

17. Michel Branchi

Économiste, élu à l’Assemblée de Martinique, dirigeant du Parti communiste martiniquais, conseiller territorial de Martinique.

18. Elina Dumont (50 ans)

SDF pendant 15 ans, Elina Dumont est de ceux qui plaident pour le retour de l’ISF et un meilleur partage des richesses en France et en Europe. Désormais comédienne et chroniqueuse régulière aux « Grandes gueules » (RMC), elle soutient le mouvement des Gilets Jaunes.

19. Benjamin Amar (42 ans)

Professeur d’histoire-géographie au lycée Gutemberg de Creteil, débatteur reconnu sur les plateaux télés, responsable syndical dans le Val-de-Marne

20. Sarah Chaussy

Paysanne, conseillère municipale à Sceautres, petit village de 150 habitants en Ardèche.

21. Loïc Pen

Médecin à l’hôpital de Creil, il a démissionné de son poste de chef de service des urgences pour protester contre la fermeture de la maternité. Lanceur d’alerte.

22. Christine Mequignon

Cheminote en Auvergne-Rhônes-Alpes, représentante des salariés à la SNCF.

23. Pascal Pontac

Grutier au port de Saint-Nazaire, responsable du syndicat des ports et docks.

24. Michèle Picard (51 ans)

Restauratrice, maire de Vénissieux.

25. Ralph Blindauer

Avocat au barreau de Metz, il a défendu de nombreux salariés en lutte dans toute la France, comme les 300 salariés marseillais d’une chaîne de fastfood, les métallos dijonnais contre TRW, ou encore les embouteilleurs aux Pennes-Mirabeau. Il a contribué au film « En Guerre » présenté au dernier Festival de Cannes.

26. Anne Laure Perez

Artiste sculptrice, maire-adjointe à Gennevilliers.

27. Franck Merouze

Salarié de la grande distribution, il a également accompagné les salariés de la biscuiterie Jeannette dans leur combatr victorieux pour sauvegarder les emplois (Calvados)

28. Marianne Journiac

Infirmière syndicaliste à l’Assistante publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP). Dirigeante de « République et Socialisme ».

29. Belaïde Dedreddine

Vice-président du Conseil départemental de Seine St Denis en charge de l’écologie urbaine.

30. Amandine Miguel

Ancienne porte-parole de l’inter-LGBT, Amandine Miguel est militante féministe engagée contre l’homophobie? Paris.

31. Nacim Bardi

Ouvrier métallurgiste à Saint-Saulve et représentant syndicaliste.

32. Cinderella Bernard (40 ans)

éducatrice spécialisée, première adjointe de sa commune, présidente du groupe communiste au Conseil Départemental des Côtes d’Armor, militante associative

33. Jean Luc Bou

Enseignant, militant Droits Humains à SOS Méditerranée en Occitanie (34).

34. Isabelle Liron

Salariée à Pôle Emploi en Bourgogne Franche Comté, syndicaliste

35. Dominique Pani

Employé dans le secteur de l’énergie (26).

36. Hulliya Turan

Assistante sociale, militante des droits humains à Strasbourg.

37. Khaled Bouchajra

Employé chez Amazon. Syndicaliste sur le site de Saran dans le Loiret

38. Katja Krüger (43 ans)

comédienne-chanteuse franco-allemande, ancienne syndicaliste et socialiste ouvrière allemande, élue à la Petite Enfance à Rennes

39. Pierre Lacaze (53 ans)

Infirmier, élu à la Métropole de Toulouse

40. Aicha Dabale

Militante féministe et altermondialiste vivant à Bagnolet (93), Aïcha Dabale est engagée sur la scène internationale dans la lutte contre les violences faites aux femmes

41. Jean Mouzat

Paysan, président du Modef (Mouvement de Défense des Exploitants Familiaux). Elu à Tulle

42. Delphine Pietu (48 ans)

Directrice de l’école primaire de la commune de Thénioux où elle est maire-adjointe (18)

43. Denis Lanoy

Metteur en scène de théâtre à Nîmes. militant des droits sociaux des artistes, des écrivains et intermittents du spectacle.

44. Charlotte Blandiot-Faride (37 ans)

Maire de Mitry-Mory (77)

45. Arnaud Petit

Ouvrier métallurgiste, maire de Woincourt dans la Somme

46. Virginie Neumayer (44 ans)

Technicienne, syndicaliste à EDF

47. Aurélien Gall (36 ans)

Représentant des salariés de l’agriculture. Conseiller prud’homal. Président de la Fédération colombophile de Picardie.

48. Patricia Tejas

Agent administratif des Finances Publiques. Secrétaire générale d’une fédération des Finances. Militante auprès des sans-papiers (67)

49. Aurélien Aramini

Professeur de philosophie au Lycée Gustave Courbet à Belfort

50. Sandrine Macigno

Travailleuse de l’Etat sur la base navale de Cuers dans le Var, syndicaliste (83)

51. Cyrille Bonnefoy

Infirmier, maire de la Ricamarie (42)

52. Emilie Lecroq (37 ans)

Militante de l’éducation populaire à Saint-Ouen (93).

53. Emmanuel Trigo (44 ans)

Enseignant et responsable syndical dans le Var (83

54. Cathy Apourceau Poly

Attachée territoriale, sénatrice du Pas-de-Calais

55. Michel Stefani

Conseiller à l’Assemblée de Corse (20)

56. Lucie Martin (18 ans)

Étudiante syndicaliste à Sciences-Po Grenoble.

57. Youssef Benamar

éducateur spécialisé, artiste et élu de la ville d’Allonnes (72)

58. Christelle Dumont

Aide-soignante de l’hôpital Yves Lanco à Belle-Ile-en Mer (Morbihan), syndicaliste, qui a fait une grève de la faim pour protester contre les conditions de travail dans l’hôpital public

59. Sébastien Nugou

Cheminot dans le Loiret. Secrétaire régional syndicat SNCF

60. Laëtitia Maure

Aide à domicile dans les Pyrénées-Orientales

61. David Blaise

Ouvrier métallurgiste et syndicaliste en Meurthe-et-Moselle

62. Lamya Kirouani

Fonctionnaire territoriale. Vice-présidente du Conseil Départemental du Val-de-Marne (94)

63. Aurélien Crifo (37 ans)

Auteur et interprète. Gilet Jaune (68)

64. Maryline Lucas

Maire de Guesnain (59)

65. Yves Dedevec

Salarié Airbus en Loire-Atlantique

66. Mina Idir (43 ans)

Responsable d’exploitation dans le transport de marchandise, secrétaire départementale PCF Vaucluse, militante associative

67. Glenn Le Saout (20 ans)

étudiant, ancien président de la FIDL Bretagne (syndicat lycéen), bénévole dans une association sportive

68. Geneviève de Gouveia (56 ans)

Militante au Secours Populaire à Montluçon, conseillère départementale de l’Allier

69. Alain Pagano

Enseignant chercheur en écologie et biologie à l’université d’Angers, conseiller municipal à Angers

70. Sandra Blaise (45 ans)

Formatrice, syndicaliste (88)

71. Edmond Baudouin (76 ans)

Dessinateur de BD et écrivain. Alpes-Maritimes

72. Ghislaine Noirault

Ouvrière retraitée à Trimouille (86)

73. Florian Monteil

Ingénieur agronome. Syndicaliste agricole du Lot-et-Garonne

74. Nathalie Fabre (45 ans)

Présidente d’un club de Rugby en Dordogne et du club Agenais. Maire de Beaumont-du-Périgord

75. Fréderic Boulanger

Psychiatre à Nancy

76. Cécile Cukierman (42 ans)

Professeur d’histoire-géographie, sénatrice de la Loire, porte-parole du PCF avec Ian Brossat

77. Gilbert Garrel

Cheminot syndicaliste, président de l’Institut d’Histoire Sociale

78. Odette Nilès (94 ans)

Grande résistante française arrêtée par les Nazis en août 1941. Fiancée de Guy Môquet. Doyenne de la liste

79. André Chassaigne (68 ans)

Principal de collège, président du groupe communiste GDR à l’Assemblée Nationale

Prochaines actions de la CGT Brest, Finistère, National

 

Mercredi 30 janvier : Appel du syndicat CGT CHU de Brest

A l’invitation du directeur de l’Hôpital de Brest, Apple, Orange et le CNES

viennent le mercredi 30 janvier pour une soirée sur le thème de «osez un

hôpital innovant». Pour la CGT CHU il s’agit d’une opération de marketing de

grands groupes privés qui cherchent à tirer des profits de l’hôpital public.

Appel à la mobilisation de 18 à 20 heures devant le multiplex boulevard Clemenceau

Jeudi 31 JANVIER : MOBILISATION DES RETRAITÉ.E.S QUIMPER

« Reprenez vos cadeaux, rendez-nous notre pouvoir d’achat ! »

Le message des neuf organisations syndicales et associations de retraités

est on ne peut plus clair. Ce 31 janvier comme lors des mobilisations précédentes

les retraités exigeront :

– l’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités ;

– la revalorisation des pensions, conformément au code de la sécurité sociale,

à la hauteur de l’inflation : 1,7 % pour 2018 ;

– le retour à l’indexation sur les salaires ;

– le maintien de la pension de réversion selon les modes de calcul actuels.

Dans le Finistère une seule manif à Quimper.

On peut s’inscrire pour les cars à l’UL de Brest

 

Lundi 4 février 18 H Maison du Peuple Brest

L’IHS 29 organise, avec l’association des amis du journal l’Humanité du pays de Brest une conférence sur Martha Desrumeaux présentée par Pierre Outteryck, historien

Née en 1895 dans le nord, ouvrière du textile, militante de la CGT et du PC, elle fut secrétaire

de l’Union régionale de la CGTU, trésorière puis secrétaire adjointe de l’UD du nord,

membre de la Commission exécutive de la CGTU et de la Commission exécutive de la FD

du textile. membre du Comité central et du bureau politique du PCF. Lors des grèves de

juin 1936, elle fut la seule femme à participer aux accords Matignon aux côtés de Benoit

Frachon. Au moment de la guerre d’Espagne, elle a organisé, dans le nord, le recrutement

des combattants des brigades internationales.

 

Pour répondre à l’urgence sociale, la CGT appelle à la grève le 5 février

https://www.cgt.fr/documents/5-fevrier-le-grand-debat-sur-le-bitume

Rennes, Samedi 2 février, Manifestation contre la loi Asile Immigration



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Appel du PCF Finistère appelant à la manifestation départementale des retraités le jeudi 31 janvier à 10h30 place Saint Corentin à Quimper

Déclaration de la Fédération du Finistère du PCF

Manifestations, pétitions, interpellations des élus En Marche se succèdent dans une très large unité des syndicats et associations de retraité-e-s. Devant le traitement indigne et injuste que leur réserve le président des riches, leur colère, qui a contribué à alimenter celle des gilets jaunes, ne retombe pas.

Ponctionnés, pressurés, méprisés, qualifiés de privilégiés qui devraient mettre de leur poche pour améliorer le sort des salariés pauvres, comment les retraités ne seraient-ils pas en colère, eux qui ont participé quand ils étaient actifs à la création des richesses que le président dilapide en faveur de ses très riches amis et des actionnaires, eux qui ont cotisé pour les plus anciens, eux dont beaucoup ont de toutes petites retraites, des femmes particulièrement après une vie de travail morcelée et précarisée, et sont à la peine pour faire face aux besoins les plus élémentaires !

Essayer ainsi d’opposer les générations, de dresser les uns contre les autres actifs, précaires, chômeurs, retraité-e-s, c’est scandaleux. Et le comble du scandale, c’est d’appeler les victimes de sa politique à se partager entre eux les efforts pour permettre de dégager toujours plus d’argent public pour les banques et les multinationales qui elles ne participent pas à la solidarité nationale, pas même en payant leurs impôts, et dont les bénéfices explosent : plus de 100 milliards d’euros en 2018 pour les grandes sociétés du CAC 40, les dividendes qu’elles reversent aux actionnaires ont augmenté de 12,8 % soit 43 fois plus que les 0,3 % accordés aux retraité-e-s ! Rien d’étonnant : les divers cadeaux fiscaux du président à ses amis milliardaires et grands patrons se montent à plus de 150 milliards d’euros.

Pour les retraité-e-s par contre la potion est amère: augmentation de la CSG, impôt particulièrement injuste, pour boucher les trous provoqués par les largesses de Macron au profit de la finance ; décrochage des pensions par rapport à la hausse des prix, + 0,3 % ce n’est même pas une aumône, c’est la baisse organisée du pouvoir d’achat des retraites ; menaces sur les pensions de réversion…Et les quelques petits reculs concédés ces dernières semaines ne font pas le compte.

Les communistes se prononcent au contraire pour la revalorisation des pensions pour rattraper les retards accumulés, leur indexation sur les salaires, une fiscalité juste, le remboursement à 100 % par la Sécu des soins prescrits, la prise en charge de la perte d’autonomie, l’accès partout et pour tous aux services publics, à la culture, aux transports…

Ce sont les propositions que nous porterons dans la manifestation départementale des retraité-e-s du jeudi 31 janvier à 10h30 place St Corentin à Quimper à laquelle nous appelons à participer nombreux.

L’allongement de la durée de la vie n’est pas un coût à réduire, c’est une chance pour bâtir une société solidaire, intergénérationnelle, dont les retraité-e-s prennent leur part. Notre pays a les moyens d’assurer une vie sécurisée et digne de la naissance jusqu’au grand âge.

Il suffit de remettre l’argent au service de l’intérêt général, de l’humain d’abord !

Yvonne Rainero responsable santé-protection sociale du PCF 29

Ismaël Dupont secrétaire départemental du PCF

Cinderella Bernard et Glenn Le Saôut, candidats bretons aux élections européennes.

Glenn Le Saôut, 20 ans, candidat finistérien pour les élections Européennes du PCF conduite par Ian Brossat.

Glenn Le Saôut sera présent au meeting de Ian Brossat vendredi 1er février au Relecq-Kerhuon et prendra la parole avec Cinderella Bernard, il participera auparavant à la rencontre avec les acteurs de l’économie maritime.

Glenn Le Saôut:

 » Je suis né en 1998 à Morlaix, d’un père ouvrier qualifié et d’une mère travaillant dans le secteur du social, le dernier fils d’une fratrie de 3 enfants (1 sœur et 1 frère).

Je suis comme qui dirait « tomber dedans » car possédant deux grand pères communistes il était impensable de ne pas penser pour le collectif avant de prôner l’individuel.

En lycée public à Morlaix je me suis pleinement investi au sein des mandats qui m’ont été confiés que ce soit dans le comité de vie lycéenne ou bien au conseil d’administration (siégeant pour la représentation des élèves au sein de l’instance dirigeante).

J’ai pris des responsabilités également syndicales au sein de la Fédération Indépendante et Démocratique Lycéenne (FIDL) en prenant la présidence localement puis au niveau de la Bretagne.

Lors des manifestations contre la loi travail, contre les réformes « Macron » mais aussi contre la sélection à l’université. J’ai pu pu exprimer la voix et défendre les intérêts des jeunes opprimés et oubliés depuis tant d’années par les gouvernements successifs.

Toujours accompagné dans l’ensemble de mes luttes par des camarades engagés et investis.

Ces derniers mois, j’ai alerté sur les conséquences de Parcoursup, avec nombre de lycéens restant en attente d’affectation pendant des semaines angoissantes avant le bac, ou carrément sur le carreau, certains renonçant même à s’orienter vers des études.

Depuis toujours joueur de football, et encadrant dans une équipe de jeunes je suis passionné de sport. L’ensemble de ces éléments m’ont permis de me construire politiquement.

J’ai adhéré au PCF à 18 ans, il y a un an et demi.

J’ai dernièrement effectué un voyage de 4 mois au Burkina Faso ainsi qu’au Bénin. J’ai pu apercevoir les dégâts du colonialisme, de la pauvreté sur les populations mais surtout le manque cruel de moyens dans l’ensemble des secteurs éducatifs et médicaux. Je vais poursuivre mes études dans le secteur de la culture et de l’animation. En attendant, j’ai accepté de m’engager sur cette liste des Européennes conduite par Ian Brossat car je suis convaincu qu’il faut transformer en profondeur les institutions et les politiques européennes actuelles si on veut sauver l’idée européenne et les idées de progrès en Europe, face à la montée de l’extrême-droite ».

Cinderella Bernard, candidate sur la liste aux Européennes du PCF conduite par Ian Brossat.

Cinderella Bernard sera présente au Relecq-Kerhuon le 1er février à 20h avec Ian Brossat et Glenn Le Saôut pour la première grande rencontre-débat sur les élections Européennes dans le Finistère. 

Âgée de 40 ans,  Cindérella Bernard est issue d’un milieu modeste (père ouvrier électricien et sa mère sans emploi). Enfants, ses deux parents ont connu les foyers de l’enfance. Sa mère a grandi en famille d’accueil auprès d’un couple d’agriculteurs qui l’ont élevée au sein de leur petite ferme. Cindérella en a gardé l’exigence de défendre les catégories populaires et de se battre pour les gens et leurs intérêts légitimes.

Elle habite Bégard avec son mari et ses quatre enfants. Jeune, elle a dû travailler comme ouvrière en usine et dans l’agroalimentaire pour des missions d’intérim. Elle a quitté l’école à la fin de sa première année de AES. Puis, après avoir exercé plusieurs métiers autour du handicap et de la délinquance, elle a obtenu son diplôme d’éducatrice spécialisée. Elle est devenue médiatrice à Côtes d’Armor Habitat. Très tôt attirée par l’action collective, elle est devenue, adolescente, présidente du Foyer des jeunes de sa commune.

Jeune maman, elle a pris la responsabilité de l’Amicale Laïque de Bégard pendant sept années et a mené avec conviction et détermination les mobilisations pour la défense de l’école publique. Elle s’est attachée à porter les valeurs de solidarité, de laïcité, de vivre ensemble, et de proximité et de les partager avec le plus grand nombre de personne.

Cinderella a participé à la création de l’association Skol Bro Vear en 2006 pour porter la demande d’une filière bilingue publique à Bégard. Leur démarche s’est voulue militante car l’enseignement des langues régionales n’est pas une évidence pour l’Éducation Nationale faute de loi pour porter cette volonté. Aujourd’hui ce sont 130 enfants qui bénéficient à Bégard d’un enseignement à parité dans les deux langues, français/breton, de la maternelle à la 3ème au collège. La commune de Bégard est devenue un pôle bilingue public.

En 2008, elle rejoint l’équipe municipale de Gérard Le Caër, maire communiste de Bégard. En 2014, elle devient Maire-adjointe aux affaires scolaires et Présidente du Syndicat Mixte Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères. Elle a conduit dans cette fonction des actions fortes en faveur de la protection de l’environnement comme la lutte contre le gaspillage alimentaire, le broyage gratuit des déchets verts à domicile, le compostage collectif et individuel, la sensibilisation des enfants dans les écoles, le tri sélectif, ou encore l’installation de ruches d’abeilles noires de Bretagne à la déchèterie !

Depuis 2015, Cindérella est Conseillère départementale, dans l’opposition, et Présidente du Groupe Communiste et Républicain des Côtes d’Armor. Elle ne lâche rien de ses convictions et n’hésite pas à porter fort mes idées face à la Droite comme face aux représentants du Gouvernement, socialiste ou macroniste. A l’issue des élections législatives de 2017, Cindérella, après une très belle campagne collective, a été la candidate communiste qui a réalisé le meilleur score en Bretagne, sur la circonscription de Guingamp. Elle aurait été probablement élue députée sans la division de la gauche.

Article sur le débat Où va la Bretagne? Ar Falz Skol Vreizh avec Cindérella Bernard.

Landerneau, samedi 2 février: visite de l’exposition Mitchell et Riopelle à FHEL de Landerneau et conférence de Renaud Faroux

PCF Finistère organise une nouvelle visite de l’exposition temporaire du moment d’art moderne ou contemporain du Fonds Edouard Leclerc à Landerneau avec notre ami conférencier, critique et historien d’art, Renaud Faroux, après les expositions Picasso, Figurations Libres, Henry Moore.

Ce sera le samedi 2 février à Fond Hélène et Edouard Leclerc des Capucins à Landerneau. Nous ferons une visite guidée à 10h30.

Elle sera suivie d’une conférence avec projection d’œuvres de Renaud Faroux sur l’oeuvre de Mitchell et Riopelle dans son contexte, son intention et sa portée. La salle reste à réserver et la conférence d’une heure environ aura lieu vers 12h00-12h15 jusqu’à 13h30 environ.

Les deux moments sont ouverts aux non adhérents, bien sûr.

Suivi d’un pique-nique convivial avec des mets que tous ramèneront.

Pour l’instant, il y a 22 inscrits, nous pouvons prendre encore 8 inscriptions au moins. Et davantage de camarades encore peuvent participer en nous rejoignant à la conférence.

Le lieu de la conférence de Renaud Faroux à Landerneau sera indiqué ultérieurement.

Réservations et informations: 06 74 44 04 90

Brest 4 février 18H, conférence Martha Desrumaux par Pierre Outteryck.

Martha Desrumaux,
ouvrière, syndicaliste, féministe, une oubliée de l’histoire.

Conférence présentée par Pierre Outteryck, historien.

Un partenariat de l’Institut CGT d’histoire sociale et des Amis de l’Humanité.

Lundi 4 février à 18H

Maison du Peuple /Place Edouard Mazé /Brest

 

Silence, on tourne…
1936, le cinéaste Jean Renoir l’observe…
Il l’imagine à 10 ans fuyant la demeure bourgeoise dont elle est la bonne à tout faire ! Martha a décidé, elle sera ouvrière… Ouvrière du textile…
Travail du lin, un des pires boulots de l’époque. À 12 ans, encore enfant, Martha gronde de révoltes. Elle ne supporte ni l’injustice, ni l’humiliation, ni l’exploitation.
À 12 ans, la voici syndiquée à la CGT.
À 15 ans, elle adhère aux jeunesses socialistes d’avant 14.
La Première Guerre Mondiale l’emporte dans sa tourmente ; en 1917, Martha dirige sa première grève... Avec les filles de son atelier, elle gagne. Première victoire, premier maillon d’une chaîne de multiples luttes.

En 1920, elle choisit le Communisme.
Martha, ouvrière, dirigeante syndicale, responsable politique…
Les 40 premières années de sa vie scandent les combats pour l’unité de la classe ouvrière.
1939, nouveaux affrontements, nouvelles luttes… La clandestinité pour réorganiser le Parti Communiste. Le 26 août 1941 : Martha est appelée.Quelques semaines plus tard, elle est déportée dans l’enfer de Ravensbrück : nouveaux engagements, nouvelles solidarités.

La vie s’appelle toujours Luttes et Fraternité. Rescapée des camps de la mort, elle revient à Lille et reprend sa place à la tête du PCF et de la CGT.
Une vie d’engagement, de lutte, de fierté, au centre desquels était la cause des femmes.
Bravo Martha ! Merci Martha ! (présentation de l’éditeur)

A écouter : La culture ouvrière et la figure de Martha Desrumaux.

A lire sur Cause Commune : Martha Desrumaux au Panthéon : briser les murs du silence

Pétition : Martha Desrumaux, pour une ouvrière au Panthéon

 

 

 

Menaces sur le Quai Dupleix, cinéma Art et Essai de Quimper.

Menaces sur le Quai Dupleix, cinéma Art et Essai de Quimper.
Déclaration de Piero Rainero conseiller municipal PCF.
Dès 2014 j’avais interpellé la municipalité sur la situation fragile des salles de cinéma
d’art et d’essai dans notre ville, en raison des risques que pouvait faire courir au Quai
Dupleix une possible vente de l’ensemble Quai Dupleix-Arcades.
Dès cette époque, l’association Gros Plan, à laquelle était confiée en régie municipale la programmation de ces 2 salles Art et Essai, avait alerté la municipalité sur ces risques, et ce encore il y a un an après le rachat par le groupe Mégarama.
Des débats ont eu lieu à plusieurs reprises sur ce sujet au Conseil Municipal.
La municipalité ne pouvait donc ignorer les conséquences que pouvait avoir l’achat en 2017 des salles du Quai Dupleix par le groupe privé Mégarama totalement étranger à la vie culturelle de Quimper et n’ayant d’autre visée que le profit financier à court terme.
L’adjoint à la culture, Allain Le Roux, avait d’ailleurs envisagé comme possible
scénario l’acquisition des salles par la municipalité pour permettre de pérenniser dans
la capitale de la Cornouaille un cinéma de qualité, rejoignant ainsi les propositions de
Gros Plan.
Il en avait fait étudier les conditions.
Cette étude confirmait l’existence d’un véritable potentiel de développement pour le cinéma d’art et d’essai à Quimper et en Cornouaille.

La progression de la fréquentation ces 2 dernières années, la diversité du public, les
échanges nombreux et fructueux avec les associations locales, la part importante des
scolaires dans le cadre de partenariats avec leurs enseignants et leurs établissements,
l’attestent.
Gros Plan remplit avec succès son rôle d’animation culturelle autour du cinéma et de formation du public, notamment des scolaires.

C’est une mission de service public.
Le Quai Dupleix et l’association Gros Plan jouent un rôle important dans la vie
culturelle de Quimper et de la Cornouaille. La disparition du cinéma Art et Essai dans notre ville, après la fermeture du Quartier, centre d’art contemporain, lui porterait un nouveau coup. Elle contribuerait à affaiblir l’attractivité et le rayonnement de Quimper, et à dévitaliser encore plus son centre déjà malmené par les politiques de la majorité municipale. Pourtant, celle-ci a continué à ignorer les avertissements, et n’a rien fait pour empêcher une issue fatale.
Il y a aujourd’hui urgence à agir, la municipalité doit sortir d’un silence qui
apparaîtrait s’il se prolongeait comme de connivence avec le processus de liquidation
des salles de cinémas classées de la ville.
Il faut se mettre au plus vite à l’ouvrage sur les conditions d’une acquisition par la collectivité pour sauver le Quai Dupleix.
Le temps presse.
Dans cet esprit je demande au maire de prendre ses responsabilités et de réunir de
toute urgence les responsables de Gros Plan et tous les acteurs concernés.
Quimper le 20 janvier 2019

Ian Brossat à Brest, Vendredi 1 février.

Ian Brossat chef de file du PCF aux élections européennes de 2019 sera à Brest pour une rencontre-débat avec les finistériens.

Maison municipale des associations Germain-Bournot

Vendredi 1er février 2019

20H

4 Rue Gay Lussac
29480 Le Relecq-Kerhuon

 

 

Si vous souhaitez soutenir à votre tour la liste aux Européennes solidaire et anti-libérale, pour une Europe de gauche, démocratique et sociale, venez rejoindre le comité de soutien finistérien.

Pour mieux connaitre les enjeux de cette élection, vous pouvez consulter l‘intervention de Vincent Boulet à Logonna Quimerc’h sur l’Europe.

 

 

Vœux 2019 de la fédération en vidéo.

VIDEO : En bas de l’article

Salle comble ce samedi 19 janvier pour les voeux du PCF Finistère et de la section du PCF du Relecq-Kerhuon à l’auditorium Jean Moulin.

Le secrétaire Ismaël Dupont  était entouré de Pierre-Yves Liziar, secrétaire de la section de Kerhuon et conseiller municipal, et de Glenn Le Saout, de Morlaix, qui sera un des candidats du PCF aux élections européennes*.

Après les discours de Pierre-Yves Liziar, secrétaire de section du Relecq-Kerhuon, qui a rendu hommage à son prédécesseur Ronan Tanguy et développé les nombreuses activités de la section (solidarité concrète, vente de fruits et légumes, présence dans les quartiers, tournoi de boules, banquet républicain) et mon discours sur la situation politique, l’activité et les objectifs du PCF dans le Finistère, les élections européennes et la présentation de Glenn Le Saout, peut-être futur candidat finistérien aux Européennes sur la liste de Ian Brossat, un étudiant de 20 ans, nous avons eu droit au magnifique spectacle musical « Bonsoir m’amour » du Théâtre de la Corniche, spectacle poignant et drôle sur la grande guerre, création originale interprétée par Antoine Asnar, Jerôme André, Claude Bonnard. Des moments d’émotion et de bonheur partagé! En point d’orgue, une très belle interprétation de la chanson de Craonne.

Merci à lAFPS, lUniversité Européenne de la Paix, le Secours populaire, le Comité de défense de l’hôpital de Concarneau, le PS pour leur présence à nos vœux.

Ismaël Dupont.

 

Le Télégramme, 20 janvier 2019

PCF. Des vœux culturels à la fédération du Finistère

Samedi après-midi, à l’Auditorium du Relecq-Kerhuon, la fédération du Finistère du Parti communiste français organisait sa cérémonie des vœux. La fédération du Finistère compte 850 adhérents, répartis dans 19 sections. Elle avait invité les forces syndicales, les politiques de gauche et diverses associations.

« Le président des riches »

Ismaël Dupont, secrétaire départemental, a évoqué le mouvement social populaire en cours, avec «un soutien aux gilets jaunes, qui remettent la question sociale de l’égalité au centre du débat. Une réaction contre la politique de casse sociale menée par le président et son gouvernement. Avec Macron, on touche un sommet de mépris des classes populaires et de la population. La seule mesure soustraite au débat est la suppression de l’ISF, Macron est le président des riches… ».

« Un gros effort d’éducation populaire »

Le secrétaire était entouré de Pierre-Yves Liziar, secrétaire de la section de Kerhuon et conseiller municipal, et de Glenn Le Saout, de Morlaix, qui sera un des candidats du PCF aux élections européennes*. « Le PCF s’engage dans un gros effort d’éducation populaire. La politique ne se résume pas à des échéances électorales. Des économistes, des scientifiques et des artistes seront invités au niveau des sections locales », a poursuivi Ismaël Dupont, avant d’annoncer la venue, le 1er février, de Ian Brossat, la tête de liste du PCF, adjoint au logement à la mairie de Paris, pour préparer les Européennes.

Après les discours, le public a assisté à la représentation de « Bonsoir m’amour », une pièce musicale et chantée, drôle et émouvante, du théâtre de la Corniche.

* Glenn Le Saout a été présenté comme potentiel candidat finistérien sur la liste conduite par Ian Brossat « L’Humain d’abord ». Liste qui fera l’objet d’un vote au Conseil National du 26 janvier et d’un vote des adhérents PCF jusqu’au 2 février.

Exigeons l’amnistie des Gilets Jaunes !

Rouge Finistère relaie une pétition initié par Le Media pour l’amnistie des manifestants arrêtés lors de l’actuel mouvement social: https://amnistiegj.fr/

Nos députés communistes par la voix d’André Chassaigne ont déposé une proposition de loi pour l’amnistie lors des mouvements sociaux. A lire l’article sur la  Justice de classe : Prison ferme pour Maria et ses camarades de Valence.

Article de Libération sur le nombre de blessés graves : tirs-de-flashball-grenades-combien-y-a-t-il-eu-de-blesses-graves-parmi-les-gilets-jaunes.

 

 

Rejoignez le comité de soutien finistérien à la liste conduite par Ian Brossat!

Comité de soutien finistérien à la liste européenne du PCF « L’Humain d’abord » conduite par Ian Brossat.

Contacts pour soutenir à votre tour la liste aux Européennes solidaire et anti-libérale, pour une Europe de gauche, démocratique et sociale.Envoyez un mail ou un SMS.

Mail : dupont.ismael@yahoo.fr

SMS : 06 20 90 10 52

 

 

 

 

Rencontre-débat avec Ian Brossat et d’autres candidats communistes aux Elections Européennes au Relecq-Kerhuon

 Vendredi 1er février

à la maison municipale des Associations Germain Bournot à 20h.

 

Premiers signataires:

Andolfatto Yvette retraitée Plougastel-Daoulas

Annie Bergot Le Calvez. retraitée des Finances. Conseillère municipale durant 3 mandats à Morlaix. Bénévole dans plusieurs associations. Membre du collectif de défense de l’hôpital public du Pays de Morlaix. Morlaix

Alain Bescou retraité militant PCF Audierne

Martine Bescou retraitée militante PCF Audierne

Borgniet-Youénou Anne retraitée militante associative déléguée départementale Education Nationale Brest

Boudard-Jasserand, professeur des écoles retraitée, bénévole dans une association d’aide aux migrants, Quimper.

Bournot Claudie Employée de banque Adjointe à la mairie du Relecq Kerhuon

Briand René retraité, membre bureau section de Quimper, membre CD  USR CGT, militant associatif Quimper

Challer Gérard retraité responsable associatif

Cam Denise retraitée Brest

Cam Jean-Paul retraité militant syndical Brest

Carduner Christian Retraité militant CGT PTT ancien secrétaire Départemental CGT  du secteur des activités postales et des télécommunications du Finistère-Sud et secrétaire régional activités postales et communication Bretagne militant PCF Scaër

Carn Martine retraitée de la fonction publique hospitalière, ancienne élue, 3 mandats d’Adjointe au maire de 1995 à 2008, Conseillaire communautaire de 1999 à 2008. Vice présidente et présidente d’un SIVU au sein du SDIS 29. Présidente du Comité de Défense des usagers du CHP du Pays de Morlaix. Adhérente au PCF.

Coïc Albert syndicaliste CGT membre du secrétariat PCF du Pays bigouden Beuzec-Cap Sizun

Daniel Jeannine retraitée, militante associative Scaër Élue de 2008 à 2014, présidente du Syndicat de Production d Eau Scaër

David Alain ancien membre du secrétariat départemental PCF 29 ancien maire adjoint de Morlaix
Militant associatif jeunesse et défense de la santé Morlaix

Delannee Christian retraité économiste de la construction ancien adjoint au maire de Concarneau Morlaix

Dréan Jean retraité de la SNCF militant CGT et PCF Quimper

Dupas Roger Retraité RATP  militant CGT (UGICT) et Elu Mutualiste

Dupont Ismaël Professeur documentaliste Secrétaire départemental du PCF élu à Morlaix et Morlaix-Communauté

Flageul Catherine Retraitée militante de la paix, adhérence PCF Plougastel-Daoulas

Francillon Anne-Marie Retraitée de l’enseignement membre du PCF Brest

Gambache Michèle retraitée de l’éducation nationale Morlaix

Gambache Patrick président de CMS conseils Morlaix

Gloaguen Patrick

Gontier Dominique retraité membre du PCF, membre d’associtations environnementales Moëlan-sur-Mer

Goussé Marie-France retraitée, engagée en tant que bénévole dans plusieurs associations de Concarneau en autre « Accès à la Santé Pour Tous ».

Grimardias Muriel Retraitée militante associative Lanmeur

Gruat Jean-Victor Retraité, ancien fonctionnaire international Ancien maire de Brennilis Ancien président du Syndicat du personnel de l’Organisation internationale du Travail

Guyon Jean-Pierre retraité militant PCF Concarneau

Héré Roger retraité fonction publique, élu municipal PCF-Front de gauche Plouigneau

Jasserand Bernard Retraité de l’énergie, militant syndical, adhérent du PCF à Quimper.

Labous Jean-Jacques Retraité manipulateur radio  ancien secretaire de l’union locale cgt st pol de Leon Plouzévédé

Lainé Jeremy Technico-commercial Maire adjoint Guimaëc

Le Berre Annie Retraitée de l’éducation nationale Brest

Le Calvez Jean-Luc adhérent PCF, ancien élu à la mairie de Morlaix, ancien militant et responsable CGT manufacture. Membre du collectif défense des usagers de l’hôpital Morlaix

Le Duff Suzanne Professeur des Ecoles Retraitée Lanmeur

Le Duff Georges Ingénieur en Bâtiment retraité Lanmeur

Le Guenic Roger Ancien syndicaliste CGT au CHU de Brest

Le Roux André retraité, secrétaire de la section PCF du pays bigouden

Le Roux Francette Retraitée des Douanes, militante communiste.

Mazelin Isabelle Professeur Adjointe à la culture PCF au Relecq-Kerhuon

Mévellec-Sithamma Monique retraitée de l’éducation Nationale , syndicaliste FSU, militante dans associations culturelles.

Monfort Mireille Retraitée Education nationale Plougasnou

Moreau Philippe Retraité, CGT,  AMPB (Accueil Migrants Pays Bigouden) à Penmarc’h

Nayet Lucienne retraitée, militante associative, ancienne élue Locquénolé

Nioche Françoise enseignante retraitée, conseillère municipale Rosporden

Paul Maxime Ouvrier d’Etat militant mutualiste Plougastel-Daoulas

Pellennec Eric militant syndical mutualiste et associatif Brest

Peron Paulette Retraitée Syndicaliste Plouénan

Pierre Daniel commerçant en retraite Quimperlé

Perrot Jean-Claude Retraité de la POSTE Militant de la CGT Quimper

Primet Jean-Paul Retraité de l’enseignement professionnel Roscoff

Puil Serge Demandeur d’emploi Membre du bureau PCF Morlaix Membre du Conseil Départemental PCF Finistère Militant syndical CGT

Rainero Piero Conseiller Municipal PCF de Quimper.

Rainero,Yvonne professeure agrégée ER, militante communiste, militante associative Quimper

Rannou Jacques Cheminot retraité, Maire-Délégué PCF/ Front de Gauche de Kernével (commune associée de Rosporden), conseiller communautaire de Concarneau-Cornouaille-Agglomération (CCA)

Ravasio Daniel Retraité Education Nationale, militant PCFet FSU, militant associatif, Saint Thégonnec Loc-Eguiner

Rea Larry Retraité Conseillé municipal délégué Le Relecq-Kerhuon

Richard Anita professeur des écoles en retraite, conseillère municipale, conseillère communautaire Rosporden

Rivière Gilles ancien conseiller municipal PCF de Châteauneuf du Faou

Rivière Guy Retraité de la fonction publique territoriale, militant syndical à Brest Locmaria-Plouzané

Rivoalan Erwan bibliothécaire et syndicaliste Brest

Salaün Remi Ancien technicien préparateur coque navires à Dcns. Militant syndical

Scattolin Valérie déléguée syndicale et conseiller municipale Morlaix

Schmitt Gil retraité, Plomodiern

Sellin Denis membre du PCF et militant associatif commerçant retraité Moëlan-sur-Mer

Sinquin Ronan militant syndical CGT de la Poste, ER Châteaulin

Tanguy Jacques retraité militant FSU

Tanguy Ronan, retraité,  élu pendant 25 ans au Relecq-Kerhuon, demeurant à Plouarzel

Tanguy Yasmine employée de banque demeurant à Plouarzel

Thatje Julia Professeur documentaliste Militante associative et culturelle Morlaix

Tahmed Lhouss infirmier indépendant Brest.

Thomas Pierre-Yves Membre du CD PCF 29 Retraité de l’Aéronautique, Militant syndical Membre actif dans le secteur associatif Carhaix

Tudo Deler Michel Michel Retraité SNCF, militant CGT et PCF Lanmeur

Vérant Jean-François Retraité Militant association PCF Morlaix Plougasnou

 

La chaîne YouTube Rouge Finistère est en ligne !

La chaîne YouTube de Rouge Finistère est en ligne.

Elle a pour but de diffuser des vidéos en lien avec notre activité et le mouvement social dans le Finistère.

N’hésitez pas à filmer et à nous envoyer vos vidéos.

Des vidéos seront mis en ligne régulièrement.

Présentation du livre « Sans domicile fisc » par Eric et Alain Bocquet à Quimper le 5 avril 2017 :

 

Voilà deux parlementaires qui font honneur à la politique et à l’engagement communiste, de grands pédagogues appuyés sur la longue enquête et le travail de rencontres.

Pendant deux heures, Alain et Eric Bocquet ont fait le travail de porter à connaissance du public, avec beaucoup d’anecdotes truculentes et d’humour malgré le caractère sombre et plus qu’inquiétant du sujet, le fonctionnement du capitalisme financiarisé en tant qu’il repose, sur l’évasion fiscale et le pillage des nations.

Pour Alain Bocquet, « Sans domicile fisc » est un « livre de combat afin de ramener cette finance folle à la raison ». Pour Eric Bocquet, il est la preuve que « l’argent du monde nouveau existe« . Ce livre constitue, selon Jean Ziegler, « une arme formidable dans la phase paroxystique de la lutte des classes que les oligarchies du monde financier globalisé livrent aux peuples du monde ».

Dossier évasion fiscale revue du Projet : leprojet_evasionfiscale

 

« L’Irlande en révolutions », samedi 12 janvier, Pont-l’Abbé

Olivier Coquelin présentera et dédicacera son ouvrage

samedi 12 janvier 2019 à partir de 10 h 30

Maison du PCF 9 square de la Madeleine

à Pont-l’Abbé

 

 

 

 

Olivier COQUELIN vient de publier un nouvel ouvrage : « L’Irlande en révolutions – Entre nationalismes et conservatismes: une histoire politique et sociale (18e-20e siècles) ».(Editions SYLLEPSE)

 

Pour comprendre les particularités de l’Irlande contemporaine, l’auteur nous invite à un voyage dans une histoire des revendications émancipatrices du peuple irlandais.

La partition de l’île d’Irlande, qui perdure à ce jour, fut l’une des conséquences de la Révolution de 1916-1923. Inachevée, la rupture avec l’ordre ancien contribua surtout à renforcer le pouvoir des forces conservatrices, à l’œuvre des deux côtés de la frontière.

Pareil phénomène oblige à s’interroger sur la nature même des mouvements politiques (révolutionnaires comme constitutionnels) et sociaux (agraires comme ouvriers) irlandais qui se réclamèrent du nationalisme, à partir du siècle des Lumières.

Dans quelle mesure se faisaient-ils les partisans de desseins progressistes dans la perspective d’une Irlande indépendante, autonome ou maintenue dans le giron britannique ?

Olivier Coquelin est enseignant à l’Université de Caen et membre associé du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC) et du Groupe de recherche en études irlandaises (GREI). Il a codirigé (avec Patrick Galliou et Thierry Robin), Political Ideology in Ireland : From the Enlightenment to the Present (Cambridge Scholars Publishing, Newcastle, 2009).

 

Pétition : La Poste doit rester à la Forêt-Fouesnant !

La Poste doit rester à la Forêt-Fouesnant !

Signez la pétition :

https://www.change.org/p/la-poste-doit-rester

Je demande à ce que la poste reste à la Forêt-Fouesnant, dans les conditions actuelles,de localisation, de fonctionnement et d’ouverture ; ainsi que les services de « La Banque Postale ».
Je demande l’abandon du projet de supprimer ce service public dans cette commune, pour le bien des habitants et des commerçants locaux.

La destruction des services public continue, et nous touche directement. La poste abandonne ses services dans la commune. Elle entend conclure un partenariat avec la mairie pour conserver, à moindre frais, un service minimum. La mairie semble se satisfaire de cette proposition et cherche donc à installer le remplacement du service public par la mise en place de nouveaux locaux, une permanence réduite aux demi-journées, et un salariat municipale à mi-temps. Félicitations !!!!

Le service public disparaît, les locaux actuels restent inoccupés, les salariés restent le problème de la poste et les forêstois (ses) mettent la main au porte-monnaie. Ainsi supprime-t-on un service public, des salariés, et les activités pour les faire peser sur le privé (nous). La poste soutiendra ce transfert en versant ce qui représentait le loyer (env. 1000€) tous les mois et une partie des frais de délocalisation. La banque postale disparaît de la commune et il faudra aller voir ailleurs pour parler « sous ».

La population vieillissante, les habitants non véhiculés, verront disparaître la banque postale si nous ne luttons pas contre, surtout qu’aucune solution collective n’est proposée par la commune sur les déplacements intercommunaux.

Nous vous appelons à résister pour empêcher la disparition de ce dernier service public dans notre commune !!!

Invitation aux voeux du PCF, le 19 janvier, au Relecq-Kerhuon, avec la pièce de théâtre Bonsoir m’amour

Du théâtre et une pièce pacifiste sur la Grande Guerre

pour les

Voeux de la fédération PCF du Finistère le 19 janvier 2019

Auditorium du Relecq-Kerhuon, 16h30-19h

Accueil et discours des vœux à partir de 16h30

 

 

 

 

Puis à 17h représentation de « Bonsoir m’amour« , la pièce musicale et chantée du Théâtre de la Corniche (Antoine Asnar, Jerôme André, Claude Bonnard) sur la Grande Guerre, déjà programmée le 11 novembre 2018 par le PCF à St Martin des Champs pour le centenaire de l’armistice

Apéritif convivial à 18h30 après le spectacle.

Après-midi ouverte aux adhérents, sympathisants du PCF comme à toute personne qui souhaiterait voir le spectacle « Bonsoir m’amour ».